Bonne fille - partie 2 - histoire érotique

Sans même le vouloir, elle se met à gémir comme une chienne. Étrangement, ses couinements décrivent mieux ses émotions que les mots qui lui viennent à l'esprit.


Elle le voit retourner à la porte d'entrée et fouiller dans sa mallette. Il en sort un collier pour chien et une laisse en cuir. Elle bouille à mi-chemin entre l'humiliation et l'excitation alors qu'il lui attache solidement au cou. Un petit coup sec sur la laisse lui fait comprendre qu'elle doit marcher aux pas. Il l'amène dans la cour arrière. Lorsqu'elle franchi le bas de la porte, elle réalise que les fenêtres de plusieurs voisins donnent sur cette cour. C'est une professionnelle distinguée, elle ne peut pas être vu ainsi. La tension sur la laisse coupe court à la réflexion et elle se retrouve dans le jardin. L'exhibitioniste en elle l'emporte, elle est tellement en chaleur que ses hormones brouillent son jugement.


La faire marcher nue à quatre pattes en laisse à l'extérieur et couverte de sa propre pisse ne semble pas assez pour le satisfaire. Il lui demande de faire la belle. Obéissante, elle se met genoux, monte ses mains de chaque côté de son torse au niveau de ses seins et tire la langue en haletant. "Parle". Incertaine au début, elle émet quelques petits jappements gênés qui le font sourire. Il lui donne une friandise qu'il sort de sa poche. Il enchaîne mentionnant que pour être quitte, il doit lui aussi uriner sur elle puisqu'il fût aspergé lors de l'incident.


Ils ont récemment commencé à faire des jeux avec l'urine. Elle a accepté de se faire pisser sur les seins et le sexe alors qu'elle était dans la douche. Voyant l'effet que cela provoquait chez lui, elle a poussé l'audace à lui demander d'uriner dans sa bouche. Il jubilait à la voir se transformer en fontaine de pisse alors que le liquide ressortait de sa bouche pour couler sur son corps sensuel. Dernièrement, alors qu'elle servait d'urinoire suite à une soirée bien arrosée, elle le regarda dans les yeux et avala. Les deux ressentirent une grande excitation et une profonde complicité alors qu'elle déglutissait ce liquide sensé être dégueulasse.


Sauf qu'alors qu'elle se trouve nue dans son jardin à la vue des voisins, sa soif d'urine devient indécente, cette accumulation d'humiliations la met en transe. Son vagin lui fait mal tellement il est prêt à se faire défoncer. Elle sent sa lubrification couler le long de ses cuisses.


Il ne se fait pas attendre et urine d'un jet puissant sur ses seins gros seins qui se transforment en boulets au milieu d'une rivière jaune. Elle le regarde dans les yeux et ouvre la bouche. Plutôt que de rediriger son flot à cet endroit comme il le fait habituellement, il avance d'un pas et plonge son pénis à demi en érection mais toujours en miction au fond de sa gorge. Elle a un moment de panique et tente de reculer mais il lui tient fermement la tête. "N'en recrache pas une goutte".


La pisse coule directement au fond de sa gorge et cela lui rappelle ses soirées d'étudiante où elle tentait de boire le plus rapidement possible des cocktails de mauvaise qualité. Elle doit se rattraper et prouver qu'elle est une bonne fille donc elle avale du mieux qu'elle peut. 50% du travail est déjà fait puisqu'il urine réellement au fond de sa gorge. Elle avale rapidement plus d'un demi litre.


Il prend ses aises et ouvre les vannes. Elle se rappelle qu'il devait faire une longue route avant d'arriver, il n'a fait aucune pause pipi c'est certain. Le débit est trop élevé et elle étouffe recrachant une partie par terre. Il ne cesse d'uriner même si sa queue n'est plus dans la bouche de chienne et il continu d'asperger son visage et ses cheveux alors qu'elle tente de reprendre son souffle.


La scène s'étire assez longtemps pour qu'elle aperçoive des ombrages bouger dans les fenêtres des voisins. Elle resent une boule de feu au fond de son ventre un mélange de honte et d'excitation. Il la voit regarder anxieusement vers les voisins. Il tire sur la laisse pour couper l'espace qui les sépare. "Tout le monde va savoir quelle genre de petite salope tu es, fais toi venir sur mes chaussures". Elle est figée, elle avait déjà osé se masturber en se frottant sur ses pieds mais c'était à l'intérieur de la maison. Il pousse au maximum son désir d'humiliation.


Néanmoins, elle n'est pas dans un état pour refuser quoique ce soit et se met à frotter sa chatte bien trempée sur ses chaussures. La cyprine les fait reluire mieux que n'importe quelle cire. Très rapidement, peut être même trop rapidement, elle jouit en laissant échapper des petits cris stridents. Elle entend des échos de voisins qui rient et la traite de salope. Elle est morte de honte mais son homme semble satisfait et la fait rentrer à l'intérieur.