Cadeau d'anniversaire
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Cadeau d'anniversaire
Le jour de mon anniversaire, ma femme m’annonce qu’elle m’a trouvé un cadeau d’enfer. Nous avons pris la voiture et elle m’a conduit dans un lieu qui devait être secret, donc, elle m’avait noué un foulard sur les yeux. Me tenant par la main, elle m’a fait monter des escaliers.
Arrivé là, des menottes se sont refermées sur mes poignets. J’ai été déshabillé, complètement nu.
On m’a pris une main et on l’a posé sur ce que j’ai cru reconnaître être un sexe. Il était tellement gros que je n’ai pas pu l’empoigner. On a tiré sur mon autre main et j’ai entendu le clic de la menotte qui se referme. A ce moment, on me retire le foulard de sur mes yeux. Je suis face à un homme très musclé dont je tiens le sexe, énorme. Là, ma femme me dit :
- Ca fait combien, six mois que tu ne m’as pas touchée ? Je me suis dit que tu étais devenu homo ! Si je me trompe, on va réparer cette erreur. Regarde, ce que tu as sous la main, tu vas le prendre dans le cul.
- Mais, c’est énorme, je ne pourrais jamais ! Criais-je.
- Mais si, t’inquiète ! Je vais t’aider…
Elle sortit de son sac, une balle en caoutchouc traversée par un lacet. Elle me pinça le nez pour m’obliger à ouvrir la bouche et l’enfonça. Ensuite, elle noua le cordon derrière ma nuque. Elle referma la deuxième menotte sur une grosse barre en bois. Toujours devant moi, elle sortit de son sac, un fouet à petites lanières terminées par des boules de métal. Elle passa derrière moi et je poussai un cri étouffé quand le premier coup s’abattit. Le costaud s’approcha de moi et tourna ma tête sur le côté. Dans un grand miroir, je pouvais voir mon cul rougir sous les coups. Ma femme me dit :
- Ca va t’aider à te relâcher ! Je vais cogner tant que tu ne laisseras pas ton cul s’ouvrir.
Le gros musclé m’enduisit l’anus de crème et posa son gros sexe sur mon anus. Il essaya de s’introduire mais n’y arriva pas. Une pluie de coups de fouet s’abattit de nouveau sur mon cul. Sous l’effet de la douleur, je me suis relâché et le gros m’a enfoncé son gland dans le cul. Il a poussé fort jusqu’à ce que son gland passe le muscle de l’anus. Une fois entré, j’ai senti les parois de mon cul se refermer sur le sexe, comme un bouchon qui s’évase dans une bouteille. Le muscle de l’anus enserrait le gros gland et l’empêchait de ressortir. Son propriétaire, pouvait se déchaîner dans mon cul, sans risquer de voir son sexe ressortir. Il me tenait par les hanches, et, à la force avec laquelle il s’enfonçait dans mon cul, on aurait dit qu’il voulait aller de plus en plus profond. Ses hanches s’écrasaient sur mes fesses et je sentais ses grosses couilles heurter les miennes.
En face de moi, pendant que l’armoire à glace m’enculait, ma femme était assise sur la bite d’un mec. Elle était couchée sur son torse pendant qu’un autre était dans son cul. Un troisième était à genoux devant elle et plongeait sa bite dans sa bouche. Elle avait l’air heureuse.
Le gros sexe continuait à glisser entre mes fesses et, petit à petit, une érection me vint. Quelques minutes plus tard, je crachais mon sperme sur le sol.
Arrivé là, des menottes se sont refermées sur mes poignets. J’ai été déshabillé, complètement nu.
On m’a pris une main et on l’a posé sur ce que j’ai cru reconnaître être un sexe. Il était tellement gros que je n’ai pas pu l’empoigner. On a tiré sur mon autre main et j’ai entendu le clic de la menotte qui se referme. A ce moment, on me retire le foulard de sur mes yeux. Je suis face à un homme très musclé dont je tiens le sexe, énorme. Là, ma femme me dit :
- Ca fait combien, six mois que tu ne m’as pas touchée ? Je me suis dit que tu étais devenu homo ! Si je me trompe, on va réparer cette erreur. Regarde, ce que tu as sous la main, tu vas le prendre dans le cul.
- Mais, c’est énorme, je ne pourrais jamais ! Criais-je.
- Mais si, t’inquiète ! Je vais t’aider…
Elle sortit de son sac, une balle en caoutchouc traversée par un lacet. Elle me pinça le nez pour m’obliger à ouvrir la bouche et l’enfonça. Ensuite, elle noua le cordon derrière ma nuque. Elle referma la deuxième menotte sur une grosse barre en bois. Toujours devant moi, elle sortit de son sac, un fouet à petites lanières terminées par des boules de métal. Elle passa derrière moi et je poussai un cri étouffé quand le premier coup s’abattit. Le costaud s’approcha de moi et tourna ma tête sur le côté. Dans un grand miroir, je pouvais voir mon cul rougir sous les coups. Ma femme me dit :
- Ca va t’aider à te relâcher ! Je vais cogner tant que tu ne laisseras pas ton cul s’ouvrir.
Le gros musclé m’enduisit l’anus de crème et posa son gros sexe sur mon anus. Il essaya de s’introduire mais n’y arriva pas. Une pluie de coups de fouet s’abattit de nouveau sur mon cul. Sous l’effet de la douleur, je me suis relâché et le gros m’a enfoncé son gland dans le cul. Il a poussé fort jusqu’à ce que son gland passe le muscle de l’anus. Une fois entré, j’ai senti les parois de mon cul se refermer sur le sexe, comme un bouchon qui s’évase dans une bouteille. Le muscle de l’anus enserrait le gros gland et l’empêchait de ressortir. Son propriétaire, pouvait se déchaîner dans mon cul, sans risquer de voir son sexe ressortir. Il me tenait par les hanches, et, à la force avec laquelle il s’enfonçait dans mon cul, on aurait dit qu’il voulait aller de plus en plus profond. Ses hanches s’écrasaient sur mes fesses et je sentais ses grosses couilles heurter les miennes.
En face de moi, pendant que l’armoire à glace m’enculait, ma femme était assise sur la bite d’un mec. Elle était couchée sur son torse pendant qu’un autre était dans son cul. Un troisième était à genoux devant elle et plongeait sa bite dans sa bouche. Elle avait l’air heureuse.
Le gros sexe continuait à glisser entre mes fesses et, petit à petit, une érection me vint. Quelques minutes plus tard, je crachais mon sperme sur le sol.
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Les avis des lecteurs
Une idée pas nouvelle,dommage pas de différences originales.
Psychologie taillée à la serpe
Psychologie taillée à la serpe