C’est chouette le ski
Récit érotique écrit par Constant [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2020 dans la catégorie Plus on est
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C’est chouette le ski
C’est chouette, le ski!
Les vacances de Février au ski, avec notre copain Alexandre et sa copine - jamais la même- sont devenues une tradition qui se perpétue d’année en année.
Exceptionnellement, Alexandre est venu tout seul cette année -largué par sa copine juste une semaine avant le départ-. Il fanfaronne en disant qu’il n’a pas eu le temps de « renouveler le personnel », mais il a le moral dans les chaussettes, le pauvre.
Pourtant, la vie est belle dans cet appartement où nous avons pris nos habitudes, dans une confortable résidence pourvue de piscine, spa et autres hamam et sauna qui permettent de se détendre après « l’effort ».
Après une longue et fatigante journée à dévaler les pentes, on finit la journée à la piscine et au sauna, ce qui nous laisse ce jour-là en pyjama dans le séjour, détendus et avachis dans le canapé.
On était ainsi bien tranquilles, mon pote Alexandre et moi, hésitant pour finir agréablement cette bonne journée entre la partie de carte et la beuverie de rhum…ou peut-être bien les deux…
« Alors, les garçons, qu’est ce que vous faites ce soir? »
On a immédiatement compris que ce ne serait ni carte, ni rhum… Parce que celle qui nous posait cette question, perchée sur ses hauts talons, les mains sur les hanches et un rien cambrée en arrière, n’était vêtue que d’un soutien-gorge de tulle blanc et d’une culotte volantée assortie. Des petites manchettes au poignets, un porte-jarretelle, une jarretière à la cuisse, des bas blancs et un tour de cou assortis complétaient la délicieuse panoplie, ne recouvrant qu’une bien faible proportion de sa peau bronzée.
L’éclairage d’ambiance feutré, avec deux spots de lumière noire apparus au fond de la pièce comme par miracle, faisait ressortir de manière fluorescente les minuscules morceaux d’étoffe de sa tenue sexy, contrastant avec sa peau bronzée restant sombre. A l’évidence, la belle avait prémédité sa petite affaire…et l’effet de surprise était total!
Gloups! Nous avons avalé notre salive.
Nous n’eûmes pas le temps de répondre qu’elle enchainait: « je vous sers un petit verre, j’ai l’impression que vous avez soif à en juger par vos langues qui pendent… » et joignant le geste à la parole, elle se dirige vers le buffet où sont verres et boissons… en nous présentant son coté pile…Juste une petite ficelle dans le dos pour le soutif , une ficelle pour la ceinture porte-jarretelle et une autre à hauteur des reins pour la culotte…et un rosebud avec son cristal blanc éclatant qui trône entre ses fesses sous la ficelle de sa culotte!
Nous sommes restés muets…les yeux exorbités et la gorge sèche… mais nous sentions déjà nos sexes gonfler et se dresser dans nos pantalons de pyjama.
Il faut dire que la belle qui nous allume, là, c’est Nina, ma fidèle épouse depuis toujours…
Elle a toujours aimé le sexe, et j’en suis le bienheureux bénéficiaire puisqu’avec elle, j’ai toujours été gâté…D’abord et pendant des années, son sexe m’a comblé …ou plutôt j’ai comblé le sien, gratifié de ses halètements et d’un « Mmmmmm, je jouis… »juste avant l’orgasme…
Ensuite, nous nous sommes encanaillés - ou avons évolué…- et elle a appris la fellation, moi le cunilingus, la sodomie, on a essayé les sextoys, d’abord des godes de grande taille pour la voir béante, puis les plugs pour qu’elle soit doublement stimulée…Elle a tout aimé…
Notre dernière découverte, c’est qu’au final elle est autant clitoridienne que vaginale, les sextoys vibrants glissés sur son clitoris la mettant dans un état second…nous nous sommes aménagé une pièce - un baisodrome- avec lit, table de massage , croix de saint-andré où elle se fait ligoter dans des postures toujours plus indécentes…mais si délicieuses. J’adore la faire gémir de plaisir et le spectacle qu’elle m’offre ainsi est devenu le préliminaire habituel au coït qui s’ensuit en apothéose.
Sa pudeur s’est aussi envolée …après les premières années soft, elle s’est peu à peu délurée, ses bikinis se réduisant comme peau de chagrin sur la plage, puis devenant monokini, puis nudité totale… Elle s’offre maintenant à mes caresses avec les cuisses ouvertes et le sexe béant, voire même écartelé par un petit joujou adhoc lui pinçant et écartant les grandes lèvres pour exposer le rose de son clitoris et de l’ouverture de son vagin aux petites lèvres palpitantes.
Bref, une » bonne baiseuse « avec laquelle je ne m’ennuie pas…
Récemment, elle s’est mise à nous passer du porno pendant qu’on fait l’amour. J’ai bien compris qu’elle choisissait les films comme on choisit à la carte au restaurant pour me montrer ce dont elle avait envie… sans oser le dire. Alors, je regarde le menu…et j’essaie de l’exaucer évidemment, pour notre plaisir réciproque.
Une fois qu’on était revenu d’une soirée chez Alexandre, elle m’avait sauté dessus - très excitée- et présentant son sexe détrempé et prêt à l’amour sans préliminaire, en me soufflant crûment à l’oreille « ta petite salope a besoin d’être satisfaite… »
Depuis, les films pornos, s’ils sont plutôt ceux que j’aime, avec de belles filles soumises ligotées, exposées, caressées, masturbées puis baisées…ont en commun qu’il y a toujours deux hommes avec la belle et que celle-ci finit invariablement baisée et sodomisée en une double pénétration…
C’est pour ça que j’ai offert à Nina un petit rosebud en silicone noir pour combler son deuxième orifice quand on fait l’amour. Et le petit rosebud en silicone est vite devenu un pesant rosebud acier avec son cristal rose, puis même un imposant rosebud xl à cristal blanc dont l’intromission la met aux limites de ce qu’elle peut recevoir.
Et ce soir, Nina arbore ce fameux rosebud blanc - signe annonciateur de séance de sodomie - et qu’elle s’est de plus introduit toute seule alors qu’à l’habitude, il ne prend place qu’après qu’un de ses petits frères ait ouvert la voie et le grand frère placé uniquement de ma main…
Donc, avec ce show sexy que ma belle nous offre ce soir à moi et mon pote Alexandre, j’ai une idée très précise de là où elle veut en venir, avec passage à l’acte de son fantasme de triolisme.
Je ne l’aurais pas demandé moi-même… trop jaloux…mais puisqu’elle se lance, hé bien, mon pote (qui, bien que cela reste non-dit entre nous, a envie de la baiser depuis toujours…) et moi, on va lui offrir la soirée dont elle a envie et qu’elle aura bien mérité en n’ayant si visiblement et agréablement pour nous pas ménagé ses efforts.
Elle va donc enfin faire l’amour avec deux hommes en même temps … et, tant qu’à ce que cela se fasse, j’aime autant être l’un des deux élus.
Donc, notre belle (ce soir, elle ne l’est pas que pour moi…) revient avec des shooters de rhum, s’agenouille devant nous entre mon pote et moi en se dandinant sensuellement et nous donne nos verres avec un grand sourire.
« Vous avez envie d’autre chose? »demande-t-elle avec une petite moue qui en dit long sur la nature de l’offre. Ses longues mains se posent sur nos braguettes pendant qu’elle se passe la langue sur les lèvres en une invitation sans équivoque…Une vraie star de porno ce soir!
Alexandre n’y tient plus, et après un petit coup d’oeil de mon coté pour être sur d’y être autorisé, il avance une main qu’il pose sur elle à la jonction du cou avec l’épaule. Son pouce glisse sur sa bouche en une invitation explicite à laquelle elle répond aussitôt en suçant ce pouce, lui laissant imaginer comment elle va bientôt sucer son sexe. La main descend vers sa poitrine, passe légèrement sur son sein comme pour en mesurer le volume, confortable, puis remonte vers l’épaule pour saisir la bretelle du soutien-gorge et la descendre.
Son sein gauche apparait, avec un anneau percé dans le téton. Alexandre a un petit hoquet de surprise à la vue de cet anneau qu’il ne connait pas. Il est vrai que cet anneau de piercing, et quelques autres, furent le tout récent cadeau d’anniversaire que ma petite femme m’a offert!
La main d’Alexandre empaume ce sein comme pour le soupeser et son pouce passe sur le téton et en soulève l’anneau. Nina frémit car ses piercings sont encore très sensibles, mais en bonne courtisane , elle sait entretenir le désir et d’une petite secousse d’épaule, elle fait glisser la bretelle droite, son soutien-gorge ne tenant plus que bloqué sur son téton droit dont on devine aussi au travers du tulle du balconnet l’anneau percé…Elle se penche un peu, lève la main posée sur la braguette d’Alexandre et lui prend le poignet gauche pour guider sa main gauche sur son sein droit. Tenant les deux mains d’Alexandre plaquées sur ses seins, elle se penche vers son visage, bouche ouverte, le bout de sa langue prêt à s’emmêler en un french kiss.
Leurs bouches se joignent, leurs langues se mêlent dans un souffle rauque de désir brûlant, les mains d’Alexandre pétrissent langoureusement ces gros seins dont il rêvait, se crispant alternativement sur un sein puis l’autre…Nina a lâché les poignets d’Alexandre dont les mains sont maintenant bien ancrées à ses seins, et c’est maintenant elle qui part en exploration par la braguette du pyjama. Elle sursaute lorsqu’elle lui saisit le sexe…Je me doute qu’elle vient de découvrir le format inhabituel de cette verge que pour ma part je connais car Alexandre n’est pas peu fier de son » outil » comme il l’appelle, et l’exhibe facilement aux copains, revendiquant 24cm en position de combat et un calibre de plus de six centimètres…En mon for intérieur, je me dis que ma belle ne va pas regretter nos jeux de gode qui l’ont sans le savoir préparée à ce qui l’attend…
Leurs lèvres se séparent et, en se reculant, Nina me jette un petit coup d’œil en coin, avec un léger haussement de sourcil interrogatif qui semble vouloir dire « tu crois que je vais réussir à me faire un truc pareil…? ». Je lui réponds par un grand sourire qui signifie: « tu l’as voulu, alors maintenant, tu ne peux plus reculer et il faut assumer! »
Elle ne se dégonfle pas, ma belle, et sa main émerge du pyjama, tenant par le milieu une verge déjà impressionnante en volume…Sa bouche s’avance et sa langue titille son extrémité. Alexandre réagit aussitôt avec un grognement et son gland se décalote en même temps que sa verge finit de gonfler et de se déployer …Avec un « mmmh »de satisfaction à la vue de ce qu’elle vient de provoquer, la tête de Nina plonge sur cette verge qu’elle gobe au plus profond de sa bouche d’un seul mouvement qui arrache à Alexandre une exclamation « ah la saloooope! »
Les minutes passent et la tête de Nina monte et descend langoureusement sur cette verge, ses mains tâtant sa base, jouant avec les bourses au travers desquelles elle soupèse les testicules… On sent qu’elle prend plaisir à cette situation unique, elle essaie même d’avaler le gland pour approfondir la pénétration dans sa gorge mais doit renoncer dans une quinte de toux…Je suis bien obligé d’admettre que je n’ai jamais eu droit moi-même à une fellation aussi déterminée...
Comme la situation est d’un érotisme torride, ma verge -désespérément ordinaire par sa taille en comparaison-est tendue à se rompre et je me suis rapproché du théâtre des opérations… placée derrière elle, je sens sens les mouvements d’allée et venue de sa bouche, mais qu’elle accompagne de tout son corps comme si la verge qu’elle suce la transperçait déjà...
Je la fait se relever devant Alexandre qui arbore un sourire béat.
Je palpe par derrière ces seins - que je connais si bien - mais que j’ai l’impression de découvrir tant la situation est nouvelle. Je caresse ses épaules … et je les débarrasse du cordon noué du soutien-gorge qui tombe au sol.
Elle écarte les bras en croix, en comprenant que je vais finir de la déshabiller là, à cinquante centimètres devant Alexandre, s’exhibant pour qu’il profite bien du spectacle…
Puis je caresse son dos… que je débarrasse de la ceinture porte-jarretelle nouée par derrière. Elle lève la jambe gauche qu’elle pose à coté d’Alexandre pour qu’il participe et dégrafe les jarretelles arrimées à son bas. Ses mains palpent cette cuisse gainée d’un bas blanc et remontent peu à peu jusqu’à la culotte qu’elles frôlent au niveau du triangle pubien. Nina change de jambe et la ceinture porte-jarretelle, entièrement dégrafée des bas, rejoint son soutien-gorge au sol. Pour cette jambe, les mains d’Alexandre sont remontées le long des cuisses jusqu’aux fesses, son index recherchant à tâton le plug planté entre ses fesses…Je tends maintenant à Alexandre un des cordons nouant sa culotte, qu’il saisit et tire tout doucement avec un grand sourire, son regard allant des yeux de Nina à sa ceinture. Nina, toujours bras écarté, le défie du regard, fière de s’exhiber et du désir qu’elle provoque…Sa culotte, maintenant dénouée d’un côté, reste accrochée autour de l’autre jambe, mais laisse apercevoir le haut de son pubis lisse…Nina est entièrement rasée…Lorsqu’elle est nue, la fente de son sexe est visible et le moindre écart des jambes révèle les détails intimes de son anatomie.
Alexandre tend la main et caresse son ventre, descendant en zig-zag depuis le nombril vers le pubis aussi bronzé que le reste. Nina se dandine d’une jambe sur l’autre pour faire bailler et glisser la culotte encore à moitié nouée. Elle abaisse soudain les bras, saisit les deux cordons du noeud restant et les tend à Alexandre, la tête inclinée en signe d’invitation à finir de la déshabiller.
Alexandre ne se fait pas prier et tire les ficelles, la culotte se détache mais reste pincée dans l’entrejambe de Nina. Tirant les ficelles vers le bas après les avoir dénouées, Alexandre fait tomber au sol la culotte de Nina.
Ça y est… elle est nue devant lui…et la dernière étape de l’effeuillage laisse Alexandre ébahi… deux anneaux de piercing dorés pendent aux grandes lèvres du sexe mis à nu.
Nina laisse échapper un petit rire, goûtant l’effet de surprise, et en rajoute en passant un index dans chaque anneau et en ouvrant tout grand son sexe « qu’est ce que tu penses de mes petits bijoux, Alexandre ? « demande-t-elle en gloussant…
J’ai été récemment le bénéficiaire de cette exhibition à l’occasion de mon anniversaire et sait donc ce qui se revèle là à mon pote, les grandes lèvres écartées de Nina lui laissant voir son clitoris-certainement très excité dans cette situation- le méat et juste au-dessous les petites lèvres écartées sur la fente de son vagin… C’est vraiment du chaud brûlant!
Et elle en rajoute encore en posant sa jambe gainée d’un bas blanc à coté d’Alexandre, accentuant encore le baillement de son sexe…
Le pauvre n’y tient plus et plonge sur cette vulve, saisissant Nina par les fesses et l’attirant contre sa bouche…les bruits mouillés de succion désordonnée et ma Nina qui se cambre pour recevoir le baiser sur son sexe sont un spectacle mémorable.
Ma petite femme…qu’elle fasse la salope pour moi, c’est une chose, mais la voir faire la salope -et encore plus salope qu’avec moi- avec un autre homme…j’hésite entre l’excitation de l’érotisme suffoquant du spectacle…et un sentiment de trahison…
Mon sexe, lui, ne se pose pas de question et est tendu comme jamais…Il faudrait quand même qu’elle s’occupe un peu de moi, ma Nina, au point où elle est, elle pourrait être salope pour deux!
Mais mon calvaire n’est pas terminé. Elle a vu, tâté, sucé, pompé cette grosse bite et maintenant, elle la veut en elle…Je suis resté, interdit, derrière elle, ses fesses et son plug venant masquer le visage d’Alexandre contre lequel elle a collé son ventre pour se faire lécher, celui-ci restant assis dans le canapé avec sa verge monumentale érigée. Nina décolle son ventre de la bouche de Alexandre, recule un peu et s’assied sur ses genoux en minaudant et se tortillant:
« dis-moi Alexandre, est-ce que tu as envie de me faire l’amour maintenant ?»
« Oh oui! »
« Non, non, dis-le mieux que ça… »et elle se tortille contre lui et suçote son thorax amoureusement,
« J’ai très envie de te faire jouir, ma belle! »
« Ah, ça vient, mais tu peux encore faire mieux. Dis-moi ce que tu vas me faire pour que je jouisse… parce que tu vas voir, je vais bien te faire l’amour et gémir de plaisir en me frottant contre toi, quand tu me feras ce que tu dois me dire!»
« Je vais te baiser comme jamais, ma belle! »
« J’y compte bien, mon chéri, mais avec QUOI tu vas me baiser…allez, dis-le moi, j’en ai très envie… »
Dans un éclair, nous comprenons tous les deux où elle veut en venir…
« d’abord tu vas te soulever et venir te mettre juste au-dessus de ma grosse bite…regarde par dessous, elle est là, frétillante juste devant ton petit trou...elle est grosse, hein! …et bien je vais l’enfoncer tout doucement en toi, centimètre par centimètre, …et je n’arrêterais que quand tout sera rentré et que tu crieras grâce… »
En bonne fille docile, ma Nina a obéi et s’est placée au-dessus, a saisi le sexe d’Alexandre et le guide vers l’entrée de son vagin. A mon avis, à ce moment, elle va regretter d’avoir mis ce plug qui devait déjà la distendre un peu. Mais, d’un mouvement décidé de son bassin, elle est descendue sur le sexe d’Alexandre qui s’est engagé en elle.
Ça y est, cette salope m’a fait cocu…
Un deuxième mouvement de son bassin, et c’est la moitié de la hampe du pénis d’Alexandre qui disparait…
J’ai une vue en gros-plan sur les fesses de Nina, bien écartées, son anus décoré du gros rosebud et une bite énorme se frayant un chemin dans son vagin. Elle chevauche maintenant Alexandre, sourcils froncés, concentrée sur la pénétration. Les va-et-vient se font au ralenti et elle appuie bien à chaque redescente pour faire rentrer toujours un peu plus profondément en elle cette verge massive. Malgré la promesse de l’amant de tout rentrer, il reste trois ou quatre centimètres entre elle et lui et elle a beau se dandiner de gauche à droite et d’avant en arrière, leurs pubis ne se joignent pas.
Mais la belle commence à s’émouvoir du traitement…Repu de la vision de son sexe écartelé, je me suis rassis à coté de mon pote et regarde ma femme qui lui fait l’amour.
Elle fait ça bien, les yeux mi-clos rivés dans les siens, les mains posées sur ses épaules ou sa poitrine, passant de longs moments bouche-à-bouche entrouverte, sa petite langue dans la bouche de l’autre, exhalant des soupirs de plus en plus bruyants.
Je me masturbe, une main sur la bite, l’autre sur ma femme qui commence à être moite de sueur. Nos regards se croisent et elle me fait un grand sourire complice, et se redresse à califourchon pour que je la vois mieux en train de jouir...Ça y est, elle est en plein dans son plaisir, expirant en gémissant, avec de temps en temps un cri de surprise lui faisant ouvrir des yeux ronds lorsqu’elle reçoit un coup de boutoir plus fort que les autres…
Alexandre s’est accroché à ses hanches et s’affaire avec enthousiasme aussi…ses mains volent des seins aux épaules, des hanches aux fesses qu’il pétrit avec délice…
Près d’un quart d’heure que ça dure-une éternité pour moi…-
J’entends maintenant le claquement des deux ventres se heurtant à chaque pénétration, je me penche pour profiter du spectacle des fesses de ma belle et, ça y est, à chaque coup de rein, c’est les 24 cm de bite qui s’engouffrent en totalité dans le sexe de ma femme, le rosebud dans son anus étant repoussé de l’intérieur et s’agitant au gré des spasmes de leur plaisir…quelle salope…mais c’est moi qui l’ai conduite à ça, donc - ne soyons pas injuste - c’est une belle et bonne salope...
« Non mais, les petits gars, vous savez qu’on est trois et que je me sens exclu, là!? »
Alexandre et Nina éclatent de rire. Restant embrochée à califourchon sur sa monture -sur son pieu- Nina s’incline et vient m’embrasser à pleine bouche.
« Je ne t’oublie pas, mon petit Paul chéri, mmmmh, vous êtes tous les deux à mon menu… Mais je croyais que tu profitais du spectacle, là! » ajoute-t-elle en tournant la tête vers le bas de son dos, sachant très bien que je matais par derrière sa pénétration en gros plan.
« Alors, alors,…puisqu’on est trois, qu’est-ce qu’on pourrait bien faire …» dit-elle en se tenant pensivement le menton comme sujette à une intense réflexion. - On se le demande!…-
« Ah, j’ai trouvé! » et elle se relève tout doucement, lentement, consciente qu’Alexandre et moi on guette, hagards, le mandrin qui réapparait centimètre par centimètre en sortant de son vagin. Lorsque le gland réapparait, un bruit de succion marque sa sortie. Nina, avec un petit soupir satisfait, s’assied à coté d’Alexandre, cuisses écartées et nous montre son ventre béant, ouvert au format de la bite monstrueuse qui vient de sortir…elle se détend lentement et son orifice se resserre doucement…
« Voilà! Et maintenant, qui est-ce qui veut jouer avec ce petit joujou?« demande Nina en saisissant le cristal du rosebud planté dans son petit trou. En guise de réponse, c’est quatre mains qui s’avancent avidement…
« Doucement, les garçons…Il ne faut pas me casser… enfin pas tout de suite… « glousse-t-elle.
« Il faut par-ta-ger! Je suis à vous deux, mais il vous faut choisir votre camp! Alexandre, tu as commencé -mmmmh! bien commencé- ici, alors là, c’est pour Paul! D’accord? »
D’un air boudeur Alexandre répond:
« Hummm, j’aurais bien aimé passer par là aussi… » et il prend le plug en lui imprimant des va-et-vient de quelques centimètres. La boule du plug, enchâssée dans la belle, réapparait en une couronne de trois/quatre centimètres, élargissant progressivement son petit trou…
« Non, non, ça c’est pour Paul… toi, -sale gosse- tu joues à l’étage au-dessus! » et joignant le geste à la parole, elle prend les mains d’Alexandre et les remonte vers les anneaux de ses grandes lèvres et prenant l’index d’une de ses main, elle le pose sur son clitoris » allez, sois gentil, caresse-moi là… tu n’aimes pas me donner du plaisir? » minaude-t-elle.
« Allez les garçons, au travail! Préparez moi à cette double pénétration! Depuis le temps que j’en ai envie! Et toi Paul vas-y mollo avec mon petit cul, parce que déjà la bite d’Alexandre dans mon ventre, c’est limite… »
Je suis allé chercher du gel intime et en ai enduit ma belle, du pubis jusqu’à la raie des fesses. Toute luisante, les cuisses grandes ouvertes, encore plus belle, elle s’est laissée aller en arrière dans les coussins, nous laissant papouiller en elle.
Alexandre tournicote autour de son clitoris et m’envoie une oeillade à chaque fois que d’un petit coup de doigt malicieux sur son bouton, il la fait sursauter en lui arrachant un gémissement. Pendant qu’Alexandre ravive son plaisir, j’élargis doucement son petit trou pour la préparer à la sodomie. Je ressors maintenant presque complètement le plug à chaque va-et-vient, son petit anneau s’ouvrant de cinq centimètres à chaque fois. Je continue ainsi tant que l’anneau se referme instantanément…Ses soupirs enflent et maintenant elle bouge son bassin pour accompagner le va-et-vient…le message est clair, elle est prête, surtout que maintenant, le plug coulisse presque librement dans son trou distendu et béant.
L’heure de vérité est venue!
Alexandre s’est rassis au milieu du canapé et Nina enfourche sa monture, la grosse verge retrouvant instantanément sa place dans son ventre. Ne bougeant plus, plaquée sur son amant également immobile, la croupe relevée, elle me souffle :
« vas-y, maintenant! »
J’ai devant moi son entrejambe ouvert par Alexandre qui a agrippé ses fesses et les ouvre largement, avec son vagin occupé par cette bite qui prend toute la place et laisse son petit oeillet aplati au-dessus.
Je guide mon pénis qui n’a jamais été aussi raide vers la petite porte…
Contact…, elle sursaute et m’encourage d’un murmure :
» oui, vas’y! »
J’appuie, j’appuie de plus en plus fort. Mon sexe hésite entre les deux orifices, les poussées me font glisser tantôt contre son anus, tantôt sur le bord de son vagin déjà comblé… puis soudain, je commence à m’enfoncer en elle,
« ooooh, mon dieu, ouiii! » gémit-t-elle en même temps.
Je m’enfonce progressivement en elle, approfondissant la sodomie à chaque aller et me trouve vite à claquer mon ventre sur ses fesses.
Dans son ventre, je sens le sexe immobile de Alexandre qui palpite au-dessous du mien dans l’orifice voisin…
Nina commence à bouger à son tour, elle monte et descend doucement sur sa monture, me laissant le soin de suivre ses mouvements en m’ajustant en hauteur.
La sensation de cette présence étrangère dans son vagin s’accentue au gré des mouvements que nous réglons maintenant de manière à la pénétrer simultanément et ressortir tout doucement…c’est le souffle de Nina qui nous guide maintenant. Sa respiration profonde qui prend de l’ampleur et devient halètement nous stimule et les pénétrations deviennent plus profondes et énergiques…Elle aime et nous le fait savoir :
« oh mes chéris, c’est boooon! … je vous aaaaaaaaime! »
Nous sommes agrippés à elle, Alexandre enserrant ses hanches, moi tenant ses bras en arrière, elle n’a plus le contrôle et entre deux respirations, dit des mots incohérents : « encore…, profond…, plus dedans…, vite…, n’en peux plus…, je viens…, vais mourir… AAAAHHAA!!!…»
Son orgasme déclenche nos éjaculations simultanées et je sens les spasmes du chibre de Alexandre se vidant en elle.
Nous nous écroulons sur le coté, moi tenant la croupe de ma belle, elle tenant Alexandre dans ses bras, une jambe passée par-dessus les sienne et contre laquelle pend son pénis avachi mais encore décaloté.
Un ange passe…
Nina est la première à reprendre ses esprits:
« Pfou! C’est pas tout çà, mais j’ai un petit creux maintenant, les garçons!
On va au restaurant ? Parce qu’il n’y a rien de prêt à manger Ici… »
« Tu es sûre?…parce qu’on a pas très envie de bouger maintenant… »
« holà, dites-moi ce que vous préférez, les mecs, une femme qui vient à la neige avec vous pour vous faire des bons petits plats? Ou une nana que vous aller devoir emmener tous les jours au restaurant … mais qui vous fera le grand jeu en rentrant et que vous pourrez baiser à mort! »
On est allé au restaurant!…pendant toutes les vacances!
Les vacances de Février au ski, avec notre copain Alexandre et sa copine - jamais la même- sont devenues une tradition qui se perpétue d’année en année.
Exceptionnellement, Alexandre est venu tout seul cette année -largué par sa copine juste une semaine avant le départ-. Il fanfaronne en disant qu’il n’a pas eu le temps de « renouveler le personnel », mais il a le moral dans les chaussettes, le pauvre.
Pourtant, la vie est belle dans cet appartement où nous avons pris nos habitudes, dans une confortable résidence pourvue de piscine, spa et autres hamam et sauna qui permettent de se détendre après « l’effort ».
Après une longue et fatigante journée à dévaler les pentes, on finit la journée à la piscine et au sauna, ce qui nous laisse ce jour-là en pyjama dans le séjour, détendus et avachis dans le canapé.
On était ainsi bien tranquilles, mon pote Alexandre et moi, hésitant pour finir agréablement cette bonne journée entre la partie de carte et la beuverie de rhum…ou peut-être bien les deux…
« Alors, les garçons, qu’est ce que vous faites ce soir? »
On a immédiatement compris que ce ne serait ni carte, ni rhum… Parce que celle qui nous posait cette question, perchée sur ses hauts talons, les mains sur les hanches et un rien cambrée en arrière, n’était vêtue que d’un soutien-gorge de tulle blanc et d’une culotte volantée assortie. Des petites manchettes au poignets, un porte-jarretelle, une jarretière à la cuisse, des bas blancs et un tour de cou assortis complétaient la délicieuse panoplie, ne recouvrant qu’une bien faible proportion de sa peau bronzée.
L’éclairage d’ambiance feutré, avec deux spots de lumière noire apparus au fond de la pièce comme par miracle, faisait ressortir de manière fluorescente les minuscules morceaux d’étoffe de sa tenue sexy, contrastant avec sa peau bronzée restant sombre. A l’évidence, la belle avait prémédité sa petite affaire…et l’effet de surprise était total!
Gloups! Nous avons avalé notre salive.
Nous n’eûmes pas le temps de répondre qu’elle enchainait: « je vous sers un petit verre, j’ai l’impression que vous avez soif à en juger par vos langues qui pendent… » et joignant le geste à la parole, elle se dirige vers le buffet où sont verres et boissons… en nous présentant son coté pile…Juste une petite ficelle dans le dos pour le soutif , une ficelle pour la ceinture porte-jarretelle et une autre à hauteur des reins pour la culotte…et un rosebud avec son cristal blanc éclatant qui trône entre ses fesses sous la ficelle de sa culotte!
Nous sommes restés muets…les yeux exorbités et la gorge sèche… mais nous sentions déjà nos sexes gonfler et se dresser dans nos pantalons de pyjama.
Il faut dire que la belle qui nous allume, là, c’est Nina, ma fidèle épouse depuis toujours…
Elle a toujours aimé le sexe, et j’en suis le bienheureux bénéficiaire puisqu’avec elle, j’ai toujours été gâté…D’abord et pendant des années, son sexe m’a comblé …ou plutôt j’ai comblé le sien, gratifié de ses halètements et d’un « Mmmmmm, je jouis… »juste avant l’orgasme…
Ensuite, nous nous sommes encanaillés - ou avons évolué…- et elle a appris la fellation, moi le cunilingus, la sodomie, on a essayé les sextoys, d’abord des godes de grande taille pour la voir béante, puis les plugs pour qu’elle soit doublement stimulée…Elle a tout aimé…
Notre dernière découverte, c’est qu’au final elle est autant clitoridienne que vaginale, les sextoys vibrants glissés sur son clitoris la mettant dans un état second…nous nous sommes aménagé une pièce - un baisodrome- avec lit, table de massage , croix de saint-andré où elle se fait ligoter dans des postures toujours plus indécentes…mais si délicieuses. J’adore la faire gémir de plaisir et le spectacle qu’elle m’offre ainsi est devenu le préliminaire habituel au coït qui s’ensuit en apothéose.
Sa pudeur s’est aussi envolée …après les premières années soft, elle s’est peu à peu délurée, ses bikinis se réduisant comme peau de chagrin sur la plage, puis devenant monokini, puis nudité totale… Elle s’offre maintenant à mes caresses avec les cuisses ouvertes et le sexe béant, voire même écartelé par un petit joujou adhoc lui pinçant et écartant les grandes lèvres pour exposer le rose de son clitoris et de l’ouverture de son vagin aux petites lèvres palpitantes.
Bref, une » bonne baiseuse « avec laquelle je ne m’ennuie pas…
Récemment, elle s’est mise à nous passer du porno pendant qu’on fait l’amour. J’ai bien compris qu’elle choisissait les films comme on choisit à la carte au restaurant pour me montrer ce dont elle avait envie… sans oser le dire. Alors, je regarde le menu…et j’essaie de l’exaucer évidemment, pour notre plaisir réciproque.
Une fois qu’on était revenu d’une soirée chez Alexandre, elle m’avait sauté dessus - très excitée- et présentant son sexe détrempé et prêt à l’amour sans préliminaire, en me soufflant crûment à l’oreille « ta petite salope a besoin d’être satisfaite… »
Depuis, les films pornos, s’ils sont plutôt ceux que j’aime, avec de belles filles soumises ligotées, exposées, caressées, masturbées puis baisées…ont en commun qu’il y a toujours deux hommes avec la belle et que celle-ci finit invariablement baisée et sodomisée en une double pénétration…
C’est pour ça que j’ai offert à Nina un petit rosebud en silicone noir pour combler son deuxième orifice quand on fait l’amour. Et le petit rosebud en silicone est vite devenu un pesant rosebud acier avec son cristal rose, puis même un imposant rosebud xl à cristal blanc dont l’intromission la met aux limites de ce qu’elle peut recevoir.
Et ce soir, Nina arbore ce fameux rosebud blanc - signe annonciateur de séance de sodomie - et qu’elle s’est de plus introduit toute seule alors qu’à l’habitude, il ne prend place qu’après qu’un de ses petits frères ait ouvert la voie et le grand frère placé uniquement de ma main…
Donc, avec ce show sexy que ma belle nous offre ce soir à moi et mon pote Alexandre, j’ai une idée très précise de là où elle veut en venir, avec passage à l’acte de son fantasme de triolisme.
Je ne l’aurais pas demandé moi-même… trop jaloux…mais puisqu’elle se lance, hé bien, mon pote (qui, bien que cela reste non-dit entre nous, a envie de la baiser depuis toujours…) et moi, on va lui offrir la soirée dont elle a envie et qu’elle aura bien mérité en n’ayant si visiblement et agréablement pour nous pas ménagé ses efforts.
Elle va donc enfin faire l’amour avec deux hommes en même temps … et, tant qu’à ce que cela se fasse, j’aime autant être l’un des deux élus.
Donc, notre belle (ce soir, elle ne l’est pas que pour moi…) revient avec des shooters de rhum, s’agenouille devant nous entre mon pote et moi en se dandinant sensuellement et nous donne nos verres avec un grand sourire.
« Vous avez envie d’autre chose? »demande-t-elle avec une petite moue qui en dit long sur la nature de l’offre. Ses longues mains se posent sur nos braguettes pendant qu’elle se passe la langue sur les lèvres en une invitation sans équivoque…Une vraie star de porno ce soir!
Alexandre n’y tient plus, et après un petit coup d’oeil de mon coté pour être sur d’y être autorisé, il avance une main qu’il pose sur elle à la jonction du cou avec l’épaule. Son pouce glisse sur sa bouche en une invitation explicite à laquelle elle répond aussitôt en suçant ce pouce, lui laissant imaginer comment elle va bientôt sucer son sexe. La main descend vers sa poitrine, passe légèrement sur son sein comme pour en mesurer le volume, confortable, puis remonte vers l’épaule pour saisir la bretelle du soutien-gorge et la descendre.
Son sein gauche apparait, avec un anneau percé dans le téton. Alexandre a un petit hoquet de surprise à la vue de cet anneau qu’il ne connait pas. Il est vrai que cet anneau de piercing, et quelques autres, furent le tout récent cadeau d’anniversaire que ma petite femme m’a offert!
La main d’Alexandre empaume ce sein comme pour le soupeser et son pouce passe sur le téton et en soulève l’anneau. Nina frémit car ses piercings sont encore très sensibles, mais en bonne courtisane , elle sait entretenir le désir et d’une petite secousse d’épaule, elle fait glisser la bretelle droite, son soutien-gorge ne tenant plus que bloqué sur son téton droit dont on devine aussi au travers du tulle du balconnet l’anneau percé…Elle se penche un peu, lève la main posée sur la braguette d’Alexandre et lui prend le poignet gauche pour guider sa main gauche sur son sein droit. Tenant les deux mains d’Alexandre plaquées sur ses seins, elle se penche vers son visage, bouche ouverte, le bout de sa langue prêt à s’emmêler en un french kiss.
Leurs bouches se joignent, leurs langues se mêlent dans un souffle rauque de désir brûlant, les mains d’Alexandre pétrissent langoureusement ces gros seins dont il rêvait, se crispant alternativement sur un sein puis l’autre…Nina a lâché les poignets d’Alexandre dont les mains sont maintenant bien ancrées à ses seins, et c’est maintenant elle qui part en exploration par la braguette du pyjama. Elle sursaute lorsqu’elle lui saisit le sexe…Je me doute qu’elle vient de découvrir le format inhabituel de cette verge que pour ma part je connais car Alexandre n’est pas peu fier de son » outil » comme il l’appelle, et l’exhibe facilement aux copains, revendiquant 24cm en position de combat et un calibre de plus de six centimètres…En mon for intérieur, je me dis que ma belle ne va pas regretter nos jeux de gode qui l’ont sans le savoir préparée à ce qui l’attend…
Leurs lèvres se séparent et, en se reculant, Nina me jette un petit coup d’œil en coin, avec un léger haussement de sourcil interrogatif qui semble vouloir dire « tu crois que je vais réussir à me faire un truc pareil…? ». Je lui réponds par un grand sourire qui signifie: « tu l’as voulu, alors maintenant, tu ne peux plus reculer et il faut assumer! »
Elle ne se dégonfle pas, ma belle, et sa main émerge du pyjama, tenant par le milieu une verge déjà impressionnante en volume…Sa bouche s’avance et sa langue titille son extrémité. Alexandre réagit aussitôt avec un grognement et son gland se décalote en même temps que sa verge finit de gonfler et de se déployer …Avec un « mmmh »de satisfaction à la vue de ce qu’elle vient de provoquer, la tête de Nina plonge sur cette verge qu’elle gobe au plus profond de sa bouche d’un seul mouvement qui arrache à Alexandre une exclamation « ah la saloooope! »
Les minutes passent et la tête de Nina monte et descend langoureusement sur cette verge, ses mains tâtant sa base, jouant avec les bourses au travers desquelles elle soupèse les testicules… On sent qu’elle prend plaisir à cette situation unique, elle essaie même d’avaler le gland pour approfondir la pénétration dans sa gorge mais doit renoncer dans une quinte de toux…Je suis bien obligé d’admettre que je n’ai jamais eu droit moi-même à une fellation aussi déterminée...
Comme la situation est d’un érotisme torride, ma verge -désespérément ordinaire par sa taille en comparaison-est tendue à se rompre et je me suis rapproché du théâtre des opérations… placée derrière elle, je sens sens les mouvements d’allée et venue de sa bouche, mais qu’elle accompagne de tout son corps comme si la verge qu’elle suce la transperçait déjà...
Je la fait se relever devant Alexandre qui arbore un sourire béat.
Je palpe par derrière ces seins - que je connais si bien - mais que j’ai l’impression de découvrir tant la situation est nouvelle. Je caresse ses épaules … et je les débarrasse du cordon noué du soutien-gorge qui tombe au sol.
Elle écarte les bras en croix, en comprenant que je vais finir de la déshabiller là, à cinquante centimètres devant Alexandre, s’exhibant pour qu’il profite bien du spectacle…
Puis je caresse son dos… que je débarrasse de la ceinture porte-jarretelle nouée par derrière. Elle lève la jambe gauche qu’elle pose à coté d’Alexandre pour qu’il participe et dégrafe les jarretelles arrimées à son bas. Ses mains palpent cette cuisse gainée d’un bas blanc et remontent peu à peu jusqu’à la culotte qu’elles frôlent au niveau du triangle pubien. Nina change de jambe et la ceinture porte-jarretelle, entièrement dégrafée des bas, rejoint son soutien-gorge au sol. Pour cette jambe, les mains d’Alexandre sont remontées le long des cuisses jusqu’aux fesses, son index recherchant à tâton le plug planté entre ses fesses…Je tends maintenant à Alexandre un des cordons nouant sa culotte, qu’il saisit et tire tout doucement avec un grand sourire, son regard allant des yeux de Nina à sa ceinture. Nina, toujours bras écarté, le défie du regard, fière de s’exhiber et du désir qu’elle provoque…Sa culotte, maintenant dénouée d’un côté, reste accrochée autour de l’autre jambe, mais laisse apercevoir le haut de son pubis lisse…Nina est entièrement rasée…Lorsqu’elle est nue, la fente de son sexe est visible et le moindre écart des jambes révèle les détails intimes de son anatomie.
Alexandre tend la main et caresse son ventre, descendant en zig-zag depuis le nombril vers le pubis aussi bronzé que le reste. Nina se dandine d’une jambe sur l’autre pour faire bailler et glisser la culotte encore à moitié nouée. Elle abaisse soudain les bras, saisit les deux cordons du noeud restant et les tend à Alexandre, la tête inclinée en signe d’invitation à finir de la déshabiller.
Alexandre ne se fait pas prier et tire les ficelles, la culotte se détache mais reste pincée dans l’entrejambe de Nina. Tirant les ficelles vers le bas après les avoir dénouées, Alexandre fait tomber au sol la culotte de Nina.
Ça y est… elle est nue devant lui…et la dernière étape de l’effeuillage laisse Alexandre ébahi… deux anneaux de piercing dorés pendent aux grandes lèvres du sexe mis à nu.
Nina laisse échapper un petit rire, goûtant l’effet de surprise, et en rajoute en passant un index dans chaque anneau et en ouvrant tout grand son sexe « qu’est ce que tu penses de mes petits bijoux, Alexandre ? « demande-t-elle en gloussant…
J’ai été récemment le bénéficiaire de cette exhibition à l’occasion de mon anniversaire et sait donc ce qui se revèle là à mon pote, les grandes lèvres écartées de Nina lui laissant voir son clitoris-certainement très excité dans cette situation- le méat et juste au-dessous les petites lèvres écartées sur la fente de son vagin… C’est vraiment du chaud brûlant!
Et elle en rajoute encore en posant sa jambe gainée d’un bas blanc à coté d’Alexandre, accentuant encore le baillement de son sexe…
Le pauvre n’y tient plus et plonge sur cette vulve, saisissant Nina par les fesses et l’attirant contre sa bouche…les bruits mouillés de succion désordonnée et ma Nina qui se cambre pour recevoir le baiser sur son sexe sont un spectacle mémorable.
Ma petite femme…qu’elle fasse la salope pour moi, c’est une chose, mais la voir faire la salope -et encore plus salope qu’avec moi- avec un autre homme…j’hésite entre l’excitation de l’érotisme suffoquant du spectacle…et un sentiment de trahison…
Mon sexe, lui, ne se pose pas de question et est tendu comme jamais…Il faudrait quand même qu’elle s’occupe un peu de moi, ma Nina, au point où elle est, elle pourrait être salope pour deux!
Mais mon calvaire n’est pas terminé. Elle a vu, tâté, sucé, pompé cette grosse bite et maintenant, elle la veut en elle…Je suis resté, interdit, derrière elle, ses fesses et son plug venant masquer le visage d’Alexandre contre lequel elle a collé son ventre pour se faire lécher, celui-ci restant assis dans le canapé avec sa verge monumentale érigée. Nina décolle son ventre de la bouche de Alexandre, recule un peu et s’assied sur ses genoux en minaudant et se tortillant:
« dis-moi Alexandre, est-ce que tu as envie de me faire l’amour maintenant ?»
« Oh oui! »
« Non, non, dis-le mieux que ça… »et elle se tortille contre lui et suçote son thorax amoureusement,
« J’ai très envie de te faire jouir, ma belle! »
« Ah, ça vient, mais tu peux encore faire mieux. Dis-moi ce que tu vas me faire pour que je jouisse… parce que tu vas voir, je vais bien te faire l’amour et gémir de plaisir en me frottant contre toi, quand tu me feras ce que tu dois me dire!»
« Je vais te baiser comme jamais, ma belle! »
« J’y compte bien, mon chéri, mais avec QUOI tu vas me baiser…allez, dis-le moi, j’en ai très envie… »
Dans un éclair, nous comprenons tous les deux où elle veut en venir…
« d’abord tu vas te soulever et venir te mettre juste au-dessus de ma grosse bite…regarde par dessous, elle est là, frétillante juste devant ton petit trou...elle est grosse, hein! …et bien je vais l’enfoncer tout doucement en toi, centimètre par centimètre, …et je n’arrêterais que quand tout sera rentré et que tu crieras grâce… »
En bonne fille docile, ma Nina a obéi et s’est placée au-dessus, a saisi le sexe d’Alexandre et le guide vers l’entrée de son vagin. A mon avis, à ce moment, elle va regretter d’avoir mis ce plug qui devait déjà la distendre un peu. Mais, d’un mouvement décidé de son bassin, elle est descendue sur le sexe d’Alexandre qui s’est engagé en elle.
Ça y est, cette salope m’a fait cocu…
Un deuxième mouvement de son bassin, et c’est la moitié de la hampe du pénis d’Alexandre qui disparait…
J’ai une vue en gros-plan sur les fesses de Nina, bien écartées, son anus décoré du gros rosebud et une bite énorme se frayant un chemin dans son vagin. Elle chevauche maintenant Alexandre, sourcils froncés, concentrée sur la pénétration. Les va-et-vient se font au ralenti et elle appuie bien à chaque redescente pour faire rentrer toujours un peu plus profondément en elle cette verge massive. Malgré la promesse de l’amant de tout rentrer, il reste trois ou quatre centimètres entre elle et lui et elle a beau se dandiner de gauche à droite et d’avant en arrière, leurs pubis ne se joignent pas.
Mais la belle commence à s’émouvoir du traitement…Repu de la vision de son sexe écartelé, je me suis rassis à coté de mon pote et regarde ma femme qui lui fait l’amour.
Elle fait ça bien, les yeux mi-clos rivés dans les siens, les mains posées sur ses épaules ou sa poitrine, passant de longs moments bouche-à-bouche entrouverte, sa petite langue dans la bouche de l’autre, exhalant des soupirs de plus en plus bruyants.
Je me masturbe, une main sur la bite, l’autre sur ma femme qui commence à être moite de sueur. Nos regards se croisent et elle me fait un grand sourire complice, et se redresse à califourchon pour que je la vois mieux en train de jouir...Ça y est, elle est en plein dans son plaisir, expirant en gémissant, avec de temps en temps un cri de surprise lui faisant ouvrir des yeux ronds lorsqu’elle reçoit un coup de boutoir plus fort que les autres…
Alexandre s’est accroché à ses hanches et s’affaire avec enthousiasme aussi…ses mains volent des seins aux épaules, des hanches aux fesses qu’il pétrit avec délice…
Près d’un quart d’heure que ça dure-une éternité pour moi…-
J’entends maintenant le claquement des deux ventres se heurtant à chaque pénétration, je me penche pour profiter du spectacle des fesses de ma belle et, ça y est, à chaque coup de rein, c’est les 24 cm de bite qui s’engouffrent en totalité dans le sexe de ma femme, le rosebud dans son anus étant repoussé de l’intérieur et s’agitant au gré des spasmes de leur plaisir…quelle salope…mais c’est moi qui l’ai conduite à ça, donc - ne soyons pas injuste - c’est une belle et bonne salope...
« Non mais, les petits gars, vous savez qu’on est trois et que je me sens exclu, là!? »
Alexandre et Nina éclatent de rire. Restant embrochée à califourchon sur sa monture -sur son pieu- Nina s’incline et vient m’embrasser à pleine bouche.
« Je ne t’oublie pas, mon petit Paul chéri, mmmmh, vous êtes tous les deux à mon menu… Mais je croyais que tu profitais du spectacle, là! » ajoute-t-elle en tournant la tête vers le bas de son dos, sachant très bien que je matais par derrière sa pénétration en gros plan.
« Alors, alors,…puisqu’on est trois, qu’est-ce qu’on pourrait bien faire …» dit-elle en se tenant pensivement le menton comme sujette à une intense réflexion. - On se le demande!…-
« Ah, j’ai trouvé! » et elle se relève tout doucement, lentement, consciente qu’Alexandre et moi on guette, hagards, le mandrin qui réapparait centimètre par centimètre en sortant de son vagin. Lorsque le gland réapparait, un bruit de succion marque sa sortie. Nina, avec un petit soupir satisfait, s’assied à coté d’Alexandre, cuisses écartées et nous montre son ventre béant, ouvert au format de la bite monstrueuse qui vient de sortir…elle se détend lentement et son orifice se resserre doucement…
« Voilà! Et maintenant, qui est-ce qui veut jouer avec ce petit joujou?« demande Nina en saisissant le cristal du rosebud planté dans son petit trou. En guise de réponse, c’est quatre mains qui s’avancent avidement…
« Doucement, les garçons…Il ne faut pas me casser… enfin pas tout de suite… « glousse-t-elle.
« Il faut par-ta-ger! Je suis à vous deux, mais il vous faut choisir votre camp! Alexandre, tu as commencé -mmmmh! bien commencé- ici, alors là, c’est pour Paul! D’accord? »
D’un air boudeur Alexandre répond:
« Hummm, j’aurais bien aimé passer par là aussi… » et il prend le plug en lui imprimant des va-et-vient de quelques centimètres. La boule du plug, enchâssée dans la belle, réapparait en une couronne de trois/quatre centimètres, élargissant progressivement son petit trou…
« Non, non, ça c’est pour Paul… toi, -sale gosse- tu joues à l’étage au-dessus! » et joignant le geste à la parole, elle prend les mains d’Alexandre et les remonte vers les anneaux de ses grandes lèvres et prenant l’index d’une de ses main, elle le pose sur son clitoris » allez, sois gentil, caresse-moi là… tu n’aimes pas me donner du plaisir? » minaude-t-elle.
« Allez les garçons, au travail! Préparez moi à cette double pénétration! Depuis le temps que j’en ai envie! Et toi Paul vas-y mollo avec mon petit cul, parce que déjà la bite d’Alexandre dans mon ventre, c’est limite… »
Je suis allé chercher du gel intime et en ai enduit ma belle, du pubis jusqu’à la raie des fesses. Toute luisante, les cuisses grandes ouvertes, encore plus belle, elle s’est laissée aller en arrière dans les coussins, nous laissant papouiller en elle.
Alexandre tournicote autour de son clitoris et m’envoie une oeillade à chaque fois que d’un petit coup de doigt malicieux sur son bouton, il la fait sursauter en lui arrachant un gémissement. Pendant qu’Alexandre ravive son plaisir, j’élargis doucement son petit trou pour la préparer à la sodomie. Je ressors maintenant presque complètement le plug à chaque va-et-vient, son petit anneau s’ouvrant de cinq centimètres à chaque fois. Je continue ainsi tant que l’anneau se referme instantanément…Ses soupirs enflent et maintenant elle bouge son bassin pour accompagner le va-et-vient…le message est clair, elle est prête, surtout que maintenant, le plug coulisse presque librement dans son trou distendu et béant.
L’heure de vérité est venue!
Alexandre s’est rassis au milieu du canapé et Nina enfourche sa monture, la grosse verge retrouvant instantanément sa place dans son ventre. Ne bougeant plus, plaquée sur son amant également immobile, la croupe relevée, elle me souffle :
« vas-y, maintenant! »
J’ai devant moi son entrejambe ouvert par Alexandre qui a agrippé ses fesses et les ouvre largement, avec son vagin occupé par cette bite qui prend toute la place et laisse son petit oeillet aplati au-dessus.
Je guide mon pénis qui n’a jamais été aussi raide vers la petite porte…
Contact…, elle sursaute et m’encourage d’un murmure :
» oui, vas’y! »
J’appuie, j’appuie de plus en plus fort. Mon sexe hésite entre les deux orifices, les poussées me font glisser tantôt contre son anus, tantôt sur le bord de son vagin déjà comblé… puis soudain, je commence à m’enfoncer en elle,
« ooooh, mon dieu, ouiii! » gémit-t-elle en même temps.
Je m’enfonce progressivement en elle, approfondissant la sodomie à chaque aller et me trouve vite à claquer mon ventre sur ses fesses.
Dans son ventre, je sens le sexe immobile de Alexandre qui palpite au-dessous du mien dans l’orifice voisin…
Nina commence à bouger à son tour, elle monte et descend doucement sur sa monture, me laissant le soin de suivre ses mouvements en m’ajustant en hauteur.
La sensation de cette présence étrangère dans son vagin s’accentue au gré des mouvements que nous réglons maintenant de manière à la pénétrer simultanément et ressortir tout doucement…c’est le souffle de Nina qui nous guide maintenant. Sa respiration profonde qui prend de l’ampleur et devient halètement nous stimule et les pénétrations deviennent plus profondes et énergiques…Elle aime et nous le fait savoir :
« oh mes chéris, c’est boooon! … je vous aaaaaaaaime! »
Nous sommes agrippés à elle, Alexandre enserrant ses hanches, moi tenant ses bras en arrière, elle n’a plus le contrôle et entre deux respirations, dit des mots incohérents : « encore…, profond…, plus dedans…, vite…, n’en peux plus…, je viens…, vais mourir… AAAAHHAA!!!…»
Son orgasme déclenche nos éjaculations simultanées et je sens les spasmes du chibre de Alexandre se vidant en elle.
Nous nous écroulons sur le coté, moi tenant la croupe de ma belle, elle tenant Alexandre dans ses bras, une jambe passée par-dessus les sienne et contre laquelle pend son pénis avachi mais encore décaloté.
Un ange passe…
Nina est la première à reprendre ses esprits:
« Pfou! C’est pas tout çà, mais j’ai un petit creux maintenant, les garçons!
On va au restaurant ? Parce qu’il n’y a rien de prêt à manger Ici… »
« Tu es sûre?…parce qu’on a pas très envie de bouger maintenant… »
« holà, dites-moi ce que vous préférez, les mecs, une femme qui vient à la neige avec vous pour vous faire des bons petits plats? Ou une nana que vous aller devoir emmener tous les jours au restaurant … mais qui vous fera le grand jeu en rentrant et que vous pourrez baiser à mort! »
On est allé au restaurant!…pendant toutes les vacances!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de ton message.
Cela fait du bien que de temps en temps un petit retour des lecteurs suive une
parution...
Eh bien Lamiche31, puisque l’histoire que j’ai écrite là t’inspire, à ton stylo, vite!
Je me ferai un plaisir de la lecture de ta prochaine histoire sur HDS...
Et en attendant, grâce à ce message, je découvre tes premières histoires et ton profil de
« jeune fille pas trop (pas du tout...) sage!
A lire bientôt les aventures de Martine! Lamiche31
Bises électroniques!
Cela fait du bien que de temps en temps un petit retour des lecteurs suive une
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Eh bien Lamiche31, puisque l’histoire que j’ai écrite là t’inspire, à ton stylo, vite!
Je me ferai un plaisir de la lecture de ta prochaine histoire sur HDS...
Et en attendant, grâce à ce message, je découvre tes premières histoires et ton profil de
« jeune fille pas trop (pas du tout...) sage!
A lire bientôt les aventures de Martine! Lamiche31
Bises électroniques!
Ton histoire me rappelle la notre, après une soirée en boîte, on a raccompagnele pote de
mon matin et on a fini tous les 3 dans sont lit. Mon chéri à beaucoup aimé et moi j'ai
adoré. On a recommencé plusfois avec double pénétration vaginale et double pénétration,
mon mari dans mon minou et son pote dans mes fesses. Avdc l'accord de mon mari, il venait
ensuite me faire l'amour chaque fois que mon mari était en depla6,
mon matin et on a fini tous les 3 dans sont lit. Mon chéri à beaucoup aimé et moi j'ai
adoré. On a recommencé plusfois avec double pénétration vaginale et double pénétration,
mon mari dans mon minou et son pote dans mes fesses. Avdc l'accord de mon mari, il venait
ensuite me faire l'amour chaque fois que mon mari était en depla6,