Soirée à thème au Club
Récit érotique écrit par Constant [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Soirée à thème au Club
Mon épouse, Nina, est une petite coquine. Après dix ans de mariage et deux enfants, elle renâcle à l’idée d’être devenue trop sagement mère de famille au foyer à trente-cinq ans… C’est ainsi qu’en bonne petite bourgeoise désoeuvrée qu’elle est, elle s’est mise en tête d’épicer notre vie sexuelle. Et après bien des allusions légères, puis des allusions de plus en plus appuyées, j’ai compris qu’elle avait envie d’explorer une boite libertine et qu’il faudrait y passer pour satisfaire sa curiosité et ses nouvelles envies…
Comme chacun sait : que femme veut!…mais laissons Dieu en dehors de ces caprices qui sont rien moins que « pas catholiques »…
Toujours est-il que, tuyauté par mon pote Antoine, ( réputé pour sa vie de patachon!…) ce soir là, nous nous rendions « Au Clandé », le club à la réputation sulfureuse du moment... Nina, impatiente comme une collégienne, se languissait de cette soirée et gambergeait depuis plusieurs jours sur la tenue qu’elle porterait. Elle m’en parlait depuis le soir où nous nous étions décidés à cette soirée. Collée contre moi dans le lit, avec un regard coquin, elle me demandait comment j’aimerais la voir ; smart, sexy soft, sexy hard…ou carrément salope! Elle me proposait des tenues que je croyais réservées à notre intimité, et à l’évidence, ses envies vestimentaires penchaient franchement pour le registre « carrément salope »
Ces éventualités l’émoustillaient tellement que, l’oeil brillant et après un ou deux essayages, elle finissait par s’interrompre pour m’enfourcher sans plus de préliminaires et me faire bruyamment l’amour… ce qui n’était pas pour me déplaire…
Notre dernière évocation de sa tenue sexy, la veille-même de la soirée, avait arrêté qu’elle porterait juste une robe courte en tulle noir légèrement transparente, et au-dessous, le bikini rose fluorescent que je lui avais récemment offert pour qu’elle fasse trempette avec moi dans notre spa…Ce bikini, en fait un micro-bikini avec juste trois triangles de seulement sept centimètres de coté et quelques ficelles, transparaitrait légèrement au travers du noir de sa robe en raison de sa couleur éclatante, avec les ficelles dos et cou du soutien-gorge qui pendraient dans le dos échancré de sa robe et les ficelles nouant de coté son string qui dépasseraient jusqu’au dessous de la robe si courte le long de ses cuisses…Le registre retenu confirme sans appel ma première impression. Carrément salope!
C’est le jour. Elle a mis son long manteau de faux-mouton noir (écolo et amie des animaux oblige) qui la laisse apparemment très soft pour son parcours dans la rue de la voiture à l’entrée du club. Seuls ses escarpins roses fuchsia à hauts talons, ses chevilles transparaissant sous la résille rose fluo de ses bas et les mitaines de résille de la même couleur qui garnissent ses paumes jusqu’au coude, trahissent une tenue sexy.
A peine franchi le sas, elle se débarrasse d’un coup de son manteau et de son micro-sac à main, laissés à la consigne, et je pâlis car sa robe n’est pas celle prévue…car si elle est bien en tulle noir transparent, elle n’est pas du tout celle que je lui ai offerte voici quelques mois…celle-là est …transparente, très transparente, transparente plus que noire, transparente et seulement très vaguement, très arachnéennement noire! Dans le sas d’entrée relativement bien éclairé, je ne vois plus que son micro-bikini et au travers de celui-ci, j’aperçois les bouts de ses seins qui pointent au travers des triangles du soutien-gorge, ainsi que le haut de la fente de son sexe au travers du string... Le patron de la boite me fait une moue admirative, le pouce en l’air, en commentant : « votre cavalière est tout à fait dans l’esprit de la soirée, bravo! »
Alors que Nina glousse, toute fière de m’avoir pris au dépourvu avec cette robe pour le moins osée, je m’empresse de la pousser vers la grande salle à la semi-pénombre rassurante. Me tournant vers le patron avant de passer le seuil, je m’enquiers : « et quel est le thème de la soirée? »… « C’est « Chérie, t’es pas cap. d’un strip tease sur scène! » , monsieur» me répond-il…Oups!
Je croyais pousser Nina vers la pénombre et une discrète obscurité…grossière erreur! La lumière est faible dans la discothèque, mais abondamment constituée de lumière noire, les UV faisant étinceler le rose fluorescent du micro-bikini et des accessoires de Nina…La robe, déjà pas très noire dans le sas d’entrée, est devenue pratiquement invisible sous les UV…Juste la silhouette noire de Nina sur laquelle se détachent son bikini, ses bas et mitaines en résille qui ressortent en rose fuchsia fluorescent… Même son rouge à lèvres et son vernis à ongles sont du même rose fluo! Elle a visiblement fait des emplettes et travaillé son look pour l’occasion. Et l’effet est saisissant, instantanément remarqué par tous puisque la salle accueille l’entrée de Nina d’un « Wahouuu! » unanime, la plupart croyant sans doute à l’arrivée d’une gogo danseuse professionnelle venue édulcorer le programme selon son thème…
Ma Nina, nullement gênée d’être ainsi sous les feux de la rampe, s’avance sur la piste au travers des danseurs qui s’écartent pour la laisser passer en la dévorant du regard. Elle commence à danser, en ondulant du bassin en rythme avec la musique, effectuant des petits sautillements qui font tressauter et rebondir sa poitrine…Je me demande si elle se rend seulement compte de la réaction de sa tenue à la lumière ambiante…?
Même si je suis peu disposé moi-même à la danse, le cercle masculin qui se resserre autour de Nina ne me laisse pas le choix et je m’avance à mon tour pour danser avec elle, saisissant sa main pour ne laisser aucun doute à l’entourage sur le fait qu’elle est accompagnée et entre mains…
Quelques danses passent, Nina est déchainée sur la piste, l’érotisme ambiant la survoltant, et c’est un cercle masculin compact qui s’est formé à deux mètres de distance…distance idéale pour avoir une bonne vue d’ensemble sur elle et bien la reluquer... Nina, dont je ne suis toujours pas sûr qu’elle se rende bien compte qu’elle est en train de danser quasiment nue devant tous ces hommes, s’exhibe sans retenue…
Des petits points rouges d’infrarouge qui se promènent sur son corps ombré attirent mon attention et j’en remarque la provenance au fond de la salle où le patron de la boite, juché sur une estrade, est en train de filmer Nina et le cercle masculin qui l’entoure avec une grosse caméra sur trépied.
La musique s’arrête et le personnel traverse la salle avec des plateaux couverts de coupes de champagne…Profitant de l’accalmie, un rideau coulisse, dévoilant une scène surélevée sur laquelle un séduisant jeune homme blond et doré comme les blés annonce que le concours de strip tease va commencer incessamment et que les concurrentes doivent venir s’inscrire auprès de lui pendant cette petite pause apéritive.
Plusieurs femmes fendent déjà la foule depuis le fond de la salle pour aller s’inscrire. Un brouhaha enthousiaste les accompagne et quand je me retourne vers Nina, je n’ai que le temps de la voir gravir, en chaloupant sur ses hauts talons, les six marches menant à la scène et s’inscrire elle-même!!! Non, je ne rêve pas…c’est bien elle!!!
Elle est maintenant alignée avec trois autres concurrentes plus charmantes les unes que les autres. Les trois femmes se regardent entre elles d’un regard un peu évaluateur…Nina, souveraine, les ignore et, tête levée, parcoure la salle du regard, me repère et me fait un clin d’oeil en balançant les épaules de gauche à droite, l’air de dire : « tu vas voir ce que tu vas voir! »
Pendant ce temps, le jeune homme blond, en pantalon avec ceinture drapée, torse nu sur des pectoraux aussi musclés que bronzés, annonce les règles du concours:
«Je me nomme Marco et vais animer votre soirée selon son thème…
Il s’agit de strip tease AMATEUR. Je demande donc à l’assistance de montrer qu’elle est constituée de gentilshommes et de ladies…
Je félicite les quatre Messieurs qui ont osé défier leurs compagnes dans l’esprit de thème de la soirée qui est, je le rappelle: - Chérie, t’es pas cap d’un strip tease sur scène! -
Les concurrentes pourront choisir l’accompagnement musical de leur performance (à venir indiquer à notre disc-jockey s’il-vous-plait…), elles seront totalement libres de leur interprétation, de leur tenue de départ… et de leur tenue d’arrivée…
Si leur numéro de danse nécessite un cavalier, mon statut de danseur professionnel -et le fait que c’est moi qui édicte les règles ajoute-t-il en riant alors qu’un brouhaha mi-amusé mi-désapprobateur accueille sa remarque- font que je serai le seul autorisé sur scène à part ces séduisantes créatures…
Enfin, et pour éviter tout débordement ou excès d’enthousiasme, leur cavalier viendra les accueillir au bas des marches à l’issue de leur numéro, secondé en cela par Arthur, notre sympathique -mais colossal- videur.
Mes chéries, un numéro a été attribué à chacune de vous.
Merci de reculer d’un pas dans l’ombre de la scène. Le top départ de vos prestations sera précédé de l’annonce de votre nom de scène et numéro. Vous avancerez alors avec démarrage de l’accompagnement musical dans les secondes suivantes…
Et maintenant, je rappelle que le strip tease est un art délicat, hommage à la beauté féminine et pas nécessairement un nu intégral…Le respect de la sensibilité et la mise en confiance de nos concurrentes sont primordiaux, je vous demande donc de faire une ovation à nos quatre gazelles qui s’apprêtent à réjouir vos yeux!
Messieurs, …et surtout vous Mesdames…, vous remerciant par avance de votre charme et de votre talent, que le spectacle COMMENCE!… »
« GINA, la flamboyante rouquine, candidate UNE!
une rousse pulpeuse d’une petite trentaine d’année s’avance en ondulant au gré d’une musique saccadée…Elle est vêtue d’un tee-shirt blanc et d’un minijupe noire, et est montée sur des escarpins vernis noirs et socquettes blanches, un peu façon « écolière délurée ».
Son cavalier, cinquantenaire grisonnant, genre « sugar daddy », ne boude pas son plaisir et l’encourage ouvertement.
La façon dont elle remue les épaules fait s’animer ses gros seins qui ondulent sous son tee-shirt. A l’évidence, sa forte poitrine est son atout majeur et elle a visiblement l’intention d’en user sans modération…
Elle se déhanche et dégage petit à petit son tee-shirt de sa jupette pour montrer son nombril, remontant le tee-shirt juste assez pour laisser apercevoir le bas de son soutien-gorge blanc. Tenant son tee-shirt empoigné pour le retrousser à hauteur de ses seins, elle se retourne et se penche en pointant les fesses pour montrer une sage petite culotte sous la minijupe remontée au ras de ses fesses…
Un murmure approbateur accompagne l’apparition des sous-vêtements…Elle se redresse et baisse le zip de la minijupe qui s’ouvre en V au bas de son dos. Son déhanché fait rapidement descendre à mi-fesse la jupette, puis carrément la fait tomber au sol… Elle enjambe le vêtement et exécute autour un petit cercle au pas, pour bien montrer la culotte découverte qui recouvre ses fesses de satin bordé d’un liseré de dentelle.Elle lève bien haut les genoux et revient devant le public pour se montrer de face, exhibant un large triangle blanc dentelé assorti et contrastant sur sa peau rose pâle de rousse.
A nouveau le tee-shirt redevient le centre d’intérêt, maintenant lentement retroussé centimètre par centimètre pour découvrir le soutien-gorge assorti à la petite culotte. L’enlèvement du tee-shirt, à passer par dessus les épaules et la tête, est peu gracieux, avec certes un vêtement peu propice à l’effeuillage. Mais l’apparition des bonnets du soutien-gorge bien remplis - au moins des bonnets F - fait vite oublier cette maladresse. Elle joue maintenant avec les bretelles de son soutien-gorge en faisant des moues sensuelles, consciente que tous guettent avidement l’apparition du moindre bout de sein…et l’attente est exaucée, les deux bretelles sont abattues sur ses épaules permettant la découverte soudaine d’un premier sein avec le basculement du lourd bonnet, et aussitôt après du deuxième sein par le retournement du second bonnet entrainé par le premier… Deux obus, orgueilleux et fermes, paraissent, aux aréoles larges et bouts tout durcis par l’excitation et que vient se caresser lascivement la belle, avec une oeillade en se passant la langue sur les lèvres…
Un nouveau murmure admiratif de l’assistance encourage cette apparition. La rouquine se remet à danser, agitant tout particulièrement le haut de son corps pour faire balancer ses gros seins. Après deux minutes d’exhibition de ses seins sous toutes les coutures et sensuellement secoués de toute les façons possibles, un pouce passé dans le coté de sa culotte qu’elle tire vers le bas au ras de son pubis. Soudain la musique s’arrête et on comprend que son numéro s’arrête aussi là puisqu’elle envoie un baiser soufflé sur sa main à l’assistance et se dirige ensuite en trottinant vers les six marches au bas desquelles l’attendent son cavalier et Arthur…l’assistance manifeste bruyamment sa déception de la fin prématurée de l’effeuillage, « la culotte!…la culotte!… la culotte!…» scandent même les plus audacieux… La rouquine, encore en haut des marches, se retourne et, montrant son côté pile, baisse largement sa culotte pour montrer ses fesses blanches qu’elle révèle en une exhibition furtive avant de la remonter aussitôt… Des applaudissements nourris récompensent ce petit bonus imprévu…Elle se noie dans la foule, ayant enfilé la veste que son cavalier a jeté sur ses épaules au bas de l’escalier.
« La barre a été placée très haut d’emblée… On applaudit bien fort « Gina, la rouquine » et je vous rappelle que l’applaudimètre qui mesure le volume sonore de votre ovation sera le Juge de notre concours! A vous! »
Des applaudissements nourris répondent à ces instructions. « formidable, cent-dix décibels! » commente notre présentateur.
Après une pause de quelques minutes, meublée de commentaires égrillards sur la candidate rouquine, maintenant sagement assise sur une banquette au fond de la salle avec son vieux beau, Marco reprend:
« Et maintenant, SHAKIRA, la bombasse!, candidate DEUX! »
La blonde pulpeuse s’avance en se dandinant au rythme de Waka waka de Shakira…
Singeant le déhanché de son homonyme et inspiratrice, elle virevolte et danse de manière outrageusement sexy. Sa courte robe noire et ajourée remonte sur ses jambes au ras de ses fesses et laisse deviner au dessous de la lingerie de dentelle noire.
Elle se caresse les hanches et les seins, faisant face à la salle, un peu gauche et comme fascinée par ce qu’elle ose faire. Elle passe les bras dans le dos pour baisser le zip de sa robe et, toujours de face, elle se dandine pour la faire glisser à ses pieds.
Retenant à deux mains son teddy de dentelle noire à hauteur de ses seins, elle se dégage malhabilement de la robe tombée en levant l’un après l’autre les pieds qu’elle secoue pour dégager le vêtement.
De nouveau elle danse et se trémousse, ses mains courant sur elle et tirant sur la dentelle pour faire ressortir par transparence ses parties intimes. Puis elle prend les bretelles du teddy et les descend, les deux gros globes de ses seins se découvrant.
Elle roule ensuite petit à petit son teddy jusqu’à ses hanches, puis le baisse sur ses cuisses en faisant apparaitre la toison brune de son pubis.
Comme la robe, son teddy tombe à ses pieds, est enjambé puis rejeté au loin. Elle virevolte pour montrer son coté pile, puis - sans doute estimant sa mission accomplie - elle file prestement vers l’escalier où l’attend son copain avec un vaste imperméable pour l’emballer vivement.
Des applaudissements de moyenne intensité récompensent cette prestation rapide et presque furtive, tout à fait conforme à l’esprit de la soirée « t’es pas cap, ma chérie!… » Certes elle a été capable de le faire, mais est visiblement bien soulagée de s’éclipser ensuite!
« Cent-un décibels pour SHAKIRA, la bombasse! » annonce Marco lorsque les applaudissements ont cessé.
Et voici, pour le plaisir des yeux et la première fois sur scène : « PETULA, la pétulante!, candidate TROIS! »
C’est une gracieuse brunette filiforme de vingt ans qui s’avance. Son sourire espiègle justifie à lui seul le choix de son nom de scène…
Elle est vêtue d’une brassière et d’un slip blancs, genre tenue de gym, ce que confirment ses tennis et socquettes blanches…une petite jarretière à la cuisse gauche encanaille la tenue plus typée sport que charme…
Elle a pris une des chaises matelassées de la salle et prend position assise pour commencer son numéro.
La musique - que je ne reconnais pas, mais qui est très rythmée - démarre et elle se met en mouvement, tout en larges ondulations sensuelles de tout son corps, ses mains se promenant sur elle et tirant tantôt les bretelles de sa brassière, tantôt les cotés de son slip…Elle se lève légèrement en s’adossant au siège et n’ondule plus que du seul bassin, ses cuisses s’ouvrant et se fermant, les mains tirant alternativement le slip de gauche puis de droite, avec pour effet de découvrir à moitié son pubis d’un coté, puis l’autre…
La foule est sous le charme, des sifflets fusent…
Revenue vivement debout, elle pétrit sa petite poitrine, et les bras croisés à hauteur des épaules, elle saisit le bas de sa brassière et d’un coup l’ôte par dessus la tête…Tendant sa brassière comme un élastique, elle la projette sur son cavalier au pied de la scène qui rattrape le vêtement…
Elle se masse les petits seins, à cheval sur le dossier qui lui frotte l’entrejambe, mimant l’acte d’amour sur un partenaire imaginaire, à coups de son bassin langoureusement glissé d’avant en arrière…
La pression monte, Re-sifflets…
Revenue devant la chaise, dos aux spectateurs, les ondulations du bassin reprennent, le slip tiré de droite puis de gauche descend de trois centimètres à chaque alternance et le slip est bientôt descendu au bas des fesses. Elle se retourne et continue en dévoilant son pubis puis un sexe tout rose, avant de sortir ses jambes du slip et s’en débarrasser comme elle l’a fait de la brassière…
L’apparition de la petite fente rose du sexe épilé tétanise les spectateurs, qui s’enthousiasment… mais le show si prometteur s’arrête soudainement là, son accompagnant étant venu récupérer manu militari sa jolie brunette, à moitié nu lui-même puisqu’il avait ôté sa chemise pour venir lui en ceindre la taille et l’emmener.
La mignonne éclate de rire et se laisse faire, son compagnon ayant visiblement craqué et perdu au petit jeu de « t’es pas cap!… » en n’étant « pas cap. » de supporter plus d’exhibition…
La salle accepte le départ de Petula à regret, restant un peu sur sa faim, mais la récompense quand même d’un cent-dix-huit décibels, bien mérités, qu’annonce Marco.
« Et je vous demande d’applaudir maintenant notre dernière concurrente; LAURELINE et son bikini! …Et, mon dieu, quel bikini, mes amis!…Candidate QUATRE! »
Je m’avance vers le pied de l’escalier en sentant peser le regard lourd des spectateurs sur moi. Certains sont simplement envieux de mon statut de cavalier et probable bénéficiaire des charmes de la créature qui s’avance sous les feux de la rampe. D’autres sont plus interrogateurs, perplexes à l’idée que j’offre ma belle en exhibition publique et soupçonnent quelque activité trouble qui me laisserait en l’occurrence un gentil rôle de proxénète …
Il est vrai que Nina, qui s’est présentée sous le pseudo de Laureline, contraste avec les autres concurrentes. Autant celles-ci étaient sexy de façon un peu empruntée- visiblement bourgeoises bcbg encanaillées- prises au jeu de la mise au défi par leur compagnon, autant Nina, déjà quasiment nue dans sa tenue plus que sexy avant même de commencer son effeuillage, revendique d’être, au mieux une chaudasse, au pire une professionnelle du sexe…
Le spectacle commence et je découvre comme l’assistance le thème musical choisi par Nina, qui est HABANA de Camila Cabelo. L’inspiration est sans doute venue du film de Luc Besson, » Valérian et la cité des mille planètes », et dont l’héroïne est une splendide Laureline justement…
Je m’angoisse d’autant plus de la situation que Marco, le joli blondinet, contrairement aux trois précédents strip tease, est resté sur scène aux côtés de Nina/Laureline qui s’y est avancée avec un large sourire à l’annonce de son tour.
Comme pour les précédentes candidates, j’aperçois par intermittence les petits points rouges de la mesure de champ infrarouge de la caméra qui filme l’action sans en perdre un pixel.
L’éclairage a été modifié. Dans la salle, la lumière UV faisait ressortit le bikini mais maintenait Nina dans une relative pénombre, son corps ressortant juste en une ombre sombre... les rampes d’éclairage de la scène émettent pour leur part autant de lumière noire que de lumière chaude, faisant ainsi autant ressortir la fluorescence du bikini que la peau fortement bronzée de Nina. Dans cette lumière intense, c’est à peine si sa vaporeuse robe noire est visible, juste une ombre atténuant un peu la fluorescence du bikini…
Nina s’avance jusqu’à l’avant-scène et, d’emblée, un coup d’épaule vers la gauche, un coup d’épaule vers la droite, fait s’évaser l’encolure de sa robe noire et celle-ci tombe en glissant sur elle directement sur ses escarpins…Le bikini donne alors la pleine mesure de sa fluorescence, tellement lumineux en rose fuchsia que la transparence des triangles de tulle est à peine perceptible.
Elle écarte les bras, la musique démarre, saccadée, et Nina se met à danser dans le rythme…Le blondinet lui passe un boa de plumes rose fuchsia (apporté par elle dans son micro-sac à main? Mais alors tout cela ne serait pas improvisé, mais aurait été prévu par elle?…) et celui-ci vient garnir ses épaules, retombant par devant entre ses seins…
Je m’interrogeais tout à l’heure sur ce que pourrait bien encore montrer Nina lors d’un effeuillage, alors qu’elle était déjà pratiquement nue sur la piste de danse…Et c’est comme l’assistance que je découvre son show!
Pendant une minute, Nina joue à cache cache avec le boa, qui glisse autour de son cou, qui glisse entre ses seins, qui glisse entre ses jambes, qui glisse entre ses fesses, jusqu’à ce qu’approche le blondinet, qui en saisit les deux extrémités et tire Nina à lui… Elle se trouve maintenant de coté pour les spectateurs, face à lui qui est à droite de la petite scène. Il a lâché le boa, qui tombe par terre, et lève une main dans laquelle se trouve un flacon…Une giclée sortant du flacon pressé éclabousse de bas en haut le torse de Nina et le blondinet étale aussitôt l’huile sur elle, en un sensuel massage où il tire l’huile sur les épaules, sur les bras…Nina se tourne face aux spectateurs pour qu’ils profitent du spectacle et le blondinet, qui a pivoté derrière elle, continue par derrière son enduisage, seules restant visibles ses mains qui courent sur Nina. Ses mains s’attardent sur les épaules, sur les bras, sur les cotes et les flancs, remontent sous les seins, …et se posent finalement sur les seins de Nina qu’elles pétrissent langoureusement au travers du bikini en étalant l’huile…Une rumeur ravie monte de l’assemblée, d’autant plus que l’huile fait devenir totalement transparent le tulle rose du bikini plaqué sur la peau… Nina est maintenant vêtue d’un soutien-gorge qui se résume à des lanières fluorescentes encadrant comme un harnais ses seins, son torse hâlé brillant de mille reflets, marqué des auréoles plus foncées de ses bouts de sein au milieu des triangles.
Les mains de Marco continuent leur travail d’enduisage, descendant sur le ventre et les hanches, interrompues par une petite giclée d’huile de ci, de là…Nina, bras écartés, jambes bien campées, se laisse huiler et tripoter sereinement et twerke sur place au rythme saccadé de la musique…
Les mains du blondinet entrebâillent le slip au niveau du pubis et y versent une généreuse rasade d’huile contre le bas-ventre de Nina avant de relâcher l’élastique qui claque sur son ventre. Toujours par derrière, une main passée sur le coté, l’autre passée par dessous entre les cuisses, au travers du bikini, il masse cette huile contre l’entrejambe d’une Nina imperturbable, toujours aussi souriante et ondulante dans son twerk, abandonnée aux caresses de son partenaire et aux regards concupiscents des spectateurs…Comme pour les seins, le triangle de tulle du bikini mouillé par l’huile est devenu entièrement transparent. Les mains du blondinet continuent à s’affairer, descendent sur ses cuisses et laissent apparaitre au travers du tulle huilé du slip un sexe nu, entièrement rasé, juste rehaussé des lanières fluorescentes au pourtour.
Elle est maintenant entièrement huilée et luisante sous les spots. Elle se tourne pour présenter son dos. Le blondinet remet une giclée d’huile sur chaque fesse dorée qu’il pétrit et soulève pour en montrer la fermeté. Face à Nina, il penche la tête sur le coté et par dessus son épaule, fait un clin d’oeil au public … et lui écarte largement les fesses, révélant à tous l’intimité de ses orifices…salué par une ovation reconnaissante du public.
Nina continue son show comme si de rien n’était, toujours souriante, virevoltant autour du blondinet dont le pantalon est visiblement déformé par une bonne érection…comme toute l’assistance, et moi compris assurément…
Elle lui présente maintenant les longs cordons nouant son bikini, en une invitation faussement timide à les dénouer. C’est d’abord le noeud du soutien-gorge à hauteur du dos qui est défait. Nina se remet face au public pendant que son partenaire défait le noeud du haut, derrière son cou…le soutien-gorge tombe…
Nina est maintenant torse nu. La musique vient de se terminer…Elle tourne la tête, Marco est derrière elle et lui enserre la taille. Elle lui prend les mains qu’elle fait glisser lentement sur elle en les descendant jusqu’à ses cuisses, puis elle les fait remonter avec entre les doigts les lacets du string noué sur les cotés…les ficelles sont lentement tirées, les boucles des cocardes se réduisent, bloquent un peu sur le noeud serré et d’un coup cèdent…Le slip tombe à terre…Ça y est, Nina est totalement nue face au public…
Après un bref silence, la salle s’anime… Sans même que le blondinet l’ait sollicitée pour la mesure à l’applaudimètre, le tonnerre des applaudissements, des sifflets et des hourras ne laisse aucun doute sur l’identité de la gagnante du concours…
Nina lève les bras et salue, comme la gagnante d’une compétition sportive. Elle se tourne vers le blondinet qu’elle prend par la main pour lui lever aussi un bras et lui faire partager son succès. Les cris redoublent. Dans l’enthousiasme, Nina se tourne vers le blondinet et le prend dans ses bras et l’embrasse sur la joue. Profitant du geste, Marco n’hésite pas, tourne la tête et l’embrasse à pleine bouche, Nina se raidit un instant, puis s’abandonne et se relâche aussitôt, leurs langues se cherchant en un baiser partagé. La main de Marco saisit celle de Nina et la glisse sur le devant de son pantalon.
Ça va trop loin… je fais mine de monter quérir ma Nina comme l’a fait mon prédécesseur, mais les paluches d’Arthur m’immobilisent… je couine : »Mais le spectacle est fini là! » «Ah, je ne crois pas, non! » me répond-il en me montrant la scène d’un coup de menton.
Malheureusement pour moi, effectivement, non! Le patin échangé par les deux partenaires se poursuit langoureusement et le blondinet renouvelle le malaxage et écartèlement des fesses de Nina, ses orifices luisants (d’huile?) reparaissant, offerts au regard de tous sans même la petite ficelle qui les partageait tout à l’heure…
« Baise-là!… Baise-là!… Baise-là!… » scandent les plus chauds des spectateurs à l’intention de Marco…
Ma Nina ignore les ordres de la foule déchainée, mais totalement excitée par le mâle qui vient de la déshabiller et l’embrasser, se laisse mettre à genou devant le blondinet qui baisse son pantalon d’un geste sec et fait sauter sa verge hors du vêtement, comme un diable éjecté de sa boite…Sans une hésitation, elle prend ce sexe en bouche pour commencer à le sucer…
Je ne peux m’empêcher de remarquer que le salaud est rudement bien monté! Même avec la main de Nina enserrant la hampe à mi-longueur, c’est plus de dix centimètres qui rentrent et sortent en cadence de sa bouche.
Après deux minutes de ce traitement, le sexe est tendu à son maximum. Marco se dégage de la bouche accueillante, fait se redresser Nina et la tourne face à la foule comme pour faire à nouveau profiter toute l’assemblée de sa nudité, stimulé par les acclamations.
Elle est entièrement nue, son corps huilé brillant sous les sunlights. Elle se laisse passivement conduire par son partenaire dont les mains exigeantes, impérieuses, posées sur son bassin, la dispose cambrée croupe en arrière, bien campée sur ses jambes écartées. Placé derrière elle, il fléchit un peu les jambes pour se mettre à hauteur …et la pénètre d’un seul coup de rein…A l’évidence, il rentre en elle comme dans une motte de beurre. Les yeux mi-clos, bouche ouverte comme sur une exclamation de surprise, elle se laisse pourtant faire docilement, saisissant même derrière elle les hanches de son partenaire pour accompagner ses va-et-vient en elle.
Toujours bloqué par Arthur qui me tient empoigné, j’alterne entre la rage de voir cette femme que je croyais mienne se soumettre en public tellement docilement, comme une bonne chienne, à la première grosse bite venue, et l’excitation d’une pornographie qui dépasse l’entendement… tellement délicieuse Nina!
« On veut tout voir!…On veut tout voir!…On veut tout voir!… » crie maintenant la foule dont l’exigence de voir la belle se faire baiser a pourtant été satisfaite. Marco se presse alors contre son dos, appuie sur ses épaules pour la faire se pencher légèrement et la saisit par l’extérieur sous les cuisses. D’un coup, il la soulève… Elle est maintenant dans ses bras puissants, les mains de Marco tenant par dessous ses cuisses grandes ouvertes face au public pour exhiber son sexe luisant et béant, écartelé par cette grosse verge sur laquelle elle coulisse pendant qu’il la lève et la descend, seins ballotant à l’unisson…
La foule est en délire…
Nina aussi est en transe, désormais insensible au spectacle qu’elle donne, elle est entièrement soumise au mâle qui la domine impérieusement et lui donne du plaisir, tête tendrement tournée vers lui, elle passe un bras derrière sa tête pour l’attirer à elle et trouver sa bouche pour y accrocher sa langue…
Les flashes des téléphones photographiant la scène clignotent et le patron de la boite filme plus que jamais, Arthur maintenant la pression de ses grosses mains pour m’immobiliser. Il me glisse à l’oreille: « tu n’es pas le premier dont Marco baise la femme sur scène...Il rend les femelles folles!… Console-toi en te disant que toi, c’est tous les jours que tu peux baiser ta salope…! »
Nina, dont les premiers soupirs sont devenus de sonores gémissements qui s’amplifient rapidement, pousse un long cri saccadé en éprouvant visiblement un orgasme monumental, toute l’assistance profitant alors des spasmes de son sexe exhibé après que son amant se soit retiré. Aussitôt après, Marco la repose et vient éjaculer sur ses seins…
Ça y est! c’est enfin terminé. Arthur me lâche finalement avec une tape sur l’épaule. J’entends la foule des spectateurs qui fait une ovation à Marco comme dans un rêve brumeux. Nina, hagarde, ramasse vivement ses affaires éparses sous les applaudissements accompagnés des commentaires salaces de ses admirateurs chauffés à blanc. Elle dégringole la volée de marche, une main sur le sexe, un bras en travers des seins en un étonnant geste de pudeur après une exhibition aussi totale…Au bas des marches où je la récupère, elle fuit mon regard, honteuse, commençant juste à prendre conscience de ce qu’elle a fait…C’était évidemment allé beaucoup plus loin que ce qu’elle avait prévu dans ses fantasmes les plus osés et elle pressent qu’elle aura à en subir les conséquences…
Nous fendons la foule serrée. A son passage, des mains baladeuses palpent sans vergogne cette femme encore nue…Nous nous apprêtons à nous éclipser discrètement, mais le patron m’accoste dans le vestiaire d’entrée où Nina remet son manteau. Il me tend sa carte de visite en disant: »si ça vous tente, j’ai la vidéo…je vous l’offre, elle l’a bien méritée…et puis il faudra qu’on en parle! Mais pour ce soir, rentrez vous reposer, elle est exténuée, la petite!… »
J’ai rappelé « Le Clandé » deux jours après. Et j’ai bien eu la vidéo…Lorsque j’ai demandé si il n’y avait pas de copie, le patron a rigolé en me disant que j’étais le seul à l’avoir eue …gratuitement.
Parce que les deux cents autres participants à cette soirée, eux, l’ont achetée cinquante euros chacun !
Et il a ajouté: «vous savez, vot’femme, elle a un truc en plus!… je pense que si c’était si excitant, c’est parce qu’elle a vraiment aimé ça, de se mettre à poil et de se faire baiser par Marco devant tout le monde! Alors, si vous êtes cool, je peux lui offrir un job super bien payé, vous le regretterez pas!… »
——
La morale de cette histoire, - qui n’est pas sauve du tout! - c’est que maintenant, Nina, qui reste mon épouse, toujours apparemment si sage et rangée, est maintenant moins désoeuvrée puisqu’elle s’éclipse pour aller « travailler » un samedi soir sur deux, « Au Clandé » ou dans quelque autre boite du même patron…
Ses cachets substantiels représentent plus que mon salaire de cadre! …
Et pendant les vacances que nous nous offrons - beaucoup plus souvent avec cette manne - elle me montre en toute ingénuité les vidéos de ses exhibitions et exploits - que le patron filme toujours - lesquelles finissent invariablement par elle faisant joliment l’amour sur scène avec son partenaire du soir, devant une foule enthousiaste.
C’est devenu notre normalité…
Pour ma part, je suis devenu le metteur en scène de ses shows, que nous imaginons toujours plus osés et répétons d’abord ensemble, pour notre plus grand plaisir…même si mon ventre se tord toujours de jalousie quand elle n’est pas là, un samedi soir sur deux, sachant ce qu’elle est en train de faire quelque part, avec un inconnu fortement membré, et devant une salle pleine de mâles surexcités!
Comme chacun sait : que femme veut!…mais laissons Dieu en dehors de ces caprices qui sont rien moins que « pas catholiques »…
Toujours est-il que, tuyauté par mon pote Antoine, ( réputé pour sa vie de patachon!…) ce soir là, nous nous rendions « Au Clandé », le club à la réputation sulfureuse du moment... Nina, impatiente comme une collégienne, se languissait de cette soirée et gambergeait depuis plusieurs jours sur la tenue qu’elle porterait. Elle m’en parlait depuis le soir où nous nous étions décidés à cette soirée. Collée contre moi dans le lit, avec un regard coquin, elle me demandait comment j’aimerais la voir ; smart, sexy soft, sexy hard…ou carrément salope! Elle me proposait des tenues que je croyais réservées à notre intimité, et à l’évidence, ses envies vestimentaires penchaient franchement pour le registre « carrément salope »
Ces éventualités l’émoustillaient tellement que, l’oeil brillant et après un ou deux essayages, elle finissait par s’interrompre pour m’enfourcher sans plus de préliminaires et me faire bruyamment l’amour… ce qui n’était pas pour me déplaire…
Notre dernière évocation de sa tenue sexy, la veille-même de la soirée, avait arrêté qu’elle porterait juste une robe courte en tulle noir légèrement transparente, et au-dessous, le bikini rose fluorescent que je lui avais récemment offert pour qu’elle fasse trempette avec moi dans notre spa…Ce bikini, en fait un micro-bikini avec juste trois triangles de seulement sept centimètres de coté et quelques ficelles, transparaitrait légèrement au travers du noir de sa robe en raison de sa couleur éclatante, avec les ficelles dos et cou du soutien-gorge qui pendraient dans le dos échancré de sa robe et les ficelles nouant de coté son string qui dépasseraient jusqu’au dessous de la robe si courte le long de ses cuisses…Le registre retenu confirme sans appel ma première impression. Carrément salope!
C’est le jour. Elle a mis son long manteau de faux-mouton noir (écolo et amie des animaux oblige) qui la laisse apparemment très soft pour son parcours dans la rue de la voiture à l’entrée du club. Seuls ses escarpins roses fuchsia à hauts talons, ses chevilles transparaissant sous la résille rose fluo de ses bas et les mitaines de résille de la même couleur qui garnissent ses paumes jusqu’au coude, trahissent une tenue sexy.
A peine franchi le sas, elle se débarrasse d’un coup de son manteau et de son micro-sac à main, laissés à la consigne, et je pâlis car sa robe n’est pas celle prévue…car si elle est bien en tulle noir transparent, elle n’est pas du tout celle que je lui ai offerte voici quelques mois…celle-là est …transparente, très transparente, transparente plus que noire, transparente et seulement très vaguement, très arachnéennement noire! Dans le sas d’entrée relativement bien éclairé, je ne vois plus que son micro-bikini et au travers de celui-ci, j’aperçois les bouts de ses seins qui pointent au travers des triangles du soutien-gorge, ainsi que le haut de la fente de son sexe au travers du string... Le patron de la boite me fait une moue admirative, le pouce en l’air, en commentant : « votre cavalière est tout à fait dans l’esprit de la soirée, bravo! »
Alors que Nina glousse, toute fière de m’avoir pris au dépourvu avec cette robe pour le moins osée, je m’empresse de la pousser vers la grande salle à la semi-pénombre rassurante. Me tournant vers le patron avant de passer le seuil, je m’enquiers : « et quel est le thème de la soirée? »… « C’est « Chérie, t’es pas cap. d’un strip tease sur scène! » , monsieur» me répond-il…Oups!
Je croyais pousser Nina vers la pénombre et une discrète obscurité…grossière erreur! La lumière est faible dans la discothèque, mais abondamment constituée de lumière noire, les UV faisant étinceler le rose fluorescent du micro-bikini et des accessoires de Nina…La robe, déjà pas très noire dans le sas d’entrée, est devenue pratiquement invisible sous les UV…Juste la silhouette noire de Nina sur laquelle se détachent son bikini, ses bas et mitaines en résille qui ressortent en rose fuchsia fluorescent… Même son rouge à lèvres et son vernis à ongles sont du même rose fluo! Elle a visiblement fait des emplettes et travaillé son look pour l’occasion. Et l’effet est saisissant, instantanément remarqué par tous puisque la salle accueille l’entrée de Nina d’un « Wahouuu! » unanime, la plupart croyant sans doute à l’arrivée d’une gogo danseuse professionnelle venue édulcorer le programme selon son thème…
Ma Nina, nullement gênée d’être ainsi sous les feux de la rampe, s’avance sur la piste au travers des danseurs qui s’écartent pour la laisser passer en la dévorant du regard. Elle commence à danser, en ondulant du bassin en rythme avec la musique, effectuant des petits sautillements qui font tressauter et rebondir sa poitrine…Je me demande si elle se rend seulement compte de la réaction de sa tenue à la lumière ambiante…?
Même si je suis peu disposé moi-même à la danse, le cercle masculin qui se resserre autour de Nina ne me laisse pas le choix et je m’avance à mon tour pour danser avec elle, saisissant sa main pour ne laisser aucun doute à l’entourage sur le fait qu’elle est accompagnée et entre mains…
Quelques danses passent, Nina est déchainée sur la piste, l’érotisme ambiant la survoltant, et c’est un cercle masculin compact qui s’est formé à deux mètres de distance…distance idéale pour avoir une bonne vue d’ensemble sur elle et bien la reluquer... Nina, dont je ne suis toujours pas sûr qu’elle se rende bien compte qu’elle est en train de danser quasiment nue devant tous ces hommes, s’exhibe sans retenue…
Des petits points rouges d’infrarouge qui se promènent sur son corps ombré attirent mon attention et j’en remarque la provenance au fond de la salle où le patron de la boite, juché sur une estrade, est en train de filmer Nina et le cercle masculin qui l’entoure avec une grosse caméra sur trépied.
La musique s’arrête et le personnel traverse la salle avec des plateaux couverts de coupes de champagne…Profitant de l’accalmie, un rideau coulisse, dévoilant une scène surélevée sur laquelle un séduisant jeune homme blond et doré comme les blés annonce que le concours de strip tease va commencer incessamment et que les concurrentes doivent venir s’inscrire auprès de lui pendant cette petite pause apéritive.
Plusieurs femmes fendent déjà la foule depuis le fond de la salle pour aller s’inscrire. Un brouhaha enthousiaste les accompagne et quand je me retourne vers Nina, je n’ai que le temps de la voir gravir, en chaloupant sur ses hauts talons, les six marches menant à la scène et s’inscrire elle-même!!! Non, je ne rêve pas…c’est bien elle!!!
Elle est maintenant alignée avec trois autres concurrentes plus charmantes les unes que les autres. Les trois femmes se regardent entre elles d’un regard un peu évaluateur…Nina, souveraine, les ignore et, tête levée, parcoure la salle du regard, me repère et me fait un clin d’oeil en balançant les épaules de gauche à droite, l’air de dire : « tu vas voir ce que tu vas voir! »
Pendant ce temps, le jeune homme blond, en pantalon avec ceinture drapée, torse nu sur des pectoraux aussi musclés que bronzés, annonce les règles du concours:
«Je me nomme Marco et vais animer votre soirée selon son thème…
Il s’agit de strip tease AMATEUR. Je demande donc à l’assistance de montrer qu’elle est constituée de gentilshommes et de ladies…
Je félicite les quatre Messieurs qui ont osé défier leurs compagnes dans l’esprit de thème de la soirée qui est, je le rappelle: - Chérie, t’es pas cap d’un strip tease sur scène! -
Les concurrentes pourront choisir l’accompagnement musical de leur performance (à venir indiquer à notre disc-jockey s’il-vous-plait…), elles seront totalement libres de leur interprétation, de leur tenue de départ… et de leur tenue d’arrivée…
Si leur numéro de danse nécessite un cavalier, mon statut de danseur professionnel -et le fait que c’est moi qui édicte les règles ajoute-t-il en riant alors qu’un brouhaha mi-amusé mi-désapprobateur accueille sa remarque- font que je serai le seul autorisé sur scène à part ces séduisantes créatures…
Enfin, et pour éviter tout débordement ou excès d’enthousiasme, leur cavalier viendra les accueillir au bas des marches à l’issue de leur numéro, secondé en cela par Arthur, notre sympathique -mais colossal- videur.
Mes chéries, un numéro a été attribué à chacune de vous.
Merci de reculer d’un pas dans l’ombre de la scène. Le top départ de vos prestations sera précédé de l’annonce de votre nom de scène et numéro. Vous avancerez alors avec démarrage de l’accompagnement musical dans les secondes suivantes…
Et maintenant, je rappelle que le strip tease est un art délicat, hommage à la beauté féminine et pas nécessairement un nu intégral…Le respect de la sensibilité et la mise en confiance de nos concurrentes sont primordiaux, je vous demande donc de faire une ovation à nos quatre gazelles qui s’apprêtent à réjouir vos yeux!
Messieurs, …et surtout vous Mesdames…, vous remerciant par avance de votre charme et de votre talent, que le spectacle COMMENCE!… »
« GINA, la flamboyante rouquine, candidate UNE!
une rousse pulpeuse d’une petite trentaine d’année s’avance en ondulant au gré d’une musique saccadée…Elle est vêtue d’un tee-shirt blanc et d’un minijupe noire, et est montée sur des escarpins vernis noirs et socquettes blanches, un peu façon « écolière délurée ».
Son cavalier, cinquantenaire grisonnant, genre « sugar daddy », ne boude pas son plaisir et l’encourage ouvertement.
La façon dont elle remue les épaules fait s’animer ses gros seins qui ondulent sous son tee-shirt. A l’évidence, sa forte poitrine est son atout majeur et elle a visiblement l’intention d’en user sans modération…
Elle se déhanche et dégage petit à petit son tee-shirt de sa jupette pour montrer son nombril, remontant le tee-shirt juste assez pour laisser apercevoir le bas de son soutien-gorge blanc. Tenant son tee-shirt empoigné pour le retrousser à hauteur de ses seins, elle se retourne et se penche en pointant les fesses pour montrer une sage petite culotte sous la minijupe remontée au ras de ses fesses…
Un murmure approbateur accompagne l’apparition des sous-vêtements…Elle se redresse et baisse le zip de la minijupe qui s’ouvre en V au bas de son dos. Son déhanché fait rapidement descendre à mi-fesse la jupette, puis carrément la fait tomber au sol… Elle enjambe le vêtement et exécute autour un petit cercle au pas, pour bien montrer la culotte découverte qui recouvre ses fesses de satin bordé d’un liseré de dentelle.Elle lève bien haut les genoux et revient devant le public pour se montrer de face, exhibant un large triangle blanc dentelé assorti et contrastant sur sa peau rose pâle de rousse.
A nouveau le tee-shirt redevient le centre d’intérêt, maintenant lentement retroussé centimètre par centimètre pour découvrir le soutien-gorge assorti à la petite culotte. L’enlèvement du tee-shirt, à passer par dessus les épaules et la tête, est peu gracieux, avec certes un vêtement peu propice à l’effeuillage. Mais l’apparition des bonnets du soutien-gorge bien remplis - au moins des bonnets F - fait vite oublier cette maladresse. Elle joue maintenant avec les bretelles de son soutien-gorge en faisant des moues sensuelles, consciente que tous guettent avidement l’apparition du moindre bout de sein…et l’attente est exaucée, les deux bretelles sont abattues sur ses épaules permettant la découverte soudaine d’un premier sein avec le basculement du lourd bonnet, et aussitôt après du deuxième sein par le retournement du second bonnet entrainé par le premier… Deux obus, orgueilleux et fermes, paraissent, aux aréoles larges et bouts tout durcis par l’excitation et que vient se caresser lascivement la belle, avec une oeillade en se passant la langue sur les lèvres…
Un nouveau murmure admiratif de l’assistance encourage cette apparition. La rouquine se remet à danser, agitant tout particulièrement le haut de son corps pour faire balancer ses gros seins. Après deux minutes d’exhibition de ses seins sous toutes les coutures et sensuellement secoués de toute les façons possibles, un pouce passé dans le coté de sa culotte qu’elle tire vers le bas au ras de son pubis. Soudain la musique s’arrête et on comprend que son numéro s’arrête aussi là puisqu’elle envoie un baiser soufflé sur sa main à l’assistance et se dirige ensuite en trottinant vers les six marches au bas desquelles l’attendent son cavalier et Arthur…l’assistance manifeste bruyamment sa déception de la fin prématurée de l’effeuillage, « la culotte!…la culotte!… la culotte!…» scandent même les plus audacieux… La rouquine, encore en haut des marches, se retourne et, montrant son côté pile, baisse largement sa culotte pour montrer ses fesses blanches qu’elle révèle en une exhibition furtive avant de la remonter aussitôt… Des applaudissements nourris récompensent ce petit bonus imprévu…Elle se noie dans la foule, ayant enfilé la veste que son cavalier a jeté sur ses épaules au bas de l’escalier.
« La barre a été placée très haut d’emblée… On applaudit bien fort « Gina, la rouquine » et je vous rappelle que l’applaudimètre qui mesure le volume sonore de votre ovation sera le Juge de notre concours! A vous! »
Des applaudissements nourris répondent à ces instructions. « formidable, cent-dix décibels! » commente notre présentateur.
Après une pause de quelques minutes, meublée de commentaires égrillards sur la candidate rouquine, maintenant sagement assise sur une banquette au fond de la salle avec son vieux beau, Marco reprend:
« Et maintenant, SHAKIRA, la bombasse!, candidate DEUX! »
La blonde pulpeuse s’avance en se dandinant au rythme de Waka waka de Shakira…
Singeant le déhanché de son homonyme et inspiratrice, elle virevolte et danse de manière outrageusement sexy. Sa courte robe noire et ajourée remonte sur ses jambes au ras de ses fesses et laisse deviner au dessous de la lingerie de dentelle noire.
Elle se caresse les hanches et les seins, faisant face à la salle, un peu gauche et comme fascinée par ce qu’elle ose faire. Elle passe les bras dans le dos pour baisser le zip de sa robe et, toujours de face, elle se dandine pour la faire glisser à ses pieds.
Retenant à deux mains son teddy de dentelle noire à hauteur de ses seins, elle se dégage malhabilement de la robe tombée en levant l’un après l’autre les pieds qu’elle secoue pour dégager le vêtement.
De nouveau elle danse et se trémousse, ses mains courant sur elle et tirant sur la dentelle pour faire ressortir par transparence ses parties intimes. Puis elle prend les bretelles du teddy et les descend, les deux gros globes de ses seins se découvrant.
Elle roule ensuite petit à petit son teddy jusqu’à ses hanches, puis le baisse sur ses cuisses en faisant apparaitre la toison brune de son pubis.
Comme la robe, son teddy tombe à ses pieds, est enjambé puis rejeté au loin. Elle virevolte pour montrer son coté pile, puis - sans doute estimant sa mission accomplie - elle file prestement vers l’escalier où l’attend son copain avec un vaste imperméable pour l’emballer vivement.
Des applaudissements de moyenne intensité récompensent cette prestation rapide et presque furtive, tout à fait conforme à l’esprit de la soirée « t’es pas cap, ma chérie!… » Certes elle a été capable de le faire, mais est visiblement bien soulagée de s’éclipser ensuite!
« Cent-un décibels pour SHAKIRA, la bombasse! » annonce Marco lorsque les applaudissements ont cessé.
Et voici, pour le plaisir des yeux et la première fois sur scène : « PETULA, la pétulante!, candidate TROIS! »
C’est une gracieuse brunette filiforme de vingt ans qui s’avance. Son sourire espiègle justifie à lui seul le choix de son nom de scène…
Elle est vêtue d’une brassière et d’un slip blancs, genre tenue de gym, ce que confirment ses tennis et socquettes blanches…une petite jarretière à la cuisse gauche encanaille la tenue plus typée sport que charme…
Elle a pris une des chaises matelassées de la salle et prend position assise pour commencer son numéro.
La musique - que je ne reconnais pas, mais qui est très rythmée - démarre et elle se met en mouvement, tout en larges ondulations sensuelles de tout son corps, ses mains se promenant sur elle et tirant tantôt les bretelles de sa brassière, tantôt les cotés de son slip…Elle se lève légèrement en s’adossant au siège et n’ondule plus que du seul bassin, ses cuisses s’ouvrant et se fermant, les mains tirant alternativement le slip de gauche puis de droite, avec pour effet de découvrir à moitié son pubis d’un coté, puis l’autre…
La foule est sous le charme, des sifflets fusent…
Revenue vivement debout, elle pétrit sa petite poitrine, et les bras croisés à hauteur des épaules, elle saisit le bas de sa brassière et d’un coup l’ôte par dessus la tête…Tendant sa brassière comme un élastique, elle la projette sur son cavalier au pied de la scène qui rattrape le vêtement…
Elle se masse les petits seins, à cheval sur le dossier qui lui frotte l’entrejambe, mimant l’acte d’amour sur un partenaire imaginaire, à coups de son bassin langoureusement glissé d’avant en arrière…
La pression monte, Re-sifflets…
Revenue devant la chaise, dos aux spectateurs, les ondulations du bassin reprennent, le slip tiré de droite puis de gauche descend de trois centimètres à chaque alternance et le slip est bientôt descendu au bas des fesses. Elle se retourne et continue en dévoilant son pubis puis un sexe tout rose, avant de sortir ses jambes du slip et s’en débarrasser comme elle l’a fait de la brassière…
L’apparition de la petite fente rose du sexe épilé tétanise les spectateurs, qui s’enthousiasment… mais le show si prometteur s’arrête soudainement là, son accompagnant étant venu récupérer manu militari sa jolie brunette, à moitié nu lui-même puisqu’il avait ôté sa chemise pour venir lui en ceindre la taille et l’emmener.
La mignonne éclate de rire et se laisse faire, son compagnon ayant visiblement craqué et perdu au petit jeu de « t’es pas cap!… » en n’étant « pas cap. » de supporter plus d’exhibition…
La salle accepte le départ de Petula à regret, restant un peu sur sa faim, mais la récompense quand même d’un cent-dix-huit décibels, bien mérités, qu’annonce Marco.
« Et je vous demande d’applaudir maintenant notre dernière concurrente; LAURELINE et son bikini! …Et, mon dieu, quel bikini, mes amis!…Candidate QUATRE! »
Je m’avance vers le pied de l’escalier en sentant peser le regard lourd des spectateurs sur moi. Certains sont simplement envieux de mon statut de cavalier et probable bénéficiaire des charmes de la créature qui s’avance sous les feux de la rampe. D’autres sont plus interrogateurs, perplexes à l’idée que j’offre ma belle en exhibition publique et soupçonnent quelque activité trouble qui me laisserait en l’occurrence un gentil rôle de proxénète …
Il est vrai que Nina, qui s’est présentée sous le pseudo de Laureline, contraste avec les autres concurrentes. Autant celles-ci étaient sexy de façon un peu empruntée- visiblement bourgeoises bcbg encanaillées- prises au jeu de la mise au défi par leur compagnon, autant Nina, déjà quasiment nue dans sa tenue plus que sexy avant même de commencer son effeuillage, revendique d’être, au mieux une chaudasse, au pire une professionnelle du sexe…
Le spectacle commence et je découvre comme l’assistance le thème musical choisi par Nina, qui est HABANA de Camila Cabelo. L’inspiration est sans doute venue du film de Luc Besson, » Valérian et la cité des mille planètes », et dont l’héroïne est une splendide Laureline justement…
Je m’angoisse d’autant plus de la situation que Marco, le joli blondinet, contrairement aux trois précédents strip tease, est resté sur scène aux côtés de Nina/Laureline qui s’y est avancée avec un large sourire à l’annonce de son tour.
Comme pour les précédentes candidates, j’aperçois par intermittence les petits points rouges de la mesure de champ infrarouge de la caméra qui filme l’action sans en perdre un pixel.
L’éclairage a été modifié. Dans la salle, la lumière UV faisait ressortit le bikini mais maintenait Nina dans une relative pénombre, son corps ressortant juste en une ombre sombre... les rampes d’éclairage de la scène émettent pour leur part autant de lumière noire que de lumière chaude, faisant ainsi autant ressortir la fluorescence du bikini que la peau fortement bronzée de Nina. Dans cette lumière intense, c’est à peine si sa vaporeuse robe noire est visible, juste une ombre atténuant un peu la fluorescence du bikini…
Nina s’avance jusqu’à l’avant-scène et, d’emblée, un coup d’épaule vers la gauche, un coup d’épaule vers la droite, fait s’évaser l’encolure de sa robe noire et celle-ci tombe en glissant sur elle directement sur ses escarpins…Le bikini donne alors la pleine mesure de sa fluorescence, tellement lumineux en rose fuchsia que la transparence des triangles de tulle est à peine perceptible.
Elle écarte les bras, la musique démarre, saccadée, et Nina se met à danser dans le rythme…Le blondinet lui passe un boa de plumes rose fuchsia (apporté par elle dans son micro-sac à main? Mais alors tout cela ne serait pas improvisé, mais aurait été prévu par elle?…) et celui-ci vient garnir ses épaules, retombant par devant entre ses seins…
Je m’interrogeais tout à l’heure sur ce que pourrait bien encore montrer Nina lors d’un effeuillage, alors qu’elle était déjà pratiquement nue sur la piste de danse…Et c’est comme l’assistance que je découvre son show!
Pendant une minute, Nina joue à cache cache avec le boa, qui glisse autour de son cou, qui glisse entre ses seins, qui glisse entre ses jambes, qui glisse entre ses fesses, jusqu’à ce qu’approche le blondinet, qui en saisit les deux extrémités et tire Nina à lui… Elle se trouve maintenant de coté pour les spectateurs, face à lui qui est à droite de la petite scène. Il a lâché le boa, qui tombe par terre, et lève une main dans laquelle se trouve un flacon…Une giclée sortant du flacon pressé éclabousse de bas en haut le torse de Nina et le blondinet étale aussitôt l’huile sur elle, en un sensuel massage où il tire l’huile sur les épaules, sur les bras…Nina se tourne face aux spectateurs pour qu’ils profitent du spectacle et le blondinet, qui a pivoté derrière elle, continue par derrière son enduisage, seules restant visibles ses mains qui courent sur Nina. Ses mains s’attardent sur les épaules, sur les bras, sur les cotes et les flancs, remontent sous les seins, …et se posent finalement sur les seins de Nina qu’elles pétrissent langoureusement au travers du bikini en étalant l’huile…Une rumeur ravie monte de l’assemblée, d’autant plus que l’huile fait devenir totalement transparent le tulle rose du bikini plaqué sur la peau… Nina est maintenant vêtue d’un soutien-gorge qui se résume à des lanières fluorescentes encadrant comme un harnais ses seins, son torse hâlé brillant de mille reflets, marqué des auréoles plus foncées de ses bouts de sein au milieu des triangles.
Les mains de Marco continuent leur travail d’enduisage, descendant sur le ventre et les hanches, interrompues par une petite giclée d’huile de ci, de là…Nina, bras écartés, jambes bien campées, se laisse huiler et tripoter sereinement et twerke sur place au rythme saccadé de la musique…
Les mains du blondinet entrebâillent le slip au niveau du pubis et y versent une généreuse rasade d’huile contre le bas-ventre de Nina avant de relâcher l’élastique qui claque sur son ventre. Toujours par derrière, une main passée sur le coté, l’autre passée par dessous entre les cuisses, au travers du bikini, il masse cette huile contre l’entrejambe d’une Nina imperturbable, toujours aussi souriante et ondulante dans son twerk, abandonnée aux caresses de son partenaire et aux regards concupiscents des spectateurs…Comme pour les seins, le triangle de tulle du bikini mouillé par l’huile est devenu entièrement transparent. Les mains du blondinet continuent à s’affairer, descendent sur ses cuisses et laissent apparaitre au travers du tulle huilé du slip un sexe nu, entièrement rasé, juste rehaussé des lanières fluorescentes au pourtour.
Elle est maintenant entièrement huilée et luisante sous les spots. Elle se tourne pour présenter son dos. Le blondinet remet une giclée d’huile sur chaque fesse dorée qu’il pétrit et soulève pour en montrer la fermeté. Face à Nina, il penche la tête sur le coté et par dessus son épaule, fait un clin d’oeil au public … et lui écarte largement les fesses, révélant à tous l’intimité de ses orifices…salué par une ovation reconnaissante du public.
Nina continue son show comme si de rien n’était, toujours souriante, virevoltant autour du blondinet dont le pantalon est visiblement déformé par une bonne érection…comme toute l’assistance, et moi compris assurément…
Elle lui présente maintenant les longs cordons nouant son bikini, en une invitation faussement timide à les dénouer. C’est d’abord le noeud du soutien-gorge à hauteur du dos qui est défait. Nina se remet face au public pendant que son partenaire défait le noeud du haut, derrière son cou…le soutien-gorge tombe…
Nina est maintenant torse nu. La musique vient de se terminer…Elle tourne la tête, Marco est derrière elle et lui enserre la taille. Elle lui prend les mains qu’elle fait glisser lentement sur elle en les descendant jusqu’à ses cuisses, puis elle les fait remonter avec entre les doigts les lacets du string noué sur les cotés…les ficelles sont lentement tirées, les boucles des cocardes se réduisent, bloquent un peu sur le noeud serré et d’un coup cèdent…Le slip tombe à terre…Ça y est, Nina est totalement nue face au public…
Après un bref silence, la salle s’anime… Sans même que le blondinet l’ait sollicitée pour la mesure à l’applaudimètre, le tonnerre des applaudissements, des sifflets et des hourras ne laisse aucun doute sur l’identité de la gagnante du concours…
Nina lève les bras et salue, comme la gagnante d’une compétition sportive. Elle se tourne vers le blondinet qu’elle prend par la main pour lui lever aussi un bras et lui faire partager son succès. Les cris redoublent. Dans l’enthousiasme, Nina se tourne vers le blondinet et le prend dans ses bras et l’embrasse sur la joue. Profitant du geste, Marco n’hésite pas, tourne la tête et l’embrasse à pleine bouche, Nina se raidit un instant, puis s’abandonne et se relâche aussitôt, leurs langues se cherchant en un baiser partagé. La main de Marco saisit celle de Nina et la glisse sur le devant de son pantalon.
Ça va trop loin… je fais mine de monter quérir ma Nina comme l’a fait mon prédécesseur, mais les paluches d’Arthur m’immobilisent… je couine : »Mais le spectacle est fini là! » «Ah, je ne crois pas, non! » me répond-il en me montrant la scène d’un coup de menton.
Malheureusement pour moi, effectivement, non! Le patin échangé par les deux partenaires se poursuit langoureusement et le blondinet renouvelle le malaxage et écartèlement des fesses de Nina, ses orifices luisants (d’huile?) reparaissant, offerts au regard de tous sans même la petite ficelle qui les partageait tout à l’heure…
« Baise-là!… Baise-là!… Baise-là!… » scandent les plus chauds des spectateurs à l’intention de Marco…
Ma Nina ignore les ordres de la foule déchainée, mais totalement excitée par le mâle qui vient de la déshabiller et l’embrasser, se laisse mettre à genou devant le blondinet qui baisse son pantalon d’un geste sec et fait sauter sa verge hors du vêtement, comme un diable éjecté de sa boite…Sans une hésitation, elle prend ce sexe en bouche pour commencer à le sucer…
Je ne peux m’empêcher de remarquer que le salaud est rudement bien monté! Même avec la main de Nina enserrant la hampe à mi-longueur, c’est plus de dix centimètres qui rentrent et sortent en cadence de sa bouche.
Après deux minutes de ce traitement, le sexe est tendu à son maximum. Marco se dégage de la bouche accueillante, fait se redresser Nina et la tourne face à la foule comme pour faire à nouveau profiter toute l’assemblée de sa nudité, stimulé par les acclamations.
Elle est entièrement nue, son corps huilé brillant sous les sunlights. Elle se laisse passivement conduire par son partenaire dont les mains exigeantes, impérieuses, posées sur son bassin, la dispose cambrée croupe en arrière, bien campée sur ses jambes écartées. Placé derrière elle, il fléchit un peu les jambes pour se mettre à hauteur …et la pénètre d’un seul coup de rein…A l’évidence, il rentre en elle comme dans une motte de beurre. Les yeux mi-clos, bouche ouverte comme sur une exclamation de surprise, elle se laisse pourtant faire docilement, saisissant même derrière elle les hanches de son partenaire pour accompagner ses va-et-vient en elle.
Toujours bloqué par Arthur qui me tient empoigné, j’alterne entre la rage de voir cette femme que je croyais mienne se soumettre en public tellement docilement, comme une bonne chienne, à la première grosse bite venue, et l’excitation d’une pornographie qui dépasse l’entendement… tellement délicieuse Nina!
« On veut tout voir!…On veut tout voir!…On veut tout voir!… » crie maintenant la foule dont l’exigence de voir la belle se faire baiser a pourtant été satisfaite. Marco se presse alors contre son dos, appuie sur ses épaules pour la faire se pencher légèrement et la saisit par l’extérieur sous les cuisses. D’un coup, il la soulève… Elle est maintenant dans ses bras puissants, les mains de Marco tenant par dessous ses cuisses grandes ouvertes face au public pour exhiber son sexe luisant et béant, écartelé par cette grosse verge sur laquelle elle coulisse pendant qu’il la lève et la descend, seins ballotant à l’unisson…
La foule est en délire…
Nina aussi est en transe, désormais insensible au spectacle qu’elle donne, elle est entièrement soumise au mâle qui la domine impérieusement et lui donne du plaisir, tête tendrement tournée vers lui, elle passe un bras derrière sa tête pour l’attirer à elle et trouver sa bouche pour y accrocher sa langue…
Les flashes des téléphones photographiant la scène clignotent et le patron de la boite filme plus que jamais, Arthur maintenant la pression de ses grosses mains pour m’immobiliser. Il me glisse à l’oreille: « tu n’es pas le premier dont Marco baise la femme sur scène...Il rend les femelles folles!… Console-toi en te disant que toi, c’est tous les jours que tu peux baiser ta salope…! »
Nina, dont les premiers soupirs sont devenus de sonores gémissements qui s’amplifient rapidement, pousse un long cri saccadé en éprouvant visiblement un orgasme monumental, toute l’assistance profitant alors des spasmes de son sexe exhibé après que son amant se soit retiré. Aussitôt après, Marco la repose et vient éjaculer sur ses seins…
Ça y est! c’est enfin terminé. Arthur me lâche finalement avec une tape sur l’épaule. J’entends la foule des spectateurs qui fait une ovation à Marco comme dans un rêve brumeux. Nina, hagarde, ramasse vivement ses affaires éparses sous les applaudissements accompagnés des commentaires salaces de ses admirateurs chauffés à blanc. Elle dégringole la volée de marche, une main sur le sexe, un bras en travers des seins en un étonnant geste de pudeur après une exhibition aussi totale…Au bas des marches où je la récupère, elle fuit mon regard, honteuse, commençant juste à prendre conscience de ce qu’elle a fait…C’était évidemment allé beaucoup plus loin que ce qu’elle avait prévu dans ses fantasmes les plus osés et elle pressent qu’elle aura à en subir les conséquences…
Nous fendons la foule serrée. A son passage, des mains baladeuses palpent sans vergogne cette femme encore nue…Nous nous apprêtons à nous éclipser discrètement, mais le patron m’accoste dans le vestiaire d’entrée où Nina remet son manteau. Il me tend sa carte de visite en disant: »si ça vous tente, j’ai la vidéo…je vous l’offre, elle l’a bien méritée…et puis il faudra qu’on en parle! Mais pour ce soir, rentrez vous reposer, elle est exténuée, la petite!… »
J’ai rappelé « Le Clandé » deux jours après. Et j’ai bien eu la vidéo…Lorsque j’ai demandé si il n’y avait pas de copie, le patron a rigolé en me disant que j’étais le seul à l’avoir eue …gratuitement.
Parce que les deux cents autres participants à cette soirée, eux, l’ont achetée cinquante euros chacun !
Et il a ajouté: «vous savez, vot’femme, elle a un truc en plus!… je pense que si c’était si excitant, c’est parce qu’elle a vraiment aimé ça, de se mettre à poil et de se faire baiser par Marco devant tout le monde! Alors, si vous êtes cool, je peux lui offrir un job super bien payé, vous le regretterez pas!… »
——
La morale de cette histoire, - qui n’est pas sauve du tout! - c’est que maintenant, Nina, qui reste mon épouse, toujours apparemment si sage et rangée, est maintenant moins désoeuvrée puisqu’elle s’éclipse pour aller « travailler » un samedi soir sur deux, « Au Clandé » ou dans quelque autre boite du même patron…
Ses cachets substantiels représentent plus que mon salaire de cadre! …
Et pendant les vacances que nous nous offrons - beaucoup plus souvent avec cette manne - elle me montre en toute ingénuité les vidéos de ses exhibitions et exploits - que le patron filme toujours - lesquelles finissent invariablement par elle faisant joliment l’amour sur scène avec son partenaire du soir, devant une foule enthousiaste.
C’est devenu notre normalité…
Pour ma part, je suis devenu le metteur en scène de ses shows, que nous imaginons toujours plus osés et répétons d’abord ensemble, pour notre plus grand plaisir…même si mon ventre se tord toujours de jalousie quand elle n’est pas là, un samedi soir sur deux, sachant ce qu’elle est en train de faire quelque part, avec un inconnu fortement membré, et devant une salle pleine de mâles surexcités!
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