Cadeau d'anniversaire

- Par l'auteur HDS Bonlien -
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cadeau d'anniversaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Cadeau d'anniversaire
Alain - Cadeau d'anniversaire
Chapitre 1J'ai connu Pierre via le net. Pierre est un peu plus âgé que moi avec une compréhension, une ouverte extraordinaires. Dès le début, il m'a mis en confiance avec une capacité d'écoute, de dialogue. Il s'est de suite montré autoritaire avec une grande tendresse. Voilà maintenant un mois que je partage ma vie avec lui sur la toile et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'il m'a invité à son anniversaire. Comme il habitait loin, il m'a proposé de passer le week-end chez lui. Bien sûr, je n'ai pas hésité une seule seconde et ma surprise fut de taille.
Vendredi soir, je prends le train vers le Sud de la France. J'ai reçu, par courrier, un ticket de première classe TGV et je savoure le trajet dans un grand luxe hyper confortable. Arrivé à Lyon, je suis accueilli par un jeune et beau blond qui m'appelle. Il me signale simplement qu'il vient me chercher de la part de Pierre. Je suis interloqué d'autant plus qu'il me mène vers une somptueuse limousine. J'ai beau posé une tonne de question, le jeune blond reste silencieux. Il me propose de m'installer à l'arrière, je me sens frustré. La voiture est encore plus confortable que le TGV mais je manque de chaleur humaine. Je décide, malgré tout, de savourer la route sans trop me tracasser.
La limousine s'arrête devant une immense grille en fer forgé qui s'ouvre de suite pour nous laisser entrer dans un vaste parc au fond duquel se dresse une sorte de château. Mon mental me projette de suite dans les contes de fée qui ont bercé mon enfance. Je suis bien ! Devant nous, j'aperçois aussi une série de véhicules de luxe impeccablement rangés. La limousine contourne ces voitures de haut de gamme pour se glisser dans un grand garage.
Le beau garçon sort, m'ouvre la portière. Il s'empare de ma valise, me la tend. De façon inattendue, il se présente assez sèchement. Il se nomme Luc et me propose de me guider dans la grande demeure pour me préparer. Je ne comprends pas bien, mais je le suis, assez intimidé par ce déploiement de luxe. Je n'ose pas ouvrir la bouche malgré les centaines de questions que je me pose.
Luc m'emmène à travers de larges escaliers, divers corridors décorés de grands tableaux, puis des escaliers plus étroits et plus sobres et de nouveau un dédale de couloirs bien moins décorés. Luc m'ouvre une porte, m'invite à entrer. Je me retrouve dans une grande chambre dont les seuls meubles sont une étagère de bois et un simple lit. Je retombe brutalement sur terre, perdant toutes mes rêveries. La réalité me semble rude après tout cet étalage de luxe qui ne semble pas pour moi. Je regrette déjà mon voyage et je m'interroge. Luc interrompt mes pensées noires et propose de m'aider à déballer ma valise. Sans attendre ma réponse, il est déjà occupé à ranger proprement, méticuleusement mes vêtements. Il est si rapide, agrippant chaque vêtement et les repliant méticuleusement, que j'arrive à peine à le suivre. En quelques minutes, je me retrouve devant une étagère rangée avec mes quelques vêtements minutieusement repliés. Je n'en crois pas mes yeux, je me sens sidéré.
Je suis à peine remis de cette étrange émotion que Luc me propose de prendre une douche. Sans réfléchir, j'accepte joyeusement. Je regrette rapidement mon enjouement comme Luc me propose sèchement, m'ordonne de me déshabiller dans la chambre tandis qu'il prépare la salle de bain. Je me déshabille jusqu'à mon slip et j'attends, assis sur le lit. Lorsque Luc revient, il rigole et me crie qu'une douche ne se prend pas en slip. Je me lève, tourne mon dos vers lui et baisse mon slip. Je le jette sur le lit et, les mains cachant mon entrejambe, je me retourne vers lui. Il me lance un regard sévère, pointe le tas de vêtements éparpillés sur le lit. Il me dit toujours aussi sèchement de trier mes vêtements, de jeter mes sous-vêtements dans un bac pour la lessive et de replier le reste pour les ranger convenablement. Avec hésitation, me pliant à ses directives devant le regard noir qu'il me lance, je commence à m'activer, maintenant incapable de cacher convenablement ma nudité. Luc reste debout là-bas au centre de la pièce, inflexible, observant, scrutant chacun de mes gestes, discutant chaque manquement dans les plis et les rangements.
Instinctivement, je viens me replacer devant lui, les mains devant. Luc me regarde toujours froidement, il s'approche, je frémis, je me sens impressionné, effrayé par ce garçon.
- Tiens-toi correctement, la tête droite, le torse bombé, les fesses en arrière !
Je m'exécute sans réfléchir. Je n'ose pas broncher. Son contact sur mes poignets me fait sursauter. Luc écarte mes bras et les place sur mes côtés. Je me sens plus nu que jamais, vulnérable. Je sens mon visage chauffer et rougir de honte d'autant plus que je sens un fourmillement dans mon aine. Je reste figé sur place tandis qu'il recule d'un pas pour admirer son œuvre. Luc me viole littéralement, chaque centimètre de mon corps est passé sous la loupe, scruté, analysé. Je peux voir un rictus de satisfaction sur son beau visage.
- Baisse les yeux !
Je n'arrive toujours pas à réfléchir, à reprendre possession de mes pensées, de mes actes, de mon corps. Je baisse les yeux tandis qu'il me contourne.
- Écarte les jambes.
Le geste est automatique et cela m'énerve terriblement autant de m'exciter. Je connais à peine ce garçon, je ne sais pas qui il est et je me sens déjà sa chose. Luc me possède et je n'arrive pas à me révolter, à me délivrer de son emprise. Je me prépare au pire même si je ne veux pas que cela arrive. Je peux sentir son regard examinateur dans chaque recoin de mon corps.
- Suis-moi !
Le ton reste spartiate. Je le suis silencieusement, humblement. Une main sur mon bras gauche me place devant la douche. Luc règle le jet, sa puissance et sa température. Sur son indication, j'entre dans la douche. Le jet est puissant et, pire, l'eau est terriblement froide. Je recule d'un pas. Un "NON !" retentit, je ne peux que de retourner sous le jet glacial. A mon grand soulagement, Luc arrête l'eau puis me lance une barre de savon, j'hésite un instant puis commencer à savonner mon corps avec les mains.
- Lave TOUT correctement, de haut en bas sans rien oublier, TOUS les plis et les replis.
Je ne sais pas réellement ce qu'il veut, ce que cet ordre implique, jusqu'où je peux ou je dois aller. Je commence mon travail; les cheveux, la tête, le corps devant et derrière, les bras, les mains, le sexe. Ma queue est dressée à l'horizontal. J'en prends seulement conscience maintenant avec cet horrible mélange de terrible honte et de merveilleuse excitation. Je risque un œil vers Luc et je peux voir son ravissement. Je n'insiste pas trop pour ne pas aggraver ma gêne, pour ne pas augmenter son plaisir. Je continue mon lavage; le cul, les jambes et les pieds. Je suis maintenant couvert de savon et j'attends. Je ne sais pas quoi faire, je n'ose pas prendre d'initiative.
- Retourne-toi ! Écarte les jambes ! Penche-toi en avant !
Je m'exécute, je crains le pire. Même si je m'y attendais, je sursaute lorsque je sens un doigt me sonder. Il ne reste pas longtemps dans mon trou. Luc montre son mécontentement.
- Ce n'est pas très propre par ici !
Je me sens fou de rage mais je ne risque pas de le montrer. Je reste en place, mon cul offert. Une ferme tape m'amène à bouger, à réagir. Avec plus de savon, je nettoie mon trou tandis que je sens un regard perçant entre mes fesses. La scène semble durer des heures, un spectacle de choix avec moi nu, le corps couvert de mousse, les fesses écartées, offertes et le trou en cours de récurage sous le regard austère d'un beau jeune étranger, en plus d'une hampe qui ne cesse de gonfler et de dégouliner. Je veux tant arrêter cet acte pervers !
- C'est bon !
Rapidement, soulagé et déçu, je sors mon doigt, me redresse et attends. Je ne désire pas me retourner, exhiber la preuve de mon plaisir malsain.
- Voyons l'autre coté !
L'ordre est lancé. Je ne bouge pas, glacé à l'idée d'avouer ma perversité. Une double ferme frappe sur les fesses et je me retourne lentement. Les yeux figés sur le sol, la tête baissée, les bras crispés pour les empêcher de couvrir le délit, les poings serrés, je fais face à mon inquisiteur, les tempes palpitantes, le visage cramoisi, le cerveau en compote. Je me sens brisé.
Une chaude main sur ma tige propage un flot de tourments en moi, la douce caresse me trouble. Une peur m'envahit, je ne veux pas jouir... Puis-je jouir ? Puis-je gicler cet amas de semence engrangée ? Heureusement, la tendre main ne s'attarde pas, elle laisse ma hampe palpiter dans les airs pour agripper plus fermement mon sac, étirer légèrement les couilles et provoquer ainsi un doux effroi d'entre mes lèvres.
La pression à peine libérée, je bondis de surprise lorsque le jet glacial frappe de nouveau ma peau. Je sautille de tous les côtés, libérant la mousse et massant tous mes muscles bandés. Pire encore ! L'eau s'est à peine arrêtée qu'un jet direct heurte mon entrejambe, l'amenant à s'étirer douloureusement. Après ce qui semble une éternité, je décide de fuir en me retournant pour recevoir cette attaque glaciale sur mes fesses et rapidement plus proche dans ma raie. Je suis perdu, je me sens épuisé, physiquement et mentalement.
L'eau disparait finalement et j'attends, j'attends encore et encore. Je risque un œil derrière moi. Luc est assis sur le rebord de la baignoire, un regard malsain me dit qu'il prépare déjà un autre mauvais coup. Je peux le voir se caresser son entrejambe gonflé. Je ne sais pas si le fait de lui avoir donné du plaisir me satisfait. Pierre serait-il un leurre pour m'attirer dans un piège diabolique, je sens la peur m'envahir.
Comme s'il devinait mes pensées, Luc tend aimablement un grand essuie en m'appelant à lui. A mon grand étonnement, il entoure délicatement le tissu autour de mes épaules avec une amabilité inquiétante. Je ne sais pas comment apprécier ce geste et les autres comme il commence à me frictionner avec une tendre fermeté. Luc abandonne l'essuie autour de mes corps pour saisir un plus petit pour essuyer plaisamment mes jambes. Luc garde le meilleur pour la fin, je peux sentir le tissu caresser doucement mon sexe, puis ma raie. Je peux sentir mon corps se décontracter, s'abandonner sous ses attouchements. Je ferme les yeux et savoure longuement.
Je sens mon corps agrippé, enveloppé avec fermeté et soulevé. J'ouvre les yeux et réalise que Luc me transporte avec aisance vers le lit. Luc me dépose délicatement. Je suis surpris, je suis ému. Ce diabolique beau blond aurait-il de la tendresse cachée ? Luc positionne mon corps déployé, puis il se penche vers la table de nuit, fais je ne sais quoi. Après une ou deux manipulations, Luc se penche vers moi et je peux sentir ses douces mains commencer à étendre une lotion apaisante et si magnifiquement parfumée. Je fonds entre ses solides mains d'homme. Les heures passent même si ce ne sont que de longues divines minutes. Je me suis presqu'endormi, je suis aux anges.
Luc m'interpelle. Je réalise que je suis toujours allongé sur le lit, le corps totalement huilé et en pleine décontraction excepté pour mon membre dans toute sa virilité, dressé par-dessus mon nombril inondé de suc.
- Debout !
Luc a retrouvé sa voix sèche et imposante. La douceur de ses traits a disparut aussi. Je me lève, chancelant. Luc m'attire devant un grand miroir. Je peux admirer mon corps reluisant, ma hampe hyper gonflée qui palpite pour demander un soulagement. Je me sens fier !
Derrière moi, Luc approche avec un grand tissu blanc. Luc me fait lever les bras et glisse le vêtement de soie par-dessus mon corps. Je me retrouve dans une sorte de tunique toute douce mais... assez courte. Si légère que ma hampe repousse et soulève le devant du tissu, si fine que mon gland montre sa silhouette humide, si courte que mon sac serré se révèle dessous. Je suis émerveillé par ce spectacle, puis je me sens progressivement horrifié à l'idée que je ne pourrais pas avoir d'autres vêtements. Mon sexe est tendu au maximum par cette idée, par cette vision débauchée que je vais offrir à Pierre, s'il existe vraiment. Luc me sors de mes perverses inquiétudes.
- Il est temps d'y allez !

A suivre pour votre plaisir et le mien, Alain

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