Camille et Marion font leur shopping 06.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Camille et Marion font leur shopping 06.
Nous nous dirigeons maintenant vers un magasin de chaussures. Deux employés modèles se précipitent vers nous, un jeune et un dans la fleur de l’âge.
- Bonjour mesdemoiselles, dit ce dernier, je vous présente notre apprenti Samir, un peu timide vous allez voir, et moi Samuel à votre service, assoyez-vous, que pouvons-nous faire pour vous,
- nous voulons des chaussures de sport, dit Camille.
- en quelle pointure ?
- du 37 pour toutes les deux.
Après un petit moment, ils reviennent avec une colonne de boîtes. À genoux à nos pieds, ils procèdent à l’essayage. Samir, face à Camille lui enfile une chaussure, je vois qu’elle écarte légèrement les jambes et en soulève une pour faciliter la mise en place de la basket et la vue sous la jupe. Le jeune bêta n’a rien remarqué, occupé à ajuster le pied, pourtantL’allumage est clair, par contre je vois que Raminagrobis a saisi même s’il n’a rien vu car il n’est pas en face. Mais il se prépare à réaliser le même geste avec moi, et même à l’amplifier car il me pose le pied sur son épaule pour bien enfoncer la chaussure et là il ne peut manquer la chose car ses yeux ne suivent pas le bas de ma jambe mais mon entrejambe et ils clignotent comme un vieux flipper, s’il m’a pris mon pied je pense que lui aussi prend le sien.
- Vos petits tétons, euh je voulais dire petons, ne sont pas à l’étroit ? Me dit-il.
- Non ça va, fais-je.
- Sinon je peux vous les masser, insiste-t-il.
- Mes petons ou mes tetons ? Répliqué-je en rigolant.
- les deux si vous voulez.
Samir ne sait plus où se mettre, mais Samuel a compris que nous n’étions pas farouches, il insiste de plus belle, il prend le pied de Camille et le soulève pour montrer à l’élève Le dessous de la chaussure.
- Regarde, lui fait-il, le bon bout n’est pas mal mais le bout dur ne convient pas.
Il manipule la jambe de Camille, pour lui montrer le dessous des cartes sous plusieurs angles.
- Et cet œillet est tout à fait déplacé, Ta languette ne pourra pas se mettre en place, la cambrure n’est pas non plus idéale, essaye lui une autre paire que celle-là.
Le pauvre mignon il a quand même dû bien se rincer l’œil car il est impossible qu’il n’ai pas vu le pot aux roses.
Il lui change la chaussure, mais cette fois il regarde bien dessous la robe, la chose doit lui plaire car il prend bien son temps avant de lui remettre le pied par terre. Moi, bonne pâte, je demande à Asmodée de me passer une autre paire. il obtempère avec entrain et ne manque pas de bien ajuster celle-ci en me tenant la jambe le plus haut possible et en renouvelant l’opérationPlusieurs fois prétextant qu’elle n’était pas bien à fond, il met bien cinq minutes avant de me reposer le pied.
Assez rigolé avec ces deux vicieux, nous leur laissons plein de souvenirs et leurs chaussures avec.
Notre dernier lieu de villégiature pour cet après-midi invraisemblable est un magasin de chapeaux et casquettes en tout genre.
Sélectionné vous vous rappelez pour son petit coin discret mais ouvert où nous avons idée de montrer quelques partiesIntéressantes de notre anatomie.
Nous flânons de-ci de-la en choisissant quelques couvre-chefs qui ne vont pas, à mon avis que servir à leur destination première. Dans un bac nous découvrons même un lot de cravates et autres tour de cou, Camille prend une lavallière et moi un beau nœud papillon. Là aussi, je ne crois pas que nous pensons les mettre qu’à leur place habituelle.
Après ce petit tour d’horizon, munies de notre sélection, nous nous dirigeons vers le fond du magasin où nous avons repéré ce petit cabinet. La place est libre, il se compose de trois côtés avec glaces qui permettent de ce mirer de face et de profil, et un dernier côté ouvert sur la boutique face à un étalage de bérets. Comme nous n’apercevons pas de potentielles proies, nous passons le temps en essayant les différents chapeaux en notre possession. Nous avons un bob, un chapeau cloche (ce qui nous va bien), un borsalino ( pour notre côté canaille), un bonnet, enfin des trucs sans grand rebord pour cacher le moins de choses possibles si vous voyez ce que je veux dire.
Camille, qui surveille d’un œil notre environnement, me signale un pépère qui tate du béret, il a deux grandes bacchantes et un style motard avec son blouson de cuir noir frappé des hells Angels, la cinquantaine florissante, un casque de moto sous le bras, c’est certainement un vieux Baker. Le style nous séduit vraiment, il faut trouver un truc pour attirer son attention et vite.
Un compas de Chappelier, sans doute oublié là, est une opportunité à saisir de suite. Camille se met dos à lui et je fais tomber l’outil qui fait un bruit métallique et le fait sursauter et nous regarder, Camille se penche alors pour le ramasser mais reste jambes tendues ce qui fait remonter le bas de sa robe et moi j’amplifie le mouvement en tirant de chaque côté de ses hanches pour lui faire ressentir qu’elle n’a pas de culotte. Je le regarde fixement et il détourne son regard pour le plonger dans le tas de bérets, mais je remarque bien que son œil regarde sur le côté.
Rappelez-vous une célèbre publicité faisait dire à un petit garçon barbouillé de mousse au chocolat à son célèbre poisson rouge: « Maurice, tu pousses le bouchon un peu trop loin. »
A suivre.
- Bonjour mesdemoiselles, dit ce dernier, je vous présente notre apprenti Samir, un peu timide vous allez voir, et moi Samuel à votre service, assoyez-vous, que pouvons-nous faire pour vous,
- nous voulons des chaussures de sport, dit Camille.
- en quelle pointure ?
- du 37 pour toutes les deux.
Après un petit moment, ils reviennent avec une colonne de boîtes. À genoux à nos pieds, ils procèdent à l’essayage. Samir, face à Camille lui enfile une chaussure, je vois qu’elle écarte légèrement les jambes et en soulève une pour faciliter la mise en place de la basket et la vue sous la jupe. Le jeune bêta n’a rien remarqué, occupé à ajuster le pied, pourtantL’allumage est clair, par contre je vois que Raminagrobis a saisi même s’il n’a rien vu car il n’est pas en face. Mais il se prépare à réaliser le même geste avec moi, et même à l’amplifier car il me pose le pied sur son épaule pour bien enfoncer la chaussure et là il ne peut manquer la chose car ses yeux ne suivent pas le bas de ma jambe mais mon entrejambe et ils clignotent comme un vieux flipper, s’il m’a pris mon pied je pense que lui aussi prend le sien.
- Vos petits tétons, euh je voulais dire petons, ne sont pas à l’étroit ? Me dit-il.
- Non ça va, fais-je.
- Sinon je peux vous les masser, insiste-t-il.
- Mes petons ou mes tetons ? Répliqué-je en rigolant.
- les deux si vous voulez.
Samir ne sait plus où se mettre, mais Samuel a compris que nous n’étions pas farouches, il insiste de plus belle, il prend le pied de Camille et le soulève pour montrer à l’élève Le dessous de la chaussure.
- Regarde, lui fait-il, le bon bout n’est pas mal mais le bout dur ne convient pas.
Il manipule la jambe de Camille, pour lui montrer le dessous des cartes sous plusieurs angles.
- Et cet œillet est tout à fait déplacé, Ta languette ne pourra pas se mettre en place, la cambrure n’est pas non plus idéale, essaye lui une autre paire que celle-là.
Le pauvre mignon il a quand même dû bien se rincer l’œil car il est impossible qu’il n’ai pas vu le pot aux roses.
Il lui change la chaussure, mais cette fois il regarde bien dessous la robe, la chose doit lui plaire car il prend bien son temps avant de lui remettre le pied par terre. Moi, bonne pâte, je demande à Asmodée de me passer une autre paire. il obtempère avec entrain et ne manque pas de bien ajuster celle-ci en me tenant la jambe le plus haut possible et en renouvelant l’opérationPlusieurs fois prétextant qu’elle n’était pas bien à fond, il met bien cinq minutes avant de me reposer le pied.
Assez rigolé avec ces deux vicieux, nous leur laissons plein de souvenirs et leurs chaussures avec.
Notre dernier lieu de villégiature pour cet après-midi invraisemblable est un magasin de chapeaux et casquettes en tout genre.
Sélectionné vous vous rappelez pour son petit coin discret mais ouvert où nous avons idée de montrer quelques partiesIntéressantes de notre anatomie.
Nous flânons de-ci de-la en choisissant quelques couvre-chefs qui ne vont pas, à mon avis que servir à leur destination première. Dans un bac nous découvrons même un lot de cravates et autres tour de cou, Camille prend une lavallière et moi un beau nœud papillon. Là aussi, je ne crois pas que nous pensons les mettre qu’à leur place habituelle.
Après ce petit tour d’horizon, munies de notre sélection, nous nous dirigeons vers le fond du magasin où nous avons repéré ce petit cabinet. La place est libre, il se compose de trois côtés avec glaces qui permettent de ce mirer de face et de profil, et un dernier côté ouvert sur la boutique face à un étalage de bérets. Comme nous n’apercevons pas de potentielles proies, nous passons le temps en essayant les différents chapeaux en notre possession. Nous avons un bob, un chapeau cloche (ce qui nous va bien), un borsalino ( pour notre côté canaille), un bonnet, enfin des trucs sans grand rebord pour cacher le moins de choses possibles si vous voyez ce que je veux dire.
Camille, qui surveille d’un œil notre environnement, me signale un pépère qui tate du béret, il a deux grandes bacchantes et un style motard avec son blouson de cuir noir frappé des hells Angels, la cinquantaine florissante, un casque de moto sous le bras, c’est certainement un vieux Baker. Le style nous séduit vraiment, il faut trouver un truc pour attirer son attention et vite.
Un compas de Chappelier, sans doute oublié là, est une opportunité à saisir de suite. Camille se met dos à lui et je fais tomber l’outil qui fait un bruit métallique et le fait sursauter et nous regarder, Camille se penche alors pour le ramasser mais reste jambes tendues ce qui fait remonter le bas de sa robe et moi j’amplifie le mouvement en tirant de chaque côté de ses hanches pour lui faire ressentir qu’elle n’a pas de culotte. Je le regarde fixement et il détourne son regard pour le plonger dans le tas de bérets, mais je remarque bien que son œil regarde sur le côté.
Rappelez-vous une célèbre publicité faisait dire à un petit garçon barbouillé de mousse au chocolat à son célèbre poisson rouge: « Maurice, tu pousses le bouchon un peu trop loin. »
A suivre.
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