Belle maman de Berlin 1
Récit érotique écrit par KOKIN PERVERS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2015 dans la catégorie Fétichisme
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Belle maman de Berlin 1
(Nouvelle version de l'histoire)
Bonjour à tous.
Je me prénomme Marc, j’ai 35 ans et suis marié avec une très jolie allemande que j’ai rencontré il y a maintenant 12 ans.
Devant tous vos témoignages, j’ai décidé moi aussi, de vous dévoiler quelques aspects secret de ma vie sexuelle.
Mes amis n’arrêtent pas de me dire que je ne pense qu’à ça et que je suis un véritable obsédé sexuel. Il est vrai que le sexe régit ma vie.
D’un milieu très bourgeois, les discussions sur le sujet n’avaient pas leur place dans notre famille. Il ne me serait pas venu à l’idée de poser la moindre question tant le thème était tabou.
C’était donc pour moi quelque chose de mystérieux et bien sûr défendu. Cela eut pour effet d’attiser ma curiosité. Dès mon plus jeune âge, je manifestais une attirance particulière envers les femmes et plus précisément, envers ce petit triangle qui ornait leur entre-jambe.
C’est ainsi, qu’à l’âgé de mes premières masturbations, je me mis à épier ma mère, seule femme qu’il m’était possible d’apercevoir nue.
Elle était le personnage principal de mes scenarii pervers et très vite, j’agrémentais mes séances avec ses culottes que je récupérais dans la corbeille à linge sale. C’est depuis ces séances de reniflage que je suis ce que l’on nomme, un fétichiste de la petite culotte odorante.
Je ne manquais pas une occasion de satisfaire cette perversion. Dès que mes parents m’emmenaient chez leurs amis, je prétextais le besoin d’aller aux toilettes ou dans la salle de bain, à la recherche du panier à linge qui s’y trouve très souvent, à la quête de sous-vêtements féminins. Je les sortais toutes, choisissant la plus odorante pour porter à mon nez, et me frottant la verge avec les autres.
Je me délectais de cette odeur de femme et me masturbait frénétiquement jusqu’à l’éjaculation.
Généralement, la pratique se faisait au-dessus du lavabo pour ne pas tacher le précieux tissus et risquer alors d’être découvert, mais lorsque la culotte était déjà tachée dans le fond, je n’hésitais pas à frotter mon gland sur ce petit carré souillé jusqu’à l’éjaculation.
Je remettais ensuite les culottes dans la corbeille et regagnais ma place auprès des autres, quelque peu angoissé que l’odeur qui persistait dans mes narines, ne trahisse mes agissements pervers.
Puis vint l’âge de mes premières copines. Même activité et mêmes méthodes, mêmes extases.
Mes premiers rapports sexuels se passèrent vraiment très bien. Inconditionnel de l’odeur féminine, pas un rapport ne se faisait sans que j’aie plongé ma tête dans le sexe de ma partenaire ce qui était très apprécié par mes partenaires féminines. Je les dévorais plus ou moins goulument suivant l’odeur qui s’en dégageait.
Plus l’odeur d’urine était importante, plus mon excitation l’était également. Sans doute cela me remémorait mes premiers émois avec les culottes de ma mère qui m’ont fait tant de bien.
Je dois à mes parents d’être beau garçon et je collectionnais les conquêtes féminines. Je perfectionnais mes rapports et m’ouvrais sans cesses aux nouvelles expériences.
Ma perversion sur les odeurs de pipi, m’amenait à l’urologie. L’odeur et le gout de l’urine fraiche me passionnait également et très vite, je réussissais à faire uriner mes copines en leur titillant la vessie avec les doigts pendant que je leur léchais le clitoris.
Etant très sportif, j’ai obtenu plusieurs brevet d’éducateur sportif. Natation et tennis. Cela m’a permis de partir plusieurs saisons comme Maitre-Nageur-sauveteur ou prof de tennis dans un club de vacance bien connu, ou le sexe est roi.
Nombreuses expériences, souvent en groupe, mais pas ce qu’il y avait de plus excitant. C’était surtout des parties de rigolade et du bon temps avec le soleil, la mer et la décontraction.
C’est lors d’une de mes inter-saisons, il y a douze ans, alors que j’étais sur Paris, que je rencontrai celle qui par la suite est devenue ma femme, Eve. C’était et ça l’est toujours une très belle femme, qui s’est installé en France pour des raisons professionnelles.
Elle est allemande et issue d’une famille de la haute bourgeoise.
Physiquement elle m’a plu de suite car elle avait un petit air coquin que me fascinait. Il s’est vite avéré que ce n’était pas qu’une façade. Je peux dire qu’elle est aussi perverse que moi et nous nous entendons à ravir. Il n’y a quasiment pas de tabou entre nous et nous permettons toutes sortes d’expériences sexuelles.
Les relations de groupe sont à présent très chaudes car elle se passe dans l’amour et la complicité.
Tous nos rapports, et nous faisons l’amour tous les jours voir plusieurs fois par jour, se passe systématiquement avec une perversion plus ou moins salace.
Régulièrement nous allons faire l’amour avec une autre personne séduite pour l’occasion et à notre retour nous nous racontons notre aventure en faisant l’amour ensemble. L’un comme l’autre nous sommes très excités de récupérer notre conjoint encore imprégné des odeurs de sa folle nuit passée en compagnie de la maitresse ou amant de passage.
Pour ma part, à chaque fois qu’elle sort, je ne peux m’endormir tant je suis excité à l’idée de ce qu’elle est en train de faire et me masturbe toute la nuit à la limite de l’éjaculation. Au petit matin, lorsqu’elle rentre au domicile on fonce dans la chambre faire l’amour.
Systématiquement, elle a la vulve toute gonflée et je me jette sur elle, pour lui dévorer la chatte encore dégoulinante de cette folle nuit.
Quant à mon épouse, son plaisir ultime est à mon retour de s’empaler sur ma verge et me faire jouir dans son antre tout chaud et impatient d’une nuit d’attente.
Elle est tout excité du fait que j’ai encore une bonne érection malgré une nuit passée à baiser des femmes plus jolie ou plus cochonnes les unes que les autres.
Nous prenons un pied énorme de savoir que notre partenaire a pris vraiment du plaisir avec un ou une autre et revient partager son excitation avec le conjoint officiel.
Cependant, je conserve un petit secret que je n’ai pas avoué à ma femme. C’est le fantasme de faire l’amour à sa mère, Angela.
Il faut dire que c’est une femme d’une cinquantaine d’année, qu’elle porte bien.
Elle est encore assez mince avec des seins assez imposants contrairement à sa fille.
Elle est assez BCBG ce qui lui confère un air un peu sévère. Elle est certes un peu coincée, mais ça lui donne un charme fou et me la fait paraitre extrêmement cochonne.
J’ai beaucoup de mal à croire qu’elle est fidèle à son mari, Frédéric. Il a eu un accident il y a plusieurs année, qui lui a complétement explosé le bas ventre. Force de chirurgie, il a été remis sur pied, mais est resté totalement impuissant. Ils n’ont donc plus aucune relation sexuelle.
Ma belle-mère en a fait part à ma femme, lui disant qu’elle s’est habituée à la situation et que ça ne lui manque absolument pas.
Depuis que nous nous connaissons avec mon épouse, nous les voyons deux fois par ans car ils résident en Allemagne. Généralement nous passons une dizaine de jours chez eux en été, et pour noël, se sont eux qui viennent chez nous.
Inutile de vous dire que dès ma première rencontre avec ma belle-mère, alors qu’elle avait une dizaine d’année de moins, j’ai été charmé et me suis arrangé pour sentir rapidement ses dessous, et depuis, je n’ai jamais arrêté
Avec Eve, nous étions en couple depuis 2 ans et elle avait tenu à me présenter à ses parents Angela et Frédéric. Nous nous rendîmes donc chez eux en Allemagne, juste après nos vacances d’été.
Ils habitaient une luxueuse maison dans le sud de Berlin. Dès le premier jour, j’étais à la recherche du bac à linge, impatient de humer la culotte d‘Angela. L’opération s’avéra délicate car les chambres possédaient chacune leur salle de bain et je craignais ne pas pouvoir accéder à ce trésor au quelle je faisais une chasse effréné.
Je m’arrangeais toutefois pour accéder en toute discrétion à sa salle de bain privée, alors que toute la famille se trouvait dans le jardin. Rien, absolument rien. Pas de bac, pas de linge sale, pas de culotte.
Je descendais alors au RDC, explorant la vaste maison pour enfin me retrouver dans la buanderie qui jouxte la cuisine et qui donne sur le garage.
Là, sur la gauche, des étagères couvertes de bouquins de toutes sortes habillait le mur ; Au fond, la machine à laver le linge et le sèche-linge; Et à droite, un WC et un placard. Nul doute que ce placard cachait l’objet de mes délices.
Je fermais la porte à clé pour ne pas être surpris durant ma fouille et ouvrit enfin ce meuble si prometteur. Des étagères sur la partie hautes remplies de médicaments et en bas, deux bacs à linges en plastique.
Je levais le couvercle de la première et tomba sur les affaires de Frédéric…Beurk. L’autre contenait les affaires d’Angela. Ils avaient chacun leur panier, ce qui facilitais ma fouille perverse.
Quelle récompense. Plusieurs culottes assez sexy ainsi que deux strings attendaient leur tour de lessiveuse. Je m’en emparais pour en inhaler le fumet. Ah ! Quelle merveilleuse odeur, surtout les culottes qui étant plus large, avait une plus importante surface de contact et s’imprégnait certainement mieux des effluves de ma belle-mère. Je ne m’imaginais pas qu’une femme comme elle, toujours tirée à 4 épingles, puisse sentir aussi fort l’urine. Une sacrée érection me vint aussitôt. Le coté pervers du fait que ce soit ma belle-mère m’excitait terriblement. Je pense que même si elle n’avait pas été aussi sexy, j’aurai eu la même réaction.
J’entrepris de me masturber en frottant d’une main le visage avec une de ses culottes en la reniflant tout ce que je pouvais et de l’autre main le sexe entouré d’une autre de ces merveilleux petits morceaux de satin parfumés.
C’était vraiment très excitant et je déchargeais rapidement dans la cuvette des WC ;
Mon affaire terminé, je me réajustai, remis les dessous dans leur panier et regagnais la table ou tout le monde m’attendait.
Je fus un peu gêné car ma femme insistait sur le fait que j’avais disparu longtemps. Discrètement je lui disais avoir été aux toilettes et avoir pris mon temps en bouquinant un peu car j’étais un peu patraque, certainement à cause du Kebab que j’avais mangé avant d’arriver. J’ajoutais que ce n’était pas sympa de le faire remarquer à tout le monde. Elle s’excusa, me disant que ce n’était pas grave. Ce n’était pas tout le monde, mais ses parents et qu’ils comprenaient parfaitement que je puisse passer un peu de temps aux WC car Frédéric pouvait y passer plus d’une heure.
Cela était certainement en raison de ses problèmes digestifs dus à son accident.
Je répétais plusieurs fois par jour mes petites escapades dans les WC de la buanderie sous prétexte que j’étais dérangé, me purgeant le nœud à chaque fois, dans le plus grand plaisir.
Eve s’étonnait que je passe mon temps dans les toilettes de la buanderie, plutôt que dans les toilettes de la salle de bain privée de notre chambre, qui étaient beaucoup plus confortables.
Je lui expliquais que la salle de bain donnait sur notre chambre mais possédait également une sortie sur le palier, ce qui n’était pas idéale sur le plan de la discrétion vu l’état gastrique dans lequel j’étais.
Cette idée m’était venue immédiatement car, dans la matinée j’avais entendu couler l’eau du robinet de la salle de bain de mes beaux-parents. Tous les sanitaires privés de la maison, avaient la même configuration. Cette excuse paru satisfaire Eve.
Les quelques premières années se passèrent à l’identique. De fréquentes et intenses séances de masturbation avec ces petites culottes à l’arôme envoutant agrémentaient mon séjour.
Lorsque c’étaient mes beaux-parents qui venaient chez nous, il me suffisait d’attendre qu’Eve les emmène se promener ou faire les courses, ce dont ils étaient des inconditionnels, pour que je fouille le placard de la chambre d’ami mise à leur disposition. A l’intérieur, un sac plastique recueillait le linge usagé d’Angela. J’ai pu constater que l’odeur était plus forte que la fois précédente, chez eux à Berlin. Je pensais au début que cela dépendait de l’alimentation, mais je découvris qu’il n’en était rien.
Ma belle-mère, n’avait certainement pas emporté suffisamment de sous-vêtements et du coup portais ses culottes plusieurs jours d’affilés car le sac ne se remplissait que tous les 2 ou 3 jours. Il n’empêche que plusieurs fois par jour, je visitais ce sac et à chaque fois ma bite tendue au maximum jutait des quantités impressionnantes de sperme. C’était divin.
Tout se passait de la sorte en toute discrétion jusqu’en 2011. Cet été là, j’étais pressé d’arriver à Berlin pour fleurer les dessous de belle-maman, ma dernière activité du genre remontant à l’hiver.
Malheureusement, dès que nous arrivâmes, les parents d’Eve nous emmenèrent en sortie. Nous rentrâmes après avoir diné dans un bon restaurant sur le coup des 22h30. Nous montâmes dans notre chambre déballer nos valises et nous préparer. Vers 23h, Angela nous souhaita un petit bonsoir au travers de la porte et alla se coucher.
Pendant qu’Eve terminais de rager ses affaires, j’entrepris de descendre aux toilettes du RDC, comme j’en avais l’habitude pour une soit disant raison de pudeur et dont tout le monde s’était habitué.
Arrivé en bas, ma verge tendais déjà mon slip. J’étais impatient de retrouver MES petites culottes d’Angela. J’ouvrais le placard et fut surpris de trouver les sous-vêtements de ma belle-mère, non pas dans le panier, mais sur le panier. Un ensemble culotte/soutient gorge posé sur le couvercle. Je saisis la culotte pour l’amener à mon nez et je me rendis compte qu’elle était humide à l’endroit divin. Je sentais, cherchant à m’emplir les poumons au maximum à chaque inspiration. C’était la culotte fraichement porté par Angela. L’odeur était différente des autres culottes du bac en raison du port récent de celle-ci.
Je jouais alors un long moment avec l’ensemble des sous-vêtements avant de finir par une cascade de sperme.
Je remontais repus et, heureusement ma femme étant crevée par le trajet, n’insista pas pour un câlin dont je ne sentais pas capable dans l’immédiat tant je m’étais vidé les bourses.
C’est le lendemain, lors de ma visite matinale au bac à linge d’Angela, que je me rendis compte que la culotte de la veille n’était plus là. Elle n’était pas non plus dans le bac. Je me fis plaisir avec les autres qui, elles étaient dans le panier, puis rejoignis ma chambre pour me doucher.
Le soir, au moment du coucher, je répétais le même rituel que la veille. Après le « bonne nuit » d’Angela, je me rendis dans les WC du RDC. La culotte de la veille avait réapparu. A nouveau fraichement portée. Angela l’avais remise pour la journée, ce qui lui donnait un fumet vraiment très plaisant.
Ce petit jeu se répétait durant trois jours. Angela qui auparavant changeait de dessous tous les jours, les gardaient à présent 3 jours d’affilés, prenant soin le soir de les déposer sur le bac et non dedans.
Tout en me tripotant, je commençais à me demander si elle n’avait pas mis à jour mon petit manège et jouait avec moi. Cette idée m’excitait terriblement et j’éjaculai une deuxième fois d’affilé.
En fin de compte, je me rendis compte que ma belle-mère se changeait dans la buanderie avant d’aller se coucher où en se levant le matin. Elle laissait son linge sale le soir dont sa culotte qu’elle comptait remette. Le matin elle prenait ses affaires dans le dressing qui était à coté et y laissait sa nuisette la journée. Quelle déception ! J’avais imaginé tant de choses.
Le soir suivant ce fut une nouvelle culotte, qui elle aussi revenait tous les soirs pendant 3 jours.
Le lendemain nous reprenions la route et j’ai dérobé la culotte la plus odorante en souvenir. Je n’ai pas la réponse au fait qu’elle ne change de culotte que tous les 3 jours, mais ce n’est pas pour me déplaire, au contraire.
Leur visite durant l’hiver se passa exactement comme lors de l’hiver précédent. La fréquence de remplacement de ses dessous n’avait pas changé et restait à 2 ou 3 jours, suivant l’état des culottes je pense.
C’est l’été dernier qu’a commencé le petit jeu entre Angela et moi.
Un soir alors que je descendais comme à mon habitude pour faire ma petite affaire, je fus surpris de croiser Angela, en nuisette et robe de chambre dans la cuisine alors qu’elle venait de nous dire bonne nuits. Je la regardais, un peu surpris mais surtout avec un irrésistible envie de lui faire l’amour.
J’espérais qu’elle me fasse une ouverture car très délicat de prendre les devants avec sa belle-mère si il y a encore le moindre doute. J’imagine si je me faisais du cinéma, que je tente quelque chose et qu’elle me retourne une paire de gifle ; sans compter la suite.
Elle est très proche de sa fille et si elle allait lui dire, Eve ne me pardonnerais pas ce genre d’écart. Nous sommes très ouverts mais les limites ont été définies, et ce comportement est complétement en dehors de ces limites
En fait, une ouverture, Angela m’en a laissé une, mais avec subtilité, donc le doute persiste.
Le matin j’avais eu mal au crane en me levant. Aussi alors que j’allais entrer dans le WC, Angela me dit que si j'avais encore mal, je pouvais prendre un cachet d’aspirine qui se trouvait dans la pharmacie. Elle entra dans la buanderie, ouvrit le placard et me montra les cachets sur l’étagère juste au-dessus du bac à linge sur lequel trônait sa culotte du jour bien en évidence.
Quelle ne fut pas mon érection que je ne cherchais pas à dissimuler. Je ne sais pas si elle s’en est aperçue mais j’étais à deux doigts me coller à elle contre la porte du meuble et m’agenouiller pour coller ma bouche contre son sexe, mais me suis retenu car elle ne s’est pas arrêter en sortant.
En me remémorant tous les évènements et les différentes conversations que nous avons eues avec Angela, j’étais tout de même persuadé qu’elle était au courant de mes agissements et qu’elle en jouait. Mais le doute… encore et toujours ce doute
Je me suis masturbé comme un fou avec ses culottes. C’en était trop. J’avais trop envie de la prendre, de l’étreindre, de la lécher pendant que ma femme et son père sont la haut chacun dans leur chambre.
Si prêt de conclure mais personne n’ose !
La sève montait en moi et j’éjaculai avec force. J’amenais sa culotte sur mon gland pour recueillir cette semence. Je regrettais aussitôt car le petit bout de tissus était trempé. Quelle serait la réaction de ma belle-mère si elle s’en aperçoit. En plus je ne vois pas comment elle ne s’en apercevrait pas. Même si elle sèche pendant la nuit, l’odeur… le toucher rêche de cette culotte amidonnée par des flux de sperme séché.
De toute façon, c’était trop tard. J’étalai la culotte un maximum afin qu’elle puisse sécher et montais dans ma chambre.
J’étais encore très excité par la situation et je fis l’amour à Eve avec beaucoup de passion mais également de fantasmes en tête.
Le lendemain matin je me précipitai en bas pour voir si la culotte était sèche et tenter de la ramollir en la frottant un peu tissus contre tissus.
Je m’enfermais dans les WC et ouvris à toute hâte le placard. Plus de culotte. Ni dessus ni dedans. Elle ne l’a pas remis tout de même. Ce n’est pas possible, elle a dû se rendre compte. Ne serait-elle pas remontée avec l’objet du délit pour en parler avec Eve ou Frédéric ?
Je me précipitais mais en ouvrant la porte, je me trouvai nez à nez avec elle dans la cuisine. Elle me sourit et me lança une petite vanne pas du tout en rapport avec les évènements.
J’étais rassuré, elle n’en avait parlé à personne, mais s’en était-elle rendu compte ? Je m’enfermai de nouveau pour me branler avec ses affaires.
Le soir la culotte avait repris sa place sur le panier à linge pour attendre d’être de nouveau enfilé le lendemain. Je le pris pour le porter à mon nez… Il sentait vraiment fort. Ce mélange de sperme, de cyprine et d’urine… pas possible qu’elle ne sache pas. Non pas possible.
Je me branlais encore une fois dedans, exactement comme la veille. On a continué ce petit jeux jusqu’à notre départ sans jamais aller au-delà. Nous avons repris la route vers la France, et j’ai pris soin d’emporter un nouveau souvenir.
C’est le quatrième depuis que je la connais que je lui dérobe, mais j’ai laissé celui que j’avais parfumé. J’espère qu’elle l’utilisera comme moi j’utilise ceux que je lui ai pris et qui font partie de ma collection privé que je garde bien à l’abri des regards indiscrets de ma femme, mais pas à l’abri des narines.
J’espère que l’année prochaine on avancera encore un peu pus, jusqu’au jour ou l’un de nous prendra l’initiative.
Bonjour à tous.
Je me prénomme Marc, j’ai 35 ans et suis marié avec une très jolie allemande que j’ai rencontré il y a maintenant 12 ans.
Devant tous vos témoignages, j’ai décidé moi aussi, de vous dévoiler quelques aspects secret de ma vie sexuelle.
Mes amis n’arrêtent pas de me dire que je ne pense qu’à ça et que je suis un véritable obsédé sexuel. Il est vrai que le sexe régit ma vie.
D’un milieu très bourgeois, les discussions sur le sujet n’avaient pas leur place dans notre famille. Il ne me serait pas venu à l’idée de poser la moindre question tant le thème était tabou.
C’était donc pour moi quelque chose de mystérieux et bien sûr défendu. Cela eut pour effet d’attiser ma curiosité. Dès mon plus jeune âge, je manifestais une attirance particulière envers les femmes et plus précisément, envers ce petit triangle qui ornait leur entre-jambe.
C’est ainsi, qu’à l’âgé de mes premières masturbations, je me mis à épier ma mère, seule femme qu’il m’était possible d’apercevoir nue.
Elle était le personnage principal de mes scenarii pervers et très vite, j’agrémentais mes séances avec ses culottes que je récupérais dans la corbeille à linge sale. C’est depuis ces séances de reniflage que je suis ce que l’on nomme, un fétichiste de la petite culotte odorante.
Je ne manquais pas une occasion de satisfaire cette perversion. Dès que mes parents m’emmenaient chez leurs amis, je prétextais le besoin d’aller aux toilettes ou dans la salle de bain, à la recherche du panier à linge qui s’y trouve très souvent, à la quête de sous-vêtements féminins. Je les sortais toutes, choisissant la plus odorante pour porter à mon nez, et me frottant la verge avec les autres.
Je me délectais de cette odeur de femme et me masturbait frénétiquement jusqu’à l’éjaculation.
Généralement, la pratique se faisait au-dessus du lavabo pour ne pas tacher le précieux tissus et risquer alors d’être découvert, mais lorsque la culotte était déjà tachée dans le fond, je n’hésitais pas à frotter mon gland sur ce petit carré souillé jusqu’à l’éjaculation.
Je remettais ensuite les culottes dans la corbeille et regagnais ma place auprès des autres, quelque peu angoissé que l’odeur qui persistait dans mes narines, ne trahisse mes agissements pervers.
Puis vint l’âge de mes premières copines. Même activité et mêmes méthodes, mêmes extases.
Mes premiers rapports sexuels se passèrent vraiment très bien. Inconditionnel de l’odeur féminine, pas un rapport ne se faisait sans que j’aie plongé ma tête dans le sexe de ma partenaire ce qui était très apprécié par mes partenaires féminines. Je les dévorais plus ou moins goulument suivant l’odeur qui s’en dégageait.
Plus l’odeur d’urine était importante, plus mon excitation l’était également. Sans doute cela me remémorait mes premiers émois avec les culottes de ma mère qui m’ont fait tant de bien.
Je dois à mes parents d’être beau garçon et je collectionnais les conquêtes féminines. Je perfectionnais mes rapports et m’ouvrais sans cesses aux nouvelles expériences.
Ma perversion sur les odeurs de pipi, m’amenait à l’urologie. L’odeur et le gout de l’urine fraiche me passionnait également et très vite, je réussissais à faire uriner mes copines en leur titillant la vessie avec les doigts pendant que je leur léchais le clitoris.
Etant très sportif, j’ai obtenu plusieurs brevet d’éducateur sportif. Natation et tennis. Cela m’a permis de partir plusieurs saisons comme Maitre-Nageur-sauveteur ou prof de tennis dans un club de vacance bien connu, ou le sexe est roi.
Nombreuses expériences, souvent en groupe, mais pas ce qu’il y avait de plus excitant. C’était surtout des parties de rigolade et du bon temps avec le soleil, la mer et la décontraction.
C’est lors d’une de mes inter-saisons, il y a douze ans, alors que j’étais sur Paris, que je rencontrai celle qui par la suite est devenue ma femme, Eve. C’était et ça l’est toujours une très belle femme, qui s’est installé en France pour des raisons professionnelles.
Elle est allemande et issue d’une famille de la haute bourgeoise.
Physiquement elle m’a plu de suite car elle avait un petit air coquin que me fascinait. Il s’est vite avéré que ce n’était pas qu’une façade. Je peux dire qu’elle est aussi perverse que moi et nous nous entendons à ravir. Il n’y a quasiment pas de tabou entre nous et nous permettons toutes sortes d’expériences sexuelles.
Les relations de groupe sont à présent très chaudes car elle se passe dans l’amour et la complicité.
Tous nos rapports, et nous faisons l’amour tous les jours voir plusieurs fois par jour, se passe systématiquement avec une perversion plus ou moins salace.
Régulièrement nous allons faire l’amour avec une autre personne séduite pour l’occasion et à notre retour nous nous racontons notre aventure en faisant l’amour ensemble. L’un comme l’autre nous sommes très excités de récupérer notre conjoint encore imprégné des odeurs de sa folle nuit passée en compagnie de la maitresse ou amant de passage.
Pour ma part, à chaque fois qu’elle sort, je ne peux m’endormir tant je suis excité à l’idée de ce qu’elle est en train de faire et me masturbe toute la nuit à la limite de l’éjaculation. Au petit matin, lorsqu’elle rentre au domicile on fonce dans la chambre faire l’amour.
Systématiquement, elle a la vulve toute gonflée et je me jette sur elle, pour lui dévorer la chatte encore dégoulinante de cette folle nuit.
Quant à mon épouse, son plaisir ultime est à mon retour de s’empaler sur ma verge et me faire jouir dans son antre tout chaud et impatient d’une nuit d’attente.
Elle est tout excité du fait que j’ai encore une bonne érection malgré une nuit passée à baiser des femmes plus jolie ou plus cochonnes les unes que les autres.
Nous prenons un pied énorme de savoir que notre partenaire a pris vraiment du plaisir avec un ou une autre et revient partager son excitation avec le conjoint officiel.
Cependant, je conserve un petit secret que je n’ai pas avoué à ma femme. C’est le fantasme de faire l’amour à sa mère, Angela.
Il faut dire que c’est une femme d’une cinquantaine d’année, qu’elle porte bien.
Elle est encore assez mince avec des seins assez imposants contrairement à sa fille.
Elle est assez BCBG ce qui lui confère un air un peu sévère. Elle est certes un peu coincée, mais ça lui donne un charme fou et me la fait paraitre extrêmement cochonne.
J’ai beaucoup de mal à croire qu’elle est fidèle à son mari, Frédéric. Il a eu un accident il y a plusieurs année, qui lui a complétement explosé le bas ventre. Force de chirurgie, il a été remis sur pied, mais est resté totalement impuissant. Ils n’ont donc plus aucune relation sexuelle.
Ma belle-mère en a fait part à ma femme, lui disant qu’elle s’est habituée à la situation et que ça ne lui manque absolument pas.
Depuis que nous nous connaissons avec mon épouse, nous les voyons deux fois par ans car ils résident en Allemagne. Généralement nous passons une dizaine de jours chez eux en été, et pour noël, se sont eux qui viennent chez nous.
Inutile de vous dire que dès ma première rencontre avec ma belle-mère, alors qu’elle avait une dizaine d’année de moins, j’ai été charmé et me suis arrangé pour sentir rapidement ses dessous, et depuis, je n’ai jamais arrêté
Avec Eve, nous étions en couple depuis 2 ans et elle avait tenu à me présenter à ses parents Angela et Frédéric. Nous nous rendîmes donc chez eux en Allemagne, juste après nos vacances d’été.
Ils habitaient une luxueuse maison dans le sud de Berlin. Dès le premier jour, j’étais à la recherche du bac à linge, impatient de humer la culotte d‘Angela. L’opération s’avéra délicate car les chambres possédaient chacune leur salle de bain et je craignais ne pas pouvoir accéder à ce trésor au quelle je faisais une chasse effréné.
Je m’arrangeais toutefois pour accéder en toute discrétion à sa salle de bain privée, alors que toute la famille se trouvait dans le jardin. Rien, absolument rien. Pas de bac, pas de linge sale, pas de culotte.
Je descendais alors au RDC, explorant la vaste maison pour enfin me retrouver dans la buanderie qui jouxte la cuisine et qui donne sur le garage.
Là, sur la gauche, des étagères couvertes de bouquins de toutes sortes habillait le mur ; Au fond, la machine à laver le linge et le sèche-linge; Et à droite, un WC et un placard. Nul doute que ce placard cachait l’objet de mes délices.
Je fermais la porte à clé pour ne pas être surpris durant ma fouille et ouvrit enfin ce meuble si prometteur. Des étagères sur la partie hautes remplies de médicaments et en bas, deux bacs à linges en plastique.
Je levais le couvercle de la première et tomba sur les affaires de Frédéric…Beurk. L’autre contenait les affaires d’Angela. Ils avaient chacun leur panier, ce qui facilitais ma fouille perverse.
Quelle récompense. Plusieurs culottes assez sexy ainsi que deux strings attendaient leur tour de lessiveuse. Je m’en emparais pour en inhaler le fumet. Ah ! Quelle merveilleuse odeur, surtout les culottes qui étant plus large, avait une plus importante surface de contact et s’imprégnait certainement mieux des effluves de ma belle-mère. Je ne m’imaginais pas qu’une femme comme elle, toujours tirée à 4 épingles, puisse sentir aussi fort l’urine. Une sacrée érection me vint aussitôt. Le coté pervers du fait que ce soit ma belle-mère m’excitait terriblement. Je pense que même si elle n’avait pas été aussi sexy, j’aurai eu la même réaction.
J’entrepris de me masturber en frottant d’une main le visage avec une de ses culottes en la reniflant tout ce que je pouvais et de l’autre main le sexe entouré d’une autre de ces merveilleux petits morceaux de satin parfumés.
C’était vraiment très excitant et je déchargeais rapidement dans la cuvette des WC ;
Mon affaire terminé, je me réajustai, remis les dessous dans leur panier et regagnais la table ou tout le monde m’attendait.
Je fus un peu gêné car ma femme insistait sur le fait que j’avais disparu longtemps. Discrètement je lui disais avoir été aux toilettes et avoir pris mon temps en bouquinant un peu car j’étais un peu patraque, certainement à cause du Kebab que j’avais mangé avant d’arriver. J’ajoutais que ce n’était pas sympa de le faire remarquer à tout le monde. Elle s’excusa, me disant que ce n’était pas grave. Ce n’était pas tout le monde, mais ses parents et qu’ils comprenaient parfaitement que je puisse passer un peu de temps aux WC car Frédéric pouvait y passer plus d’une heure.
Cela était certainement en raison de ses problèmes digestifs dus à son accident.
Je répétais plusieurs fois par jour mes petites escapades dans les WC de la buanderie sous prétexte que j’étais dérangé, me purgeant le nœud à chaque fois, dans le plus grand plaisir.
Eve s’étonnait que je passe mon temps dans les toilettes de la buanderie, plutôt que dans les toilettes de la salle de bain privée de notre chambre, qui étaient beaucoup plus confortables.
Je lui expliquais que la salle de bain donnait sur notre chambre mais possédait également une sortie sur le palier, ce qui n’était pas idéale sur le plan de la discrétion vu l’état gastrique dans lequel j’étais.
Cette idée m’était venue immédiatement car, dans la matinée j’avais entendu couler l’eau du robinet de la salle de bain de mes beaux-parents. Tous les sanitaires privés de la maison, avaient la même configuration. Cette excuse paru satisfaire Eve.
Les quelques premières années se passèrent à l’identique. De fréquentes et intenses séances de masturbation avec ces petites culottes à l’arôme envoutant agrémentaient mon séjour.
Lorsque c’étaient mes beaux-parents qui venaient chez nous, il me suffisait d’attendre qu’Eve les emmène se promener ou faire les courses, ce dont ils étaient des inconditionnels, pour que je fouille le placard de la chambre d’ami mise à leur disposition. A l’intérieur, un sac plastique recueillait le linge usagé d’Angela. J’ai pu constater que l’odeur était plus forte que la fois précédente, chez eux à Berlin. Je pensais au début que cela dépendait de l’alimentation, mais je découvris qu’il n’en était rien.
Ma belle-mère, n’avait certainement pas emporté suffisamment de sous-vêtements et du coup portais ses culottes plusieurs jours d’affilés car le sac ne se remplissait que tous les 2 ou 3 jours. Il n’empêche que plusieurs fois par jour, je visitais ce sac et à chaque fois ma bite tendue au maximum jutait des quantités impressionnantes de sperme. C’était divin.
Tout se passait de la sorte en toute discrétion jusqu’en 2011. Cet été là, j’étais pressé d’arriver à Berlin pour fleurer les dessous de belle-maman, ma dernière activité du genre remontant à l’hiver.
Malheureusement, dès que nous arrivâmes, les parents d’Eve nous emmenèrent en sortie. Nous rentrâmes après avoir diné dans un bon restaurant sur le coup des 22h30. Nous montâmes dans notre chambre déballer nos valises et nous préparer. Vers 23h, Angela nous souhaita un petit bonsoir au travers de la porte et alla se coucher.
Pendant qu’Eve terminais de rager ses affaires, j’entrepris de descendre aux toilettes du RDC, comme j’en avais l’habitude pour une soit disant raison de pudeur et dont tout le monde s’était habitué.
Arrivé en bas, ma verge tendais déjà mon slip. J’étais impatient de retrouver MES petites culottes d’Angela. J’ouvrais le placard et fut surpris de trouver les sous-vêtements de ma belle-mère, non pas dans le panier, mais sur le panier. Un ensemble culotte/soutient gorge posé sur le couvercle. Je saisis la culotte pour l’amener à mon nez et je me rendis compte qu’elle était humide à l’endroit divin. Je sentais, cherchant à m’emplir les poumons au maximum à chaque inspiration. C’était la culotte fraichement porté par Angela. L’odeur était différente des autres culottes du bac en raison du port récent de celle-ci.
Je jouais alors un long moment avec l’ensemble des sous-vêtements avant de finir par une cascade de sperme.
Je remontais repus et, heureusement ma femme étant crevée par le trajet, n’insista pas pour un câlin dont je ne sentais pas capable dans l’immédiat tant je m’étais vidé les bourses.
C’est le lendemain, lors de ma visite matinale au bac à linge d’Angela, que je me rendis compte que la culotte de la veille n’était plus là. Elle n’était pas non plus dans le bac. Je me fis plaisir avec les autres qui, elles étaient dans le panier, puis rejoignis ma chambre pour me doucher.
Le soir, au moment du coucher, je répétais le même rituel que la veille. Après le « bonne nuit » d’Angela, je me rendis dans les WC du RDC. La culotte de la veille avait réapparu. A nouveau fraichement portée. Angela l’avais remise pour la journée, ce qui lui donnait un fumet vraiment très plaisant.
Ce petit jeu se répétait durant trois jours. Angela qui auparavant changeait de dessous tous les jours, les gardaient à présent 3 jours d’affilés, prenant soin le soir de les déposer sur le bac et non dedans.
Tout en me tripotant, je commençais à me demander si elle n’avait pas mis à jour mon petit manège et jouait avec moi. Cette idée m’excitait terriblement et j’éjaculai une deuxième fois d’affilé.
En fin de compte, je me rendis compte que ma belle-mère se changeait dans la buanderie avant d’aller se coucher où en se levant le matin. Elle laissait son linge sale le soir dont sa culotte qu’elle comptait remette. Le matin elle prenait ses affaires dans le dressing qui était à coté et y laissait sa nuisette la journée. Quelle déception ! J’avais imaginé tant de choses.
Le soir suivant ce fut une nouvelle culotte, qui elle aussi revenait tous les soirs pendant 3 jours.
Le lendemain nous reprenions la route et j’ai dérobé la culotte la plus odorante en souvenir. Je n’ai pas la réponse au fait qu’elle ne change de culotte que tous les 3 jours, mais ce n’est pas pour me déplaire, au contraire.
Leur visite durant l’hiver se passa exactement comme lors de l’hiver précédent. La fréquence de remplacement de ses dessous n’avait pas changé et restait à 2 ou 3 jours, suivant l’état des culottes je pense.
C’est l’été dernier qu’a commencé le petit jeu entre Angela et moi.
Un soir alors que je descendais comme à mon habitude pour faire ma petite affaire, je fus surpris de croiser Angela, en nuisette et robe de chambre dans la cuisine alors qu’elle venait de nous dire bonne nuits. Je la regardais, un peu surpris mais surtout avec un irrésistible envie de lui faire l’amour.
J’espérais qu’elle me fasse une ouverture car très délicat de prendre les devants avec sa belle-mère si il y a encore le moindre doute. J’imagine si je me faisais du cinéma, que je tente quelque chose et qu’elle me retourne une paire de gifle ; sans compter la suite.
Elle est très proche de sa fille et si elle allait lui dire, Eve ne me pardonnerais pas ce genre d’écart. Nous sommes très ouverts mais les limites ont été définies, et ce comportement est complétement en dehors de ces limites
En fait, une ouverture, Angela m’en a laissé une, mais avec subtilité, donc le doute persiste.
Le matin j’avais eu mal au crane en me levant. Aussi alors que j’allais entrer dans le WC, Angela me dit que si j'avais encore mal, je pouvais prendre un cachet d’aspirine qui se trouvait dans la pharmacie. Elle entra dans la buanderie, ouvrit le placard et me montra les cachets sur l’étagère juste au-dessus du bac à linge sur lequel trônait sa culotte du jour bien en évidence.
Quelle ne fut pas mon érection que je ne cherchais pas à dissimuler. Je ne sais pas si elle s’en est aperçue mais j’étais à deux doigts me coller à elle contre la porte du meuble et m’agenouiller pour coller ma bouche contre son sexe, mais me suis retenu car elle ne s’est pas arrêter en sortant.
En me remémorant tous les évènements et les différentes conversations que nous avons eues avec Angela, j’étais tout de même persuadé qu’elle était au courant de mes agissements et qu’elle en jouait. Mais le doute… encore et toujours ce doute
Je me suis masturbé comme un fou avec ses culottes. C’en était trop. J’avais trop envie de la prendre, de l’étreindre, de la lécher pendant que ma femme et son père sont la haut chacun dans leur chambre.
Si prêt de conclure mais personne n’ose !
La sève montait en moi et j’éjaculai avec force. J’amenais sa culotte sur mon gland pour recueillir cette semence. Je regrettais aussitôt car le petit bout de tissus était trempé. Quelle serait la réaction de ma belle-mère si elle s’en aperçoit. En plus je ne vois pas comment elle ne s’en apercevrait pas. Même si elle sèche pendant la nuit, l’odeur… le toucher rêche de cette culotte amidonnée par des flux de sperme séché.
De toute façon, c’était trop tard. J’étalai la culotte un maximum afin qu’elle puisse sécher et montais dans ma chambre.
J’étais encore très excité par la situation et je fis l’amour à Eve avec beaucoup de passion mais également de fantasmes en tête.
Le lendemain matin je me précipitai en bas pour voir si la culotte était sèche et tenter de la ramollir en la frottant un peu tissus contre tissus.
Je m’enfermais dans les WC et ouvris à toute hâte le placard. Plus de culotte. Ni dessus ni dedans. Elle ne l’a pas remis tout de même. Ce n’est pas possible, elle a dû se rendre compte. Ne serait-elle pas remontée avec l’objet du délit pour en parler avec Eve ou Frédéric ?
Je me précipitais mais en ouvrant la porte, je me trouvai nez à nez avec elle dans la cuisine. Elle me sourit et me lança une petite vanne pas du tout en rapport avec les évènements.
J’étais rassuré, elle n’en avait parlé à personne, mais s’en était-elle rendu compte ? Je m’enfermai de nouveau pour me branler avec ses affaires.
Le soir la culotte avait repris sa place sur le panier à linge pour attendre d’être de nouveau enfilé le lendemain. Je le pris pour le porter à mon nez… Il sentait vraiment fort. Ce mélange de sperme, de cyprine et d’urine… pas possible qu’elle ne sache pas. Non pas possible.
Je me branlais encore une fois dedans, exactement comme la veille. On a continué ce petit jeux jusqu’à notre départ sans jamais aller au-delà. Nous avons repris la route vers la France, et j’ai pris soin d’emporter un nouveau souvenir.
C’est le quatrième depuis que je la connais que je lui dérobe, mais j’ai laissé celui que j’avais parfumé. J’espère qu’elle l’utilisera comme moi j’utilise ceux que je lui ai pris et qui font partie de ma collection privé que je garde bien à l’abri des regards indiscrets de ma femme, mais pas à l’abri des narines.
J’espère que l’année prochaine on avancera encore un peu pus, jusqu’au jour ou l’un de nous prendra l’initiative.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'aimerais faire la connaissance de Madame votre belle-mère :P !
Merci pour ce super recit
a quand la suite...
a quand la suite...