Camille et Marion font leur shopping 02.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Camille et Marion font leur shopping 02.
Nous rentrons dans le 1er magasin de vêtements, nous avons repéré un garçon d’environ 25 ans, très beau et sapé en habits cool mais stylé à l’image de l’établissement.
Comme il vient s’ouvrir, il est libre et nous nous dirigeons vers lui, je lui demande de nous présenter sa collection de shorts d’été. Très professionnel, il nous amène vers le rayon où il nous aligne plusieurs produits vraiment très beaux, je lui demande si je peux en essayer en taille 36. Il me réponds que oui et je sélectionne 3 modèles. Il me les rapporte dans la bonne taille et me montre la cabine où je peux les enfiler.
C’est une pièce assez spacieuse pour l’utilité de celle-ci avec sur le côté un grand miroir qui nous reflète des pieds à la tête, une patère ou j’accroche les cintres de mes shorts. Camille est avec moi, elle referme le rideau derrière nous et je quitte ma robe et mes chaussures puis je mets le 1er short qui se présente. Et je dis a Camille:
- Va le chercher.
Elle sort discrètement en entrebâillant juste le nécessaire pour franchir le rideau, je suis seins nus devant le miroir, ils pointent déjà d’excitation.
- Monsieur, s’il vous plaît, lui dit-elle, la copine voudrait l’avis d’un garçon expérimenté comme vous.
- Allons-y, dit-il plutôt flatté du compliment.
Il n’a pas flairé le piège où nous voulons le voir tomber, certainement que plein de clientes lui demande son avis, il pénètre donc sans appréhension, mais reste immobile et sans voix quand je me présente face à lui.
- Comment suis-je? Lui demandé-je, avec une petite voix de petite fille modèle.
Il balbutie des mots incompréhensibles, pour seule réponse je lui balance mon plus beau sourire.
- Euh, euh, me fait-il, je ne peux pas rester plus longtemps, le règlement intérieur est formel: c’est interdit d’être en présence de clientes dénudées, mon patron va me renvoyer s’il s’en aperçoit.
- Allons, je m’en tape de ton règlement, ton boss n’est pas avec nous et ma copine à l’extérieur surveille pour que personne ne nous dérange.
Je commence à quitter mon short, il voit alors que je n’ai rien dessous, je remarque sa surprise, ses yeux s’écarquillent, on dirait qu’ils vont sortir de leur orbite (poil à la bite), ma chatte fraîchement rasée doit lui faire de l’effet, je reste un peu devant lui pour qu’il admire ma nudité et au moment où je saisi un autre short pour l’enfiler ( le short pas le vendeur), il retrouve un peu ses esprits et il me fait:
- Je vous suggère d’en rester là, je vous propose de partir tout de suite et je ne dis rien à mon patron, bonne journée mademoiselle.
- Attendez, et si je vous fais une petite gâterie, qu’en dites-vous?
Trop tard, il a tourné les talons et quitter la cabine, je reste médusée, c’est la 1ère fois qu’on me refuse ce genre de service quand je le propose. Il doit être homo ce con! Je médite déjà ma vengeance quand Camille fait son retour.
- Alors qu’est-ce qui c’est passée? Me demande-t-elle.
- Rien justement, il est parti comme un péteux la queue entre les jambes s’il en a une, lui fais-je vexée en remettant ma robe et mes chaussures, attends tu vas voir comment je vais le moucher.
Je décroche les shorts des cintres et je sors suivie de Camille.
Arrivées devant la caisse, notre ami perçoit le produit de la vente d’une jupe longue plissée d’une cliente qui est du genre pincée. Je pense que c’est son patron qui bichonne la madame en lui faisant des courbettes.
Je fais passer Camille devant moi à la sortie sans achat et je lui murmure de courir dès que j’aurais fini mon petit numéro.
Ça y est le moment est venu et je jubile déjà.
Je lui balance son lot de shorts et lui dis:
- Ils sont tartes vos habits ici et toi encore plus bête d’avoir refuser une pipe!
Et je me sauve derrière Camille en riant aux éclats après avoir aperçu la cliente au bord de la syncope et le patron interloqué scrutant son jeune employé. Une chance que je les ai parfaitement surpris, grâce à cela nous avons pu nous sauver sans être poursuivies, hors d’haleine, nous tombons dans les bras l’une de l’autre prise simultanément d’un fou rire.
Je voudrais bien être petite souris pour écouter la conversation, sans être vue, du patron et de notre benêt. Je tire un trait définitif sur ce magasin, je n’y remettrais jamais les seins ( cela change des pieds ).
Au final, nous avons bien rigolé quand-mémé, cela ne nous rebute pas, au contraire, nous sommes super motivées pour retenter notre chance, cette fois c’est à Camille de jouer, la veinarde.
Nous sommes déjà devant la 2ème boutique sélectionnée, la poisse ne peux pas nous poursuivre indéfiniment, notre bonne étoile veille sur nous.
A suivre.
Comme il vient s’ouvrir, il est libre et nous nous dirigeons vers lui, je lui demande de nous présenter sa collection de shorts d’été. Très professionnel, il nous amène vers le rayon où il nous aligne plusieurs produits vraiment très beaux, je lui demande si je peux en essayer en taille 36. Il me réponds que oui et je sélectionne 3 modèles. Il me les rapporte dans la bonne taille et me montre la cabine où je peux les enfiler.
C’est une pièce assez spacieuse pour l’utilité de celle-ci avec sur le côté un grand miroir qui nous reflète des pieds à la tête, une patère ou j’accroche les cintres de mes shorts. Camille est avec moi, elle referme le rideau derrière nous et je quitte ma robe et mes chaussures puis je mets le 1er short qui se présente. Et je dis a Camille:
- Va le chercher.
Elle sort discrètement en entrebâillant juste le nécessaire pour franchir le rideau, je suis seins nus devant le miroir, ils pointent déjà d’excitation.
- Monsieur, s’il vous plaît, lui dit-elle, la copine voudrait l’avis d’un garçon expérimenté comme vous.
- Allons-y, dit-il plutôt flatté du compliment.
Il n’a pas flairé le piège où nous voulons le voir tomber, certainement que plein de clientes lui demande son avis, il pénètre donc sans appréhension, mais reste immobile et sans voix quand je me présente face à lui.
- Comment suis-je? Lui demandé-je, avec une petite voix de petite fille modèle.
Il balbutie des mots incompréhensibles, pour seule réponse je lui balance mon plus beau sourire.
- Euh, euh, me fait-il, je ne peux pas rester plus longtemps, le règlement intérieur est formel: c’est interdit d’être en présence de clientes dénudées, mon patron va me renvoyer s’il s’en aperçoit.
- Allons, je m’en tape de ton règlement, ton boss n’est pas avec nous et ma copine à l’extérieur surveille pour que personne ne nous dérange.
Je commence à quitter mon short, il voit alors que je n’ai rien dessous, je remarque sa surprise, ses yeux s’écarquillent, on dirait qu’ils vont sortir de leur orbite (poil à la bite), ma chatte fraîchement rasée doit lui faire de l’effet, je reste un peu devant lui pour qu’il admire ma nudité et au moment où je saisi un autre short pour l’enfiler ( le short pas le vendeur), il retrouve un peu ses esprits et il me fait:
- Je vous suggère d’en rester là, je vous propose de partir tout de suite et je ne dis rien à mon patron, bonne journée mademoiselle.
- Attendez, et si je vous fais une petite gâterie, qu’en dites-vous?
Trop tard, il a tourné les talons et quitter la cabine, je reste médusée, c’est la 1ère fois qu’on me refuse ce genre de service quand je le propose. Il doit être homo ce con! Je médite déjà ma vengeance quand Camille fait son retour.
- Alors qu’est-ce qui c’est passée? Me demande-t-elle.
- Rien justement, il est parti comme un péteux la queue entre les jambes s’il en a une, lui fais-je vexée en remettant ma robe et mes chaussures, attends tu vas voir comment je vais le moucher.
Je décroche les shorts des cintres et je sors suivie de Camille.
Arrivées devant la caisse, notre ami perçoit le produit de la vente d’une jupe longue plissée d’une cliente qui est du genre pincée. Je pense que c’est son patron qui bichonne la madame en lui faisant des courbettes.
Je fais passer Camille devant moi à la sortie sans achat et je lui murmure de courir dès que j’aurais fini mon petit numéro.
Ça y est le moment est venu et je jubile déjà.
Je lui balance son lot de shorts et lui dis:
- Ils sont tartes vos habits ici et toi encore plus bête d’avoir refuser une pipe!
Et je me sauve derrière Camille en riant aux éclats après avoir aperçu la cliente au bord de la syncope et le patron interloqué scrutant son jeune employé. Une chance que je les ai parfaitement surpris, grâce à cela nous avons pu nous sauver sans être poursuivies, hors d’haleine, nous tombons dans les bras l’une de l’autre prise simultanément d’un fou rire.
Je voudrais bien être petite souris pour écouter la conversation, sans être vue, du patron et de notre benêt. Je tire un trait définitif sur ce magasin, je n’y remettrais jamais les seins ( cela change des pieds ).
Au final, nous avons bien rigolé quand-mémé, cela ne nous rebute pas, au contraire, nous sommes super motivées pour retenter notre chance, cette fois c’est à Camille de jouer, la veinarde.
Nous sommes déjà devant la 2ème boutique sélectionnée, la poisse ne peux pas nous poursuivre indéfiniment, notre bonne étoile veille sur nous.
A suivre.
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