Béatrice - histoire érotique

Nous sommes en 1980 et Béatrice est une jeune fille de 17 ans qui vit chez ses parents en poursuivant ses études.

Il y a un peu moins d'un an, elle fut dépucelée par le frère d'une camarade de classe. C'était l'anniversaire de Maria. La soirée fut longue et tout le monde décida de dormir sur place. Vers 3 heures du matin, elle choisit une chambre, encore libre, pour dormir tranquille. C'était la chambre de Pedro, le grand frère de 23 ans. Il fut surpris de voir une jeune fille se coucher presque nue près de lui. Il se présenta et fit sursauter Béatrice qui se pensait seule. La surprise passée, elle fut subjuguée par ce garçon. Il fut rapidement conscient qu'elle était sous le charme et en abusa. Il commença à la caresser et Béatrice se laissa emporter par la sensation excitante des doigts sur sa peau. Il la déshabilla progressivement, sans la brusquer. D'abord le haut, découvrant ses seins puis, la culotte qui libéra un sexe humide affamé de découvrir enfin le plaisir. Il prit la main de Béatrice et la posa sur son sexe en érection. Elle fut étonné de la taille mais s'appliqua à le branler. Il s'allongea sur elle et l'embrassa. Son sexe se positionna face à la vulve de Béa. Il poussa lentement son sexe en elle. Seul le gland était entré. Il la regarda et elle lui demanda de la prendre. L'hymen déchiré procura une douleur vive mais rapide et disparue très vite laissant place à une douce sensation de chaleur et de bien être dans son ventre. Il la baisa avec douceur et son premier acte fut un merveilleux souvenir où elle atteint l'orgasme pour la première fois de sa vie. Il éjacula sur le ventre de sa jeune conquête. Elle alla se nettoyer et revint très vite se blottir contre son amant. Elle prit le sexe du jeune homme dans sa main et le branla, espérant le faire durcir. Pedro en bon professeur apprit à Béa de se servir de sa bouche pour atteindre son objectif. Elle se débrouilla très bien et Pedro la baisa de nouveau avec beaucoup moins de tendresse en lui procurant encore plus de plaisir. Elle gémissait, criait son plaisir. Il se senti venir et s'offrit le plaisir de jouir dans la bouche de Béa qui avala et apprécia.
Le lendemain, elle avait encore envi de vivre cet immense plaisir que lui procure le sexe. Elle se dit qu'elle adorait ça et qu'il serait dommage de s'en passer.
Durant l'année scolaire, elle cumula les conquêtes. A chaque fête, elle offrait ses faveurs à un nouveau partenaire.

A la fin de l'année, son grand père paternel décéda. La famille de Béa choisit de reprendre l'exploitation des terres familiales. Dure nouvelle vie en perspective pour Béa qui va se retrouver à la campagne, loin de ses amis et amants.
Ce fut effectivement dur car les jeunes hommes avaient quittés le monde rural pour vivre en ville alors que béa faisait l'inverse. Imaginez sa déception en découvrant que son lycée était une école de fille.
Ses jupes courtes, ses débardeurs ou chemisiers faisaient scandale chez les femmes car les hommes se régalaient à son passage. Son ventre la titillait et réclamait autre chose que ses doigts. Elle passa par la coopérative pour faire quelques courses que sa mère lui avait demandées. Dans sa jupe rouge et son débardeur, elle sentit le regard d’un homme qui la suivait dans les rayons. Elle se retourna et vit un quadragénaire qu'elle ne connaissait pas. Elle lui fit un sourire ravageur et se dirigea vers la réserve. Elle y trouva un coin, disons à l'abri, et y attendit l'homme. Lorsqu'il s'approcha d'elle, ils ne perdirent pas de temps. Elle retira sa culotte, dégrafa le pantalon de l'homme et se fit prendre, là debout. Rien d'aussi bon qu'un sexe d'homme se dit elle avant de jouir sous les assauts de l'homme. Lui aussi jouit assez vite dans son mouchoir.
Elle se rajusta et sortit de la réserve. Au moment de payer ses courses, le gérant attrapa son bras et lui dit qu'il les avait vu aller dans la réserve et lui demanda de revenir après la fermeture.
Béa, toujours avide de sexe, y alla. Le gérant, bien que surpris de la venue de la jeune fille, ne laissa pas échapper une telle occasion. Même si les jeunes filles ne sont pas très farouches dans le coin, se taper une fille de la ville est plutôt rare. Il ouvrit la porte de derrière et entraîna Béa. Il caressa d'abord la poitrine et lui retira son débardeur et son sg. Il s'empara de ces seins fermes et doux. Il lui caressa les cuisses sans s'approcher de la lisière de sa jupe. Elle mouillait sous ses caresses mais savait qu'en prenant son temps, sa jouissance serait plus forte. Elle ne put s'empêcher de libérer le sexe du gérant. Lorsqu'il posa ses mains sur les épaules de Béa, elle s'agenouilla et prit le sexe dans sa bouche. Lorsqu'elle se releva, il lui retira la culotte et la retourna. Appuyée au mur, elle subissait les assauts de l'homme qui venait de la pénétrer. Elle criait de plaisir car elle prenait vraiment son pied. Il se retira, s'éloigna et revint en reprenant sa place au fond du sexe de Béa. Elle était vraiment au 7ème ciel. Il profita de l'état de surexcitation de Béa pour enduire son anus de beurre. Il introduit un doigt et peu après un deuxième. Béa accepta cette pénétration et se sentait prête. Il beurra le gland de son sexe et sodomisa lentement Béatrice. La jeune fille apprécia et prit également du plaisir par cet orifice. Elle aimant vraiment tout du sexe. Le gérant, très excité de sodomiser cette gamine, se vida entre les fesses de Béa. Elle rentra chez elle mais après ces deux aventures, tous les hommes du village devenaient des proies. La tâche n'était pas facile et surtout délicate si on voulait éviter le scandale et passait pour la pute du village. Elle se rabattit sur son professeur de gym, seul prof homme de son lycée. Il avait le beau rôle mais se contentait jusqu'alors de se taper les cllègues féminins.
Elle avait simulé une foulure à la cheville et était restée au gymnase. Il l'avait sauté en levrette et c'était vidé dans sa bouche.

Elle eut une autre aventure avec un agriculteur voisin. En traversant un champ, elle se trouva devant le tracteur de cet agriculteur. Il lui proposa de lui faire traverser son champ. Assis à ses côtés dans le tracteur, l'homme lorgnait sur les jolies jambes de Béa. Il arriva devant sa ferme et stoppa le tracteur. Il lui proposa de venir voir comment nourrir ses bêtes. Une fois ce travail terminé, il la fit monter sur la mezzanine pour lui montrer la vue du couché de soleil qu'il y a d'en haut. La vue à laquelle il eut le droit était tout autre, le dessous de la jupe de la jeune fille. Elle s'assit au bord et il prit place à ses côtés. Pendant le merveilleux spectacle, il posa sa main sur la cuisse de Béa. Elle le laissa faire et la caresse la mettait dans un état d'excitation. Elle le regarda, il posa ses lèvres sur les siennes et comme Béa accepta le baiser, il la coucha. Très vite il se trouva sur elle, écarta sa culotte se dégrafa et la pénétra. Ils s'écartèrent du bord et une fois bien installés, il la déshabilla et profita pleinement de ce corps de jeune fille. Il ne put se retenir et se vida en elle. Heureusement, elle prenait la pilule.

Il ne fallut pas plus d'un an pour que la famille comprenne qu'ils n'étaient pas fait pour ça. Béatrice devait de toute manière retourner dans une grande ville suivre ses études en fac.

La famille décida de vendre l'exploitation. Un homme d’une quarantaine d'années arriva avec un tas d'ordinateur, de matériel électronique pour acheter et moderniser l'exploitation. L'homme resta une semaine entière avant de conclure la vente. Les parents de Béatrice avaient un mois pour déménager.
Durant la semaine, Béatrice ne put s'empêcher de coucher avec l'homme. Trois soirs durant, elle l'a rejoint dans sa chambre pour se faire baiser par tous les orifices.

Enfin la fac, les mecs et le sexe régulièrement. Autour de ces amants il y avait, Pierre, un ami avec qui elle n'avait pas couché et qui était son confident.

Depuis quelques semaines, elle lui parlait de son désir de tenter une aventure en club échangiste.
Ce soir, elle lui en reparla dans la chambre d'étudiant de Pierre. Elle lui demanda s'il ne la trouvait pas sexy et de file en aiguille, elle se retrouva dans ses bras. Il posa sa main sur sa cuisse et ils s'embrassèrent. Ce soir là, elle ne s'est pas fait sauter mais a fait l'amour pour la première fois depuis Pedro.
Sa lubie n'était pas pour autant sortie de son esprit.

Le vendredi suivant, Pierre emmena Béatrice dans un club échangiste. Il y avait plus d'homme que de femme. Après avoir fait le tour de la salle, ils s'assiérent au bar prendre un verre d'alcool, histoire de se décoincer un peu. Béatrice se lança sur la piste. Rapidement des hommes l'ont entourées. Un d'eux la prit dans ses bras comme pour danser un slow. Il était à son goût et elle lui emboîta le pas. Les mains sur son dos et ses fesses lui faisaient de l'effet. Puis un autre homme l'attrapa. Elle dansa des slow caresse avec trois d'entre d'eux. Elle se libéra de l'emprise de ces hommes.
En retournant au bar, elle fut attirée par un hublot. A travers, elle y vit une femme prise par deux hommes tandis que deux autres attendaient leur tour. Complètement attirée par ce spectacle, elle ne pouvait retirer ses yeux de ce hublot. Elle sentit des mains sur ses hanches. Sans réaction de sa part, les mains se firent plus entreprenante et s'aventurèrent sur son ventre, sa poitrine puis ses fesses. Le désir venait entre les cuisses de Béatrice. La main de l'homme ouvrit la porte et Béatrice fut emportée dans la salle. De spectatrice, elle allait devenir actrice.
Pendant qu'elle regardait la femme prendre du plaisir, l'homme la caressait et la mettait dans un état d'excitation terrible. Il passa ses mains sous la jupe et retira sa culotte. Il pénétra son sexe avec ses doigts. Béatrice se tortillait et gémissait déjà. La mini jupe se trouva au sol suivit de son chemisier. Elle n'était plus vêtue que par ses escarpins. L'homme la coucha sur un matelas à même le sol. Après avoir mit un préservatif, l'homme la pénétra et la sauta, mal, pendant quelques minutes avant de s'en aller. Les hommes qui visaient l'autre nana n’allaient pas laisser filer un tel cadeau. Ils s'approchèrent de Béatrice qui fut très réceptive aux caresses et baisers des deux lascars. Comme ils étaient déjà nus, elle s'empara de leur sexe avant de les sucer chacun leur tour. Comme elle était à genou, l'un d'eux se plaça derrière elle et la pénétra. Se faire prendre par un mec tout en suçant un autre, l'excitait particulièrement. Baiser avec deux mecs s'était encore plus jouissif. Ils changèrent de place et ce geste fit jouir Béatrice. L'homme avait gardé sa capote et en le suçant, elle goûtait son sexe. Elle était surexcitait et rapidement en essayant de ne pas perdre l'équilibre, elle passa son doigt sur son anus, invitant ainsi l'homme à s'occuper de son cul. Ils étaient tombés sur une vraie cochonne, ce soir. Après l'avoir bien préparé, il y introduit son sexe. Béatrice adorait la sodomie. Quelques instants plus tard, elle était prise en sandwich par deux inconnus et prenait un plaisir jamais atteint. La femme s'approcha de Béatrice et l'embrassa avant de s'occuper de ses seins. Béatrice eut un orgasme comme jamais elle avait eut. Après leur éjaculation, elle remercia ses amants en les embrassant. Elle se rhabilla et alla rejoindre Pierre au bar. L'ambiance avait beaucoup changée. Pierre n'était pas au bar, mais sur un canapé, à deux mètres entre les jambes d'une fille.
Béatrice, seule, repris un verre de Gin. Elle se retourna et regarda les couples baisaient. Spectacle affligeant lui dit le barman. Elle le regarda et lui sourit. Il l'invita derrière le bar. Il l'embrassa et lui retira son débardeur et son sg. Il caressa un peu les seins fermes de Béa et la retourna. Les mains sous la jupe, il fit glisser la culotte et releva la jupe.
Accoudé au bar, elle pouvait voir tous ces couples tandis qu'elle se faisait prendre. Elle vit Pierre se détacher de la fille et se libéra du barman puis s'agenouilla pour lui tailler une pipe. Elle voulait en finir et s'appliqua pour le faire jouir assez vite. Elle avala les giclées du barman puis, se rhabilla.
Pierre rejoignit Béatrice et ils décidèrent de rentrer. Elle passa la nuit avec lui et le réveilla avec une fellation. Il se laissa faire jusqu'à l'éjaculation. Une nouvelle fois, Béa avala avec plaisir. A son tour, pierre s'occupa d'elle et après un cunnilingus qui la fit chavirer, il la pénétra. Il baisait sa meilleure amie sans ménagement. Il décida même de la retourner et de la sodomiser d'un coup. Elle aima cette brutalité et eut un orgasme extraordinaire.
Elle avait adoré cette nuit de luxure et dit à Pierre qu'elle était prête à recommencer.