Ma cousine Amandine 19 et fin.

- Par l'auteur HDS Coquine3618 -
Auteur femme.
  • • 70 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Coquine3618 ont reçu un total de 381 013 visites.
Récit libertin : Ma cousine Amandine 19 et fin. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2020 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 201 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Ma cousine Amandine 19 et fin.
AMANDINE
J’attends avec impatience que Théo introduise sa grosse bite, il possède un gland beaucoup plus volumineux que ses deux camarades. Je ne la vois pas mais je la sens qui se frotte à ma chatte.

- Laisse-moi mettre la clé USB dans le disque dur, dit Camille à Théo.

Pendant ce temps il me saisit énergiquement de chaque côté par les hanches.

- Dans une autre vie, j’ai fait l’armée dans l’artillerie, explique-t-elle, je simbleaute le canon, voilà c’est prêt, feu à volonté.

J’encaisse une poussée qui n’est pas d’Archimède et compensée par les deux mains solidement agrippées qui me maintiennent fermement pour ne pas bouger. L’introduction, tout en étant douce et délicate, est d’une puissance bien supérieur aux précédentes, mais néanmoins pas désagréable du tout, je crois même que tous les spectateurs bien placés peuvent voir une sorte de Coruscation dans mes yeux.

Pianissimo le petit train se met en marche. Je me laisse poinçonner, je suis complètement décontractée et mon partenaire dispose de moi à sa guise, il est seul à imprimer la cadence qu’il a tendance à forcer jusqu’à une vitesse de croisière qui me va bien et voilà que je recommence à exprimer ma béatitude par un langage primaire et répétitif mais d’une fougue effrénée. Et c’est instinctif, je ne peux pas m’empêcher d’extérioriser de cette manière l’émotion qui me fait planer.

- Ça va ? Me demande Théo.

- Super, parviens-je à formuler faiblement.

- On sprint ?

Je ne saisis pas tout de suite ce qu’il veut dire, et je suis sans voix, mais je comprends très vite quelques instants plus tard où je réalise que j’ai Usain Bolt au cul. Ses mains me propulsent en arrière et sa bite en avant, le choc est violent, le bruit retentissant, ça cogne, ça tape, ça claque, mais que ça fait du bien ! Je braille, je beugle, je hurle.

Mais ce n’est qu’un cent mètres et pas un marathon, et en moins de 10 secondes, notre coureur a le souffle court et la bite en feu, moi aussi je dois avoir les fesses cramoisies et si j’avais eu Alain Mimoun, j’en aurais pris pour un peu plus de deux heures.

J’ai à peine le temps de dire ouf qu’Alexis prend sa place, la pénétration est une formalité, et je repars comme en 14, la fleur au fusil ou plutôt le fusil dans la fleur.

CAMILLE
- Et bien dis donc, tu aimes la bite, dis-je à Amandine, veux-tu qu’Hugo t’obstrue le gosier avec sa queue, ça fera une sourdineà ta trompette et nous soulagera les oreilles.

Avant qu’elle ne réponde, il se précipite et lui bouche le bec, et elle lui avale le chibre en entier, et le mécanisme se met en branle, l’oscillation du pendule qui n’est pas de Foucault ne montre pas que la Terre tourne sur elle-même mais que les fesses et les joues d’Amandine se déforment sous l’effet d’une bite et non de la force de Coriolis dans le cas de Foucault.

À partir de ce moment-là, je ne peux pas vous dire combien de fois chaque garçon a comblé notre libertine, je ne m’en souviens plus tellement ils ont été nombreux, tour à tour ils passent dans sa bouche, dans sa chatte et reste en jachère pour récupérer un peu. C’est un tourner manège moderne. Je n’ai pas chronométré mais j’estime que notre dévergondée a subi ce traitement au moins trois quarts d’heure. Heureusement que Marion arrête le massacre, sa fente doit être meurtrie après un tel pilonnage, et cela doit être de la compote d’abricot car elle n’a eu aucun moment de répit la pauvre chatte, ils se sont succédés en conservant le même rythme méphistophélique.

MARION
À un moment, j’ai pitié de ma cousine et et de ses acolytes, les assauts incessants de nos jouvenceaux ont dû épuiser tous les protagonistes. Il est temps de délivrer leur moineau écarlate qui me fait penser à un rouge-queue et de récompenser la mignonne qui les a mis dans cet état.

- En malaxant vos burettes, Amandine a-t-elle fait monter la mayonnaise ? Demandé-je aux garçons.

Tous unanimement me confirment que leur tube ne demande qu’à déflagrer.

- Et vos réserves sont-elles bien reconstituées ? Ajoute Camille, notre gourmande serait fort déçue si vous n’avez que trois gouttes à lui donner.

- Tu peux être rassurée, dit Théo, je suis tellement excité que j’ai l’impression que quand cela partira cela ne s’arrêtera plus.

- Bien, fait-elle, lequel de ses damoiseaux est le plus pressé ?

les trois répondent présents et Camille les place à son goût en rang d’oignons : Alexis, Hugo, Théo.
Elle réserve encore mon frère en dernier, pense-t-elle que la plus grosse produira le plus de crème ? J’ai déjà été surprise avec cette théorie et j’en connais des petites qui ne sont pas avares de matière nourrissante.

À genoux devant cette rangée de bites, la cousine se positionne tête légèrement penchée en arrière, la bouche ouverte pour recevoir ses présents.

- Au premier de ces messieurs, commande Camille.

Alexis se rapproche afin que sa bite touche les lèvres d’Amandine, il se branle très fort en essayant de maintenir sa queue juste au-dessus de sa bouche.

- Montre-nous bien l’éjac que va prendre Amandine, dit Camille.

Le pauvre fait de son mieux car nous voyons que ses soubresauts sont incontrôlables quand débute le premier mouvement du concerto pour clarinette K622 de Mozart. Cinq ou six jets puissants et visqueux d’une blancheur immaculée se répandent sur sa langue et ce n’est pas la Sainte Vierge qui les avalent en souriant et regardant le généreux donateur dans les yeux mais bien Amandine.

- Pense toujours à bien nettoyer le canon du fusil après un tir, comme dirait mon adjudant , recommande Camille, du sperme luit sur sa queue et des gouttes se raccrochent comme elles peuvent, regarde sous sa bite un mince filet se forme mais par chance cela colle bien.

Notre gloutonne remet instantanément tout le membre dans sa bouche, aucune goutte n’est perdue, elle suce avidement le vit Alexis qui jubile en se vidant complètement des dernières gouttes encore retenues dans sa pièce d’artillerie.

- Au suivant, dit Camille, comme au conseil de révision et montrez-nous le principal intérêt d’une bite.

Hugo s’avance rapidement à son tour car émoustillé par ce qu’il vient de voir, il crache avant d’arriver à bon port, une grosse virgule coule de la commissure des lèvres d’Amandine à sa joue, heureusement les jets suivants sont tous en plein dans la cible. Camille se précipite pour pousser avec son index ce dépôt incongru vers sa destination initiale. Elle en profite pour sucer son doigt sans laisser cette possibilité à Amandine qui se venge en astiquant la bite d’Hugo afin de boulotter l’intégralité des largesses qu’elle vient d’obtenir.

Sans plus attendre, elle fait déjà signe à Théo de venir, elle n’est pas rassasiée, elle en veut encore. Et elle n’a pas trop d’efforts à consentir pour aboutir au résultat qu’elle souhaite et faire décharger mon petit frère dans sa bouche.

Pour la troisième fois nous pouvons observer la quantité effarante qu’elle recueille et engloutit sans coup férir.
Chapeau pour une ex future bonne sœur encore vierge ce matin, je suis impressionnée, elle continue à le sucer bien après qu’il est expulsé les dernières gouttelettes, elle ne le lâche plus jusqu’à ce que épuisée sa bite baisse la tête comme celle de ses camarades.

- Quelle salope tu fais ! Dit Camille, jusqu’où faudra-t-il aller pour te satisfaire ? Je prédis que tu feras un bukkake dans très peu de temps. Marion et moi n’avons démarré qu’avec deux garçons à nous partager et encore nous les avons juste sucés, toi, la totale pour la première fois et avec trois garçons.

- C’est quoi un bukkake? demande-t-elle.

- Ah tu as encore des choses à apprendre, fais-je, mais je parie que ça te plaira.

C’est ainsi que se termine cette journée qui nous a tous marqué.

Pour mes lectrices et lecteurs, je me suis entretenue avec Camille sur la possibilité de tester ensemble pour la première fois notre ultime trou encore vierge, à 20 ans il est temps d’essayer. Elle est partante aussi, et je lui ai proposé de demander au directeur de la piscine d’organiser une sympathique découverte d’une enculade en chœur. Elle le connaît de visu uniquement et aussi par l’intermédiaire de ma petite histoire que je vous narrée sur HDS, elle lui a bien plue, même le côté fessée l’a intriguée et elle voudrait essayer. Alors patience, je vous tiens au courant..........

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Ma cousine Amandine 19 et fin.
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Coquine3618

Mon petit jardinier 07. - Récit érotique publié le 07-05-2021
Mon petit jardinier 06. - Récit érotique publié le 20-04-2021
Mon petit jardinier 05. - Récit érotique publié le 13-04-2021
Mon petit jardinier 04 - Récit érotique publié le 08-04-2021
Mon petit jardinier 03. - Récit érotique publié le 06-04-2021
Mon petit jardinier 02. - Récit érotique publié le 02-04-2021
Mon petit jardinier 01. - Récit érotique publié le 26-03-2021
Qui a déjà sucé le Père Noël ? 02 et fin. - Récit érotique publié le 02-01-2021
Qui a déjà sucé le Père Noël ? 01. - Récit érotique publié le 31-12-2020
Ma cousine Amandine 19 et fin. - Récit érotique publié le 19-12-2020