Black is beautiful (5) La fille de l'air et la mante-religieuse
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Black is beautiful (5) La fille de l'air et la mante-religieuse
Poursuivant mon sexe-tour africain avant de rejoindre la France, je veux évoquer deux figures particulières de mes aventures sexuelles. Madeleine, la fille de l’air et Germaine la mante-religieuse.
“Elle est libre Made, certains même disent qu’ils l’on vu voler”, la parodie de ce chant la définit bien. Oui, elle est libre, c’est une fille un peu, même beaucoup, dérangée du cerveau, sans doute une intellectuelle qui a craquée et laissé sa famille pour vivre en toute liberté dans la rue. Souvent elle est venue dormir dans la concession qui n’était pas fermée. On la voyait pendant quelques jours puis elle disparaissait tout aussi subitement, pour réapparaître bien plus tard. Elle est libre Made.
Elle se disait parfois la femme d’un de mes collègues, à un autre elle lui a dit que, mariés ensembles, ils n’auraient que trois enfants sans pour autant mettre en danger le foyer ni même éveiller le doute chez l’épouse. Étrange, moi, le célibataire qui ai couché plusieurs fois avec Made, je n’ai jamais été affublé du titre de mari ou d’époux !
Cela faisait longtemps que je la croisais, elle m’appelait ”M’sieur Joseph”, la toute première fois a eu lieu un soir ou plutôt une nuit. De retour tardif à la maison, j’aperçois dans la concession sur la table de pique-nique en béton, une forme, comme un tas de pagnes posés négligemment. La lumière du lampadaire de la rue n’éclairant pas suffisamment pour reconnaître une personne. Je monte dans ma chambre, me mets à nu et me ceint d’une serviette éponge avant de redescendre pour prendre une bière fraîche dans le frigo. Au moment d’ouvrir la porte de la cuisine, j’entends une voix qui m’interpelle : “M’sieur Joseph” aussitôt je reconnais Made. Elle est debout près de la table, les bras écartés, tenant les deux extrémités de son pagne ouvert, unique vêtement et s’offrant toute nue à mon regard. En manque de sexe, mon retour tardif était dû une chasse infructueuse “à la Salope” comme dirait Bigard. Retour bredouille avec des couilles pleines qu’il me faudrait vidanger à la main. Et voilà, une apparition, Made offerte, nue. Au lieu de la rabrouer, je m’approche d’elle et je l’enlace sous son pagne, elle aussi me recouvre de celui-ci avec ses bras. Mes mains commencent à explorer ce corps nu et si doux aux caresses. Je plonge, ma tête dans son cou et je dépose un baiser plein de promesses mais aussi plein de désirs. Mon sexe s’est vite tendu à l’idée de d’explorer une nouvelle grotte d’amour. Je suis plaqué contre elle, mon sexe a trouvé la fente de ma serviette et se colle contre son pubis. Je commence à onduler contre elle, de son côté elle s’appuie sensuellement contre ma poitrine, la sienne tombe, elle a été maman et a sans doute allaité avec ses mamelles tirées et triturées, qu’importe la beauté d’une poitrine tombante, le reste est si doux et si envoutant avec son odeur de feu bois si caractéristique des cuisines traditionnelles. Ce frotti-frotta sensuel me satisfait pour l’instant, et je le prolonge, mais elle, au bout d’un moment, se dégage de mon étreinte et étale le pagne sur le sol, s’y couche les jambes écartée, c’est une invitation à la prendre dans la position du missionnaire. Je m’allonge sur elle, et je commence à faire aller et venir ma queue tendue sur elle à la recherche de sa moule. Comme avec Marie, j’essaie de la pénétrer sans guider mon engin avec la main, mais au bout d’un moment, elle me dit “Ça rentre pas”, elle semble pressée d’avoir ma verge en elle. Aussi, je mouille mes doigts pour humidifier son vagin et ma bite puis je la dirige dans sa fente avide de sexe.
Je suis fou, j’ai vraiment envie de baiser et c’est vrai il est tard dans la nuit mais je prends des risques énormes d’être surpris en train de la chevaucher dehors sous l’éclairage de la rue, derrière le mur de la clôture, portail ouvert. Quand l’envie de faire l’amour est trop fort, il n’y a plus de précaution qui tienne. Je veux la posséder et aller jusqu’au bout de l’orgasme. Elle est mon opportunité sans retenue. Nous faisons l’amour à même le sol sur un pagne, que c’est bon les risques qui décuple le plaisir. Après bien des mouvements alternatifs en elle, l’explosion arrive, je m’extraie pour faire jaillir ma semence hors de son sexe, elle me montre qu’elle désire être fécondée. “Elle voulait un enfant, moi, je n’en voulais pas…” comme le dit la chanson.
Vidé, mais comblé, j’ai rejoint ma chambre, certain que cette aventure se poursuivra car, ses petits râles exprimaient la satisfaction de se faire prendre.
Effectivement, le lendemain, vers 13 h, alors que je monte dans ma chambre pour une sieste bien reposante, elle est là sur le banc me regarde mais ne bouge pas. Entré, dans ma chambre, je me suis mis à nu et j’ai entrouvert ma porte, puis je l’ai fait cogner pour que le bruit éveille son attention. Par la fente de l’ouverture, je vois qu’elle a compris, elle monte. Je vais m’allonger sur le lit. Elle pousse la porte et entre et viens aussitôt sur ma queue entreprendre une belle fellation, ce n’est pas courant, c’est la deuxième africaine qui me gratifie de ce plaisir sans l'avoir demandé, je lui caresse sa tête frisée. Elle fait tomber son pagne et nous faisons l’amour, discrètement pour ne pas éveiller les soupçons du voisinage. Je me lève et l’entraine vers le bureau, la fait se plier face contre celui-ci et je la prend par derrière, puis je la redresse, la couche sur le plateau et je la prends de face pour voir disparaitre ma tige blanche dans sa moule noire dehors et rouge à l’intérieur, ses deux jambes relevées sur mes épaules. Me voir pénétrer cette chatte m’excite trop et je ne tarde pas à éjaculer hors de son vit naturellement.
Comme elle a pris goût à ces copulations interdites, elle a conscience que je cache ces ébats de mon entourage, elle sait demeurer discrète. Elle me rejoint la nuit tombée, nous baisons et ensuite je la renvoie. Mais un soir, elle n’a pas voulu partir voulant sans doute profiter du confort d’un lit. Aussi, est-elle restée, après une première baise plénière, elle s’est endormie, pas moi, je n’avais plus de réveille matin et je ne voulais pas me faire surprendre avec elle sortant de ma chambre au lever du jour. De peur de m’endormir et de me réveiller trop tard, j’ai bouquiné toute la nuit, et quand l’envie me prenais, je la pénétrai à nouveau, j’ai dû faire l’amour cinq ou six fois dans la nuit et à cinq heures du matin, je l’ai invitée à quitter ma chambre, ce qu’elle fit sans problème.
J’ai eu l’occasion de la croiser un jour, j’étais en voiture, nous sommes allés sur une plage déserte pour nous emboîter l’un dans l’autre sous un soleil de plomb à l’ombre des cocotiers.
Puis, elle s’est envolée de ma vie, Made est vraiment une fille de l’air.
Je complète cette histoire avec Germaine, une jeune fille aux longues jambes et aux bras démesurés, filiforme mais avec une poitrine imposante et un cul dans les mêmes proportions. Je l’appellerais “la mante religieuse”, non parce qu’elle bouffe le mâle accoupleur mais à cause de ses formes, une tête mignonne et juvénile qui se détache, par un long cou, d’un corps fin avec deux énormes mamelons et un derrière de callipyge. Fille de la campagne, elle était au service d’une famille. J’ai eu l’occasion de l’aider dans sa formation et pour cela je me tenais derrière elle pour guider ses gestes, son postérieur frôlait très légèrement mon pubis et ma queue s’est vite redressée sentant une nouvelle occasion de conquête. Pourtant, je ne laissais rien paraitre et continuais à dispenser ma formation pudiquement, mais bouillonnant dans mon for (froc) intérieur. Malgré l’envie de découvrir cette opulente poitrine et explorer ce cul superbe, je ne laissais pas mes mains vagabonder. Tout était très chaste dans nos échanges.
Le soir venu, la formation achevée, satisfait d’avoir poussé à l’extrême la jouissance du désir mais sans rien faire qui puisse trahir mon envie folle de lui faire l’amour, je m’apprêtais à regagner mes pénates et là, elle me demande de lui montrer ma chambre. C’en est trop, je l’emmène en voiture jusque chez moi et dans la chambre, sans un mot, je lui ôte le haut et fait tomber son pagne. Elle est en slip, un collier de perles autour de la taille, sans doute des gris-gris de protection ou de fertilité, je ne sais et ne lui ai pas demandé. Je la couche sur mon lit, fait glisser sa culotte et j’admire enfin cette poitrine rebondie et généreuse. Mes vêtements sont tombés sans que je n’y prenne garde. elle est là offerte à mon regard et mes caresses, jambes allongées. Sa peau n’est pas aussi belles que celles de mes conquêtes passées, par contre son pubis est habillée d’une touffe crépue d’une douceur incroyable, je n’avais jamais touché de foufoune crépue aussi délicate que de la soie. Ma bouche se dirigée vers son mont de Vénus, mais, par une réaction vive, elle se refuse à ce baiser nuptial de son pubis. Je m’allonge sur elle avec l’espoir d’une nuit d’amour sans fin; à peine ma peau a-t-elle effleurée la sienne que ma queue a littéralement explosé, inondant son ventre et sa poitrine de mon sperme tout chaud. Je n’ai pu me contrôler, trop excité du chaste après-midi. Je ne l’ai donc pas possédée ce jour-là. La mante religieuse avait dévoré ma virilité.
“Elle est libre Made, certains même disent qu’ils l’on vu voler”, la parodie de ce chant la définit bien. Oui, elle est libre, c’est une fille un peu, même beaucoup, dérangée du cerveau, sans doute une intellectuelle qui a craquée et laissé sa famille pour vivre en toute liberté dans la rue. Souvent elle est venue dormir dans la concession qui n’était pas fermée. On la voyait pendant quelques jours puis elle disparaissait tout aussi subitement, pour réapparaître bien plus tard. Elle est libre Made.
Elle se disait parfois la femme d’un de mes collègues, à un autre elle lui a dit que, mariés ensembles, ils n’auraient que trois enfants sans pour autant mettre en danger le foyer ni même éveiller le doute chez l’épouse. Étrange, moi, le célibataire qui ai couché plusieurs fois avec Made, je n’ai jamais été affublé du titre de mari ou d’époux !
Cela faisait longtemps que je la croisais, elle m’appelait ”M’sieur Joseph”, la toute première fois a eu lieu un soir ou plutôt une nuit. De retour tardif à la maison, j’aperçois dans la concession sur la table de pique-nique en béton, une forme, comme un tas de pagnes posés négligemment. La lumière du lampadaire de la rue n’éclairant pas suffisamment pour reconnaître une personne. Je monte dans ma chambre, me mets à nu et me ceint d’une serviette éponge avant de redescendre pour prendre une bière fraîche dans le frigo. Au moment d’ouvrir la porte de la cuisine, j’entends une voix qui m’interpelle : “M’sieur Joseph” aussitôt je reconnais Made. Elle est debout près de la table, les bras écartés, tenant les deux extrémités de son pagne ouvert, unique vêtement et s’offrant toute nue à mon regard. En manque de sexe, mon retour tardif était dû une chasse infructueuse “à la Salope” comme dirait Bigard. Retour bredouille avec des couilles pleines qu’il me faudrait vidanger à la main. Et voilà, une apparition, Made offerte, nue. Au lieu de la rabrouer, je m’approche d’elle et je l’enlace sous son pagne, elle aussi me recouvre de celui-ci avec ses bras. Mes mains commencent à explorer ce corps nu et si doux aux caresses. Je plonge, ma tête dans son cou et je dépose un baiser plein de promesses mais aussi plein de désirs. Mon sexe s’est vite tendu à l’idée de d’explorer une nouvelle grotte d’amour. Je suis plaqué contre elle, mon sexe a trouvé la fente de ma serviette et se colle contre son pubis. Je commence à onduler contre elle, de son côté elle s’appuie sensuellement contre ma poitrine, la sienne tombe, elle a été maman et a sans doute allaité avec ses mamelles tirées et triturées, qu’importe la beauté d’une poitrine tombante, le reste est si doux et si envoutant avec son odeur de feu bois si caractéristique des cuisines traditionnelles. Ce frotti-frotta sensuel me satisfait pour l’instant, et je le prolonge, mais elle, au bout d’un moment, se dégage de mon étreinte et étale le pagne sur le sol, s’y couche les jambes écartée, c’est une invitation à la prendre dans la position du missionnaire. Je m’allonge sur elle, et je commence à faire aller et venir ma queue tendue sur elle à la recherche de sa moule. Comme avec Marie, j’essaie de la pénétrer sans guider mon engin avec la main, mais au bout d’un moment, elle me dit “Ça rentre pas”, elle semble pressée d’avoir ma verge en elle. Aussi, je mouille mes doigts pour humidifier son vagin et ma bite puis je la dirige dans sa fente avide de sexe.
Je suis fou, j’ai vraiment envie de baiser et c’est vrai il est tard dans la nuit mais je prends des risques énormes d’être surpris en train de la chevaucher dehors sous l’éclairage de la rue, derrière le mur de la clôture, portail ouvert. Quand l’envie de faire l’amour est trop fort, il n’y a plus de précaution qui tienne. Je veux la posséder et aller jusqu’au bout de l’orgasme. Elle est mon opportunité sans retenue. Nous faisons l’amour à même le sol sur un pagne, que c’est bon les risques qui décuple le plaisir. Après bien des mouvements alternatifs en elle, l’explosion arrive, je m’extraie pour faire jaillir ma semence hors de son sexe, elle me montre qu’elle désire être fécondée. “Elle voulait un enfant, moi, je n’en voulais pas…” comme le dit la chanson.
Vidé, mais comblé, j’ai rejoint ma chambre, certain que cette aventure se poursuivra car, ses petits râles exprimaient la satisfaction de se faire prendre.
Effectivement, le lendemain, vers 13 h, alors que je monte dans ma chambre pour une sieste bien reposante, elle est là sur le banc me regarde mais ne bouge pas. Entré, dans ma chambre, je me suis mis à nu et j’ai entrouvert ma porte, puis je l’ai fait cogner pour que le bruit éveille son attention. Par la fente de l’ouverture, je vois qu’elle a compris, elle monte. Je vais m’allonger sur le lit. Elle pousse la porte et entre et viens aussitôt sur ma queue entreprendre une belle fellation, ce n’est pas courant, c’est la deuxième africaine qui me gratifie de ce plaisir sans l'avoir demandé, je lui caresse sa tête frisée. Elle fait tomber son pagne et nous faisons l’amour, discrètement pour ne pas éveiller les soupçons du voisinage. Je me lève et l’entraine vers le bureau, la fait se plier face contre celui-ci et je la prend par derrière, puis je la redresse, la couche sur le plateau et je la prends de face pour voir disparaitre ma tige blanche dans sa moule noire dehors et rouge à l’intérieur, ses deux jambes relevées sur mes épaules. Me voir pénétrer cette chatte m’excite trop et je ne tarde pas à éjaculer hors de son vit naturellement.
Comme elle a pris goût à ces copulations interdites, elle a conscience que je cache ces ébats de mon entourage, elle sait demeurer discrète. Elle me rejoint la nuit tombée, nous baisons et ensuite je la renvoie. Mais un soir, elle n’a pas voulu partir voulant sans doute profiter du confort d’un lit. Aussi, est-elle restée, après une première baise plénière, elle s’est endormie, pas moi, je n’avais plus de réveille matin et je ne voulais pas me faire surprendre avec elle sortant de ma chambre au lever du jour. De peur de m’endormir et de me réveiller trop tard, j’ai bouquiné toute la nuit, et quand l’envie me prenais, je la pénétrai à nouveau, j’ai dû faire l’amour cinq ou six fois dans la nuit et à cinq heures du matin, je l’ai invitée à quitter ma chambre, ce qu’elle fit sans problème.
J’ai eu l’occasion de la croiser un jour, j’étais en voiture, nous sommes allés sur une plage déserte pour nous emboîter l’un dans l’autre sous un soleil de plomb à l’ombre des cocotiers.
Puis, elle s’est envolée de ma vie, Made est vraiment une fille de l’air.
Je complète cette histoire avec Germaine, une jeune fille aux longues jambes et aux bras démesurés, filiforme mais avec une poitrine imposante et un cul dans les mêmes proportions. Je l’appellerais “la mante religieuse”, non parce qu’elle bouffe le mâle accoupleur mais à cause de ses formes, une tête mignonne et juvénile qui se détache, par un long cou, d’un corps fin avec deux énormes mamelons et un derrière de callipyge. Fille de la campagne, elle était au service d’une famille. J’ai eu l’occasion de l’aider dans sa formation et pour cela je me tenais derrière elle pour guider ses gestes, son postérieur frôlait très légèrement mon pubis et ma queue s’est vite redressée sentant une nouvelle occasion de conquête. Pourtant, je ne laissais rien paraitre et continuais à dispenser ma formation pudiquement, mais bouillonnant dans mon for (froc) intérieur. Malgré l’envie de découvrir cette opulente poitrine et explorer ce cul superbe, je ne laissais pas mes mains vagabonder. Tout était très chaste dans nos échanges.
Le soir venu, la formation achevée, satisfait d’avoir poussé à l’extrême la jouissance du désir mais sans rien faire qui puisse trahir mon envie folle de lui faire l’amour, je m’apprêtais à regagner mes pénates et là, elle me demande de lui montrer ma chambre. C’en est trop, je l’emmène en voiture jusque chez moi et dans la chambre, sans un mot, je lui ôte le haut et fait tomber son pagne. Elle est en slip, un collier de perles autour de la taille, sans doute des gris-gris de protection ou de fertilité, je ne sais et ne lui ai pas demandé. Je la couche sur mon lit, fait glisser sa culotte et j’admire enfin cette poitrine rebondie et généreuse. Mes vêtements sont tombés sans que je n’y prenne garde. elle est là offerte à mon regard et mes caresses, jambes allongées. Sa peau n’est pas aussi belles que celles de mes conquêtes passées, par contre son pubis est habillée d’une touffe crépue d’une douceur incroyable, je n’avais jamais touché de foufoune crépue aussi délicate que de la soie. Ma bouche se dirigée vers son mont de Vénus, mais, par une réaction vive, elle se refuse à ce baiser nuptial de son pubis. Je m’allonge sur elle avec l’espoir d’une nuit d’amour sans fin; à peine ma peau a-t-elle effleurée la sienne que ma queue a littéralement explosé, inondant son ventre et sa poitrine de mon sperme tout chaud. Je n’ai pu me contrôler, trop excité du chaste après-midi. Je ne l’ai donc pas possédée ce jour-là. La mante religieuse avait dévoré ma virilité.
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