Maman, je t'aime
Récit érotique écrit par cocuavie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Maman, je t'aime
Je n'ai jamais osé encore raconter cette histoire à personne en cinquante ans.
Pendant toute mon enfance, aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours désiré ma mère. Après qu'elle m'ait allaité jusqu'à mes 2 ans, comme c'était la pratique à cette époque, le sevrage m'a été très pénible. Jusqu'à l'adolescence, le contact de ses lourdes mamelles et la succion de ces tétins m'ont manqué, et je crois que cela a influencé ma vie sexuelle jusqu'à aujourd'hui encore, à l'aube de mes 70 ans.
Quand je dis que le sevrage m'a été pénible, je parle de tous les sevrages. Je m'explique. Mes parents ont divorcé lorsque j'avais 18 ans. Je savais depuis des années que ma maman, ma petite maman chérie, se faisait sauter par un joueur de l'équipe de rugby locale. Enfin, quand je dis un... ils ont très vite été deux, puis trois. Je les connaissais, car ils étaient à peine plus vieux que moi et je les rencontrais souvent. Ils n'avaient que 5 ou 6 ans de plus que moi, donc 25 ans à peu près, et ma maman chérie en avait 41 ou 42.
Au lycée, certains de mes camarades voyaient ma mère le week-end, lors des matchs de rugby "amateur" très nombreux dans notre région. Le lundi, ils se moquaient de moi: "Ta mère, c'est la pute du XV de...... !" Moi, timide et non sportif, j'avalais ça sans rien dire. Mais au fil des mois, je me suis convaincu que ma mère en était une. Mon amour filial s'est peu à peu transformé en envie de profiter moi-aussi du corps de ma maman.
Un jour de l'été 1973, l'un de ses amants m'a demandé si je voulais assister à un match. Je n'avais rien d'autre à faire de spécial ce jour-là, et comme ma mère y allait (bien entendu) et qu'en été elle était habillée très, très léger, je me suis dit que j'allais pouvoir "mater" un peu et que ça ne me ferait pas de mal. Me voici donc embarqué dans le bus, avec le staff, soit une trentaine d'hommes, joueurs, remplaçants, soigneurs, entraîneurs etc.
Pendant le match, j'ai perdu maman de vue, et après quelques minutes je me suis inquiété. J'ai quitté la tribune, et je suis descendu derrière, là ou se trouvaient les vestiaires. Mon futur beau-père m'attendait au bas de l'escalier. "Viens avec moi", m'ordonna-t-il. Je le suivis jusqu'aux toilettes-douches, typiques des ensembles sportifs. Avant d'ouvrir la porte, je pus entendre un brouhaha à l'intérieur. "Entre!" Je vis alors un attroupement de costauds en short et chaussettes rayées, et ils avaient l'air très joyeux. Ils s'écartèrent pour me laisser passer.
Sur une table de massage, je vis deux énormes fesses au bout de deux jambes écartées. Je reconnus le cul de ma mère, que j'avais vu très souvent car la pudeur n'était pas sa qualité première. Elle était à plat-ventre sur la table, écartée comme une étoile de mer, les poignets et les chevilles maintenus par des cordages dont chacune des autres extrémités était fixée au bas de chacun des quatre pieds de la table. Ses yeux étaient aveuglés par une écharpe du club. Je marquai un temps d'arrêt, les yeux grand ouverts et la bouche entrebâillée sur un prémisse de cri de dégoût. Mais les mâles gavés de testostérone qui m'entouraient mirent tous, presque simultanément, leur index devant leurs lèvres pour m'ordonner de me taire.
J'entendis alors la voix de ma mère: "Bon, alors, qui commence?" Là, je faillis crier mais le plus proche me mit sa main sur la bouche pour m'en empêcher. Plusieurs me poussèrent gentiment vers la table. Je compris alors: ils voulaient assister à un sacrifice humain. Ils voulaient me voir en train de me vider les couilles dans ma petite maman après l'avoir déglinguée ! Cette idée me fit horreur pendant au moins... 3 secondes. Mais ensuite, l'idée de la baiser devant tous ces salopards a déclenché dans mon slip une érection monumentale. J'avais 19 ans, une chatte et un anus me faisaient des clins d'œil, et puis tant pis si c'était ma mère ! Après tout, j'étais déjà passé en entier dans son vagin, 19 ans plus tôt, alors je pouvais bien y remettre une petite partie de moi.
Je m'approchai, sans dire un mot car j'avais compris qu'ils avaient bandé les yeux de ma mère pour qu'elle ne sache pas qui allait l'écarteler. Je baissai mon slip, et j'hésitai quelques secondes devant les deux trous qui s'offraient à mon sexe. Les quinze taureaux qui m'entouraient m'aidèrent à prendre ma décision: "Dans le cul, dans le cul, dans le cul,...".
Je me glissai entre les chevilles, les mollets, puis les cuisses qui m'aspiraient inexorablement. Je ne voyais plus ma mère, mais une femelle que je devais posséder, défoncer, détruire. Lorsque mon gland arriva au contact des fesses, je me penchai en avant pour passer mes mains sous la salope qui m'était offerte, et pris ses lourds nibards dans mes mains. La femelle soupira alors d'aise. Dans la position où j'étais, je n'eus qu'à plier les genoux pour m'enfoncer comme dans du beurre dans le gros intestin. Il est vrai que le sphincter avait été auparavant copieusement distendu par au moins un des gourdins que ces fumiers me présentaient maintenant, car ils se branlaient tous en me regardant faire.
Pendant quelques secondes, je ne pensai à rien car mon cerveau s'était délocalisé dans mon gland. Mais tout à coup, je réalisai que j'étais en train de sodomiser ma mère. Cette prise de conscience, loin de me faire débander, me fit au contraire pousser encore plus. Et puis elle ne savait pas à qui appartenait le manche de pioche qui lui fouillait, lui baratait, plutôt, le cul. L'excitation me fit taper encore plus fort. Derrière, les autres m'encourageaient: "Allez, défonce-la, fais-la saigner du cul, encule-la jusqu'à l'estomac !"
Ma mère, à ma grande surprise, semblait apprécier ces commentaires. Elle gémissait de bonheur quelques secondes plus tôt, et là elle se laissa aller subitement: "Vas-y, encule-moi à fond, déchire-moi l'intestin. Essaie de bander, j'ai l'impression d'avoir une nouille trop cuite dans le cul". Bien entendu, ceci déclencha en moi une rage que je n'avais jamais éprouvée. Je tapai alors de toutes mes forces dans ce cul, dans cette truie que je voulais baiser depuis des années. Dans la situation dans laquelle je me trouvais, plus rien ne m'était interdit. Je déculai, et lui pris le vagin. Sa chatte était exactement comme je l'espérais: large, profonde, et surtout brûlante. Au bout de quelques secondes, quinze ans de frustration devant ma maman sortirent d'un coup. J'ouvris les vannes en grand, et j'inséminai ma maman chérie, alors encore très féconde.
Mais cela ne me suffisait pas. Je déconnai, fis le tour de la table et présentai ma bite devant la bouche de celle que je venais de traiter comme la dernière des pouffiasses. Les "spectateurs" donnèrent alors à ma maman les instructions que j'espérais entendre: "Suce, salope, nettoie-lui la bite!" Je posai mon gland sur ses lèvres, et elle m'engloutit jusqu'à la garde. Elle nettoya le gland, la tige et les couilles, puis je me reculai, me reslipai et quittai la pièce, la laissant aux prises avec les furieux excités comme jamais.
Maman n'a jamais su qui de l'équipe de rugby l'avait ainsi "visitée" de fond en comble sur cette table. Aujourd'hui encore (elle a 90 ans et moi 67), le secret est toujours bien gardé.
Pendant toute mon enfance, aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours désiré ma mère. Après qu'elle m'ait allaité jusqu'à mes 2 ans, comme c'était la pratique à cette époque, le sevrage m'a été très pénible. Jusqu'à l'adolescence, le contact de ses lourdes mamelles et la succion de ces tétins m'ont manqué, et je crois que cela a influencé ma vie sexuelle jusqu'à aujourd'hui encore, à l'aube de mes 70 ans.
Quand je dis que le sevrage m'a été pénible, je parle de tous les sevrages. Je m'explique. Mes parents ont divorcé lorsque j'avais 18 ans. Je savais depuis des années que ma maman, ma petite maman chérie, se faisait sauter par un joueur de l'équipe de rugby locale. Enfin, quand je dis un... ils ont très vite été deux, puis trois. Je les connaissais, car ils étaient à peine plus vieux que moi et je les rencontrais souvent. Ils n'avaient que 5 ou 6 ans de plus que moi, donc 25 ans à peu près, et ma maman chérie en avait 41 ou 42.
Au lycée, certains de mes camarades voyaient ma mère le week-end, lors des matchs de rugby "amateur" très nombreux dans notre région. Le lundi, ils se moquaient de moi: "Ta mère, c'est la pute du XV de...... !" Moi, timide et non sportif, j'avalais ça sans rien dire. Mais au fil des mois, je me suis convaincu que ma mère en était une. Mon amour filial s'est peu à peu transformé en envie de profiter moi-aussi du corps de ma maman.
Un jour de l'été 1973, l'un de ses amants m'a demandé si je voulais assister à un match. Je n'avais rien d'autre à faire de spécial ce jour-là, et comme ma mère y allait (bien entendu) et qu'en été elle était habillée très, très léger, je me suis dit que j'allais pouvoir "mater" un peu et que ça ne me ferait pas de mal. Me voici donc embarqué dans le bus, avec le staff, soit une trentaine d'hommes, joueurs, remplaçants, soigneurs, entraîneurs etc.
Pendant le match, j'ai perdu maman de vue, et après quelques minutes je me suis inquiété. J'ai quitté la tribune, et je suis descendu derrière, là ou se trouvaient les vestiaires. Mon futur beau-père m'attendait au bas de l'escalier. "Viens avec moi", m'ordonna-t-il. Je le suivis jusqu'aux toilettes-douches, typiques des ensembles sportifs. Avant d'ouvrir la porte, je pus entendre un brouhaha à l'intérieur. "Entre!" Je vis alors un attroupement de costauds en short et chaussettes rayées, et ils avaient l'air très joyeux. Ils s'écartèrent pour me laisser passer.
Sur une table de massage, je vis deux énormes fesses au bout de deux jambes écartées. Je reconnus le cul de ma mère, que j'avais vu très souvent car la pudeur n'était pas sa qualité première. Elle était à plat-ventre sur la table, écartée comme une étoile de mer, les poignets et les chevilles maintenus par des cordages dont chacune des autres extrémités était fixée au bas de chacun des quatre pieds de la table. Ses yeux étaient aveuglés par une écharpe du club. Je marquai un temps d'arrêt, les yeux grand ouverts et la bouche entrebâillée sur un prémisse de cri de dégoût. Mais les mâles gavés de testostérone qui m'entouraient mirent tous, presque simultanément, leur index devant leurs lèvres pour m'ordonner de me taire.
J'entendis alors la voix de ma mère: "Bon, alors, qui commence?" Là, je faillis crier mais le plus proche me mit sa main sur la bouche pour m'en empêcher. Plusieurs me poussèrent gentiment vers la table. Je compris alors: ils voulaient assister à un sacrifice humain. Ils voulaient me voir en train de me vider les couilles dans ma petite maman après l'avoir déglinguée ! Cette idée me fit horreur pendant au moins... 3 secondes. Mais ensuite, l'idée de la baiser devant tous ces salopards a déclenché dans mon slip une érection monumentale. J'avais 19 ans, une chatte et un anus me faisaient des clins d'œil, et puis tant pis si c'était ma mère ! Après tout, j'étais déjà passé en entier dans son vagin, 19 ans plus tôt, alors je pouvais bien y remettre une petite partie de moi.
Je m'approchai, sans dire un mot car j'avais compris qu'ils avaient bandé les yeux de ma mère pour qu'elle ne sache pas qui allait l'écarteler. Je baissai mon slip, et j'hésitai quelques secondes devant les deux trous qui s'offraient à mon sexe. Les quinze taureaux qui m'entouraient m'aidèrent à prendre ma décision: "Dans le cul, dans le cul, dans le cul,...".
Je me glissai entre les chevilles, les mollets, puis les cuisses qui m'aspiraient inexorablement. Je ne voyais plus ma mère, mais une femelle que je devais posséder, défoncer, détruire. Lorsque mon gland arriva au contact des fesses, je me penchai en avant pour passer mes mains sous la salope qui m'était offerte, et pris ses lourds nibards dans mes mains. La femelle soupira alors d'aise. Dans la position où j'étais, je n'eus qu'à plier les genoux pour m'enfoncer comme dans du beurre dans le gros intestin. Il est vrai que le sphincter avait été auparavant copieusement distendu par au moins un des gourdins que ces fumiers me présentaient maintenant, car ils se branlaient tous en me regardant faire.
Pendant quelques secondes, je ne pensai à rien car mon cerveau s'était délocalisé dans mon gland. Mais tout à coup, je réalisai que j'étais en train de sodomiser ma mère. Cette prise de conscience, loin de me faire débander, me fit au contraire pousser encore plus. Et puis elle ne savait pas à qui appartenait le manche de pioche qui lui fouillait, lui baratait, plutôt, le cul. L'excitation me fit taper encore plus fort. Derrière, les autres m'encourageaient: "Allez, défonce-la, fais-la saigner du cul, encule-la jusqu'à l'estomac !"
Ma mère, à ma grande surprise, semblait apprécier ces commentaires. Elle gémissait de bonheur quelques secondes plus tôt, et là elle se laissa aller subitement: "Vas-y, encule-moi à fond, déchire-moi l'intestin. Essaie de bander, j'ai l'impression d'avoir une nouille trop cuite dans le cul". Bien entendu, ceci déclencha en moi une rage que je n'avais jamais éprouvée. Je tapai alors de toutes mes forces dans ce cul, dans cette truie que je voulais baiser depuis des années. Dans la situation dans laquelle je me trouvais, plus rien ne m'était interdit. Je déculai, et lui pris le vagin. Sa chatte était exactement comme je l'espérais: large, profonde, et surtout brûlante. Au bout de quelques secondes, quinze ans de frustration devant ma maman sortirent d'un coup. J'ouvris les vannes en grand, et j'inséminai ma maman chérie, alors encore très féconde.
Mais cela ne me suffisait pas. Je déconnai, fis le tour de la table et présentai ma bite devant la bouche de celle que je venais de traiter comme la dernière des pouffiasses. Les "spectateurs" donnèrent alors à ma maman les instructions que j'espérais entendre: "Suce, salope, nettoie-lui la bite!" Je posai mon gland sur ses lèvres, et elle m'engloutit jusqu'à la garde. Elle nettoya le gland, la tige et les couilles, puis je me reculai, me reslipai et quittai la pièce, la laissant aux prises avec les furieux excités comme jamais.
Maman n'a jamais su qui de l'équipe de rugby l'avait ainsi "visitée" de fond en comble sur cette table. Aujourd'hui encore (elle a 90 ans et moi 67), le secret est toujours bien gardé.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai eu beaucoup de plaisir à lire cette histoire, une suite s'impose.
Ah le coquin, j'adore une suite svp
Merci, Pierre. Et toi, pas d'histoires ?
J'ai adoré !