Mon petit jardinier 07.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2021 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Mon petit jardinier 07.
J’ai une vision circulaire de l’addendum masculin à différents paliers, un premier à son apogée avec Toussaint, un haut de forme magnifique, un deuxième en phase ascendante avec Théo, un chapeau melon avec sa calotte ronde et bombée et ses bords retroussés et enfin le petit béret de Cédric avec sa base parfaitement ronde surmontée d’une toute petite queue,comme elle est mimi toute fripée ! Et en pensant à papy Mougeot je me pose la question : « est-ce que le Schmilblick il tient dans la main, il tient dans ma main ? «
La réponse je ne tarde pas à la connaître : instinctivement ma menotte se saisit de la chose et la dissimule entièrement, elle est bien en sûreté enveloppée de la sorte, j’amorce doucement et délicatement un mouvement de translation qui s’accélère progressivement.
Cela me fait penser un peu à une bielle d’une vieille loco à vapeur, mon pouce butte à chaque aller sur ses couilles bien rondes et lisses comme des boules de billard. Mon geste est délicat pour ne pas les heurter violemment, ma déjà ancienne expérience m’est précieuse et le petit asticot se transforme en verre de terre par la magie de la nature.
Encore un petit effort et je pourrais la déguster, car j’aime bien les introniser bien rigide dans ma bouche, pas un truc flasque et insipide.
En deux temps trois mouvements je crois que mon coéquipier se transforme en Ironman, pas entièrement évidemment, juste la partie qui m’intéresse, et elle est encore toute camouflée dans ma main.
Une pensée me vient instantanément je vais enfin pouvoir essayer une gorge profonde, vous allez me dire que la chose est facile, c’est vrai, mais c’est bien la première fois que je me sens capable du prodige, j’ai souvent rêvé d’essayer de lécher les couilles d’un garçon en ayant sa bite dans la bouche, mais la taille des engins que m’ont présenté les labadens qui ont bien voulu me confier leur précieuse m’a dissuadé de risquer la moindre tentative. Que voulez-vous je suis délicate et m’étouffer avec des patapoufs hypertrophiés très peu pour moi, mais je ne suis pas la dernière à les lécher et à bien sucer leur bout pour leur faire rendre l’âme et croyez-moi à chacune de mes tentatives j’ai gagné le gros lot.
Me tournant vers nos spectateurs immobiles, je leur dis :
- Vous n’allez pas rester les bras ballants sans rien faire, Théo, te connaissant je pense que tu es a une énorme envie de goûter une aussi grosse bite et toi Toussaint cette expérience te plairait-t-elle ?
La réponse de Théo ne se fait pas attendre.
- Jamais je n’ai encore aperçu un garçon si bien monté et avec son accord, j’ai un désir fou d’essayer de lui prodiguer une belle turlutte, dit-il en se tournant vers lui.
Toussaint lui est tout surpris, il est même scotché par la proposition à laquelle il ne s’attendait pas.
- Tu verras elle est délicieuse, fais-je à Théo, et toi Toussaint, se faire sucer même par un garçon cela doit être très bon?
- Oui, répond-il très faiblement sans être complètement convaincu.
Théo ne se le fait pas dire deux fois et il se met à genoux pour faire ses dévotions au dieu Priapre.
Une main sur la fesse droite de Toussaint, l’autre main maintenant le cylindre mastoc à sa base, avec le petit doigt, pas sur la couture du pantalon, il lui caresse ses couilles et sa langue parcourt les plus de 25 cm de la bite.
Je regarde et aperçois les yeux exorbités et la bouche pincée de Toussaint: signe qu’il est aux anges.
Il est grandement temps pour moi aussi de sucer une nouvelle bite, à chaque fois c’est la même chose, la découverte d’une terre inconnue m’apporte un piquant supplémentaire et je savoure encore plus ce délicieux mets. C’est peut-être pourquoi,telle une abeille, j’aime butiner les fantastiques pistils des garçons afin de siroter leur miel collant.
- Et toi Cédric, ta mignonne petite queue doit avoir envie d’un pèlerinage dans ma bouche ?
Je sens déjà une réponse enthousiasme dans ma main avant même qu’il me la confirme dans un soupir de béatitude.
- Oh oui!
Nous nous regardons dans les yeux un long moment pour imaginer lequel en a le plus envie et de l’augmenter encore si cela est possible. Ma main le branle de plus en plus vite, sa tigette chaude me brûle la paume, il se laisse faire entièrement et c’est ce que j’aime par-dessus tout: tenir les cordons de la bourse, et le trésor n’est pas en pièces sonnantes et trébuchantes mais plutôt en liquide que je préfère abondant.
Je libère alors la belle prisonnière qui se redresse instantanément fiere comme un bar tabac, une pipe s’impose dans ces conditions, le gland est décalotté et d’une belle épaisseur par rapport à la longueur, Elle domine une plaine aussi désertique que le mont Ventoux. Ce spectacle me fascine, elle est tendue pour moi, elle semble me regarder par la petite fente au sommet et m’implorer à la prendre pour que je goûte cette friandise.
Cette fois encore je ne peux pas résister plus longtemps à cette tentation, je m’accroupie et sans même la lécher avant, je pose mes lèvres sur le haut du gland et lentement je la coulisse entre sans m’arrêter, Elle fait environ une dizaine de centimètres et je crois que je peux la mettre au complet dans ma bouche, effectivement je bloque juste au niveau de ses couilles.
Comme dans mes songes les plus coquins ma langue apparaît et elle lui chatouille l’avant de ses deux pochettes surprises.
Ça y est j’y suis arrivée à mettre toute la bite d’un garçon dans ma bouche! et je crois que cela lui fait plaisir car il me caresse doucement les cheveux.
D’un seul coup je relâche le tout et reprends mon souffle, haletant encore je retourne mettre en pratique mes techniques infaillibles sur le petit goupillon de Cédric. Mes lèvres soyeuses et ma langue cajoleuse lui prodiguent des mamours et des papouilles qui, il me semble, ne le laisse pas de marbre. C’est même, je puis dire, une belle gâterie que je lui fais et qui l’incite à nous faire une petite confidence :
- C’est la première fois qu’une fille me suce, j’ai bien l’habitude avec des garçons, mais toi Marion c’est encore plus sublime.
- Merci,fais-je en libérant sa bite et pour qu’elle reprenne ses esprits.
Mon frère aussi à ce moment-là s’arrête de sucer Toussaint et nous demande une faveur inattendue.
- Marion, si tu es d’accord, peux-tu me prêter un moment Cédric? car j’aimerais bien essayer de me faire enculer par Toussaint mais je pense qu’il serait utile que Cédric me prépare avant de recevoir cette énorme masse d’arme.
Quel aveu ! Je ne savais pas que mon petit frère avait testé avant moi une bite dans un endroit qui me tarde d’expérimenter mais dont je n’ai pas encore osé sauter le pas ayant juste introduit quelques menus objets pour voir ce que cela fait.
A suivre.
La réponse je ne tarde pas à la connaître : instinctivement ma menotte se saisit de la chose et la dissimule entièrement, elle est bien en sûreté enveloppée de la sorte, j’amorce doucement et délicatement un mouvement de translation qui s’accélère progressivement.
Cela me fait penser un peu à une bielle d’une vieille loco à vapeur, mon pouce butte à chaque aller sur ses couilles bien rondes et lisses comme des boules de billard. Mon geste est délicat pour ne pas les heurter violemment, ma déjà ancienne expérience m’est précieuse et le petit asticot se transforme en verre de terre par la magie de la nature.
Encore un petit effort et je pourrais la déguster, car j’aime bien les introniser bien rigide dans ma bouche, pas un truc flasque et insipide.
En deux temps trois mouvements je crois que mon coéquipier se transforme en Ironman, pas entièrement évidemment, juste la partie qui m’intéresse, et elle est encore toute camouflée dans ma main.
Une pensée me vient instantanément je vais enfin pouvoir essayer une gorge profonde, vous allez me dire que la chose est facile, c’est vrai, mais c’est bien la première fois que je me sens capable du prodige, j’ai souvent rêvé d’essayer de lécher les couilles d’un garçon en ayant sa bite dans la bouche, mais la taille des engins que m’ont présenté les labadens qui ont bien voulu me confier leur précieuse m’a dissuadé de risquer la moindre tentative. Que voulez-vous je suis délicate et m’étouffer avec des patapoufs hypertrophiés très peu pour moi, mais je ne suis pas la dernière à les lécher et à bien sucer leur bout pour leur faire rendre l’âme et croyez-moi à chacune de mes tentatives j’ai gagné le gros lot.
Me tournant vers nos spectateurs immobiles, je leur dis :
- Vous n’allez pas rester les bras ballants sans rien faire, Théo, te connaissant je pense que tu es a une énorme envie de goûter une aussi grosse bite et toi Toussaint cette expérience te plairait-t-elle ?
La réponse de Théo ne se fait pas attendre.
- Jamais je n’ai encore aperçu un garçon si bien monté et avec son accord, j’ai un désir fou d’essayer de lui prodiguer une belle turlutte, dit-il en se tournant vers lui.
Toussaint lui est tout surpris, il est même scotché par la proposition à laquelle il ne s’attendait pas.
- Tu verras elle est délicieuse, fais-je à Théo, et toi Toussaint, se faire sucer même par un garçon cela doit être très bon?
- Oui, répond-il très faiblement sans être complètement convaincu.
Théo ne se le fait pas dire deux fois et il se met à genoux pour faire ses dévotions au dieu Priapre.
Une main sur la fesse droite de Toussaint, l’autre main maintenant le cylindre mastoc à sa base, avec le petit doigt, pas sur la couture du pantalon, il lui caresse ses couilles et sa langue parcourt les plus de 25 cm de la bite.
Je regarde et aperçois les yeux exorbités et la bouche pincée de Toussaint: signe qu’il est aux anges.
Il est grandement temps pour moi aussi de sucer une nouvelle bite, à chaque fois c’est la même chose, la découverte d’une terre inconnue m’apporte un piquant supplémentaire et je savoure encore plus ce délicieux mets. C’est peut-être pourquoi,telle une abeille, j’aime butiner les fantastiques pistils des garçons afin de siroter leur miel collant.
- Et toi Cédric, ta mignonne petite queue doit avoir envie d’un pèlerinage dans ma bouche ?
Je sens déjà une réponse enthousiasme dans ma main avant même qu’il me la confirme dans un soupir de béatitude.
- Oh oui!
Nous nous regardons dans les yeux un long moment pour imaginer lequel en a le plus envie et de l’augmenter encore si cela est possible. Ma main le branle de plus en plus vite, sa tigette chaude me brûle la paume, il se laisse faire entièrement et c’est ce que j’aime par-dessus tout: tenir les cordons de la bourse, et le trésor n’est pas en pièces sonnantes et trébuchantes mais plutôt en liquide que je préfère abondant.
Je libère alors la belle prisonnière qui se redresse instantanément fiere comme un bar tabac, une pipe s’impose dans ces conditions, le gland est décalotté et d’une belle épaisseur par rapport à la longueur, Elle domine une plaine aussi désertique que le mont Ventoux. Ce spectacle me fascine, elle est tendue pour moi, elle semble me regarder par la petite fente au sommet et m’implorer à la prendre pour que je goûte cette friandise.
Cette fois encore je ne peux pas résister plus longtemps à cette tentation, je m’accroupie et sans même la lécher avant, je pose mes lèvres sur le haut du gland et lentement je la coulisse entre sans m’arrêter, Elle fait environ une dizaine de centimètres et je crois que je peux la mettre au complet dans ma bouche, effectivement je bloque juste au niveau de ses couilles.
Comme dans mes songes les plus coquins ma langue apparaît et elle lui chatouille l’avant de ses deux pochettes surprises.
Ça y est j’y suis arrivée à mettre toute la bite d’un garçon dans ma bouche! et je crois que cela lui fait plaisir car il me caresse doucement les cheveux.
D’un seul coup je relâche le tout et reprends mon souffle, haletant encore je retourne mettre en pratique mes techniques infaillibles sur le petit goupillon de Cédric. Mes lèvres soyeuses et ma langue cajoleuse lui prodiguent des mamours et des papouilles qui, il me semble, ne le laisse pas de marbre. C’est même, je puis dire, une belle gâterie que je lui fais et qui l’incite à nous faire une petite confidence :
- C’est la première fois qu’une fille me suce, j’ai bien l’habitude avec des garçons, mais toi Marion c’est encore plus sublime.
- Merci,fais-je en libérant sa bite et pour qu’elle reprenne ses esprits.
Mon frère aussi à ce moment-là s’arrête de sucer Toussaint et nous demande une faveur inattendue.
- Marion, si tu es d’accord, peux-tu me prêter un moment Cédric? car j’aimerais bien essayer de me faire enculer par Toussaint mais je pense qu’il serait utile que Cédric me prépare avant de recevoir cette énorme masse d’arme.
Quel aveu ! Je ne savais pas que mon petit frère avait testé avant moi une bite dans un endroit qui me tarde d’expérimenter mais dont je n’ai pas encore osé sauter le pas ayant juste introduit quelques menus objets pour voir ce que cela fait.
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