Complétement accro aux petites culottes usagées des femmes
Récit érotique écrit par KOKIN PERVERS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2015 dans la catégorie Fétichisme
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Complétement accro aux petites culottes usagées des femmes
Je me présente, Julien 45 ans grand mince mais musclé et complétement accro aux odeurs des petites culottes usagées de femmes.
Je suis marié et ma femme est parfaitement au courant de cette perversion fétichiste mais elle pense que depuis que l’on est ensemble, je me contente de sa lingerie.
Je ne rate jamais une occasion de renifler ces petits triangles d’étoffes que je récupère dans le bac à linge sale partout où cela est possible.
Cela a commencé alors que je m’éveillais à la sexualité. Pour pimenter mes masturbations, j’avais recours comme beaucoup d’entre nous, aux petites culottes sales que je récupérais dans le panier à linge de la maison.
Les trois femmes de la maison étaient ma mère, ma sœur ainée qui a 8 ans de plus que moi et ma sœur cadette qui en a 2 ans de moins.
Maman était assez coquette et portait de la lingerie très féminine. Comme c’est elle qui nous achetait nos fringues, elle a transmis le gout des sous-vêtements un peu coquins à mes frangines.
Elle faisait les lessives deux fois par semaine : le mercredi et le samedi matin. Je me masturbais tous les jours dans les dessous, mais j’appréciais particulièrement le mardi soir car c’était le jour où mon butin était le plus important. Je sortais toutes les petites culottes et humais le fond les unes après les autres. Je conservais les plus parfumées pour les renifler à plein poumon, tandis que j’enroulais celles qui restaient autour de mon sexe pour me masturber.
Généralement, c’est ma mère qui emportait la palme d’or. Il est vrai que ma petite sœur n’avait pas un poil tandis que la grande entretenait son petit triangle à coup de ciseaux et rasoirs, ce qui ne lui laissait qu’une petite touffe. J’ai remarqué avec l’expérience que plus la touffe est importante, meilleur est l’odeur. Les pertes, la mouille et l’urine, se fixent beaucoup mieux dans les poils épais et en plus, il est beaucoup plus difficile de s’essuyer après avoir fait pipi.
Je me branlais comme un fou, frottant mon gland tout gonflé contre le petit renfort en coton qui orne l’intérieur de ces précieux trésors, là où se trouvaient tous les dépôts. Certaine culottes portaient des traces importantes, jaunes, beige que je prenais plaisir à lécher. Ce petit gout acre accompagné de ces effluves magiques faisait monter la sève dans mon sexe. Au début, j’éjaculais dans un mouchoir, un kleenex ou sopalin, bref ce que j’avais pris avec moi pour ne pas en mettre partout, mais rapidement je me suis mis à jouir dans les culottes, m’imaginant déposer ma semence à l’intérieur de la petite grotte qui avait fourni ce parfum.
Puis la première occasion de changement se présenta. Nous avions été invités quelques jours chez un couple d’amis de mes parents à l’occasion de fêtes de fin d’année. Ils avaient une très jolie fille Amandine, un peu plus âgée que moi, mais qui me snobait depuis longtemps. Il faut dire que la mère n’étais pas mal non plus et m’avait déjà fait fantasmer quelques années auparavant. Nous avions été tous ensemble à l’Aquaboulvard et elle portait un maillot de bain qui était un peu transparent dès qu’il était mouillé. Je m’étais masturbé en pensant à elle pendant plusieurs semaines après cet après-midi-là.
C’était donc une occasion en or de franchir une étape supplémentaire dans mes branlettes.
Cela ne se fit pas attendre car la maitresse de maison nous indiqua ou se trouvaient nos chambre ainsi que la salle de bain si on voulait se débarbouiller un peu après la route. Je m’y rendis en premier, à la recherche du bac à linge. Mon intuition était bonne, il trônait là, à côté du lavabo.
Malheureusement la chasse n’était pas excellente car je n’y trouvais qu’une seule culotte, certainement celle de la mère à en juger par la taille. Si la quantité n’y était pas, la qualité par contre était on ne peut meilleur. Pas vraiment de traces mais une odeur si prenante que je me demandais si elle n’avait pas pissé dedans. Je m’astiquais aussitôt, mais du me dépêcher car ma grande sœur me pressait depuis le couloir. Avec un tel fumet, il n’y eut pas à attendre longtemps. Plusieurs giclées virent éclabousser la faïence du lavabo. Je n’avais pas osé souiller la culotte. Je rinçais mes exploits et laissais la place.
A plusieurs reprises durant la soirée, je me rendis dans la salle de bain voir si il n’y avait pas un nouveau trésor, amis rien. Ce n’est que le lendemain, alors que j’avais trainé pour prendre ma douche en dernier que j’eus l’agréable surprise de trouver un string et une culotte noire en dentelle. Elles avaient déposée chacune leur obole. Le string appartenait sans le moindre doute à Amandine, mais l’odeur était assez discrète, par contre la culotte était encore humide, maculée d’un dépôt blanchâtre et sentais aussi bon que celle de la veille. Je n’eus aucune hésitation en raison des taches, de décharger toute ma semence dedans.
Durant tout le séjour, je me suis ainsi vidangé tous les jours dans une culotte de la mère.
Je repris ensuite mon habitude avec les sous-vêtements de mes sœurs et de ma mère.
Régulièrement, je me faisais ainsi reluire, trouvant sans cesse de nouvelles opportunités olfactives.
J’ai ensuite fréquenté des filles. Même si nous faisions l’amour et que je leur dévorais la chatte car j’adore ça, je ne pouvais m’empêcher de renifler leur dessous.
Je me suis ensuite marié. Ma première femme avait une sœur qui vivait encore chez ses parents. J’appréciais donc de passer le week-end chez mes beaux-parents car le linge sale était déposé directement dans la machine à laver qui se trouvait sans la salle de bain. Je pouvais donc profiter des odeurs de ma belle-mère et de ma belle-sœur.
Notre mariage n’ pas tenu et le renifilage des culottes de copines de passage repris ses droits.
Puis, nouveau mariage avec mon épouse actuelle. Comme elle connait mon petit secret, régulièrement elle porte sa culotte pendant plusieurs jours et ne s’essuie pas lorsqu’elle va faire pipi.
J’arrive à avoir ainsi des culottes extrêmement odorantes.
Quelques fois nous avons accueillis des amies pour profiter de la piscine autoportante que nous avons achetée. Généralement elles se changent dans la chambre d’amis. Pendant la baignade je m’éclipse sous quelque prétexte et m’empresse d’aller humer leur petites étoffes. J’ai ainsi pu me rendre compte que certaines d’entre elle très BCBG et très maniérée, étaient en réalité de grosses dégueulasses avec des fonds de culottes vraiment pas très nets.
Ce qui m’amène à vous parler de ma belle-mère. C’est une femme mûre mais bien conservée et « bandante ». Elle est plutôt mince et contrairement à ma femme, à de gros nichons. Elle est divorcée depuis plusieurs années et ne s’est jamais remis en ménage. Elle est très distinguée et occupe un poste important au gouvernement.
Qui pourrait se douter ? Se douter qu’elle ne change de culotte qu’une à deux fois maximum par semaine. Ceci pour mon plus grand bonheur, mais je dois avouer qu’au début j’ai été vraiment surpris.
La première année ou je fréquentais mon épouse, je sniffais ses culottes discrètement lorsqu’on lui rendait visite. C’est vrai qu’elle dégageaient une très bonne odeur, mais ce n’était pas la première a posséder des culottes odorantes.
L’été suivant, elle nous proposa de passer un mois chez elle. Elle travaillait et nous disait qu’on pourrait ainsi profiter de la maison sans nous gêner. Elle a une grande maison avec une véritable piscine dans un quartier huppé d’une ville bourgeoise de la région parisienne. C’est avec grand plaisir que nous avons accepté. Je m’en suis donné à cœur joie, car ma femme aimait se balader l’après-midi dans les rues commerçantes ou se côtoient de grandes enseignes, me laissant seul à la maison.
Pas un tiroir n’a été épargné. J’ai fouillé dans toutes ses affaires à la recherche de quelque chose de compromettant, ou plutôt de pervers devrais-je dire. Comme elle était seule et ne sortait pratiquement pas en dehors de son travail, j’avais bon espoir de trouver des sextoys ou quelque chose comme ça.
Rien, à part une collection de lingerie coquine. Classe mais coquine. Des portes jarretelles, des bustiers et bodys et même un soutien-gorge qui maintien les seins mais ne couvre pas les tétons. Pour qui ? A priori juste pour son plaisir personnel car elle ne fréquente personne, bien que j’ai du mal à le croire.
Sur le plan des culottes sales j’ai été servi. Plusieurs culottes dans le bac à linge, toutes plus odorantes les unes que les autres. Inutile de vous dire que je me suis branlé comme un damné avec ces petites dentelles plaquées contre mes narines. L’interdit et l’odeur ont vite fait jaillir mon sperme.
Le lendemain je retournai au panier secret, mais pas de nouveau trésor. Qu’importe, je recommençais ma petite séance avec les mêmes que la veille. Comme cela pendant 3 jours. C’est alors qu’une nouvelle petite lingerie agréablement parfumée fut déposée dans le bac.
Je m’aperçus ainsi qu’elle ne changeait de dessous que tous les 3 ou 4 jours. Surprenant quand on la voit habillé en tailleur Channel de se dire qu’elle porte le même slip depuis 3 jours ! C’est vraiment une cochonne cette belle-mère, mais j’adore ça !
Depuis cette année-là, nous passons systématiquement au moins une semaine de vacance chez elle durant l’été. J’en profite bien sûr pour me vider les couilles, mais surtout lui embarquer une culotte en souvenir que je garde bien cachée dans une boite secrète dans mes affaires, ou ma femme ne met jamais les pieds…. Ni le nez
Malheureusement avec le temps, les odeurs s’estompent. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’en repends une nouvelle chaque année. Je ne sais pas si elle s’est aperçu que ses culottes disparaissaient, mais très certainement car je ne lui prends pas le haut . Elle se retrouve donc avec des soutiens gorges orphelins et a forcément dû se poser la question. A-t-elle fait le rapprochement entre notre présence chez elle et les disparitions ? Je ne sais pas mais cela fait plusieurs années que je me fournis ainsi et elle n’a jamais rien dit, ni fait la moindre allusion.
Jusqu’à ce jour, je n’ai jamais osé jouir dans ses culottes. Elles sont très odorantes et un peu jaunies mais il n’y a jamais de dépôt dans le fond. Je pense qu’elle a deviné que je me soulage en sniffant son intimité par l’intermédiaire de ses dessous, d’autant que les disparitions ne peuvent passer inaperçues. Mais si elle ne s’en était jamais rendu compte et qu’elle découvre des taches de sperme dans ses petites affaires. Cela lui mettrait alors peut-être la puce à l’oreille. Elle pourrait alors en parler à sa fille, et comme elle connait mon penchant pour ces choses-là, il me serait impossible de nier.
L’autre question est : Et si elle s’en doutait et qu’elle laisse faire ? Si cela lui plaisait ?
L’été prochain, je tente le coup et inonde ses culottes !
Je suis marié et ma femme est parfaitement au courant de cette perversion fétichiste mais elle pense que depuis que l’on est ensemble, je me contente de sa lingerie.
Je ne rate jamais une occasion de renifler ces petits triangles d’étoffes que je récupère dans le bac à linge sale partout où cela est possible.
Cela a commencé alors que je m’éveillais à la sexualité. Pour pimenter mes masturbations, j’avais recours comme beaucoup d’entre nous, aux petites culottes sales que je récupérais dans le panier à linge de la maison.
Les trois femmes de la maison étaient ma mère, ma sœur ainée qui a 8 ans de plus que moi et ma sœur cadette qui en a 2 ans de moins.
Maman était assez coquette et portait de la lingerie très féminine. Comme c’est elle qui nous achetait nos fringues, elle a transmis le gout des sous-vêtements un peu coquins à mes frangines.
Elle faisait les lessives deux fois par semaine : le mercredi et le samedi matin. Je me masturbais tous les jours dans les dessous, mais j’appréciais particulièrement le mardi soir car c’était le jour où mon butin était le plus important. Je sortais toutes les petites culottes et humais le fond les unes après les autres. Je conservais les plus parfumées pour les renifler à plein poumon, tandis que j’enroulais celles qui restaient autour de mon sexe pour me masturber.
Généralement, c’est ma mère qui emportait la palme d’or. Il est vrai que ma petite sœur n’avait pas un poil tandis que la grande entretenait son petit triangle à coup de ciseaux et rasoirs, ce qui ne lui laissait qu’une petite touffe. J’ai remarqué avec l’expérience que plus la touffe est importante, meilleur est l’odeur. Les pertes, la mouille et l’urine, se fixent beaucoup mieux dans les poils épais et en plus, il est beaucoup plus difficile de s’essuyer après avoir fait pipi.
Je me branlais comme un fou, frottant mon gland tout gonflé contre le petit renfort en coton qui orne l’intérieur de ces précieux trésors, là où se trouvaient tous les dépôts. Certaine culottes portaient des traces importantes, jaunes, beige que je prenais plaisir à lécher. Ce petit gout acre accompagné de ces effluves magiques faisait monter la sève dans mon sexe. Au début, j’éjaculais dans un mouchoir, un kleenex ou sopalin, bref ce que j’avais pris avec moi pour ne pas en mettre partout, mais rapidement je me suis mis à jouir dans les culottes, m’imaginant déposer ma semence à l’intérieur de la petite grotte qui avait fourni ce parfum.
Puis la première occasion de changement se présenta. Nous avions été invités quelques jours chez un couple d’amis de mes parents à l’occasion de fêtes de fin d’année. Ils avaient une très jolie fille Amandine, un peu plus âgée que moi, mais qui me snobait depuis longtemps. Il faut dire que la mère n’étais pas mal non plus et m’avait déjà fait fantasmer quelques années auparavant. Nous avions été tous ensemble à l’Aquaboulvard et elle portait un maillot de bain qui était un peu transparent dès qu’il était mouillé. Je m’étais masturbé en pensant à elle pendant plusieurs semaines après cet après-midi-là.
C’était donc une occasion en or de franchir une étape supplémentaire dans mes branlettes.
Cela ne se fit pas attendre car la maitresse de maison nous indiqua ou se trouvaient nos chambre ainsi que la salle de bain si on voulait se débarbouiller un peu après la route. Je m’y rendis en premier, à la recherche du bac à linge. Mon intuition était bonne, il trônait là, à côté du lavabo.
Malheureusement la chasse n’était pas excellente car je n’y trouvais qu’une seule culotte, certainement celle de la mère à en juger par la taille. Si la quantité n’y était pas, la qualité par contre était on ne peut meilleur. Pas vraiment de traces mais une odeur si prenante que je me demandais si elle n’avait pas pissé dedans. Je m’astiquais aussitôt, mais du me dépêcher car ma grande sœur me pressait depuis le couloir. Avec un tel fumet, il n’y eut pas à attendre longtemps. Plusieurs giclées virent éclabousser la faïence du lavabo. Je n’avais pas osé souiller la culotte. Je rinçais mes exploits et laissais la place.
A plusieurs reprises durant la soirée, je me rendis dans la salle de bain voir si il n’y avait pas un nouveau trésor, amis rien. Ce n’est que le lendemain, alors que j’avais trainé pour prendre ma douche en dernier que j’eus l’agréable surprise de trouver un string et une culotte noire en dentelle. Elles avaient déposée chacune leur obole. Le string appartenait sans le moindre doute à Amandine, mais l’odeur était assez discrète, par contre la culotte était encore humide, maculée d’un dépôt blanchâtre et sentais aussi bon que celle de la veille. Je n’eus aucune hésitation en raison des taches, de décharger toute ma semence dedans.
Durant tout le séjour, je me suis ainsi vidangé tous les jours dans une culotte de la mère.
Je repris ensuite mon habitude avec les sous-vêtements de mes sœurs et de ma mère.
Régulièrement, je me faisais ainsi reluire, trouvant sans cesse de nouvelles opportunités olfactives.
J’ai ensuite fréquenté des filles. Même si nous faisions l’amour et que je leur dévorais la chatte car j’adore ça, je ne pouvais m’empêcher de renifler leur dessous.
Je me suis ensuite marié. Ma première femme avait une sœur qui vivait encore chez ses parents. J’appréciais donc de passer le week-end chez mes beaux-parents car le linge sale était déposé directement dans la machine à laver qui se trouvait sans la salle de bain. Je pouvais donc profiter des odeurs de ma belle-mère et de ma belle-sœur.
Notre mariage n’ pas tenu et le renifilage des culottes de copines de passage repris ses droits.
Puis, nouveau mariage avec mon épouse actuelle. Comme elle connait mon petit secret, régulièrement elle porte sa culotte pendant plusieurs jours et ne s’essuie pas lorsqu’elle va faire pipi.
J’arrive à avoir ainsi des culottes extrêmement odorantes.
Quelques fois nous avons accueillis des amies pour profiter de la piscine autoportante que nous avons achetée. Généralement elles se changent dans la chambre d’amis. Pendant la baignade je m’éclipse sous quelque prétexte et m’empresse d’aller humer leur petites étoffes. J’ai ainsi pu me rendre compte que certaines d’entre elle très BCBG et très maniérée, étaient en réalité de grosses dégueulasses avec des fonds de culottes vraiment pas très nets.
Ce qui m’amène à vous parler de ma belle-mère. C’est une femme mûre mais bien conservée et « bandante ». Elle est plutôt mince et contrairement à ma femme, à de gros nichons. Elle est divorcée depuis plusieurs années et ne s’est jamais remis en ménage. Elle est très distinguée et occupe un poste important au gouvernement.
Qui pourrait se douter ? Se douter qu’elle ne change de culotte qu’une à deux fois maximum par semaine. Ceci pour mon plus grand bonheur, mais je dois avouer qu’au début j’ai été vraiment surpris.
La première année ou je fréquentais mon épouse, je sniffais ses culottes discrètement lorsqu’on lui rendait visite. C’est vrai qu’elle dégageaient une très bonne odeur, mais ce n’était pas la première a posséder des culottes odorantes.
L’été suivant, elle nous proposa de passer un mois chez elle. Elle travaillait et nous disait qu’on pourrait ainsi profiter de la maison sans nous gêner. Elle a une grande maison avec une véritable piscine dans un quartier huppé d’une ville bourgeoise de la région parisienne. C’est avec grand plaisir que nous avons accepté. Je m’en suis donné à cœur joie, car ma femme aimait se balader l’après-midi dans les rues commerçantes ou se côtoient de grandes enseignes, me laissant seul à la maison.
Pas un tiroir n’a été épargné. J’ai fouillé dans toutes ses affaires à la recherche de quelque chose de compromettant, ou plutôt de pervers devrais-je dire. Comme elle était seule et ne sortait pratiquement pas en dehors de son travail, j’avais bon espoir de trouver des sextoys ou quelque chose comme ça.
Rien, à part une collection de lingerie coquine. Classe mais coquine. Des portes jarretelles, des bustiers et bodys et même un soutien-gorge qui maintien les seins mais ne couvre pas les tétons. Pour qui ? A priori juste pour son plaisir personnel car elle ne fréquente personne, bien que j’ai du mal à le croire.
Sur le plan des culottes sales j’ai été servi. Plusieurs culottes dans le bac à linge, toutes plus odorantes les unes que les autres. Inutile de vous dire que je me suis branlé comme un damné avec ces petites dentelles plaquées contre mes narines. L’interdit et l’odeur ont vite fait jaillir mon sperme.
Le lendemain je retournai au panier secret, mais pas de nouveau trésor. Qu’importe, je recommençais ma petite séance avec les mêmes que la veille. Comme cela pendant 3 jours. C’est alors qu’une nouvelle petite lingerie agréablement parfumée fut déposée dans le bac.
Je m’aperçus ainsi qu’elle ne changeait de dessous que tous les 3 ou 4 jours. Surprenant quand on la voit habillé en tailleur Channel de se dire qu’elle porte le même slip depuis 3 jours ! C’est vraiment une cochonne cette belle-mère, mais j’adore ça !
Depuis cette année-là, nous passons systématiquement au moins une semaine de vacance chez elle durant l’été. J’en profite bien sûr pour me vider les couilles, mais surtout lui embarquer une culotte en souvenir que je garde bien cachée dans une boite secrète dans mes affaires, ou ma femme ne met jamais les pieds…. Ni le nez
Malheureusement avec le temps, les odeurs s’estompent. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’en repends une nouvelle chaque année. Je ne sais pas si elle s’est aperçu que ses culottes disparaissaient, mais très certainement car je ne lui prends pas le haut . Elle se retrouve donc avec des soutiens gorges orphelins et a forcément dû se poser la question. A-t-elle fait le rapprochement entre notre présence chez elle et les disparitions ? Je ne sais pas mais cela fait plusieurs années que je me fournis ainsi et elle n’a jamais rien dit, ni fait la moindre allusion.
Jusqu’à ce jour, je n’ai jamais osé jouir dans ses culottes. Elles sont très odorantes et un peu jaunies mais il n’y a jamais de dépôt dans le fond. Je pense qu’elle a deviné que je me soulage en sniffant son intimité par l’intermédiaire de ses dessous, d’autant que les disparitions ne peuvent passer inaperçues. Mais si elle ne s’en était jamais rendu compte et qu’elle découvre des taches de sperme dans ses petites affaires. Cela lui mettrait alors peut-être la puce à l’oreille. Elle pourrait alors en parler à sa fille, et comme elle connait mon penchant pour ces choses-là, il me serait impossible de nier.
L’autre question est : Et si elle s’en doutait et qu’elle laisse faire ? Si cela lui plaisait ?
L’été prochain, je tente le coup et inonde ses culottes !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime ton histoire je me retrouve car je fait exactement la même chose avec les culottes de ma femme et notre voisine que du bonheur.l'odeur melange urine mouille tâches perte j'aime frotter mon gland sur ses trésors.
J'ai lu et relu ton histoire. J'ai chaque fois eu l'impression de lire ma propre histoire. De n'être pas le seul à m'être satisfait dans les petites culottes de ma mère m'a ôté, pas mal d'années plus tard, mes complexes d'avoir été quelque part (un peu) incestueux. Complexé mais sans regret aucun. Maintenant, après t'avoir lu, ça va beaucoup mieux, j'assume !
Merci pour avoir raconté ton histoire.
J'ai 72 ans et je suis toujours accro aux petites culottes y compris celles de ma belle-mère de 84 ans ! Un vrai délice.
Au plaisir de lire la suite de tes "exploits".
Merci pour avoir raconté ton histoire.
J'ai 72 ans et je suis toujours accro aux petites culottes y compris celles de ma belle-mère de 84 ans ! Un vrai délice.
Au plaisir de lire la suite de tes "exploits".
Quel plaisir l'odeur des petites culottes pas très propres.
Cette merveilleuse odeur , mélange d'urine, de mouille et de pertes!
J'adore!
Cette merveilleuse odeur , mélange d'urine, de mouille et de pertes!
J'adore!
J'adore ton histoire et je suis dans le même cas que toi... Je sent tous les soirs les sous vêtement de ma femme, et de nos invités de passage! Bonne continuation.
Sympa!moi aussi j'adore sentir les fonds de culotte mes les miennes et elles sont pas toujours très propres.