Belle-fille (suite). La mère aussi ...!
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Belle-fille (suite). La mère aussi ...!
Enfin l’occasion de passer une nuit avec la mère de ma petite salope de belle-fille.
Ce fut trop long d'attendre mais si simple une fois l’opportunité survenue.
Je la vois descendre de son train, toute simple, toute menue… et son grand sourire en me voyant.
C’est que Lyon c’est la grande ville inconnue.
Et c’est là que nous allons nous amuser comme des jeunes fous.
Quelques pas pour sortir de la foule de la Part-Dieu et dans le couloir du parking…un baiser de feu.
Accompagné d’un paluchage en règle… Quoique je fasse, tout est accepté, encouragé.
Elle serait capable de me laisser la trousser là, dans un recoin… Complètement en chaleur… en manque.
- C’est si bon ! Ce mariage était si magnifique !
Elle se laisse aller à exprimer cette fièvre de notre soirée !
- Tu as aimé ? Tu es prête à tout ? Je te veux toute entière ! Tu vas tout me donner !
- Oui !!! oui !!! prends !!!
Mes mains palpent ses fesses, les triturent.
J’ai tellement froissé la robe d’été… ses cuisses sont à nu et je pelote cette chair si soyeuse.
N’importe qui tournerait la tête, il verrait cette femme se faire lutiner en plein milieu de ce couloir tellement fréquenté !
Nos langues sont folles, je fais plus que l’embrasser, j’explore sa bouche, je la possède….
- viens, j’ai faim de toi !
Lydie est docile, elle me suit, sa main dans ma main.
Dans la voiture, je ne peux m’empêcher de découvrir un sein et de le manger… Aspirer ce téton…goulument. Lui faire sentir cette fougue…
En même temps que ma main glisse entre ses cuisses… sous la culotte…oh… qu’elle est trempée cette chatte…mes caresses ne font que rendre la situation encore plus liquide…. Lydie se liquéfie sous mes doigts….
- Mets- toi à genoux sur le siège !!
Je relève sa jupe, écarte ses cuisses et ma bouche vient essayer de récupérer cette mouille qu’elle laisse échapper honteusement….
- Quelle salope tu es, Lydie, tu sens comme tu es trempée ?
- J’ai tellement envie de toi !
- N’empêche que tu es une chienne ! J’ai envie d’appeler les gens qui passent pas loin ! Venez donc voir ma salope qui mouille
- Tais toi, j’ai honte
- Dis moi plutôt que tu veux être ma salope à moi. Que tu veux que je te baise à fond. Que je fasse reluire ta chatte !!!
- Pourquoi tu me parles comme ça ?
- Parce que tu vas en prendre plein le cul et la chatte et que tu vas en redemander !!!
Je le sais ! Et ta fille dirait pareil si elle te voyait !!!
Et je fesse un peu fort cette belle partie charnue…Et l’autre !!!
Avant de me gorger de sa cyprine et de lui faire chanter son plaisir…
pour redemander…elle redemande !! Elle semble adorer mon langage si cru et si surprenant de ma part.
Je lui bouffe la chatte un bon moment, même si la position n’est pas très confortable, mon nez reluit de ses sécrétions si savoureuses…
- Suce-moi, ma petite salope, suce moi, vite… pendant que je nous emmène dans un lit
Elle a plongé pour sortir ma queue, pour l’engober comme une morte de faim.
Je conduis mais j’ai du mal. Sa langue, ses doigts, ses lèvres, la chaleur de cette bouche…oh putain !
Sa robe est toujours impudemment relevée, j’aperçois un conducteur se rincer l’œil , éberlué… et son pouce vers le haut me félicite !
Feu rouge, il est à côté.
Je baisse la vitre en appuyant sur la tête de Lydie.
- Elle suce bien tu sais !
- Veinard !!
- Et regarde-moi ce cul ! dans un quart d’heure je l’encule !!! fais-je en soulevant la robe pour ne rien cacher de l’état ruiné de sa culotte en dentelle….
- Oh la salope ! elle est trempée !
- Pompe moi bien, arrête pas surtout ! dis-je à Lydie qui essayait de se dégager, confuse…
Mon doigt vient coulisser, tantôt le long de son sillon, tantôt dans sa chatte et … titillant son petit trou de temps à autre….
On traverse Lyon comme ça. Longeant un bus par ci ou un 4x4 par là.
Des voyeurs doivent s’en payer une tranche !
Je dois dire que ma queue aussi, se régale. Et ma main caresse la tête qui me suce si bien.
Avant de retourner farfouiller entre ses cuisses.
On approche de l’hôtel et il faut bien que Lydie se réajuste un minimum !
Dans la chambre, je la jette sur le lit et m’affale sur elle, sentir mon corps qui pèse la rend folle…son baiser est fou d’amour, de désir.
Je la déshabille rapidement, on est nus. Et un 69 de rêve nous plonge ( !) dans le bonheur.
Je veux son petit trou.
Tout de suite.
Mon doigt, puis deux doigts parviennent à préparer ce passage pour ma queue qui me supplie de lui donner ce cul à enfiler !
Lydie se retrouve à quatre pattes.
Ma main enfonce sa tête dans l’oreiller, ma queue glisse le long de sa chatte et, bien mouillée, se pointe devant son anus.
Je force un peu et le gland est entré.
- Chérie je vais t’enculer , caresse toi ! (vous me direz que le loup est déja dans la bergerie...)
- Prends tout ; je suis à toi !
Je pousse, je vais et je viens…de plus en plus loin. Ah que c’est bon, que c’est étroit.
- J’aime baiser ton cul ! j’aime t’enculer !
- Ahhhh ….
- Je vais te défoncer ma petite !
Et n’attendant pas de réponse, je me mets à marteler de coups de queue toujours plus fort, toujours plus vite dans le cul de ma jolie mère de famille.
Et progressivement, la belle sent venir des sensations nouvelles, fortes, si fortes… extrêmes… !
Et elle m’encourage, envoie son cul vers ma queue qui la laboure.
Elle crie quand l’orgasme survient. Elle crie encore et encore… Elle jouit comme jamais.
Et me fait penser à sa fille, si expansive dans ses orgasmes !! Je peux pas lui dire, dommage !
Je suis sur mes pieds, accroupi sur son dos, façon canine… Et je pelote ses seins, caresse son ventre, son clito avant de la saisir aux hanches à nouveau pour des myriades de coups de queue.
J’en veux encore, j’en veux plus, je veux la sentir totalement assouvie.
Et je me rends compte qu’elle est épuisée d’ainsi subir mes assauts de barjot !
Alors je lui demande de préparer sa petite figure de femme sérieuse à recevoir ma giclée de sperme !
Et je me présente pour conclure de ma main en crachant tout sur sa petite face de mère modèle.
- Ah ! que c’est bon…. ! ahhh … suce moi, nettoie ma queue, salope, allez !
Et Lydie me suce goulument, folle de remerciements, folle de ma queue, folle d’elle-même.
Toute la nuit on a baisé, elle en avait jamais assez. Au matin, la frénésie devenait incroyable.
Et mes couilles commençaient à vraiment être vides !
C’est en parlant dans un moment de calme que j’ai compris que c’était l’idée de la fin de ce plaisir, de cette nuit qui lui donnait cette fringale.
J’ai encore dévoré sa petite chatte pour son plus grand plaisir. Et les yeux cernés, après une nuit homérique, on a pris un petit déj copieux… Je l’ai raccompagnée à la Part-Dieu, elle avait les larmes aux yeux. J’ai pourtant promis qu’il y aurait une suite. Et rapidement !!!
Vous voulez savoir ?
Ce fut trop long d'attendre mais si simple une fois l’opportunité survenue.
Je la vois descendre de son train, toute simple, toute menue… et son grand sourire en me voyant.
C’est que Lyon c’est la grande ville inconnue.
Et c’est là que nous allons nous amuser comme des jeunes fous.
Quelques pas pour sortir de la foule de la Part-Dieu et dans le couloir du parking…un baiser de feu.
Accompagné d’un paluchage en règle… Quoique je fasse, tout est accepté, encouragé.
Elle serait capable de me laisser la trousser là, dans un recoin… Complètement en chaleur… en manque.
- C’est si bon ! Ce mariage était si magnifique !
Elle se laisse aller à exprimer cette fièvre de notre soirée !
- Tu as aimé ? Tu es prête à tout ? Je te veux toute entière ! Tu vas tout me donner !
- Oui !!! oui !!! prends !!!
Mes mains palpent ses fesses, les triturent.
J’ai tellement froissé la robe d’été… ses cuisses sont à nu et je pelote cette chair si soyeuse.
N’importe qui tournerait la tête, il verrait cette femme se faire lutiner en plein milieu de ce couloir tellement fréquenté !
Nos langues sont folles, je fais plus que l’embrasser, j’explore sa bouche, je la possède….
- viens, j’ai faim de toi !
Lydie est docile, elle me suit, sa main dans ma main.
Dans la voiture, je ne peux m’empêcher de découvrir un sein et de le manger… Aspirer ce téton…goulument. Lui faire sentir cette fougue…
En même temps que ma main glisse entre ses cuisses… sous la culotte…oh… qu’elle est trempée cette chatte…mes caresses ne font que rendre la situation encore plus liquide…. Lydie se liquéfie sous mes doigts….
- Mets- toi à genoux sur le siège !!
Je relève sa jupe, écarte ses cuisses et ma bouche vient essayer de récupérer cette mouille qu’elle laisse échapper honteusement….
- Quelle salope tu es, Lydie, tu sens comme tu es trempée ?
- J’ai tellement envie de toi !
- N’empêche que tu es une chienne ! J’ai envie d’appeler les gens qui passent pas loin ! Venez donc voir ma salope qui mouille
- Tais toi, j’ai honte
- Dis moi plutôt que tu veux être ma salope à moi. Que tu veux que je te baise à fond. Que je fasse reluire ta chatte !!!
- Pourquoi tu me parles comme ça ?
- Parce que tu vas en prendre plein le cul et la chatte et que tu vas en redemander !!!
Je le sais ! Et ta fille dirait pareil si elle te voyait !!!
Et je fesse un peu fort cette belle partie charnue…Et l’autre !!!
Avant de me gorger de sa cyprine et de lui faire chanter son plaisir…
pour redemander…elle redemande !! Elle semble adorer mon langage si cru et si surprenant de ma part.
Je lui bouffe la chatte un bon moment, même si la position n’est pas très confortable, mon nez reluit de ses sécrétions si savoureuses…
- Suce-moi, ma petite salope, suce moi, vite… pendant que je nous emmène dans un lit
Elle a plongé pour sortir ma queue, pour l’engober comme une morte de faim.
Je conduis mais j’ai du mal. Sa langue, ses doigts, ses lèvres, la chaleur de cette bouche…oh putain !
Sa robe est toujours impudemment relevée, j’aperçois un conducteur se rincer l’œil , éberlué… et son pouce vers le haut me félicite !
Feu rouge, il est à côté.
Je baisse la vitre en appuyant sur la tête de Lydie.
- Elle suce bien tu sais !
- Veinard !!
- Et regarde-moi ce cul ! dans un quart d’heure je l’encule !!! fais-je en soulevant la robe pour ne rien cacher de l’état ruiné de sa culotte en dentelle….
- Oh la salope ! elle est trempée !
- Pompe moi bien, arrête pas surtout ! dis-je à Lydie qui essayait de se dégager, confuse…
Mon doigt vient coulisser, tantôt le long de son sillon, tantôt dans sa chatte et … titillant son petit trou de temps à autre….
On traverse Lyon comme ça. Longeant un bus par ci ou un 4x4 par là.
Des voyeurs doivent s’en payer une tranche !
Je dois dire que ma queue aussi, se régale. Et ma main caresse la tête qui me suce si bien.
Avant de retourner farfouiller entre ses cuisses.
On approche de l’hôtel et il faut bien que Lydie se réajuste un minimum !
Dans la chambre, je la jette sur le lit et m’affale sur elle, sentir mon corps qui pèse la rend folle…son baiser est fou d’amour, de désir.
Je la déshabille rapidement, on est nus. Et un 69 de rêve nous plonge ( !) dans le bonheur.
Je veux son petit trou.
Tout de suite.
Mon doigt, puis deux doigts parviennent à préparer ce passage pour ma queue qui me supplie de lui donner ce cul à enfiler !
Lydie se retrouve à quatre pattes.
Ma main enfonce sa tête dans l’oreiller, ma queue glisse le long de sa chatte et, bien mouillée, se pointe devant son anus.
Je force un peu et le gland est entré.
- Chérie je vais t’enculer , caresse toi ! (vous me direz que le loup est déja dans la bergerie...)
- Prends tout ; je suis à toi !
Je pousse, je vais et je viens…de plus en plus loin. Ah que c’est bon, que c’est étroit.
- J’aime baiser ton cul ! j’aime t’enculer !
- Ahhhh ….
- Je vais te défoncer ma petite !
Et n’attendant pas de réponse, je me mets à marteler de coups de queue toujours plus fort, toujours plus vite dans le cul de ma jolie mère de famille.
Et progressivement, la belle sent venir des sensations nouvelles, fortes, si fortes… extrêmes… !
Et elle m’encourage, envoie son cul vers ma queue qui la laboure.
Elle crie quand l’orgasme survient. Elle crie encore et encore… Elle jouit comme jamais.
Et me fait penser à sa fille, si expansive dans ses orgasmes !! Je peux pas lui dire, dommage !
Je suis sur mes pieds, accroupi sur son dos, façon canine… Et je pelote ses seins, caresse son ventre, son clito avant de la saisir aux hanches à nouveau pour des myriades de coups de queue.
J’en veux encore, j’en veux plus, je veux la sentir totalement assouvie.
Et je me rends compte qu’elle est épuisée d’ainsi subir mes assauts de barjot !
Alors je lui demande de préparer sa petite figure de femme sérieuse à recevoir ma giclée de sperme !
Et je me présente pour conclure de ma main en crachant tout sur sa petite face de mère modèle.
- Ah ! que c’est bon…. ! ahhh … suce moi, nettoie ma queue, salope, allez !
Et Lydie me suce goulument, folle de remerciements, folle de ma queue, folle d’elle-même.
Toute la nuit on a baisé, elle en avait jamais assez. Au matin, la frénésie devenait incroyable.
Et mes couilles commençaient à vraiment être vides !
C’est en parlant dans un moment de calme que j’ai compris que c’était l’idée de la fin de ce plaisir, de cette nuit qui lui donnait cette fringale.
J’ai encore dévoré sa petite chatte pour son plus grand plaisir. Et les yeux cernés, après une nuit homérique, on a pris un petit déj copieux… Je l’ai raccompagnée à la Part-Dieu, elle avait les larmes aux yeux. J’ai pourtant promis qu’il y aurait une suite. Et rapidement !!!
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