Le père Vincent. L'infirmière
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le père Vincent. L'infirmière
Quand Vincent sortit du cabinet médical, il était perturbé.
Une série de piqures à domicile. Et ralentir ses activités. Comme les vieux. Et lui, à 70 ans, il se sentait tout sauf vieux.
Mais bon !
Il passe à la pharmacie et s’enquiert d’un infirmier… Le pharmacien, bonne pâte lui dit qu’il s’en occupe. Il le verra passer en fin d’après-midi.
Sieste obligatoire. Et puis vers les 16 heures, le père Vincent se lève, en slip et marcel. Prêt à recevoir l’infirmier.
On frappe, il est en train de ranger sa maigre vaisselle de midi.
- Oui, la porte est ouverte !
- Puis
- Mes fesses sont à vous pour la piqure !!
Une voix amusée et surtout féminine lui répond- Une seule suffiraExceptionnel, le père Vincent pique un fard ! il se retourne et la vision de cette belle femme le rend encore plus confus !!!
Il se regarde, en slip et marcel, ne sait pas comment paraitre moins niais.
L’infirmière demande ou se laver les mains. Il montre l’évier, sachant dans quel état moyen se trouve la salle d’eau !
- Allez-vous allonger, monsieur.
Vite filer !!! Non sans mater ce joli derrière sous une jupe plissée pas trop longue. Oh la la, non Père Vincent !
Ben oui et non.
Non, il ne fera aucun geste déplacé. Mais…oui, il bande déjà comme un âne, le bougre.
Si bien que l’infirmière en s’approchant ne peut manquer de voir cette barre qui soulève le slip. Troublée, car il ne faut qu’un regard pour comprendre l’importance de la chose, étonnée car elle voit bien que le père Vincent c’est pas un perdreau de l’année, et vaguement émue par l’idée de la forme de ce qui se cache.
Et les questions préalables s’éternisent car elle ne veut pas tout de suite que l’objet se retrouve caché à sa vue. Et le phénoménal engin a plutôt tendance à enfler qu’à dégonfler. Voir la jolie poitrine qui souffle, entendre cette voix chaude, reluquer cette petite jupe plissée qui lui octroie quelques centimètres trop insuffisants au-dessus du genou….
Mais la sévérité de la fonction… l’état d’infériorité dû à sa presque nudité….mon père Vincent si rustaud ne bronche pas.
- Bien, je crois que vous pouvez vous mettre sur le ventre
Le père Vincent se retourne et dans son mouvement, laisse entrevoir clairement aux yeux affolés de Chantal que l’engin est prodigieusement ….hors norme.
Chantal se mord les lèvres . Des sexes, elle en a déja vu beaucoup, malgré ses tout juste 35 ans. Des droits, des courbes, des gros, des longs…. Certains bien au-dessus de la moyenne. Mais ça. Cette …chose… Effrayant. En même temps, fascinant.
Il faut se reprendre. La piqûre est effectuée de main de maitre. Et vite, Chantal se replie dans la routine du rangement. Surtout ne pas se retour… oh si, elle jette un oeil quand Vincent se relève et peut encore voir le gros membre une fraction de seconde. Deux secondes pour se reprendre en fermant les yeux.
- Et bien demain même heure ? s’enquiert-elle- Oui, merci. Et pardon de ma petite tenue
C’est Chantal qui rougit et bredouille un vague pardon. Elle ne respire que dans sa voiture. La vue troublée, se demandant si elle n’a pas halluciné.
Son mari, à la bite à peine normale, ses amants d’il y a longtemps , avant son mariage…Rien de comparable.
-Allons, remets toi ma fille. Tu ne vas pas fantasmer à ton âge, se raisonne-t-elle !
Mais elle finit sa journée, à son grand désespoir, avec cette idée en tête : Voir de près le bel objet.
Le lendemain, Vincent est présentable. Il a rangé la salle d’eau bien modeste, il a fait la vaisselle, s’est lavé, rasé. Et enfilé un pantalon !
Frustration de Chantal.
- Quittez votre pantalon ce sera plus pratique- Ah bon ?
Vincent se félicite d’avoir bien fait les coins comme il dit. Et se retrouve en slip.
Chantal a revêtu un t-shirt un peu moulant, la jupe d’hier semble plus courte. Portée légèrment plus haut ?
Elle fait la conversation, demande si tout va bien, si aucune douleur n’est apparue après sa visite, passe sa main sur le ventre appuyant ça et là. Elle ne se reconnait pas de sa hardiesse. Mais se félicite du résultat. Elle voit le slip se remplir, se déformer, la bosse grossir… Sa main est posée sur le ventre et elle regarde le slip. Ostensiblement. Machinalement, un mouvement d’avant en arrière…sur le ventre… oh, très peu marqué, mais si efficace pour finir de dilater le mastodonte.
Vincent a fini par voir le manège. Il veut être certain. Ne pas risquer un impair qui le condamnerait auprès de la pharmacie, du médecin…Bref… de la Faculté !
Il hasarde- Ptet ben une petite gène au niveau …au niveau … enfin dans mon slip vous comprenez…. ?
La voix chevrotante de Chantal se fait entendre- Oui, je crois que je comprends … … … il faudrait que … … je vois ?
- Allez-y ! c’est mieux !
Chantal saisit le bord du sous-vêtement, et extirpe une queue phénoménale tendue comme un arc. Elle pâlit et se retient de prendre à pleine main ce sexe impressionnant.
- Vous voyez, y a comme quelque chose de crispé. Je comprends pas- Crispé vous dites ?
L’un et l’autre ont envie d’aller plus loin… Mais…- Tiens, prenez donc dans votre main, vous êtes infirmière, dites-moi ce que vous en pensezLa main est partie toute seule à la rencontre de la tige. La main se referme sans pouvoir se fermer entièrement tant le diamètre est imposant. Et une légère pression vers le bas, suivie de la même vers le haut….encore… en même temps que le visage s’est penché en avant.
- Je ne vois rien d’anormal si ce n’est que vous avez une belle vigueur… - Oui, ça, c’est sur que je suis encore ben en forme, hein ?
Chantal se racle la gorge, ne lâche pas la queue …Et quand la main de Vincent se pose sur sa nuque, le visage descend tout seul vers son but. Une main soupèse les couilles, une bouche frôle la tige…
- Allez, vas-y donc, t’en meurs d’envie conseille Vincent….
Cette fois, plus de retenue. L’infirmière commence à profiter de ce plaisir, sa bouche se remplit du gland, ses mains branlent, elle se repait de cette grosse queue, elle pompe hardiment, n’en revient pas de la différence avec celle de son mari qu’elle a sucé hier soir (oui, ben il a pas tout perdu le bougre !) . Et Vincent l’encourage -vas-y, suce moi bien, profites en de ma queue. Elle te plait, hein ? J’ai ben vu hier que tu la reluquais ! Mais je me disais que tu pouvais pas être une salope comme les ot’L’insulte fait tressaillir Chantal. Salope, moi ??? Mais finalement, oui, elle est une belle salope qui suce un de ses clients, septuagénaire de surcroît.
Et quand il continue en lui indiquant ses préférences, en lui retroussant sa jupe plissée, en caressant ses fesses… elle se contente de redoubler d’application !
- C’est bien, bonne fille, pompe moi bien, attends, je vas me mettre devant toi, je vas profiter de ta bouche, fille de garce !!
- - Il saisit la tête et commence à baiser cette bouche peu habituée. Chantal a les larmes aux yeux quand la bite vient au fond de son gosier…Mais elle aime ça. Elle aime cette queue qui rentre difficilement dans sa bouche.
Les mains de Vincent glisse le long de son dos, sur ses fesses, elle continue de pomper, de caresser les boules , la hampe. Il se saisit de la culotte ultra mini et la descend. Chantal va d’une main achever d’enlever la frêle étoffe. Oui ! elle veut se faire baiser par ce machin. Elle veut connaitre ça dans sa chatte !!!!
Elle se tourne d’elle-même, et son cul en face de Vincent est un appel au coït !!! Vincent glisse deux ou trois fois de haut en bas, ajuste et Han !!!!!!!! lui défonce le minou d’un coup de bite magistral. Chantal a crié. Impossible de se retenir… Et là, elle cache sa bouche dans les draps pour ne pas hurler à chaque fois que le mandrin lui écarte la chatte comme jamais.
Elle couine dans le drap, des cris heureusement assourdis par le matelas… Vincent s’en donne à cœur joie. Pilonnage en règle. Surtout que la jolie Chantal présente une paire de fesses très enthousiasmante ! Il la baise en force, à fond, sans précaution. Elle en a pour son grade l’infirmière… - Et ben salope, tu la sens ma queue ?
- Oh oui, qu’elle est bonne !
- T’en veux encore, ben tiens !!!
- Ah c’est trop bon !! ahhhh je vais jouir….oh je suis folle je jouiiiiiiiiiiiiis…..
- -t’es là pour ça, salope ! la queue du père Vincent, elle est là pour te faire couiner !!!
Encore, encore…. Chantal est perdue, prête à tout laisser pour que cette queue la bourre rdemain, et encore après, toujours…Cette queue, nuit et jours dans sa chatte !!!!
- Tu reviens demain, je t’en remettrais un petit coup !!!
Et Vincent accélère jusqu’à provoquer les transes de l’infirmière….Et quand elle sent la crispation du vieux suivie de ces jets brulants dans sa chatte, elle jouit encore intensément….
Pour Vincent, la messe est dite. Son coup est tiré, la femelle a joui… passons à autre chose
- Tu me la fais cette piqûre ou quoi ???
Une série de piqures à domicile. Et ralentir ses activités. Comme les vieux. Et lui, à 70 ans, il se sentait tout sauf vieux.
Mais bon !
Il passe à la pharmacie et s’enquiert d’un infirmier… Le pharmacien, bonne pâte lui dit qu’il s’en occupe. Il le verra passer en fin d’après-midi.
Sieste obligatoire. Et puis vers les 16 heures, le père Vincent se lève, en slip et marcel. Prêt à recevoir l’infirmier.
On frappe, il est en train de ranger sa maigre vaisselle de midi.
- Oui, la porte est ouverte !
- Puis
- Mes fesses sont à vous pour la piqure !!
Une voix amusée et surtout féminine lui répond- Une seule suffiraExceptionnel, le père Vincent pique un fard ! il se retourne et la vision de cette belle femme le rend encore plus confus !!!
Il se regarde, en slip et marcel, ne sait pas comment paraitre moins niais.
L’infirmière demande ou se laver les mains. Il montre l’évier, sachant dans quel état moyen se trouve la salle d’eau !
- Allez-vous allonger, monsieur.
Vite filer !!! Non sans mater ce joli derrière sous une jupe plissée pas trop longue. Oh la la, non Père Vincent !
Ben oui et non.
Non, il ne fera aucun geste déplacé. Mais…oui, il bande déjà comme un âne, le bougre.
Si bien que l’infirmière en s’approchant ne peut manquer de voir cette barre qui soulève le slip. Troublée, car il ne faut qu’un regard pour comprendre l’importance de la chose, étonnée car elle voit bien que le père Vincent c’est pas un perdreau de l’année, et vaguement émue par l’idée de la forme de ce qui se cache.
Et les questions préalables s’éternisent car elle ne veut pas tout de suite que l’objet se retrouve caché à sa vue. Et le phénoménal engin a plutôt tendance à enfler qu’à dégonfler. Voir la jolie poitrine qui souffle, entendre cette voix chaude, reluquer cette petite jupe plissée qui lui octroie quelques centimètres trop insuffisants au-dessus du genou….
Mais la sévérité de la fonction… l’état d’infériorité dû à sa presque nudité….mon père Vincent si rustaud ne bronche pas.
- Bien, je crois que vous pouvez vous mettre sur le ventre
Le père Vincent se retourne et dans son mouvement, laisse entrevoir clairement aux yeux affolés de Chantal que l’engin est prodigieusement ….hors norme.
Chantal se mord les lèvres . Des sexes, elle en a déja vu beaucoup, malgré ses tout juste 35 ans. Des droits, des courbes, des gros, des longs…. Certains bien au-dessus de la moyenne. Mais ça. Cette …chose… Effrayant. En même temps, fascinant.
Il faut se reprendre. La piqûre est effectuée de main de maitre. Et vite, Chantal se replie dans la routine du rangement. Surtout ne pas se retour… oh si, elle jette un oeil quand Vincent se relève et peut encore voir le gros membre une fraction de seconde. Deux secondes pour se reprendre en fermant les yeux.
- Et bien demain même heure ? s’enquiert-elle- Oui, merci. Et pardon de ma petite tenue
C’est Chantal qui rougit et bredouille un vague pardon. Elle ne respire que dans sa voiture. La vue troublée, se demandant si elle n’a pas halluciné.
Son mari, à la bite à peine normale, ses amants d’il y a longtemps , avant son mariage…Rien de comparable.
-Allons, remets toi ma fille. Tu ne vas pas fantasmer à ton âge, se raisonne-t-elle !
Mais elle finit sa journée, à son grand désespoir, avec cette idée en tête : Voir de près le bel objet.
Le lendemain, Vincent est présentable. Il a rangé la salle d’eau bien modeste, il a fait la vaisselle, s’est lavé, rasé. Et enfilé un pantalon !
Frustration de Chantal.
- Quittez votre pantalon ce sera plus pratique- Ah bon ?
Vincent se félicite d’avoir bien fait les coins comme il dit. Et se retrouve en slip.
Chantal a revêtu un t-shirt un peu moulant, la jupe d’hier semble plus courte. Portée légèrment plus haut ?
Elle fait la conversation, demande si tout va bien, si aucune douleur n’est apparue après sa visite, passe sa main sur le ventre appuyant ça et là. Elle ne se reconnait pas de sa hardiesse. Mais se félicite du résultat. Elle voit le slip se remplir, se déformer, la bosse grossir… Sa main est posée sur le ventre et elle regarde le slip. Ostensiblement. Machinalement, un mouvement d’avant en arrière…sur le ventre… oh, très peu marqué, mais si efficace pour finir de dilater le mastodonte.
Vincent a fini par voir le manège. Il veut être certain. Ne pas risquer un impair qui le condamnerait auprès de la pharmacie, du médecin…Bref… de la Faculté !
Il hasarde- Ptet ben une petite gène au niveau …au niveau … enfin dans mon slip vous comprenez…. ?
La voix chevrotante de Chantal se fait entendre- Oui, je crois que je comprends … … … il faudrait que … … je vois ?
- Allez-y ! c’est mieux !
Chantal saisit le bord du sous-vêtement, et extirpe une queue phénoménale tendue comme un arc. Elle pâlit et se retient de prendre à pleine main ce sexe impressionnant.
- Vous voyez, y a comme quelque chose de crispé. Je comprends pas- Crispé vous dites ?
L’un et l’autre ont envie d’aller plus loin… Mais…- Tiens, prenez donc dans votre main, vous êtes infirmière, dites-moi ce que vous en pensezLa main est partie toute seule à la rencontre de la tige. La main se referme sans pouvoir se fermer entièrement tant le diamètre est imposant. Et une légère pression vers le bas, suivie de la même vers le haut….encore… en même temps que le visage s’est penché en avant.
- Je ne vois rien d’anormal si ce n’est que vous avez une belle vigueur… - Oui, ça, c’est sur que je suis encore ben en forme, hein ?
Chantal se racle la gorge, ne lâche pas la queue …Et quand la main de Vincent se pose sur sa nuque, le visage descend tout seul vers son but. Une main soupèse les couilles, une bouche frôle la tige…
- Allez, vas-y donc, t’en meurs d’envie conseille Vincent….
Cette fois, plus de retenue. L’infirmière commence à profiter de ce plaisir, sa bouche se remplit du gland, ses mains branlent, elle se repait de cette grosse queue, elle pompe hardiment, n’en revient pas de la différence avec celle de son mari qu’elle a sucé hier soir (oui, ben il a pas tout perdu le bougre !) . Et Vincent l’encourage -vas-y, suce moi bien, profites en de ma queue. Elle te plait, hein ? J’ai ben vu hier que tu la reluquais ! Mais je me disais que tu pouvais pas être une salope comme les ot’L’insulte fait tressaillir Chantal. Salope, moi ??? Mais finalement, oui, elle est une belle salope qui suce un de ses clients, septuagénaire de surcroît.
Et quand il continue en lui indiquant ses préférences, en lui retroussant sa jupe plissée, en caressant ses fesses… elle se contente de redoubler d’application !
- C’est bien, bonne fille, pompe moi bien, attends, je vas me mettre devant toi, je vas profiter de ta bouche, fille de garce !!
- - Il saisit la tête et commence à baiser cette bouche peu habituée. Chantal a les larmes aux yeux quand la bite vient au fond de son gosier…Mais elle aime ça. Elle aime cette queue qui rentre difficilement dans sa bouche.
Les mains de Vincent glisse le long de son dos, sur ses fesses, elle continue de pomper, de caresser les boules , la hampe. Il se saisit de la culotte ultra mini et la descend. Chantal va d’une main achever d’enlever la frêle étoffe. Oui ! elle veut se faire baiser par ce machin. Elle veut connaitre ça dans sa chatte !!!!
Elle se tourne d’elle-même, et son cul en face de Vincent est un appel au coït !!! Vincent glisse deux ou trois fois de haut en bas, ajuste et Han !!!!!!!! lui défonce le minou d’un coup de bite magistral. Chantal a crié. Impossible de se retenir… Et là, elle cache sa bouche dans les draps pour ne pas hurler à chaque fois que le mandrin lui écarte la chatte comme jamais.
Elle couine dans le drap, des cris heureusement assourdis par le matelas… Vincent s’en donne à cœur joie. Pilonnage en règle. Surtout que la jolie Chantal présente une paire de fesses très enthousiasmante ! Il la baise en force, à fond, sans précaution. Elle en a pour son grade l’infirmière… - Et ben salope, tu la sens ma queue ?
- Oh oui, qu’elle est bonne !
- T’en veux encore, ben tiens !!!
- Ah c’est trop bon !! ahhhh je vais jouir….oh je suis folle je jouiiiiiiiiiiiiis…..
- -t’es là pour ça, salope ! la queue du père Vincent, elle est là pour te faire couiner !!!
Encore, encore…. Chantal est perdue, prête à tout laisser pour que cette queue la bourre rdemain, et encore après, toujours…Cette queue, nuit et jours dans sa chatte !!!!
- Tu reviens demain, je t’en remettrais un petit coup !!!
Et Vincent accélère jusqu’à provoquer les transes de l’infirmière….Et quand elle sent la crispation du vieux suivie de ces jets brulants dans sa chatte, elle jouit encore intensément….
Pour Vincent, la messe est dite. Son coup est tiré, la femelle a joui… passons à autre chose
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