Brigitte et les migrants
Récit érotique écrit par cocuavie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Brigitte et les migrants
Une autre facette de mon épouse chérie, c'est son besoin de dépasser les limites du raisonnable. Il y a longtemps de cela, alors que nous étions mariés depuis une dizaine d'années, je décidai un jour de l'emmener visiter un camp de migrants à quelques kilomètres de chez nous. A cette époque, c'étaient essentiellement des hommes d'un âge bien mûr qui arrivaient des pays de l'ex-bloc communiste, de la Yougoslavie à l'Ukraine en passant par la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Belarus, la Biélorussie, etc.... La plupart étaient de solides et rudes bûcherons, pour qui les femmes n'étaient qu'un lot de trous dans lesquels ils se purgeaient les testicules lorsque la pression à l'intérieur était trop forte. La première fois, je l'ai laissée tout l'après-midi dans une cabane de chantier squattée, dans laquelle se trouvait pour tout mobilier un matelas qui avait dû faire tous les foyers et squatts de la banlieue nord de Paris depuis des décennies. Mon épouse a toujours eu horreur des préservatifs, et je dois dire que cette première fois m'a paru très longue. Pas pour elle, en revanche, puisque quand je l'ai récupérée, vers 19 heures, une dizaine de messieurs faisaient encore la queue, et d'après ce qu'elle m'a dit en rentrant, une bonne trentaine était venue se soulager dans ses divers orifices. Elle était encore souriante, malgré le sperme séché qui la recouvrait intégralement, de la pointe des cheveux aux ongles des orteils. La première chose qu'elle m'a dite dans la voiture, c'est "Quand me ramènes-tu ici ?"
Le week-end suivant, nous avons fait presque 200 kilomètres pour aller sur une ZAD où une centaine de zonards et de SDF montait la garde autour d'un dépôt d'ordures que la préfecture voulait évacuer pour construire une centrale nucléaire. Nous y sommes restés deux jours, et mon petit amour a servi de vide-couilles sur les tas de déchets et de gravats de toutes sortes. Les salopards la pilonnaient à la chaîne dans tous les trous, à même le sol, sur des parpaings, des barres de fer ou des tas d'ordures ménagères en état de putréfaction, et tout ça évidemment sans capote.. Elle était aux anges.......
Le week-end suivant, nous avons fait presque 200 kilomètres pour aller sur une ZAD où une centaine de zonards et de SDF montait la garde autour d'un dépôt d'ordures que la préfecture voulait évacuer pour construire une centrale nucléaire. Nous y sommes restés deux jours, et mon petit amour a servi de vide-couilles sur les tas de déchets et de gravats de toutes sortes. Les salopards la pilonnaient à la chaîne dans tous les trous, à même le sol, sur des parpaings, des barres de fer ou des tas d'ordures ménagères en état de putréfaction, et tout ça évidemment sans capote.. Elle était aux anges.......
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore 1 mec qui a perdu ses couilles en route et qui laisse sa femme prendre des risques inconsidérés.
Excitant mais stp raconte plus en détail
et fais une histoire avec ce qui c'est passé à la ZAD
et fais une histoire avec ce qui c'est passé à la ZAD
texte trop court avec trop peux de détails
une bonne vide burne ton épouse
C'est trop romantique, trop fleur bleue...