Le père vincent et l'institutrice
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Le père vincent et l'institutrice
Un petit tour des multiples femmes dont le père Vincent a chamboulé la vie sexuelle
Je devrais dire les instits. Mais celle là mérite d’être racontée…
Lunettes, jupe serrée stricte. Un vrai personnage de film rétro. Maigre, plutôt que mince. Elle habitait au dessus de l’école, logement réservé . Trente cinq ans peut-etre…Et on la voyait sagement faire ses courses ou prendre son sac à dos pour des promenades desquelles elle ramenait des herbes, des pierres… pour ses élèves.
Un modèle de vertu. Malgré elle ? Oui, disons que n’ayant pas de contact avec la gent masculine….
Un jour donc…. Un mercredi après-midi, balade de mademoiselle Christine. Tout allait bien jusqu’à ce que la cheville tourne. Moche. Douleur. Pas moyen de marcher et, bien sûr, loin du village.
Et bien devinez qui vint à passer ? Vous êtes en progrès !! En effet le père Vincent passe pas loin. Il a un sac rempli de champignons et comme il ne donne pas ses coins, il se fait discret. Il voit l’instit assise sur le coté, il presse le pas et … doit bien s’arrêter quand elle l’appelle !
- père Vincent, je suis bien ennuyée mais je me suis donné une sale entorse, je crois. Je ne peux pas marcher.
- Pas de chance dis-donc ma petiote !
- Non, comment vais-je faire ?
- Fais voir ce pied !
Christine doit laisser faire. Avec des gestes très doux, Vincent ôte la chaussure, constate la rougeur de la cheville et … qu’elle a doublé de volume.
Il masse le mollet, sans toucher la cheville douloureuse, et apaise quelque peu la demoiselle. Il apaise de mieux en mieux et de plus en plus haut. Le voilà au niveau du genou….Et qui passe sur l’autre jambe.
Curieusement, même en massant la deuxième jambe, la douleur semble atténuée. La distraction ? je pense bien, oui….
On est au-dessus du genou et les joues de l’Instit prennent la couleur de la cheville… Mais elle ne pipe mot. Mi-cuisse…il faudrait réagir se dit-elle.
Il faudrait.
Bof !
Ce brave vieux va la sauver, offrons lui ce petit plaisir….
Vincent, si on l’arrête pas… une main sur chaque cuisse, il caresse, il dénude, il remonte, il…. réagit bien sur…. Il aide l’instit à s’allonger, pour plus de confort. La voila, la tête dans cette mousse si fraiche et douce. Et elle laisse les mains apaisantes passer et repasser, a-t-elle conscience que sa petite culotte est dégagée ? Que les mains, mine de rien écartent patiemment les deux cuisses malingres… Lorsque la chaleur qui vient de son sexe devient brusquement plus forte, elle rouvre les yeux et voit la tête de Vincent plaquée sur son entrecuisse ! Et pas question de la déloger, la tête…. La langue est passée le long de la culotte et vient ramasser …. une coupable émission liquide…..Et ma foi… c’est si bon… elle est si impuissante….
Elle décide d’agir et…donc de refermer les yeux !
Toute la gamme y passe, Vincent sort le grand jeu, les doigts apprivoisent la chatte, la langue exaspère le clitoris….
La cheville serait guérie ? quelle cheville ? Seule existe sa chatte trempée, la langue qui la comble, les doigts qui s’agitent….oh la la……..quelle leçon de choses….
Vincent s’applique, Vincent est grandiose et Christine trouve des mots , des vers à psalmodier…Son ventre …. Se libère et elle jouit d’un charmant orgasme….
Les bretelles du papy tombent, le pantalon aussi. Et comme Vincent simplifie au maximum les sous-vêtements, son braquemart pointe fièrement vers la cible !!
Elle ouvre un œil, voit le gourdin …et referme les yeux. Elle se concentre sur son sexe et sent glisser cet objet si doux …tout le long de son sillon en fusion…encore et encore… C’est ça ? c’est bon mais je m’attendais à plus de viril…. Elle a pas le temps de finir sa pensée que le bâton s’enfonce dans son fourreau…Les étoiles brillent dans ses yeux et brulent son ventre….il se retire pour mieux rentrer…Elle comprend brusquement que plein de choses lui ont échappé jusqu’alors !!
- Ah Vincent, allez-y à fond, je veux que vous soyez brutal !
- A tes ordres, ma petiote !
-Elle est broyée, défoncée, la douleur ? du tout !! le plaisir, la jouissance, les orgasmes ! ah que c’est bon ….
- Plus fort, encore, encore !
- Ben dis donc ! tu m’en diras tant !
Et Vincent lui en donne autant qu’elle en demande !!! Ca fait des grands splashs ! Sa chatte est une flaque…son ventre un volcan.
Combien de fois elle explose ???? Personne ne saurait compter.
Vincent barbote joyeusement et se décide à varier les plaisirs. Il se relève et soulève l’instit….il est debout et il s’apprète à la sabrer…
- Lève ta robe !
-Christine ramasse et fripe … et Vincent l’empale sur sa queue…. Elle est si légère…. Il la manipule comme il veut, la laissant s’effondrer pour engloutir sa queue…oh la la ! quelle baise !!!
Longtemps que le soleil est couché quand il se décide à arrêter de baiser cette « pauvre » instit….il éjacule dans cet étui soyeux…. Elle sent ces spasmes qui n’en finissent pas….
Elle serre contre elle cet amant qui lui a donné tant de plaisir.
Vincent la portera jusqu’à chez elle. Avec quelques haltes indispensables ou il lui donnera les bases de la fellation….Elle se rendra compte de la taille du gourdin qui la baisée toute la soirée…quand elle aura du mal à simplement entrer le gland dans sa bouche….
Jusqu’à sa mutation, durant deux magnifiques années scolaires…. Vincent lui donnera de quoi dérider ce sexe si délaissé avant lui….Elle connaitra le bonheur de pomper ce gros nœud, le bonheur de se faire enculer par un maitre en la matière….celui de jouir en chapelets d’orgasmes….
Mais au village, on apprécia que Christine se promène toujours avec le sourire dorénavant….
Une entorse dans sa vie d’instit ? j’ai jamais su comment elle avait continué cette partie cachée de sa vie lorsque Vincent ne fut plus là pour la contenter ?
Je devrais dire les instits. Mais celle là mérite d’être racontée…
Lunettes, jupe serrée stricte. Un vrai personnage de film rétro. Maigre, plutôt que mince. Elle habitait au dessus de l’école, logement réservé . Trente cinq ans peut-etre…Et on la voyait sagement faire ses courses ou prendre son sac à dos pour des promenades desquelles elle ramenait des herbes, des pierres… pour ses élèves.
Un modèle de vertu. Malgré elle ? Oui, disons que n’ayant pas de contact avec la gent masculine….
Un jour donc…. Un mercredi après-midi, balade de mademoiselle Christine. Tout allait bien jusqu’à ce que la cheville tourne. Moche. Douleur. Pas moyen de marcher et, bien sûr, loin du village.
Et bien devinez qui vint à passer ? Vous êtes en progrès !! En effet le père Vincent passe pas loin. Il a un sac rempli de champignons et comme il ne donne pas ses coins, il se fait discret. Il voit l’instit assise sur le coté, il presse le pas et … doit bien s’arrêter quand elle l’appelle !
- père Vincent, je suis bien ennuyée mais je me suis donné une sale entorse, je crois. Je ne peux pas marcher.
- Pas de chance dis-donc ma petiote !
- Non, comment vais-je faire ?
- Fais voir ce pied !
Christine doit laisser faire. Avec des gestes très doux, Vincent ôte la chaussure, constate la rougeur de la cheville et … qu’elle a doublé de volume.
Il masse le mollet, sans toucher la cheville douloureuse, et apaise quelque peu la demoiselle. Il apaise de mieux en mieux et de plus en plus haut. Le voilà au niveau du genou….Et qui passe sur l’autre jambe.
Curieusement, même en massant la deuxième jambe, la douleur semble atténuée. La distraction ? je pense bien, oui….
On est au-dessus du genou et les joues de l’Instit prennent la couleur de la cheville… Mais elle ne pipe mot. Mi-cuisse…il faudrait réagir se dit-elle.
Il faudrait.
Bof !
Ce brave vieux va la sauver, offrons lui ce petit plaisir….
Vincent, si on l’arrête pas… une main sur chaque cuisse, il caresse, il dénude, il remonte, il…. réagit bien sur…. Il aide l’instit à s’allonger, pour plus de confort. La voila, la tête dans cette mousse si fraiche et douce. Et elle laisse les mains apaisantes passer et repasser, a-t-elle conscience que sa petite culotte est dégagée ? Que les mains, mine de rien écartent patiemment les deux cuisses malingres… Lorsque la chaleur qui vient de son sexe devient brusquement plus forte, elle rouvre les yeux et voit la tête de Vincent plaquée sur son entrecuisse ! Et pas question de la déloger, la tête…. La langue est passée le long de la culotte et vient ramasser …. une coupable émission liquide…..Et ma foi… c’est si bon… elle est si impuissante….
Elle décide d’agir et…donc de refermer les yeux !
Toute la gamme y passe, Vincent sort le grand jeu, les doigts apprivoisent la chatte, la langue exaspère le clitoris….
La cheville serait guérie ? quelle cheville ? Seule existe sa chatte trempée, la langue qui la comble, les doigts qui s’agitent….oh la la……..quelle leçon de choses….
Vincent s’applique, Vincent est grandiose et Christine trouve des mots , des vers à psalmodier…Son ventre …. Se libère et elle jouit d’un charmant orgasme….
Les bretelles du papy tombent, le pantalon aussi. Et comme Vincent simplifie au maximum les sous-vêtements, son braquemart pointe fièrement vers la cible !!
Elle ouvre un œil, voit le gourdin …et referme les yeux. Elle se concentre sur son sexe et sent glisser cet objet si doux …tout le long de son sillon en fusion…encore et encore… C’est ça ? c’est bon mais je m’attendais à plus de viril…. Elle a pas le temps de finir sa pensée que le bâton s’enfonce dans son fourreau…Les étoiles brillent dans ses yeux et brulent son ventre….il se retire pour mieux rentrer…Elle comprend brusquement que plein de choses lui ont échappé jusqu’alors !!
- Ah Vincent, allez-y à fond, je veux que vous soyez brutal !
- A tes ordres, ma petiote !
-Elle est broyée, défoncée, la douleur ? du tout !! le plaisir, la jouissance, les orgasmes ! ah que c’est bon ….
- Plus fort, encore, encore !
- Ben dis donc ! tu m’en diras tant !
Et Vincent lui en donne autant qu’elle en demande !!! Ca fait des grands splashs ! Sa chatte est une flaque…son ventre un volcan.
Combien de fois elle explose ???? Personne ne saurait compter.
Vincent barbote joyeusement et se décide à varier les plaisirs. Il se relève et soulève l’instit….il est debout et il s’apprète à la sabrer…
- Lève ta robe !
-Christine ramasse et fripe … et Vincent l’empale sur sa queue…. Elle est si légère…. Il la manipule comme il veut, la laissant s’effondrer pour engloutir sa queue…oh la la ! quelle baise !!!
Longtemps que le soleil est couché quand il se décide à arrêter de baiser cette « pauvre » instit….il éjacule dans cet étui soyeux…. Elle sent ces spasmes qui n’en finissent pas….
Elle serre contre elle cet amant qui lui a donné tant de plaisir.
Vincent la portera jusqu’à chez elle. Avec quelques haltes indispensables ou il lui donnera les bases de la fellation….Elle se rendra compte de la taille du gourdin qui la baisée toute la soirée…quand elle aura du mal à simplement entrer le gland dans sa bouche….
Jusqu’à sa mutation, durant deux magnifiques années scolaires…. Vincent lui donnera de quoi dérider ce sexe si délaissé avant lui….Elle connaitra le bonheur de pomper ce gros nœud, le bonheur de se faire enculer par un maitre en la matière….celui de jouir en chapelets d’orgasmes….
Mais au village, on apprécia que Christine se promène toujours avec le sourire dorénavant….
Une entorse dans sa vie d’instit ? j’ai jamais su comment elle avait continué cette partie cachée de sa vie lorsque Vincent ne fut plus là pour la contenter ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bien bucolique et jolie histoire.
Marantes ces chroniques du père Vincent !