Bonne fille - histoire érotique

Il ouvre la porte et découvre qu'elle l'attendait patiemment agenouillée dans l'entrée, complètement nue et visible de tous les passants qui auraient la curiosité de regarder vers l'intérieur.

Tel un chiot enjoué, elle l'escalade et se jette à son cou. Il l'étreint avec tendresse avant de la relâcher doucement. Elle se laisse glisser jusqu'à ce qu'elle retombe sur ses genoux. Les cuisses bien écartées, son sexe déjà gonflé d'humidité. Elle laisse s'échapper un mot entre ses lèvres épaisses : "Daddy". Ses épaules tremblent d'excitation et les mamelons de ses gros seins se durcissent.

Il la regarde avec à la fois envie et dureté. Une fois l'effervescence de la retrouvaille passée, elle doit reprendre ses esprits et faire ce qu'on attend d'elle. Elle comprend sans qu'aucun mot ne soit prononcé. Elle penche sa tête vers l'arrière, ouvre la bouche le plus grand qu'elle peut et tire la langue en ferment les yeux.

Il ouvre sa braguette et en sort son sexe déjà durcissant qu'il approche de son visage. Même avec les yeux fermés, elle reconnait cette odeur, ce mélange de virilité, de transpiration et d'hormones. Elle entend l'ordre qu'elle attendait : "Nettoie ma queue chienne".

Immédiatement elle se jette sur son membre et l'enfonce le plus loin possible dans sa gorge. Il lui retient la tête. Son front se plaque sur son bas-ventre et son menton s'écrase contre son scrutum qui ruisselle déjà de bave. Elle sent le sexe gonfler dans sa gorge et,tranquillement, bloquer le passage de l'air.

Elle se sent suffoquer mais elle se laisse aller, son besoin de plaire à son homme est plus fort que son besoin de respirer.

Lorsqu'il la sent partir, il expulse son membre sa bouche. Alors qu'elle tente de reprendre son souffle, il la prend par les cheveux et lui projette la tête vers l'arrière. Instinctivement elle ouvre à nouveau la bouche. Il approche son visage du sien avant de cracher une quantité impressionnante de salive directement dans sa bouche et d'y réinsérer son pénis. Elle avale une partie des fluides, l'autre partie ne vient que lubrifier davantage ce sexe toujours plus dur.

Il utilise sa tête comme un accessoire de masturbation en restant pratiquement immobile, n'utilisant qu'une main puissante pour lui dicter le rythme.

Elle gémit comme une chienne en chaleur alors que c'est lui qui est stimulé.

Bien qu'elle nettoie avec avidité ce sexe depuis plusieurs minutes avec sa bouche, elle ne peut s'empêcher d'apprécier le fait que sa queue est encore plus odorant qu'au début.

D'un geste, il se retire de sa tête et commence à se masturber. Sans qu'aucune indication ne lui soit promulguée, elle plonge sous lui pour lui lécher les testicules à grand coups de langue, se rendant parfois jusqu'à son anus. Impressionné par sa dévotion, il fini par lui dire ce qu'elle voulait tant entendre : "Bonne fille". Elle sait que ces paroles sont misogynes mais au plus profond d'elle, elle est particulièrement fière et excitée d'être sa bonne fille, sa chienne.

Il reprend le contrôle de sa tête en l'agrippant par les cheveux et il se met à marcher. Elle n'a d'autre choix que de suivre à quatre pattes. Sa démarche est sensuelle et animale. Même dans cette position, elle réussi à se dandinner le cul dans l'espoir de l'exciter davantage. Ils traversent le salon et d'un geste, il la fait monter sur l'ottoman.

Elle est gâtée, les animaux, même les plus sensuels, doivent habituellement rester par terre. Il l'installe à sa guise par des gestes directifs et sans explication. Il commence en lui écartant davantage les jambes, replaçant ses cheveux pour finalement lui plaquer le visage conte l'ottoman de façon à ce que seul son cul rebondi soit bien en évidence. Il tourne autour d'elle afin de l'admirer telle une oeuvre d'art.

Les secondes passes et elle sent l'excitation monter. Une première claque s'abat par surprise sur ses fesses et laisse instantanément une trace de main bien rouge. "Un" dit-elle sachant qu'il faut compter les coups mais ignorant le nombre qu'elle devrait endurer. Il y va de toutes ses forces et rapidement son cul devient brûlant mais elle compte sans faute. Satisfait, il arrête à 10.

Quelques secondes de pause puis elle sent ses lèvres se déposer sur son clitoris. Elle enfonce ses ongles dans le cuir de l'ottoman alors qu'il commence a sucotter son sexe. La ciprine coule sur le meuble et rapidement elle jouit. Une onde de plaisir lui traverse l'échine et lors de l'orgasme, elle bascule volontairement son bassin vers l'arrière afin d'écraser son visage contre sa vulve trempée.

Il ne semble faire aucun cas de cette tentative de suffocation. Il cesse toutefois de licher sa vulve pour se diriger vers son anus. Elle frémit. Elle sent cette langue qui tente de la pénétrer mais son corps se fige.

Il enfonce deux gros doigts dans sa cavité féminine et masse doucement le point plus sensible. Son sphincter se détend instantanément et une langue puissante lui entre dans le rectum. Un deuxième orgasme se prépare rapidement alors qu'il lui liche les entrailles. Le sentant, il prend un pause pour lui interdire. Elle n'a pas demandé la permission pour orgasmer une première fois, elle n'aura pas deux passe droit et elle doit se contenir.

Après ces paroles, il retourne fouiller ses deux orifices avec ses doigts. Elle résiste du mieux qu'elle peut mais la situation est insoutenable et elle jouit de façon incontrôlable. Elle tente de sortir de cette position qui la fait souffrir tellement elle est sensible mais il l'a retient solidement par ses entrailles. La stimulation n'ayant pas de fin, son corps flanche et de puissants jets d'urine son projetés dans la pièce.

"Regarde toi petite salope, tu ruines mon mobilier". Avec un sourire dur, comme on ferait avec un animal qu'on tente de dresser, il la prend par les cheveux et lui presse le visage contre sa souillure. Mauvaise fille.