Black is beautiful (4) Ma gazelle
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Black is beautiful (4) Ma gazelle
Mes conquêtes féminines ont été essentiellement africaines, même en France, j’étais sans doute marqué très tôt par cet exotisme africain. Ma gazelle, je l’ai aperçue lors d’un déplacement nocturne en Afrique. Il faisait nuit, un faible éclairage de rue dessinait sa silhouette frêle, elle avait près d’elle un matelas. Elle attendait là, au bord de la rue, un hypothétique taxi mais avec un tel bagage, peu d’espoir. Passant sur le côté opposé, je l’ai plaint me disant qu’elle aura bien du mal à trouver une aide. Effectivement, une heure plus tard environ, comme je m’en retournais, elle était toujours là à poireauter. Je me suis arrêté et j’ai chargé son colis encombrant pour la conduire à sa destination.
Une fois, la charge déposée, je m’apprêtais à reprendre la route, elle est venue vers moi pour me demander si elle pouvait m’accompagner. Je lui ai dit que je ne pouvais pas l’héberger, elle m’a dit qu’elle voulait simplement faire un bout de chemin avec moi. J’ai compris la proposition et nous sommes allés chercher une zone tranquille loin des passants.
Notre première rencontre, était tout en retenue, un long baisé humide avant l’exploration de ce corps léger. Sans éclairage, c’était surtout mes mains qui ont été source d’informations. Une peau douce, un corps habile en amour qui s’est uni au mien en aspirant ma tige au plus profond de son con par des ondulations lascives. Aucune gêne pour cette gymnastique sexuelle dans un habitacle, somme toute, bien restreint.
Quel plaisir de baiser ainsi sans l’avoir voulu ni même cherché, ce soir-là, j’étais loin d’imaginer faire jaillir ma semence de mon poireau sans l’aide de mes mains, je suis un masturbateur nocturne compulsif quand aucun(e) partenaire m’aide à jouir.
J’ai oublié la durée de cette étreinte, le temps ne compte plus, nous avions la nuit devant nous, personne ne m’attendait à la maison. J’avoue que j’aurais eu du mal à la reconnaître le lendemain si je l’avais croisée dans la rue, car son visage s’est peu dévoilé sous les faibles lumières blafardes de la rue, mais elle m’avait donné pleine satisfaction et cela me suffisait. je n’envisageais pas de futur avec cette frêle créature, je lui ai avoué que je n’étais pas en quête d’amour suivi. Pourtant, elle m’a invité à une réception chez ses logeurs et sans savoir pourquoi, j’ai accepté l’invitation de cette inconnue.
Le lendemain, à la réception, j’ai découvert une fille parée de ses plus beaux pagnes et d’une coiffe volumineuse pour ce petit corps. Officiellement, pour cette famille d’accueil (pratique courante pour une fille de la campagne), dont la maîtresse de maison était une métis franco-peul de toute beauté, nous n’étions que des amis suite à une rencontre inopinée. Il n’était donc pas question de nous adonner à nos débats chez eux. Nos rendez-vous étaient, au début, nocturnes avec, pour baisodrome, ma voiture.
Ma gazelle Peule, n’était pas noire, elle avait la peau couleur ambrée, douce au regard et au toucher, tout en finesse. Suivant la réputation des femmes peules, elle était une femme libre. Une autre que j’ai fréquentée et tout aussi libre que la première m’a dit qu’il est courant qu’une femme peule mariée décide de quitter son mari sans autre forme de procès pour partir avec un amant et revenir, ceci tout à fait naturellement sans que cela pose problème dans la société peule. On dit que les femmes peules sont les plus belles femmes au monde, j’en ai connues de fort belles. Ma gazelle était mignonne mais pas aussi belle que Marie ou que sa logeuse ; la deuxième que j’ai fréquentée, elle, mariée, n’avait pas un visage aussi séduisant, mais était très très chaude en amour.
Revenons à ma gazelle pas du tout innocente en matière d’amour ; elle m’a proposée des rencontres en journée et m’a conduit dans un hôtel de campagne hors ville au bord d’un lac. Lieu qu’elle a dû fréquenter souvent car elle connaissait bien les coutumes. Tu prends un verre et tu réserves une chambre pour quelques heures. Comme deux tourtereaux nous nous réfugions dans la chambre pour nous adonner à notre numéraux de duettistes. Que de belles heures passées au lit, nus et enlacés dans une danse amoureuse sans fin, je savais garder ma semence le plus longtemps possible pour que tous les pores de ma peau s’imprègnent de son odeur et de sa jouissance. Cette frêle gazelle se donnait à corps perdu dans ce plaisir, jusqu’à l’orgasme suprême. Nous pouvions nous unir plusieurs fois, après une bonne douche à deux et une pause bien méritée.
Elle m’a demandé de la photographier nue, j’ai même fait des gros plans de sa vulve. Elle était ouverte à cette exploration sensuelle et moi, toujours inexpérimenté en amour, je ne lui ai jamais fait de cunnilingus et je le regrette, car le jour où j’ai aventuré mes lèvres et ma langue dans une intimité féminine, j’en ai découvert tous les parfums et goût subtils jaillis du plaisir féminin, que de moments perdus et jamais rattrapés !
De retour en France, j’ai eu l’occasion de revenir en Afrique et lorsque je venais dans ce pays, c’est chez sa famille d’accueil que je logeais car cette dernière était devenue ma famille d’Afrique. Officiellement, je n’entretenais pas de relations sexuelles avec ma gazelle. Un soir, je vais dans la salle de bain de ma chambre prendre une douche et lorsque je retourne à ma chambre, tout nu, je trouve assise, ingénue, ma gazelle qui m’attendait. J’ai été un peu gêné et lui ai demandé, si la famille était au courant. Elle m’a dit qu’ils étaient tous couchés. Voilà que ma gentille Peul partage ma couche et me quitte au matin de “bonheur” pour ne pas éveiller les soupçons.
C’est devenu ensuite, un rituel. Elle me rejoignait souvent très tard dans la nuit, car elle avait l’habitude de sortir et fréquenter des bars. Si bien que moi endormi, j’étais réveillé dans la nuit par un corps nu et chaud qui venait se lover sur le mien tout aussi nu. Aussitôt ma verge se réveillait, ferme, à la recherche de son nid douillet, tout chaud et humide de désirs partagés. Ma Gazelle venait compléter sa quête d’amour, sans jamais me dire ce qu’elle avait fait avant de s’offrir à moi enveloppée de vapeurs d’alcool. Elle était libre ma gazelle et je n’en tirais aucune jalousie, étant moi aussi libre dans mes quêtes sexuelles. Nous ne parlions jamais de futur, elle savait que je n’allais rien construire avec elle. Mais d’un autre côté, nous sommes restés “fidèles” à notre façon, jusqu’à ce que, venue en France, elle se dégote un mari. Quand je dis fidèle, c’est qu’à chaque fois que nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes donnés l’un à l’autre sans réserve, elle ne s’est jamais refusée à moi, bien au contraire. Nous vibrions au même diapason et nos étreintes étaient aussi chaudes et langoureuses qu’à la première rencontre et c’est ce que nous recherchions.
Nos échanges copulatoires se sont même poursuivis en France où elle est arrivée clandestine et a su, avec le temps trouver, un vieux blanc qui a bien voulu l’épouser et cela a mis fin à nos ébats, mais nous sommes restés de bons amis en souvenir de tout ce que nous avions échangé dans l’intimité.
Une fois, la charge déposée, je m’apprêtais à reprendre la route, elle est venue vers moi pour me demander si elle pouvait m’accompagner. Je lui ai dit que je ne pouvais pas l’héberger, elle m’a dit qu’elle voulait simplement faire un bout de chemin avec moi. J’ai compris la proposition et nous sommes allés chercher une zone tranquille loin des passants.
Notre première rencontre, était tout en retenue, un long baisé humide avant l’exploration de ce corps léger. Sans éclairage, c’était surtout mes mains qui ont été source d’informations. Une peau douce, un corps habile en amour qui s’est uni au mien en aspirant ma tige au plus profond de son con par des ondulations lascives. Aucune gêne pour cette gymnastique sexuelle dans un habitacle, somme toute, bien restreint.
Quel plaisir de baiser ainsi sans l’avoir voulu ni même cherché, ce soir-là, j’étais loin d’imaginer faire jaillir ma semence de mon poireau sans l’aide de mes mains, je suis un masturbateur nocturne compulsif quand aucun(e) partenaire m’aide à jouir.
J’ai oublié la durée de cette étreinte, le temps ne compte plus, nous avions la nuit devant nous, personne ne m’attendait à la maison. J’avoue que j’aurais eu du mal à la reconnaître le lendemain si je l’avais croisée dans la rue, car son visage s’est peu dévoilé sous les faibles lumières blafardes de la rue, mais elle m’avait donné pleine satisfaction et cela me suffisait. je n’envisageais pas de futur avec cette frêle créature, je lui ai avoué que je n’étais pas en quête d’amour suivi. Pourtant, elle m’a invité à une réception chez ses logeurs et sans savoir pourquoi, j’ai accepté l’invitation de cette inconnue.
Le lendemain, à la réception, j’ai découvert une fille parée de ses plus beaux pagnes et d’une coiffe volumineuse pour ce petit corps. Officiellement, pour cette famille d’accueil (pratique courante pour une fille de la campagne), dont la maîtresse de maison était une métis franco-peul de toute beauté, nous n’étions que des amis suite à une rencontre inopinée. Il n’était donc pas question de nous adonner à nos débats chez eux. Nos rendez-vous étaient, au début, nocturnes avec, pour baisodrome, ma voiture.
Ma gazelle Peule, n’était pas noire, elle avait la peau couleur ambrée, douce au regard et au toucher, tout en finesse. Suivant la réputation des femmes peules, elle était une femme libre. Une autre que j’ai fréquentée et tout aussi libre que la première m’a dit qu’il est courant qu’une femme peule mariée décide de quitter son mari sans autre forme de procès pour partir avec un amant et revenir, ceci tout à fait naturellement sans que cela pose problème dans la société peule. On dit que les femmes peules sont les plus belles femmes au monde, j’en ai connues de fort belles. Ma gazelle était mignonne mais pas aussi belle que Marie ou que sa logeuse ; la deuxième que j’ai fréquentée, elle, mariée, n’avait pas un visage aussi séduisant, mais était très très chaude en amour.
Revenons à ma gazelle pas du tout innocente en matière d’amour ; elle m’a proposée des rencontres en journée et m’a conduit dans un hôtel de campagne hors ville au bord d’un lac. Lieu qu’elle a dû fréquenter souvent car elle connaissait bien les coutumes. Tu prends un verre et tu réserves une chambre pour quelques heures. Comme deux tourtereaux nous nous réfugions dans la chambre pour nous adonner à notre numéraux de duettistes. Que de belles heures passées au lit, nus et enlacés dans une danse amoureuse sans fin, je savais garder ma semence le plus longtemps possible pour que tous les pores de ma peau s’imprègnent de son odeur et de sa jouissance. Cette frêle gazelle se donnait à corps perdu dans ce plaisir, jusqu’à l’orgasme suprême. Nous pouvions nous unir plusieurs fois, après une bonne douche à deux et une pause bien méritée.
Elle m’a demandé de la photographier nue, j’ai même fait des gros plans de sa vulve. Elle était ouverte à cette exploration sensuelle et moi, toujours inexpérimenté en amour, je ne lui ai jamais fait de cunnilingus et je le regrette, car le jour où j’ai aventuré mes lèvres et ma langue dans une intimité féminine, j’en ai découvert tous les parfums et goût subtils jaillis du plaisir féminin, que de moments perdus et jamais rattrapés !
De retour en France, j’ai eu l’occasion de revenir en Afrique et lorsque je venais dans ce pays, c’est chez sa famille d’accueil que je logeais car cette dernière était devenue ma famille d’Afrique. Officiellement, je n’entretenais pas de relations sexuelles avec ma gazelle. Un soir, je vais dans la salle de bain de ma chambre prendre une douche et lorsque je retourne à ma chambre, tout nu, je trouve assise, ingénue, ma gazelle qui m’attendait. J’ai été un peu gêné et lui ai demandé, si la famille était au courant. Elle m’a dit qu’ils étaient tous couchés. Voilà que ma gentille Peul partage ma couche et me quitte au matin de “bonheur” pour ne pas éveiller les soupçons.
C’est devenu ensuite, un rituel. Elle me rejoignait souvent très tard dans la nuit, car elle avait l’habitude de sortir et fréquenter des bars. Si bien que moi endormi, j’étais réveillé dans la nuit par un corps nu et chaud qui venait se lover sur le mien tout aussi nu. Aussitôt ma verge se réveillait, ferme, à la recherche de son nid douillet, tout chaud et humide de désirs partagés. Ma Gazelle venait compléter sa quête d’amour, sans jamais me dire ce qu’elle avait fait avant de s’offrir à moi enveloppée de vapeurs d’alcool. Elle était libre ma gazelle et je n’en tirais aucune jalousie, étant moi aussi libre dans mes quêtes sexuelles. Nous ne parlions jamais de futur, elle savait que je n’allais rien construire avec elle. Mais d’un autre côté, nous sommes restés “fidèles” à notre façon, jusqu’à ce que, venue en France, elle se dégote un mari. Quand je dis fidèle, c’est qu’à chaque fois que nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes donnés l’un à l’autre sans réserve, elle ne s’est jamais refusée à moi, bien au contraire. Nous vibrions au même diapason et nos étreintes étaient aussi chaudes et langoureuses qu’à la première rencontre et c’est ce que nous recherchions.
Nos échanges copulatoires se sont même poursuivis en France où elle est arrivée clandestine et a su, avec le temps trouver, un vieux blanc qui a bien voulu l’épouser et cela a mis fin à nos ébats, mais nous sommes restés de bons amis en souvenir de tout ce que nous avions échangé dans l’intimité.
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