je cède à mon beau frère

- Par l'auteur HDS Jeune et jolie -
Auteur femme.
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Récit libertin : je cède à mon beau frère Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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je cède à mon beau frère
J’ai connu André à 17 ans. A 18 ans, je lui offert ma virginité pendant des vacances chez lui en guadeloupe.
A partir de là, il me prenait n’importe où, n’importe quand. En fait dès qu’il en avait envi.e Moi, je l’aimais tellement que son désir était le mien.
Il m’a baisée un jour dans la cuisine alors que ses amis prenaient l’apéro dans le salon. Sur la plage enfoui sous une serviette. Dans l’avion du retour, il m’a baisé une fois dans les toilettes et une fois à notre place. Je m’étais assise sur lui.
De retour en métropole, je suis retournée chez mes parents et allais le voir régulièrement. On se voyait essentiellement pour la baise. Avec mes études, je n’avais pas beaucoup de temps à lui consacrer.
Comme tout guadeloupéen, c’est un dragueur né et il aime les femmes. Aussi j’avais des doutes sur sa fidélité jusqu’au jour où une copine m’a avoué avoir couché avec lui.
Très amoureuse mais aussi malheureuse, je décidai de mettre un terme à notre relation.

Me voyant effondrée, ma sœur me proposa de venir quelques jours chez elle. Corinne est de 4 ans mon aînée et est mariée à Gilles qui a 10 ans de plus qu’elle. Ils vivent en grande banlieue Lyonnaise dans une maison avec un petit jardin.
J’ai donc profité de vacances scolaires pour aller prendre l’air chez ma sœur. Avec gentillesse, elle a réussi à prendre 3 jours pour être avec moi. Pendant ces 3 jours, elle m’a sorti et lorsque Gilles rentrait le soir, nous sommes allés une fois boire un verre en ville, une autre fois au cinéma. Ils étaient adorables avec moi.

J’appris à connaître Gilles et le trouvais de plus en plus sympathique. Puis, j’ai remarquée que de son côté, il ne me regardait plus de la même façon. Je n’avais plus le sentiment d’être la petite fille au chagrin d’amour dans ses yeux.

Quand nos regards se croisaient, nous échangions un sourire. Il aimait bien à ces moments là, me lancer un clin d’œil. Auprès de lui, je me sentais apaisée. Au début, j’ai cru que c’était un grand frère sur lequel je pouvais soulage mon chagrin, mais je me suis vite aperçue que c’était plus que ça.
Je décidai avec l’accord de ma sœur de prolonger mon séjour. Je resterais donc le week-end et jusqu’au mercredi.
Durant le week-end, il c’est passé quelque chose entre Gilles et moi. Je ne sais pas comment définir ça mais nous étions plus proche. En fait, je me sentais bien avec lui mais il n’y a eu aucun geste déplacé. Nous avons passé un très bon week-end tous les trois.

Le dimanche soir, j’ai eu du mal à m’endormir. J’entendais Corinne prendre son pied et j’ai ressentie une boule dans mon ventre. J’étais jalouse.
A mon réveil, ils étaient partis travailler et j’essayais de me sortir cette idée de ma tête.

Vers 11 heures du mat, je me suis installée en maillot de bain sur un transat pour faire bronzette. Le soleil sur ma peau me donner des envies. Je me suis laissée aller à me caresser les seins et mon minou.
J’étais bien excitée lorsque j’ai entendu Gilles arriver. Je me suis empressé d’enfiler ma jupette mais je n’avais rien prévu pour me couvrir le haut. Mes tétons étaient bien dressés dans mon haut de maillot. J’étais mal à l’aise d’autant que j’avais l’impression de sentir le sexe de partout.

Gilles m’a rejoint dans le jardin et m’a fait la bise en me tenant par la taille. Sa main sur ma peau nue m’a donné un frisson. J’ai prétexté la froideur de ses mains mais j’ai bien vu qu’il n’avait pas marché.
Avec un petit sourire, il me dit qu’il avait annulé tous ses rendez-vous pour ne pas me laisser seule toute la journée.
Un clin d’œil et il me demanda de nous servir un pastis pendant qu’il allait se changer.

Il est revenu en short avec un tee-shirt sans manche. Il a rapproché un transat du mien et nous avons trinqué. Perturbée, je n’avais même pas pris la peine de mettre un haut.
Deux pastis plus tard, il décida de préparer à manger. J’ai bien essayé de l’aider mais mes jambes n’ont pas voulues. Le verre de rosé pendant le repas m’a rendu bien gaie. Comme j’avais mangée, je me sentais mieux qu’avant le repas. Pour le café, nous avons rejoint nos transats.

Pour bronzer, il décida de se mettre à l’aise et le voilà torse nu en maillot de bain. Il me dit d’en faire autant et il m’a bien regardé enlever ma jupette.
C’est alors qu’il m’a fait le coup de la crème à bronzer. La scène de la veille au soir me revint à l’esprit et je n’avais pas envie de lui refuser ça.

Je me suis mise sur le ventre et Gilles commença à enduire mon dos de crème. J’ai tout fait pour ne rien laisser paraître lorsque ses mains ont longées le contour de mon bas de maillot.
Arrivé en haut, il dégrafa l’attache du haut pour ne rien laisser sans crème. C’est vrai qu’un bronzage avec la marque du soutif est très laid.
Le dos terminé, il me retourna sans me laisser le temps de retenir mon haut de maillot. J’ai alors tout de suite mis les mains sur mes seins pour les cacher. Il a souris et a commencer à passe la crème sur mon ventre. Il s’est vite approché de ma poitrine. Il a tout d’abord contourné mes mains mais en forçant légèrement a réussi à se faufiler en dessous. J’ai alors retiré les miennes et j’ai senti que Gilles caressait plus qu’il ne mettait de la crème sur mes seins. Les tétons se sont mis à pointer et il les pinça puis repris sa caresse. En tournant légèrement la tête, j’ai vu que son sexe réagissait et il ne s’en cacha pas.
Sans réaction de ma part à ses caresses, Gilles se pencha pour prendre ma bouche. Je ne me suis pas refuser. Durant le baiser, sa main descendit le long de mon corps pour contourner mon maillot et caresser mes cuisses et mon entrejambe. Lorsqu’un doigt a écarté le maillot et touché mon sexe trempé, j’ai poussée un gémissement assez bruyant. Je me sentais si excitée que ma main a saisie son sexe que j’ai libéré de son maillot. Nous nous sommes caressés plusieurs minutes avant que Gilles me retire le bas et se glisse entre mes jambes.
J’ai senti son sexe s’enfoncer lentement en moi. Je me sentais amoureuse de ce sexe. Le mari de ma sœur me possédait et me faisait jouir comme André ne m’avait jamais fait autant jouir.
C’était bon et tout comme ma sœur la veille, je prenais mon pied.
Après de longues minutes, il s’arrêta et en me regardant dans les yeux me demanda si je prenais la pilule. Comme c’était le cas, il a fait quelques mouvements avant de se vider en moi. En sentant son jus coulé en moi, j’ai atteint l’orgasme.

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