Li Gazet'iX - Bibliothèque
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Li Gazet'iX est le journal peu officiel mais très recherché qui "divulgue" l'envers des décors, les coulisses cachées du campus.
Comme vous l'avez sûrement tous lu chez notre concurrent, le journal officiel de l'unif, un slip trempé a été retrouvé dans notre bibliothèque. Une annonce a été faite, mais jamais personne n'est venu le réclamer jusqu'à présent...
Voici notre version des faits pour deux jeunes antagonistes. Le premier, inconnu de nos journalistes sera appelé Philippe tandis que le second connu comme D, sera nommé Daniel:Philippe a 20 ans. Il est grand et large d'épaules, une imposante chevelure châtain clair tombe sur ses épaules, un joli visage avec un menton carré montre sa détermination. Il est un des plus beaux spécimens d'une des équipes sportive. Sa préférence pour les garçons, pleinement assumée, ne lui attire aucune complication même si ses traques sont fréquences puisque ce n'est que de la baise pour une seule fois. Il est en classe de seconde plutôt coté artistique. Philippe a une réputation de chasseur, de rapace qui obtient toujours ce qu'il veut.
Philippe se rendait régulièrement à la bibliothèque pour ses études. Il a rapidement repéré un joli blondinet qui l'intéressait. Durant plusieurs jours, Philippe l'a observé et il a vite remarqué que celui-ci reluquait régulièrement vers lui, détournant le regard lorsque Philippe le regardait fixement et rougissant profondément. Rapidement, Philippe s'est discrètement renseigné sur son compte, cette proie l'intéressait au plus haut point, elle serait intéressante sur son tableau de chasse.
Le beau gosse s'appelle Damien, il est en classe de première, plutôt littéraire. Malgré son beau visage ovale, ses magnifiques boucles couleur de blés et ses pétillants yeux verts clairs en forme d'amendes, il ne semble pas avoir de petite amie. Il ne fait partie d'aucune équipe sportive même si son corps semble bien développé, même un peu plus que la moyenne. Il a la réputation d'être distant et solitaire.
Au moment précis où il a décidé de l'aborder, Philippe ne l'a plus revu durant deux jours jusqu'au moment où, traînant jusqu'à la fermeture, Philippe l'a vu surgir de la salle réservée à la section histoire. Son sang n'a fait qu'un tour, palpitant dans ses temps et entre ses jambes. Philippe étais prêt pour l'assaut... Belle victime prend garde à toi... Mais résiste-moi!
Le lendemain, Philippe fait une demande d'accès pour cette salle et, à sa surprise, Philippe y est de suite autorisé. Philippe s'installe à sa table et directement en face de lui, tandis que celui-ci est plongé dans un gros livre couvert d'une vielle couverture de cuir et visiblement captivant. Lorsque Damien relève finalement la tête, Philippe l'entend avaler sec et ils croisent leurs yeux. Damien sourit bêtement et rougit de nouveau. Philippe lui sourit en retour et lèche langoureusement ses lèvres. Il y a quatre autres étudiants répartis dans la grande salle, mais les deux compères sont relativement isolés, dans un coin de pénombre, hormis pour les petits faisceaux coniques des lampes individuelles.
"Tu préfères les sucettes ou les pipes?"Damien le regarde, surpris. Son regard est interrogatif. La pièce semble enfin tomber. Ses yeux s'écarquillent, il rougit plus profondément. Immédiatement, Philippe ballotte sa tête de haut en bas en un mouvement ample et lent. En haut, ses yeux sont rivés dans les siens, puis en haut vers son entrejambe hyper gonflé.
Damien est hésitant, il bredouille quelques sons incompréhensibles et termine par, "... heu, je... Je suis Damien et... heu..."Philippe le fixe intensément, glissant tendrement un doigt dans sa bouche et le léchant longuement et lentement.
Damien arrive péniblement à se contrôler et il ose un "... j'aime les deux..." avant de baisser précipitamment sa tête maintenant rouge pivoine. Philippe peut voir les doigts du jeune étudiant peureux trembler autour de son livre.
"Je suis Philippe!" Son murmure est aimable, Philippe désire le rassurer, le mettre à l'aise. Sur un ton bienfaisant, Philippe ajoute, "Moi aussi, une bonne lèche ou une longue pipe!"Damien relève la tête, les yeux remplis de curiosité et Philippe accueille ce regard avec un large sourire amical qu'il lui rend tendrement. "J'aime les recevoir abondamment!"Philippe peut percevoir une lueur de désir dans les beaux yeux verts toujours écarquillés.
"J'en ai fortement besoin maintenant!" Sa voix est montée d'un cran, même si toujours discrète afin de ne pas attirer l'attention dans cette magnifique grande salle de lecture plongée dans le silence.
Le désir dans les yeux de Damien semble changer aussi en luxure. Oui, il en a visiblement envie aussi. Il a compris mon message. Ses yeux tourbillonnent, tournoient, vacillent entre le fond de la salle et les yeux hypnotisants de Philippe ancrés sur les siens. Il s'interroge, perdu entre désir et peur, égaré dans des tourments de dépravation, errant entre plaisirs et interdits. Chaque fois que les yeux de Damien reviennent dans les profondeurs des siens, Philippe sent un relan de désir, un surcroit d'envie, un redoublement du besoin qui tend son jean et force la douleur de sa hampe hyper tendue.
Un claquement de porte, Philippe sursaute et détourne son regard. Les places publiques ne sont pas les endroits favoris de Philippe, il préfère un bon lit douillet. Philippe revient vers sa voluptueuse proie, vers ce magnifique ange assis devant lui mais... il n'est plus là.
Sa chaise est vide, le gredin, il a profité de l'occasion pour fuir, refusant cette merveilleuse opportunité de faire l'amour avec le plus bel athlète de l'université, de profiter du plus beau mât de chair qu'il aurait engloutit dans la vie, d'abord par voie orale pour lui donner une bonne rigidité et une lubrification adéquate avant de pouvoir vaillamment l'ensemencer. Philippe peste, Philippe râle d'autant plus qu'il était certain de la réussite de son plan.
Philippe sursaute une nouvelle fois comme il sent une présence entre ses jambes, un léger contact chaud et doux. De dessus la table, Philippe perçoit une main surgir et se plaquer fermement contre l'énorme bosse dans son short. Une deuxième la rejoint pour masser et évaluer la cible gonflée. Philippe se contrôle pour ne pas jouir trop vite et massacrer cette rencontre tant espérée. Philippe est dans un débordement d'émotion. Son nouveau rêve, son phantasme s'accomplit. En réalité, Philippe fait ceci pour la première fois, Philippe l'a longuement préparé, Philippe l'a tant rêve, Philippe a tant mouillé de draps avant... et voici que tout devient réalité. Philippe se sent malgré tout un peu honteux et comblé à la fois, le plaisir dépassant largement cette gêne d'être en public et d'avoir encouragé, forcé un beau jeune Apollon inconnu et peut-être puceau, à exhausser ses désirs pervers.
Une main remonte lentement le long de son estomac serré et se fraie tendrement un chemin pour caresser et titiller son sein droit. Son chaud rêve est bien réel, mais Philippe reste crispé par la présence d'autrui, conscient du risque qu'ils prennent et cette conscience accentue encore plus la pression dans son jean, pleinement pressé par une main étrangère. Ce divin garçon a osé franchir le pas, il s'est glissé sous la table, dans la pénombre pour s'activer et lui plaire.
La surprise, le plaisir et la joie sont tellement énormes que Philippe en oublie la salle, les étudiants et il doit se forcer pour ne pas précipiter une jouissance qui s'annonce phénoménale.
Tandis que Philippe se concentre sur la douceur des longs doigts fins sur son téton, l'autre main commence à travailler lentement le bouton de son short, puis il sent le tissu se détendre progressivement comme la tirette est descendue et Philippe s'attend à une belle suite. A sa surprise, l'activité là-dessous s'interrompt. Les yeux de Philippe, feignant de parcourir le livre, peuvent apercevoir un second mouvement serpentant à l'intérieur de sa chemise comme un bras se glisse lentement le long de son abdomen musclé jusqu'à ce que la main s'arrête à hauteur de sa consœur pour caresser et titiller son autre sein. La sensation est si forte que Philippe émet une petite lamentation de plaisir, son corps commence à s'agiter de lui-même et son bassin supplie d'autant plus de l'attention. Philippe ne maîtrise plus la situation, Philippe l'a-t-il déjà maîtrisée depuis le début de cette rencontre? Ses légers bruissements attirent de temps en temps un regard, son ravissement n'en est que plus fort.
Les mains perverses, manifestement pas si novices, s'aventurent sur ses flancs, sous ses bras et le doux chatouillement amène Philippe à se tordre, à sautiller sur place. Philippe est-il tombé sur un jeune sadique!!! Damien profite de la situation. Dans sa cachette où il est bien planqué, caché et inconscient des réactions des autres, il tourmente habilement, mais gentiment, ce bel aguicheur.
Deux étudiantes se lèvent, Philippe se crispe, plaquent ses mains sur les délicieux doigts tripoteurs pour les bloquer. Heureusement, les filles sortent ensemble, Philippe espère que ce n'est pas de sa faute... et même alors! Sa pression baisse d'un cran, c'étaient les témoins potentiels les plus proches.
Les chatouilles ont disparues, Philippe est soulagé, il en devenait presque fou. Les mains ont totalement disparues, Philippe baisse les yeux pour les solliciter à nouveau, rien. Philippe s'inquiète, Philippe ne les voit pas. Elles surgissent subitement sur ses hanches, de chaque coté de son short et tirent brusquement. Son short commence brusquement à glisser le long de ses cuisses, le mouvement est si violent qu'il l'emmène avec lui sur le devant de sa chaise. Philippe se rattrape in extrémis sur le bord de ta table, soulève son bassin pour rajuster sa position. Damien en profite pour baisser le short jusqu'à ses genoux et il ose continuer la descente autour de ses chevilles. Le voici piégé! Les mains reviennent à la charge. Tendrement, elles caressent son ventre, sonde doucement son nombril, Philippe retient un rire au plus profond de sa gorge. Damien joue avec les quelques poils châtains dépassant de son slip déformé, les étirent gentiment, Philippe étouffe un cri, ce garçon est diabolique!
Une main glisse sur le devant de son slip, presse l'énorme déformation dure comme l'acier tandis que l'autre se faufile entre mes jambes, glisse entre ses fesses pour remonter le long de sa raie involontairement offerte. Philippe ne s'interroge pas sur la raison de l'action et se soulève simplement pour faciliter l'intrusion. Philippe se sent de suite de nouveau piégé. Le vil bâtard abuse de la situation pour arracher littéralement son slip loin de mon bassin et enfin libérer la source de toute cette aventure. Avant même que Philippe ne puisse réagir, le tissu entoure rapidement ses genoux et glisse aussi brutalement le long de ses jambes et n'est arrêté que par son short sur ses mollets. Son compagnon se révèle être un expert en tourment. Philippe n'est pas au bout de ses surprises. Lorsque Philippe sent un tapotement sur mon mollet gauche, il lève instinctivement sa jambe gauche, ne me demandez pas pourquoi, c'est ainsi. Aussitôt son pieds gauche de retour sur le sol, son mollet droit est agrippé et soulevé.
Philippe retient un cri d'effroi en dernière minute comme il prend finalement conscience qu'il n'a plus aucun vêtement pour couvrir le bas de son corps. Philippe regarde à gauche, Philippe scrute à droite et il sent son cœur s'emballer comme son visage chauffe à blanc. Philippe a beau être un chasseur presque professionnel, cette situation inattendue le mène au bord de la panique. S'il arrivait quelque chose dans la salle, si quelqu'un s'approchait de lui, Philippe serait découvert la taille nue, le sexe tendu et dégoulinant. Philippe épie les moindres gestes des deux autres étudiants présents. Son excitation est proportionnelle à son anxiété, elle ne semble jamais avoir été si élevée.
Lorsque Philippe arrive à reprendre son calme, à reprendre son souffle, une nouvelle panique surgit. Philippe ne sent plus la présence de Damien. Philippe tend ses jambes, déploie ses pieds dans toutes les directions... RIEN. Philippe épie à gauche, il inspecte à droite et risque un œil sous la table... RIEN. Philippe ne voit plus rien, ni Damien, ni ses habits. PHILIPPE a le souffle coupé, Philippe se sent mal, très mal et, pourtant, sa queue tendue ne cesse de dégouliner toujours plus, de gonfler encore au point de faire franchement mal, Philippe va exploser... Philippe ne peut pas éclater.
A ce moment-là, Philippe aperçoit une ombre approcher de derrière lui. Son cœur s'emballe, la panique est à son comble, il va défaillir. Heureusement, Philippe reconnait Damien. Philippe sent une colère monter, Philippe veut se lever et l'attraper sauvagement pour lui donner une leçon. Philippe est maintenant debout, totalement inconscient de sa situation. Il voit alors Damien brandir ses deux petits vêtements et prend ainsi conscience de sa nudité affichée. Philippe se laisse immédiatement retomber sur sa chaise, la moutarde lui monte au nez. Damien s'approche de lui et, avant que Philippe ne puisse montrer mon irritation, il plante un langoureux et long baiser sur ses lèvres. Sa rage s'estompe. Ce geste si inhabituel venant d'un autre, est bien trop fort pour lui.
Philippe entend un murmure railleur à son oreille, "Bonjour Philippe, quelle joie de te rencontrer... j'ai un cadeau pour toi!"Damien dépose nonchalamment les deux vêtements sur la table. Philippe s'en empare immédiatement et les pose précipitamment sur la chaise à côté de lui. Damien contourne son corps crispé, il se place derrière lui et caresse tendrement son torse comme pour le relaxer. Philippe observe les deux autres étudiants du coin de l'œil, Damien ne semble pas s'en tracasser. "Je vois que mon lolipop est fin prêt."Philippe baisse les yeux. Son sexe n'a pas débandé d'un iota malgré les évènements. Que du contraire, il palpite et dégouline comme un torrent de haute montagne. Philippe ne sait que faire de ses mains, les accrocher au livre pour prétendre étudier ou cacher cette traitresse qui s'exhibe et se dresse malgré l'affront.
Damien profite de ce court instant pour récupérer les deux vêtements. Il retourne vers sa chaise, s'assied et parcourt son livre, l'air de rien. Il dépose ensuite nonchalamment les tissus en face de lui, Philippe est interloqué. Voyant son désarroi, Damien place le short sur la chaise à coté de lui... pas le slip. Il soulève celui-ci d'un mouvement gracieux et provocateur, puis hume le tissu. Philippe est épaté par le toupet de ce garçon, lui qui le prenait pour un grand effarouché. L'attrait de sexe l'a, apparemment, inhibé de toute honte. Philippe est bien plus gêné que lui par cette situation singulière, mais aussi hautement plus excité.
Maintenant, c'est Damien qui fixe Philippe droit dans les yeux, c'est lui qui a réellement avoir le pouvoir. Philippe se sent complètement dérouté, perturbé par ce qu'il voit dans les yeux de ce jeune étudiant et Philippe n'a aucun moyen de réagir, Damien a toutes les armes en main... enfin presque tous ses vêtements.
Philippe plonge ses yeux dans le livre pour tenter de se calmer mais Damien revient continuellement à l'assaut. Philippe peut sentir un pied nu, puis deux, s'incruster entre mes jambes et des orteils se concerter pour tourmenter la grosse colonne de chair dressée. Sa concentration est perdue, Philippe sent le feu le ravager de l'intérieur, la pression monter à son comble comme dans une bouilloire. Les yeux de Damien sont inquisiteurs, ils étudient chacun des gestes de Philippe, chacune de ses réactions. Et le gredin connait bien son affaire. A peine Philippe approche-t-il du point de non-retour, que les talentueux orteils ralentissent le massage ou s'éloignent.
"Que diable suis-je venu faire dans cette galère!" se dit Philippe comme il n'a aucun moyen de s'y soustraire, aucune possibilité pour lui dire que c'est trop, de se lever et de partir. Philippe s'est réellement piégé lui-même.
Philippe n'arrive plus à sortir un mot. Si ses lèvres se séparent, c'est un hurlement qui risque de dévaster l'enceinte de la bibliothèque. Philippe ne peut qu'implorer grâce aux yeux de Damien. Philippe sait que celui-ci l'a compris car, plus Philippe implore, plus son sourire s'élargit. Ses nerfs vont craquer, Philippe se dandine sur sa chaise de bois et il perd tellement de suc qu'une marre s'est formée entre les deux pieds de sa chaise. Philippe n'a plus de notion du temps et l'horloge de la bibliothèque n'est pas visible d'où il est. Qu'adviendra-t-il de lui si la sonnerie de fermeture retentit?
Au moment où Philippe surgit hors de ses pensées, de ses tracas, de ses problèmes présents, il remarque que Damien a de nouveau disparu. Heureusement que Philippe peut rapidement sentir sa présence contre mes pieds. Philippe n'a vraiment pas besoin de mauvaises émotions supplémentaires. Mais Philippe ne sait pas à quoi s'attendre maintenant qu'il connait mieux le vilain chenapan.
A la place des douces mains expertes, c'est une bouche affamée quoi dévore son gland luisant. Deux lèvres se referment puissamment autour de la base et pivotent quelques fois avant de s'élargir. La langue intervient alors pour masser le pourtour, le frein puis la couronne et termine par sonder délicatement le petit trou humide. Philippe va réellement exploser, mais il ne le désire pas encore. La divine pointe de langue descend le long de la veine gonflée et effectue quelques lents va-et-vient. Elle descend subitement pour s'enrouler autour des orbites, l'un après l'autre. Une longue succion bien décidée s'ensuit, une couille, puis l'autre et retour à la première. Les aspirations s'accélèrent, augmentent en force aussi. Philippe sens son sac comme subliment arraché, il me tortille à la limite du contrôle, ses mâchoires bloquées.
Les mains de Damien prennent le relai tandis que sa bouche engouffre la tige, toute en une fois, sans hésitation, sans interruption, sans ralentissement. Philippe se sent aspiré dans cette chaude cavité humide, le faisant presque décoller de son siège. Heureusement que les mains arrimées autour de mon sac ancre son bassin à la chaise pour l'empêcher de vaciller.
Tout bouillonne à l'intérieur de lui, Philippe va exploser d'un instant à l'autre.
Non, Damien a d'autres projets pour lui. Son visage émerge de dessous la table. Il le tire par la cravate et Philippe ne peut que se pencher pour accueillir ses épaisses lèvres et goûter le jus qu'elles viennent de récupérer de sa longue hampe épaisse.
Juste comme Philippe s'écarte, il sent la main de Damien contre ma joue et, avant que Philippe ne le réalise, Damien a bourré son propre slip dans sa bouche. "Ceci t'empêchera d'ameuter toute la bibliothèque." lui murmure sournoisement DamienMalgré son appréhension, Philippe l'accepte volontiers car Damien a raison. Philippe ne tient pas à être renvoyé de l'université ou être à la une du journal local.
Philippe se cramponne à la table tandis que Damien bloque ses chevilles contre les pieds avant de sa chaise, Philippe est mûr pour le grand final.
Damien rejoue le grand jeu. Il relance le même tourment du gland, commençant délicatement avec le bout affilé de sa langue, suit avec la pointe de ces doigts délicats. Tandis que les doigts descendent de chaque coté de la tige érigée vers le ciel, la bouche vient recouvrir la masse entière pour la pétrir, l'entourer de plus en plus loin, la chauffer, l'humidifier, l'enflammer. Alors que les doigts sont occupés avec les orbites, les pressant, les serrant, les cajolant, et les étirant doucement, la tige disparait complètement au fond de la gorge. La tête gonflée demande un passage à la glotte, la langue œuvre magiquement sur toute la longueur distendue et les lèvres offrent un mouvement circulaire démoniaque.
Philippe sent l'apogée approcher à grand pas, Philippe ne peut espérer mieux et pourtant... il peut sentir une main se faufiler sous mon périnée, remonter le canyon secret et un doigt s'inviter au festin. Un second suit rapidement la trajectoire et, tous deux creusent une vicieuse faille pour atteindre leur cible ultime, la prostate. Non, ce n'est pas possible! Ce garçon est un expert, que dis-je, le roi des experts, l'empereur, le tsar... Philippe appuie sa tête par-dessus la table. Il se cramponne au rebord et presse toujours plus de son slip dans sa bouche. Philippe est au paradis ou en enfer? Un voile couvre ses yeux, des larmes jaillissent, son corps déborde, éclate de partout et la pression trop forte enclenche le feu d'artifice. Philippe explose, son canon de chair commence à cracher sa première salve, puis une seconde, une troisième. Philippe perd rapidement le compte comme il se sent défaillir, épuisé par ces heures de stimulations démoniaques.
Philippe doit avoir tourné de l'œil car, lorsque Philippe se réveille, un certain temps plus tard, son slip a disparu et son short est sur ses genoux. Damien est sagement(?) assis devant lui, un large sourire montre sa joie, sa satisfaction.
Progressivement, Philippe reprend ses esprits. Philippe regarde autour de lui, il fixe Damien avec gratitude. Le souvenir refait surface et, avec ravissement, il murmure, "A mon tour maintenant de te rendre la pareille... ou bien pire"Damien éclate dans un énorme rire silencieux. Philippe ne comprend pas. Il renfile discrètement son short et se lève de sa chaise mais... la sonnette retentit. Son délicieux calvaire a duré près de trois heures.
FIN.
Excellent article d'un heureux lecteur qui n'a pas désiré donner son identité, excepté l'initiale D.
Li Gazet'iX est le journal peu officiel mais très recherché qui "divulgue" l'envers des décors, les coulisses cachées du campus.
Comme vous l'avez sûrement tous lu chez notre concurrent, le journal officiel de l'unif, un slip trempé a été retrouvé dans notre bibliothèque. Une annonce a été faite, mais jamais personne n'est venu le réclamer jusqu'à présent...
Voici notre version des faits pour deux jeunes antagonistes. Le premier, inconnu de nos journalistes sera appelé Philippe tandis que le second connu comme D, sera nommé Daniel:Philippe a 20 ans. Il est grand et large d'épaules, une imposante chevelure châtain clair tombe sur ses épaules, un joli visage avec un menton carré montre sa détermination. Il est un des plus beaux spécimens d'une des équipes sportive. Sa préférence pour les garçons, pleinement assumée, ne lui attire aucune complication même si ses traques sont fréquences puisque ce n'est que de la baise pour une seule fois. Il est en classe de seconde plutôt coté artistique. Philippe a une réputation de chasseur, de rapace qui obtient toujours ce qu'il veut.
Philippe se rendait régulièrement à la bibliothèque pour ses études. Il a rapidement repéré un joli blondinet qui l'intéressait. Durant plusieurs jours, Philippe l'a observé et il a vite remarqué que celui-ci reluquait régulièrement vers lui, détournant le regard lorsque Philippe le regardait fixement et rougissant profondément. Rapidement, Philippe s'est discrètement renseigné sur son compte, cette proie l'intéressait au plus haut point, elle serait intéressante sur son tableau de chasse.
Le beau gosse s'appelle Damien, il est en classe de première, plutôt littéraire. Malgré son beau visage ovale, ses magnifiques boucles couleur de blés et ses pétillants yeux verts clairs en forme d'amendes, il ne semble pas avoir de petite amie. Il ne fait partie d'aucune équipe sportive même si son corps semble bien développé, même un peu plus que la moyenne. Il a la réputation d'être distant et solitaire.
Au moment précis où il a décidé de l'aborder, Philippe ne l'a plus revu durant deux jours jusqu'au moment où, traînant jusqu'à la fermeture, Philippe l'a vu surgir de la salle réservée à la section histoire. Son sang n'a fait qu'un tour, palpitant dans ses temps et entre ses jambes. Philippe étais prêt pour l'assaut... Belle victime prend garde à toi... Mais résiste-moi!
Le lendemain, Philippe fait une demande d'accès pour cette salle et, à sa surprise, Philippe y est de suite autorisé. Philippe s'installe à sa table et directement en face de lui, tandis que celui-ci est plongé dans un gros livre couvert d'une vielle couverture de cuir et visiblement captivant. Lorsque Damien relève finalement la tête, Philippe l'entend avaler sec et ils croisent leurs yeux. Damien sourit bêtement et rougit de nouveau. Philippe lui sourit en retour et lèche langoureusement ses lèvres. Il y a quatre autres étudiants répartis dans la grande salle, mais les deux compères sont relativement isolés, dans un coin de pénombre, hormis pour les petits faisceaux coniques des lampes individuelles.
"Tu préfères les sucettes ou les pipes?"Damien le regarde, surpris. Son regard est interrogatif. La pièce semble enfin tomber. Ses yeux s'écarquillent, il rougit plus profondément. Immédiatement, Philippe ballotte sa tête de haut en bas en un mouvement ample et lent. En haut, ses yeux sont rivés dans les siens, puis en haut vers son entrejambe hyper gonflé.
Damien est hésitant, il bredouille quelques sons incompréhensibles et termine par, "... heu, je... Je suis Damien et... heu..."Philippe le fixe intensément, glissant tendrement un doigt dans sa bouche et le léchant longuement et lentement.
Damien arrive péniblement à se contrôler et il ose un "... j'aime les deux..." avant de baisser précipitamment sa tête maintenant rouge pivoine. Philippe peut voir les doigts du jeune étudiant peureux trembler autour de son livre.
"Je suis Philippe!" Son murmure est aimable, Philippe désire le rassurer, le mettre à l'aise. Sur un ton bienfaisant, Philippe ajoute, "Moi aussi, une bonne lèche ou une longue pipe!"Damien relève la tête, les yeux remplis de curiosité et Philippe accueille ce regard avec un large sourire amical qu'il lui rend tendrement. "J'aime les recevoir abondamment!"Philippe peut percevoir une lueur de désir dans les beaux yeux verts toujours écarquillés.
"J'en ai fortement besoin maintenant!" Sa voix est montée d'un cran, même si toujours discrète afin de ne pas attirer l'attention dans cette magnifique grande salle de lecture plongée dans le silence.
Le désir dans les yeux de Damien semble changer aussi en luxure. Oui, il en a visiblement envie aussi. Il a compris mon message. Ses yeux tourbillonnent, tournoient, vacillent entre le fond de la salle et les yeux hypnotisants de Philippe ancrés sur les siens. Il s'interroge, perdu entre désir et peur, égaré dans des tourments de dépravation, errant entre plaisirs et interdits. Chaque fois que les yeux de Damien reviennent dans les profondeurs des siens, Philippe sent un relan de désir, un surcroit d'envie, un redoublement du besoin qui tend son jean et force la douleur de sa hampe hyper tendue.
Un claquement de porte, Philippe sursaute et détourne son regard. Les places publiques ne sont pas les endroits favoris de Philippe, il préfère un bon lit douillet. Philippe revient vers sa voluptueuse proie, vers ce magnifique ange assis devant lui mais... il n'est plus là.
Sa chaise est vide, le gredin, il a profité de l'occasion pour fuir, refusant cette merveilleuse opportunité de faire l'amour avec le plus bel athlète de l'université, de profiter du plus beau mât de chair qu'il aurait engloutit dans la vie, d'abord par voie orale pour lui donner une bonne rigidité et une lubrification adéquate avant de pouvoir vaillamment l'ensemencer. Philippe peste, Philippe râle d'autant plus qu'il était certain de la réussite de son plan.
Philippe sursaute une nouvelle fois comme il sent une présence entre ses jambes, un léger contact chaud et doux. De dessus la table, Philippe perçoit une main surgir et se plaquer fermement contre l'énorme bosse dans son short. Une deuxième la rejoint pour masser et évaluer la cible gonflée. Philippe se contrôle pour ne pas jouir trop vite et massacrer cette rencontre tant espérée. Philippe est dans un débordement d'émotion. Son nouveau rêve, son phantasme s'accomplit. En réalité, Philippe fait ceci pour la première fois, Philippe l'a longuement préparé, Philippe l'a tant rêve, Philippe a tant mouillé de draps avant... et voici que tout devient réalité. Philippe se sent malgré tout un peu honteux et comblé à la fois, le plaisir dépassant largement cette gêne d'être en public et d'avoir encouragé, forcé un beau jeune Apollon inconnu et peut-être puceau, à exhausser ses désirs pervers.
Une main remonte lentement le long de son estomac serré et se fraie tendrement un chemin pour caresser et titiller son sein droit. Son chaud rêve est bien réel, mais Philippe reste crispé par la présence d'autrui, conscient du risque qu'ils prennent et cette conscience accentue encore plus la pression dans son jean, pleinement pressé par une main étrangère. Ce divin garçon a osé franchir le pas, il s'est glissé sous la table, dans la pénombre pour s'activer et lui plaire.
La surprise, le plaisir et la joie sont tellement énormes que Philippe en oublie la salle, les étudiants et il doit se forcer pour ne pas précipiter une jouissance qui s'annonce phénoménale.
Tandis que Philippe se concentre sur la douceur des longs doigts fins sur son téton, l'autre main commence à travailler lentement le bouton de son short, puis il sent le tissu se détendre progressivement comme la tirette est descendue et Philippe s'attend à une belle suite. A sa surprise, l'activité là-dessous s'interrompt. Les yeux de Philippe, feignant de parcourir le livre, peuvent apercevoir un second mouvement serpentant à l'intérieur de sa chemise comme un bras se glisse lentement le long de son abdomen musclé jusqu'à ce que la main s'arrête à hauteur de sa consœur pour caresser et titiller son autre sein. La sensation est si forte que Philippe émet une petite lamentation de plaisir, son corps commence à s'agiter de lui-même et son bassin supplie d'autant plus de l'attention. Philippe ne maîtrise plus la situation, Philippe l'a-t-il déjà maîtrisée depuis le début de cette rencontre? Ses légers bruissements attirent de temps en temps un regard, son ravissement n'en est que plus fort.
Les mains perverses, manifestement pas si novices, s'aventurent sur ses flancs, sous ses bras et le doux chatouillement amène Philippe à se tordre, à sautiller sur place. Philippe est-il tombé sur un jeune sadique!!! Damien profite de la situation. Dans sa cachette où il est bien planqué, caché et inconscient des réactions des autres, il tourmente habilement, mais gentiment, ce bel aguicheur.
Deux étudiantes se lèvent, Philippe se crispe, plaquent ses mains sur les délicieux doigts tripoteurs pour les bloquer. Heureusement, les filles sortent ensemble, Philippe espère que ce n'est pas de sa faute... et même alors! Sa pression baisse d'un cran, c'étaient les témoins potentiels les plus proches.
Les chatouilles ont disparues, Philippe est soulagé, il en devenait presque fou. Les mains ont totalement disparues, Philippe baisse les yeux pour les solliciter à nouveau, rien. Philippe s'inquiète, Philippe ne les voit pas. Elles surgissent subitement sur ses hanches, de chaque coté de son short et tirent brusquement. Son short commence brusquement à glisser le long de ses cuisses, le mouvement est si violent qu'il l'emmène avec lui sur le devant de sa chaise. Philippe se rattrape in extrémis sur le bord de ta table, soulève son bassin pour rajuster sa position. Damien en profite pour baisser le short jusqu'à ses genoux et il ose continuer la descente autour de ses chevilles. Le voici piégé! Les mains reviennent à la charge. Tendrement, elles caressent son ventre, sonde doucement son nombril, Philippe retient un rire au plus profond de sa gorge. Damien joue avec les quelques poils châtains dépassant de son slip déformé, les étirent gentiment, Philippe étouffe un cri, ce garçon est diabolique!
Une main glisse sur le devant de son slip, presse l'énorme déformation dure comme l'acier tandis que l'autre se faufile entre mes jambes, glisse entre ses fesses pour remonter le long de sa raie involontairement offerte. Philippe ne s'interroge pas sur la raison de l'action et se soulève simplement pour faciliter l'intrusion. Philippe se sent de suite de nouveau piégé. Le vil bâtard abuse de la situation pour arracher littéralement son slip loin de mon bassin et enfin libérer la source de toute cette aventure. Avant même que Philippe ne puisse réagir, le tissu entoure rapidement ses genoux et glisse aussi brutalement le long de ses jambes et n'est arrêté que par son short sur ses mollets. Son compagnon se révèle être un expert en tourment. Philippe n'est pas au bout de ses surprises. Lorsque Philippe sent un tapotement sur mon mollet gauche, il lève instinctivement sa jambe gauche, ne me demandez pas pourquoi, c'est ainsi. Aussitôt son pieds gauche de retour sur le sol, son mollet droit est agrippé et soulevé.
Philippe retient un cri d'effroi en dernière minute comme il prend finalement conscience qu'il n'a plus aucun vêtement pour couvrir le bas de son corps. Philippe regarde à gauche, Philippe scrute à droite et il sent son cœur s'emballer comme son visage chauffe à blanc. Philippe a beau être un chasseur presque professionnel, cette situation inattendue le mène au bord de la panique. S'il arrivait quelque chose dans la salle, si quelqu'un s'approchait de lui, Philippe serait découvert la taille nue, le sexe tendu et dégoulinant. Philippe épie les moindres gestes des deux autres étudiants présents. Son excitation est proportionnelle à son anxiété, elle ne semble jamais avoir été si élevée.
Lorsque Philippe arrive à reprendre son calme, à reprendre son souffle, une nouvelle panique surgit. Philippe ne sent plus la présence de Damien. Philippe tend ses jambes, déploie ses pieds dans toutes les directions... RIEN. Philippe épie à gauche, il inspecte à droite et risque un œil sous la table... RIEN. Philippe ne voit plus rien, ni Damien, ni ses habits. PHILIPPE a le souffle coupé, Philippe se sent mal, très mal et, pourtant, sa queue tendue ne cesse de dégouliner toujours plus, de gonfler encore au point de faire franchement mal, Philippe va exploser... Philippe ne peut pas éclater.
A ce moment-là, Philippe aperçoit une ombre approcher de derrière lui. Son cœur s'emballe, la panique est à son comble, il va défaillir. Heureusement, Philippe reconnait Damien. Philippe sent une colère monter, Philippe veut se lever et l'attraper sauvagement pour lui donner une leçon. Philippe est maintenant debout, totalement inconscient de sa situation. Il voit alors Damien brandir ses deux petits vêtements et prend ainsi conscience de sa nudité affichée. Philippe se laisse immédiatement retomber sur sa chaise, la moutarde lui monte au nez. Damien s'approche de lui et, avant que Philippe ne puisse montrer mon irritation, il plante un langoureux et long baiser sur ses lèvres. Sa rage s'estompe. Ce geste si inhabituel venant d'un autre, est bien trop fort pour lui.
Philippe entend un murmure railleur à son oreille, "Bonjour Philippe, quelle joie de te rencontrer... j'ai un cadeau pour toi!"Damien dépose nonchalamment les deux vêtements sur la table. Philippe s'en empare immédiatement et les pose précipitamment sur la chaise à côté de lui. Damien contourne son corps crispé, il se place derrière lui et caresse tendrement son torse comme pour le relaxer. Philippe observe les deux autres étudiants du coin de l'œil, Damien ne semble pas s'en tracasser. "Je vois que mon lolipop est fin prêt."Philippe baisse les yeux. Son sexe n'a pas débandé d'un iota malgré les évènements. Que du contraire, il palpite et dégouline comme un torrent de haute montagne. Philippe ne sait que faire de ses mains, les accrocher au livre pour prétendre étudier ou cacher cette traitresse qui s'exhibe et se dresse malgré l'affront.
Damien profite de ce court instant pour récupérer les deux vêtements. Il retourne vers sa chaise, s'assied et parcourt son livre, l'air de rien. Il dépose ensuite nonchalamment les tissus en face de lui, Philippe est interloqué. Voyant son désarroi, Damien place le short sur la chaise à coté de lui... pas le slip. Il soulève celui-ci d'un mouvement gracieux et provocateur, puis hume le tissu. Philippe est épaté par le toupet de ce garçon, lui qui le prenait pour un grand effarouché. L'attrait de sexe l'a, apparemment, inhibé de toute honte. Philippe est bien plus gêné que lui par cette situation singulière, mais aussi hautement plus excité.
Maintenant, c'est Damien qui fixe Philippe droit dans les yeux, c'est lui qui a réellement avoir le pouvoir. Philippe se sent complètement dérouté, perturbé par ce qu'il voit dans les yeux de ce jeune étudiant et Philippe n'a aucun moyen de réagir, Damien a toutes les armes en main... enfin presque tous ses vêtements.
Philippe plonge ses yeux dans le livre pour tenter de se calmer mais Damien revient continuellement à l'assaut. Philippe peut sentir un pied nu, puis deux, s'incruster entre mes jambes et des orteils se concerter pour tourmenter la grosse colonne de chair dressée. Sa concentration est perdue, Philippe sent le feu le ravager de l'intérieur, la pression monter à son comble comme dans une bouilloire. Les yeux de Damien sont inquisiteurs, ils étudient chacun des gestes de Philippe, chacune de ses réactions. Et le gredin connait bien son affaire. A peine Philippe approche-t-il du point de non-retour, que les talentueux orteils ralentissent le massage ou s'éloignent.
"Que diable suis-je venu faire dans cette galère!" se dit Philippe comme il n'a aucun moyen de s'y soustraire, aucune possibilité pour lui dire que c'est trop, de se lever et de partir. Philippe s'est réellement piégé lui-même.
Philippe n'arrive plus à sortir un mot. Si ses lèvres se séparent, c'est un hurlement qui risque de dévaster l'enceinte de la bibliothèque. Philippe ne peut qu'implorer grâce aux yeux de Damien. Philippe sait que celui-ci l'a compris car, plus Philippe implore, plus son sourire s'élargit. Ses nerfs vont craquer, Philippe se dandine sur sa chaise de bois et il perd tellement de suc qu'une marre s'est formée entre les deux pieds de sa chaise. Philippe n'a plus de notion du temps et l'horloge de la bibliothèque n'est pas visible d'où il est. Qu'adviendra-t-il de lui si la sonnerie de fermeture retentit?
Au moment où Philippe surgit hors de ses pensées, de ses tracas, de ses problèmes présents, il remarque que Damien a de nouveau disparu. Heureusement que Philippe peut rapidement sentir sa présence contre mes pieds. Philippe n'a vraiment pas besoin de mauvaises émotions supplémentaires. Mais Philippe ne sait pas à quoi s'attendre maintenant qu'il connait mieux le vilain chenapan.
A la place des douces mains expertes, c'est une bouche affamée quoi dévore son gland luisant. Deux lèvres se referment puissamment autour de la base et pivotent quelques fois avant de s'élargir. La langue intervient alors pour masser le pourtour, le frein puis la couronne et termine par sonder délicatement le petit trou humide. Philippe va réellement exploser, mais il ne le désire pas encore. La divine pointe de langue descend le long de la veine gonflée et effectue quelques lents va-et-vient. Elle descend subitement pour s'enrouler autour des orbites, l'un après l'autre. Une longue succion bien décidée s'ensuit, une couille, puis l'autre et retour à la première. Les aspirations s'accélèrent, augmentent en force aussi. Philippe sens son sac comme subliment arraché, il me tortille à la limite du contrôle, ses mâchoires bloquées.
Les mains de Damien prennent le relai tandis que sa bouche engouffre la tige, toute en une fois, sans hésitation, sans interruption, sans ralentissement. Philippe se sent aspiré dans cette chaude cavité humide, le faisant presque décoller de son siège. Heureusement que les mains arrimées autour de mon sac ancre son bassin à la chaise pour l'empêcher de vaciller.
Tout bouillonne à l'intérieur de lui, Philippe va exploser d'un instant à l'autre.
Non, Damien a d'autres projets pour lui. Son visage émerge de dessous la table. Il le tire par la cravate et Philippe ne peut que se pencher pour accueillir ses épaisses lèvres et goûter le jus qu'elles viennent de récupérer de sa longue hampe épaisse.
Juste comme Philippe s'écarte, il sent la main de Damien contre ma joue et, avant que Philippe ne le réalise, Damien a bourré son propre slip dans sa bouche. "Ceci t'empêchera d'ameuter toute la bibliothèque." lui murmure sournoisement DamienMalgré son appréhension, Philippe l'accepte volontiers car Damien a raison. Philippe ne tient pas à être renvoyé de l'université ou être à la une du journal local.
Philippe se cramponne à la table tandis que Damien bloque ses chevilles contre les pieds avant de sa chaise, Philippe est mûr pour le grand final.
Damien rejoue le grand jeu. Il relance le même tourment du gland, commençant délicatement avec le bout affilé de sa langue, suit avec la pointe de ces doigts délicats. Tandis que les doigts descendent de chaque coté de la tige érigée vers le ciel, la bouche vient recouvrir la masse entière pour la pétrir, l'entourer de plus en plus loin, la chauffer, l'humidifier, l'enflammer. Alors que les doigts sont occupés avec les orbites, les pressant, les serrant, les cajolant, et les étirant doucement, la tige disparait complètement au fond de la gorge. La tête gonflée demande un passage à la glotte, la langue œuvre magiquement sur toute la longueur distendue et les lèvres offrent un mouvement circulaire démoniaque.
Philippe sent l'apogée approcher à grand pas, Philippe ne peut espérer mieux et pourtant... il peut sentir une main se faufiler sous mon périnée, remonter le canyon secret et un doigt s'inviter au festin. Un second suit rapidement la trajectoire et, tous deux creusent une vicieuse faille pour atteindre leur cible ultime, la prostate. Non, ce n'est pas possible! Ce garçon est un expert, que dis-je, le roi des experts, l'empereur, le tsar... Philippe appuie sa tête par-dessus la table. Il se cramponne au rebord et presse toujours plus de son slip dans sa bouche. Philippe est au paradis ou en enfer? Un voile couvre ses yeux, des larmes jaillissent, son corps déborde, éclate de partout et la pression trop forte enclenche le feu d'artifice. Philippe explose, son canon de chair commence à cracher sa première salve, puis une seconde, une troisième. Philippe perd rapidement le compte comme il se sent défaillir, épuisé par ces heures de stimulations démoniaques.
Philippe doit avoir tourné de l'œil car, lorsque Philippe se réveille, un certain temps plus tard, son slip a disparu et son short est sur ses genoux. Damien est sagement(?) assis devant lui, un large sourire montre sa joie, sa satisfaction.
Progressivement, Philippe reprend ses esprits. Philippe regarde autour de lui, il fixe Damien avec gratitude. Le souvenir refait surface et, avec ravissement, il murmure, "A mon tour maintenant de te rendre la pareille... ou bien pire"Damien éclate dans un énorme rire silencieux. Philippe ne comprend pas. Il renfile discrètement son short et se lève de sa chaise mais... la sonnette retentit. Son délicieux calvaire a duré près de trois heures.
FIN.
Excellent article d'un heureux lecteur qui n'a pas désiré donner son identité, excepté l'initiale D.
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