Camille et moi 1

- Par l'auteur HDS J aime les matures -
Auteur homme.
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Récit libertin : Camille et moi 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Camille et moi 1
Le récit que je viens vous raconter m est arrivé il y a, à peu prêt, six mois.
Je m appelle Pierre je suis gérant d un magasin dans une petite ville qui pourrait être la vôtre.
Bien que sportif et élancé, je n ai jamais fait de ravage et la drague pour moi ressemble plus à un vrai challenge qu’à une parie de rigolade.
Ce jour là pourtant il m’est arrivé quelque chose d’invraisemblable.
Quelques minutes avant la coupure de midi, attendant l’heure pour fermer les portes et le magasin étant vide, je m’étais placé dans un coin pour me régaler d’une histoire de HDS. Le récit de ce mec qui baisait sa voisine m’avait tellement pris que je me retrouvais avec une gaule monstrueuse.
Midi moins trois une cliente habituée pousse la porte. Prof de lettre, d’une beauté pas mise en valeur mais souriante et blagueuse, depuis peu elle venait me chercher de bricoles assez régulièrement et nos discussions dérapaient souvent sur des blagues ou anecdotes rigolotes.
- bonjour me lança t elle. Je ne vous garde pas longtemps je sais ce que je veux.
- Oui j arrive, répondis je en restant planté derrière la caisse pour dissimuler la bosse qui déformait ma braguette.
Mais elle, déjà au fond du magasin me demandait de lui attraper quelque chose.
Gêné et tirant sur mon polo je m’approchais d’elle. Lorsque je levais le bras elle ne put faire autrement que de constater mon émoi certain.
- C’est moi qui vous met dans cet état ? j’en doute ou je suis flatté ?
Certainement de se savoir seule avec moi dans ce grand magasin vide, elle eut un mouvement de recul. Penaud et honteux je lui expliquais donc que j aimais l’érotisme et la lecture, que j avais trouvé un site reprenant ces deux choses et que la seule faute que l’on pouvait m’imputer était de être trop « imprégné » de ce récit
Elle se mit à rire de ma tentative de fuite, j étais soulagé.
- il faut que tu me marques le nom de ce site que je me rende compte par moi-même, me demanda t elle
- ok mais on se tutoie maintenant ?
- attends tu pourrais être mon gosse et en plus je t ai vu bander. Alors ça crée des liens.
Je lui offris les deux conneries qu’elle était venue chercher et lui donnai ma carte de visite avec le nom de HDS. Espérant que ces attentions lui feraient tenir sa langue, je reprenais ma vie tranquille.

Cinq à six jours plus tard, je reçus un SMS me disant : pas mal ce site, maintenant que tu as mon numéro, si tu repère une bonne histoire envoie moi la référence.

Nous continuâmes à échanger quelques semaines, chacun faisant profiter l autre de ces petites pépites, tous les thèmes y passaient.
Et nos recherches de textes originaux s avérèrent de plus en plus ardue. Les messages s’espacèrent de plus en plus.
Un soir avant la fermeture je reçus un message de ma co-lectrice qui me disait : écoute je crois qu’on a lu tout ce qui nous intéressait.
Bon bah tant pis, pensais je, elle est sympa mais lassée. La situation était pourtant excitante : échanger avec une femme de au moins quinze ans mon aînée qui aime les histoires de cul !
Seconde sonnerie, nouveau message : je pense que l’on devrait en écrire pour se régaler et régaler les autres lecteurs. Je ne savais pas à ce moment précis si elle voulait baiser ou juste se taper un délire.
Nous décidâmes donc que nous nous verrions le lendemain vers 19h pour jeter les ébauches de notre « histoire de cul ».

19h le lendemain, j attendais anxieux devant sa porte. J’avais mal aux couilles d avoir bander toute la journée. Mélange de fantasme et d’excitation, je me étais au moins branlé trois fois pour me faire patienter. Elle vins finalement m ouvrir au moment ou je rajustais ma queue qui avait choisi cet instant précis pour durcir.
- tu passes ton temps à triquer mon pauvre garçon ! l’écriture t’excite tant que ça ?
Voila qui remettait les choses en place, je ne me faisais plus d’illusions au sujet de l’issue de la soirée ce serait boulot-boulot.
Elle me précédait dans ce couloir sombre. Je l avais toujours vue habillée un peu décontractée mais la j avais le droit à la tenue du dimanche-canapé : sweet 2 tailles trop grand, pantalon large et rentré dans de grosse chaussettes. Super sexe madame !
La seule touche de féminité était les effluves qu’elle laissait de ce parfum enivrant que chanta si bien Gainsbourg.
Elle me fit entrer dans une pièce faisant office de bureau, spacieuse et bien rangée.
Assis face à face, nous commençâmes à passer en revue tous les thèmes que nous pourrions aborder. Toutes les trois minutes étais pour ma part obligé de changer de position pour essayer de soulager ma crante de braguette toujours aussi présente.
Au bout d’un quart d’heure nos idées n avaient pas données grand résultat ; le plus dur étant que cela paraisse plausible. Entre le plombier qui tombe sur une femme seule et en manque d’affection et le facteur tringleur, je commençais à penser qu’il ne sortirait rien de bon de cette entrevue.
Quelque chose me surprenait dans tout ça : le vocabulaire osé de mon hôtesse (que je lui connaissait pas jusqu’alors) et sa capacité a vider son verre de Martini.

Me voyant fixer le verre elle se sentit obligée de préciser :
- je ne bois pas souvent comme ça mais là je sens que ça va me donner des idées…
Je ne comprenais pas les sens exact de cette phrase.
Alors que depuis mon arrivée elle me faisait face, elle se leva et vint s asseoir sur la chaise à coté de moi. Elle se pencha pour lire les quelques conneries que j avais notées sur la feuille posée devant moi. En bon matteur je ne perdis pas l’occasion de regarder par le col trop lâche juste par curiosité. Deux seins nus mignons comme tout se promenaient en toute liberté. Cette vision fut on ne peut plus furtive ; l’instant d’après je sentais un téton pointer contre mon bras au travers du tissu.
Un afflux de sang vint comprimer ma bite.
- non ! pas elle, pensais je. Elle est mignonne certes mais elle n’est pas de mon age, s’habille comme un sac et n’est pas féminine pour deux sous. Puis moi j aime les femmes plus jeune et avec plus de poitrine.
- bah ! Ca y est j ai trouvé le fil de l’histoire, reprit elle, me tirant de mes pensées obscènes. C est la mode des cougars et des femmes mures ! alors écoute ça :
Une femme mure mais encore bien de sa personne partage avec un mec plus jeune un goût pour la littérature érotique et prétextant d’écrire, elle l’attire chez elle pour le coincer ; bouffage de chatte, pipe, levrette.
- je ne sais pas répondis je ; la nana va sûrement l’accueillir dans une tenue trop négligée et il ne pourra même vérifier si elle est baisable et donc pas bander.
- Il bande déjà peut être en arrivant.
A ce moment précis je ne savais plus où était la frontière entre la réalité et l’histoire notre récit.
Et puis merde, je suis joueur. Je poussai la chaise pour me tourner vers elle nous étions à trente centimètres l’un de l’autre.
Je me mis en arrière sur la chaise et attrapant à pleine main le renflement que dessinait ma queue comprimée dans mon jean le lui lançai :
- ok soit mais on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Tu la veux alors tu vas aller te changer comme si tu allais à un premier rendez vous. Je veux juger avant de prendre.
A peine cette phrase prononcée je me dis que j avais parlé comme un salop et que j allais prendre la gifle que je méritais.
Elle se leva, se campa face à moi jambes écartées, un air de défie dans le regard.
- on ne m avait encore jamais parlé comme ça.
Elle se recula et reprit :
- tu as raison je me laisse un peu aller. Attends moi je vais voir si j ai quelque chose pour sauver la situation.
Elle s avança vers le couloir, je ne la quittais pas du regard essayant comme un gamin de découvrir à l avance quel cadeau cache le paquet. Elle fit marche arrière et repassant la tête par l encadrement :
- au fait, je ne sais pas où ça va me mener mais je m appelle Camille, j ai 49ans célibataire et tu vas être le premier être vivant à me voir sexy depuis au moins quinze ans.
- Moi c est Pierre, trente trois ans célibataire et impatient ! lui répondis je alors qu’elle avait déjà disparu.
Voulant tromper mon impatience et une certaine anxiété je me mis à feuilleter quelques livres qui se trouvaient dans la bibliothèque et qui m’éclairèrent sur les goûts de Camille : « Romantisme et sexualité à la renaissance », « L’érotisme chez les peintres du 18ème » ou encore « La pornographie dans l’art à travers les ages ».
Quelques minutes plus tard, j entendis derrière moi :

- c’était le thème de mon mémoire de fin d’étude et je ne l’ai pas choisi au hasard, sois en sûr.

Je l’imaginais dans une posture de pin up dans l encadrement de la porte une main sur la hanche.
- retourne toi je t en supplie, dis moi ce que tu en penses. Vite, je me sens ridicule.
Je fis encore attendre Camille une dizaine de secondes, prenant mon temps pour reposer à sa place le livre que je tenais. Me retournant enfin je découvris devant moi une autre femme ; non, une Femme.
1m65 environ toute mince et presque athlétique, elle avait un port altier et élégant. Sa poitrine, sans plus de soutien gorge que tout à l heure, se dressait fièrement derrière un chemisier en soie beige largement décolleté ; ses hanches fines se devinaient facilement sous une jupe courte et étroite qui peinait à cacher la dentelle des bas.
Ses jambes longues et fines étaient sublimement galbées par des escarpins à talons.
- alors tu me trouverais digne de m afficher en ta compagnie ? me demanda t’elle.
Bien que subjugué par cette métamorphose soudaine je ne pus me retenir de lui répondre d’un ton ironique :
- ha ! tu es une fille en fait !
Gros blanc, vas t elle me la mettre finalement cette gifle que je cherche depuis vingt minutes ?
Je m’empressais de lui avouer :
- tu es très belle, je suis bluffé.
- Je ne me suis plus habillé comme ça depuis que mon mari m’a quittée.
Elle s approcha de moi. Je la pris par la main et la fis tourner sur elle-même. Superbe, j’avais encore du mal à croire que ces deux femmes ne faisait qu’une. La chenille était redevenue papillon et ces ailes étaient les volutes de son parfum.

Encore une fois par jeu je lui dis :
- te voila plus présentable, asseyons nous et commençons notre histoire.

Mêlant le geste à la parole je l’attirais vers les chaises voisines et faisant semblant de me replonger dans mes écrits.
Résignée et sûrement déçue elle approcha sa chaise pour lire au dessus de mon bras.
Après trois minutes, au comble de mon excitation, je décidais d’accélérer un peu les événements de cette soirée inattendue. Prétextant de lui faciliter la lecture je passais mon bras derrière son dos pour qu’il ne la gène plus.
Elle pencha alors pour être plus à l’aise et j’en profitai pour poser ma main sur son épaule. Elle posa sa tête sur mon torse et pour garder l équilibre, sa main sur la chaise entre mes cuisses. A travers mon pantalon, mes couilles lui caressaient le poignet. Je trouvai sa manœuvre encore plus osée que la mienne même si en écrivant aujourd’hui je me rends compte que l’issue de tout ça était inéluctable.
Je baignais dans son parfum, l’odeur de ses cheveux, elle offrait à mon regard sa poitrine tendue d’excitation.
A peine trente seconde plus tard se tournant vers moi elle me dit :
- ouais ! Pas mal. Tu écris bien. C est dommage, le sexe, c’est ceux qui en parlent le moins qui en font le plus. Par contre je n’ai pas de donnée pour ceux qui en parlent bien comme t….
Je ne l avais pas laissée finir sa phrase. Bien que vif, en un geste délicat j avais saisi son visage entre mes mains et déjà ma langue s’était frayée un passage entre ses lèvres. Le baiser ce faisait fougueux et nos dents s’entrechoquaient. Sa main était maintenant sur ma queue tendue et la massait tendrement ; les miennes sous son corsage faisaient connaissance avec ses seins fermes et mes doigts pinçaient doucement les tétons pointant.
Reprenant son souffle mais continuant a malaxer la bite elle me dis :
- je crois qu’on va travailler avec méthode. Documentons nous et faisons des travaux pratiques pour plus de réalisme. Viens on va dans ma chambre j ai la chatte en feu.
- Oh ouais ! j’en ai vraiment envie. Comment j ai pu passer à coté de toi sans te remarquer avant ?
- Viens ! dit elle en se levant et en me prenant la main.
Je voulais vérifier ses dires et la saisissant par les hanches je la retenais à moi. Je remontais sa jupe et l’assis sur la table face à ma chaise. Elle me réservait une surprise de taille : était elle si sûre de se faire baiser en allant se changer pour ne pas avoir mis de culotte ?
Je baissais la tête entre ses cuisses pour goûter à sa chatte. C est une pratique que j adore qui, au même titre que la pipe permets aux deux partenaires de se mettre en condition.
Ma langue lécha d’abord en surface cette moule fraîchement épilée, mes doigts cherchant déjà à sortir le bouton de sa gangue. Camille poussait de petits gémissements courts qui allaient en s’accélérant. Ma langue la léchait maintenant à grands coups cette chatte ouverte et chaque fois qu’elle passait sur son clito Camille contractait les muscles de ses fesses.
- ne t’arrête pas, surtout paaaaas. Il lui devenait difficile de parler. Elle me maintenait la tête avec sa main pour me couper toute retraite.
Je ne comptais pas m’arrêter son jus était si doucement amer que je m’en saoulais. Ma langue maintenant plongeait aussi profond que je le pouvais.
- toi tu vas jouir sur cette table pensai je.
Je repris donc mon léchage minutieux du clito de Camille pendant que deux de mes doigts se frayaient un passage dans sa chatte bien huilée.
Moins d’une minute après je sentais sa chatte se contracter autour de mes doigts et ses ongles me labourer le crâne.
- ouah c’est plus efficace que le vibro. Tu es doué mon salop. C est une bonne entame, à moi de jouer maintenant.
- Attends répondis je. Je vais te nettoyer.
Sa mouille avait ruisselé le long de la raie de son cul, jusque sur la table. Je la fis mettre à quatre pattes et lui léchai la rondelle en forant avec ma langue pour voir sa réaction.
- ça c est pour plus tard me dit elle en se relevant. Donne moi ta bouche, j aime le goût de ma mouille dans la bouche d’un homme.
Elle me sauta dans les bras et enroula ses jambes autour de ma taille ; mes mains sous ses fesses lui évitaient de glisser. Et c est nos deux bouches soudées qu’elle m'a guidé par gestes jusqu’à sa chambre.

Une fois arrivés, je la jetais sur le lit et déboutonnant ma chemise je lui lançai :
- je vais te faire crier, tu ne vas pas faire le voyage pour rien.
- Oh ! tu ne m’as rien prouvé pour le moment. Ne fanfaronne pas. Sois doux et appliqué je n ai connu que mon gode depuis dix ans.
Je comprenais mieux pourquoi elle avait joui si vite. Je m allongeai a cote d’elle. Nous nous déshabillâmes mutuellement : je ne lui laissai que ses bas.
Camille poussa mon épaule et je me retrouvai sur le dos. Elle me monta dessus commençant à frotter sa chatte sur ma bite bien dure tout en m embrassant. Puis elle approcha sa bouche de mon oreille pour dire la phrase la plus bandante que j avais entendue :
- j adore le goût de ma chatte sur la bite d’un homme.
Se laissant glisser vers le fond du lit, je sentais ses tétons frôler mon ventre et sa langue tendue lécher mon torse.
Ce moment me parut interminable mais enfin je sentais son souffle sur ma queue. Elle s’en saisis et commença à me branler avec douceur tout en posant ses lèvres sur mon gland. Je remontais le bassin et forçais le rideau de ses lèvres. Elle me suçait maintenant goulûment, sa langue s’enroulait autour de ma bite. A chaque va et vient, elle titillait mon frein ou avalait presque entièrement ma queue. Ses mains me caressaient les couilles et un doigt venait parfois chatouiller mon trou du cul.
Sentant la jouissance arriver, je me relevai pour signifier à Camille mon désir de changer de position et enfin de visiter sa chatte.
- les capotes sont dans le tiroir de la table de nuit, je les avais achetées au cas où, me dit elle. Passe m’en une je vais te la mettre.
Toujours aussi douces ses mains avaient habillé ma queue. Camille était remontée et sa langue plantée dans ma bouche elle guidait ma queue vers sa grotte. Elle y pénétra sans difficulté, elle commença dès le début un va et vient rapide. Après seulement quelques allers retours je sentais sa mouille ruisseler sur mes couilles.
Je spectacle de cette femme habituellement si calme et discrète ; et que je voyait déchaînée et pleine de désir me faisait bander encore plus fort. Par un petit mouvement de bassin, elle venait frotter son clito sur mon bas ventre.
Le but escompté ne se fit pas attendre.
-oh ! Putain je vais jouir ! OH PUTAIN !
Sa main droite qui était posée sur mon épaule se crispa et ses ongles me labourèrent la peau. Après quelques spasmes elle était effondrée sur moi. Elle m’embrassa et me dit :
- merci pour ça. A ton tour, maintenant. Prends moi comme une chienne, fais de moi ce que tu veux.
-
Je me plaçais donc derrière elle et j avoue que la vue de ce cul encore ferme me ravissait. Je la pris sans ménagement, enfoncent ma queue d’un coup jusqu'à la garde et arrachant a Camille un « oh ! » de contentement. Suivant l’exemple de ma partenaire, c’est à un rythme endiablé que je lui défonçais la chatte. Mes hanches claquaient contre son cul, mes couilles venant lui taper le clito. Mais j’en voulais plus et voir si Camille tiendrait parole. Tout en la besognant comme un forcené, je pris le parti de lui planter mon pouce dans son petit trou. La prenant toujours en levrette, je lui lâchais un peu de salive sur la raie du cul. Sentant quelque chose de chaud couler elle tourna la tête :
- c est quoi ? me demanda t elle
- t’occupe je gère lui répondis je.
Ne lui laissant pas le temps de dire quoi que ce soit mon doigt poussait déjà sur sa petite rondelle Il y pénétra sans mal et je décidais de le laisser planté là sans le bouger. Camille avait l’air d apprécier, elle remuait la tête frénétiquement en couinant comme une dingue.
Pour moi c’en était trop, je n avais jamais fait ça avant et l’excitation était à son comble. De la main libre j’attrapais ses cheveux et m’en servais de prise pour accélérer encore le mouvement vers le sprint final.
Sentant ma jouissance arriver Camille me supplia :
- joui sur mon ventre et mes seins, je veux m’en étaler partout.
Je lâchai donc mon étreinte et sortis le pousse de son cul. Elle se retourna sans perdre une seconde et m’ôta la capote et le bras tendu d’une main douce elle ne caressa ma bite que quelques secondes avant de voir jaillir de longues giclées de sperme.
Elle me regardais dans les yeux d’un air de défit en s’étalant mon foutre sur les seins et le ventre.
- c’était bon ! j ai faim et il est encore tôt, on sort manger un morceau ? A moins que tu ne veuilles pas t afficher avec moi ou que tu veuilles te tirer à la course.
Sans lui répondre, je m assis sur le rebord du lit pour me rhabiller. Au bout de quelques instants, je me retournai vers elle pour lui dire :
- je te veux sexy, et pomponnée dans 10 minutes. Pour le restau je connais un chinois d’enfer. Ils font un bœuf au gingembre à tomber. En plus j ai l’impression que je vais devoir bander toute la nuit.

Mais ça c’est pour la suite.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Sympa récit agréable!

Histoire Erotique
superbe récit et très belle histoire.... vivement la suite



Texte coquin : Camille et moi 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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