Camille et moi 3

- Par l'auteur HDS J aime les matures -
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Récit libertin : Camille et moi 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Camille et moi 3
Le bruit de l eau qui coule le guidait à travers le couloir. Camille m attendait déjà dans la douche ; l’onde coulait le long de son dos et son cul magnifique. Encore une fois je fus étonné qu’elle soit encore si bien foutue à presque 50 ans.  Je n avais jusque là pu m’en rendre compte allongé, mais tout tenait bien en place.
Elle dut sentir que je l’observais. Elle se retourna :
Viens, je vais pas te manger ! ah ! bah si en fait je vais te manger me dit elle en me tendant la main. C est une douche deux places mais je ne l ai jamais utilisée que seule.
J étais juste en train de m’extasier devant ton superbe cul, lui répondis je en venant me blottir pour profiter de la femme et de l eau.
En fait j ai fait et je fais encore beaucoup de sport, ça aide. Mais toi aussi tu as un petit cul musclé.
Elle s était rapproché encore pour le prendre les fesses à deux mains, ma queue se retrouvait comprimée entre nos deux corps ; je trouvai le moment opportun pour la serrer dans mes bras et poser la bouche sur la sienne. Après un baiser passionné je sentis ma partenaire glisser et s’accroupir devant moi. En une fraction de seconde ma queue fut engloutie par la bouche goulue de Camille, ses mains me caressant les couilles.
Après quelques minutes de pompage divin, ma suceuse s arrêta et leva la tête vers moi pour me dire :
tu m as enculée hier soir, j ai bien envie de t’en faire autant.
Un de ses doigts était déjà en train d’éprouver la résistance de ma rondelle. J avoue que je ne m’étais jamais essayé à ça et c est avec un peu d’appréhension que je répondis :
ok mais vas y doucement c est assez nouveau pour moi.
Elle me souris et repris sa pipe de plus belle. Elle y allait fort sûrement pour me faire oublier que son doigt était en train de me forer le cul.
La première douleur passée et mon ego de mâle mis de coté, je commençais à trouver ça très agréable. Ce doigt qui me fouillait à chaque va et vient me poussait vers l’inconnu. Tout ce qui est sûr c est que j étais aux portes de l’orgasme. J avais du mal à me retenir de tapisser la bouche de Camille de sperme. Je pris sa tête à deux mains et me mis à lui bourrer la bouche au même rythme que celui de son doigt. Au bout de quelques aller retours je me redissais de tout mon corps et, à grandes saccades, lâchais des giclées de foutre au fond de la bouche de Camille.
Elle continua à me pomper quelques instants puis retirant son doigt elle se releva, se retourna et vint frotter la raie de son cul sur ma queue encore gonflée.
nous sommes à égalité, me dit-elle avec un regard malicieux. Une jouissance anale partout. Dommage que je t ai essoré, je vais devoir utiliser mon jouet.
Sans plus un mot, Camille sortit de la douche, me laissant là, vidé et avec la rondelle endolorie ; après s être essuyée rapidement, elle se dirigea vers sa chambre.
Je ne suis pas combien de temps je suis resté sans bouger sous l’eau chaude mais au bout d un moment ne la voyant pas revenir, je décidai de partir à sa recherche.
Des gémissements étouffés m aidèrent dans ma quête ; je la trouvai allongée sur son lit, jambes écartées. Sa main droite activait frénétiquement son gode dans sa chatte, les doigts de sa main gauche pinçaient ses tétons.
Se tournant vers moi, elle planta son regard dans le mien. Sans qu elle n ait rien à dire, je compris qu elle ne serait pas contre un coup de main.
Je m approchai donc du lit en m humidifiant un peu le majeur. Majeur avec lequel je commençais à caresser son clito en ébullition ; il était dressé et très réceptif.
Il ne nous fallu que quelques instants pour qu elle jouisse bruyamment et expulse le sex-toy détrempé de jute.

Cela faisait beaucoup d expériences nouvelles d un coup. Il me fallait un café. Je laissais donc à Camille la possibilité de redescendre de son nuage tranquillement et me dirigeai vers la cuisine.
Une demie heure plus tard, c est d’un pas léger qu’une Camille beaucoup moins sophistiquée que la veille apparut dans la cuisine. Elle avait renoué avec les fringues qui lui permettaient de passer inaperçue.
je n ai plus rien de propre en ce qui concerne les vêtements un peu cools, me dit elle en voyant ma moue.
Tu vas remédier à ça aujourd’hui. Par contre, je pense que je vais te laisser faire tes emplettes tranquille. J ai besoin de me reposer.
Et voyant de la déception dans ses yeux de continuer :
je vais rentrer chez moi et je t y attendrai. J espère bien une séance d’essayage en fin de journée.
Je me retournai pour poser ma tasse dans l évier, elle vint coller son corps contre mon dos. Dans ce mouvement de tendresse complètement inapproprié ou du moins trop rapide dans notre relation purement sexuelle, je ne retins qu une chose, elle ne portait pas de soutif. Je devais en avoir le cœur net. Je me retournai, la pris dans mes bras et en profitai pour passer une main dans son pantalon ethnique multicolore. Pas de culotte.
J ai rien mis, j espérais qu on aurait un peu jouer dans les cabines…
Une autre fois, promis. Mais j espère beaucoup de ce que tu vas trouver pour te remettre à la page. D’ailleurs, tu devrais te presser ; tu as rendez vous dans trente minutes au complexe de coiffure et esthétique de la zone sud pour te faire choyer. J ai tout arrangé, ma cousine te recevra à bras ouverts.
Nous nous quittâmes sans plus un mot juste sur un baiser tendre et appuyé.

Toute la matinée je repensais à Camille ; au sexe bien sûr mais aussi aux marques d affection dont elle avait fait preuve.
J en venais même à me demander si ce n’était pas une dingue capable de tomber amoureuse dans l’heure.
Je me décidai donc à demander conseil à mon amie Karine. Notre histoire faisait que je pouvais tout lui dire, dans les moindres détails. Nous avions été collègues puis amants et enfin bons amis ; comme quoi, parfois les histoires peuvent aussi bien se terminer. Il nous était même parfois arrivé de coucher ensemble après notre rupture. Une sorte d’amitié améliorée, sans prise de tête juste pour prendre du plaisir.
Apres un rapide coup de téléphone, rendez vous étais pris pour un déjeuner arrosé chez moi autour de la piscine.
Je lui racontai toute l’histoire, en bonne institutrice qu elle est, Ka me donna des conseils, m invitant à laisser une chance à cette relation très hot, à laisser de coté mes appréhensions.
En cette fin de mois de juin, les quelques verres de vin, que nous avions bus en mangeant, commençaient à nous griser un petit peu. Ce fut Karine qui lança l’idée de se glisser dans la piscine. Sitôt dit sitôt fait, en un instant elle s était dévêtue, ne gardant que son maillot qu elle portait déjà sous sa robe.
Le jardin ayant le magnifique avantage de ne pas avoir de vis-à-vis, je nage souvent nu et cette fois encore je ne dérogerais pas à la règle.
Une fois dans l’eau, je pris un instant pour détailler Ka : elle avait 5 ans de plus que moi et cela se voyait déjà sur son corps ; elle était magnifique. C était une beauté naturelle. Son éternel sourire la rendait rayonnante. Ses seins, presque trop gros pour sa morphologie fine, avaient très fière allure dans ce deux pièces sexy. Oubliant ma nuit sexuellement éprouvante, j avais subitement envie d une branlette espagnole dont elle avait le secret.
Elle sembla se rendre compte de mon émoi et se laissant glisser dans l eau se rapprocha de moi.
tu m as donné chaud avec tes histoire, me dit elle. Je ne serais pas contre une rétribution en nature pour mon écoute attentive. Sa main était déjà en train de tâter la fermeté de ma queue
En gros, je viens de te dire que Camille m avait épongé et toi tu voudrais un coup de queue ?
En gros, me répondit elle sans se démonter.
Je vais faire mieux, lui annonçai je enfin.
Et sans la laisser dire ouf, je la soulevai pour la faire asseoir sur le rebord, je lui écartai le maillot et plantai mon visage entre ses cuisses.
tu me connais bien mon salaud dit elle doucement.
Il faut dire que « oui je la connais bien » ; ses goûts et ses attentes en matière de sexe et même plusieurs de ses fantasmes.
Si elle était si forte pour donner du plaisir avec ses seins, ses doigts ou sa bouche, c est qu elle avait toujours préféré les jeux à l acte. Nous avions passer des instants inoubliables en 69 ; elle m avait déjà sucé dans plein de lieux insolites et en retour je m étais perfectionné dans l art du cunni et du doigtage. Et celui la devrait lui donner énormément de plaisir.
Karine s était un peu allongée sur le bord et avait largement écarté les cuisses, sorte d invitation à la débauche.
Je profitais de cette liberté de mouvement pour lui montrer l étendu de mes talents.
Pendant que ma langue faisait des mouvement rotatifs sur son clitoris, c est la main enfoncée jusqu à la base du pouce que j essayais de lui provoquer son premier orgasme par de grands allers-retours énergiques.
Premier orgasme qui ne se fit pas attendre : en bonne fontaine de jouissance elle m arrosa copieusement la main, le bras et me torse. J attendis que les soubresauts qui l animaient se calment pour me redresser un peu et planter mon regard dans le sien. J abandonnais son corps et comme pour la défier, commençai à lécher mes doigts en laissant filer un petit «  hummm ».
Elle avait bon goût et j ai toujours adorer me délecter de son jus. En plus cela a, je le sais, tendance à l exciter à mort.
Je continuais un instant cette scène digne d un film de cul ; Ka se mordait la lèvre inférieure pour montrer son excitation. Je décidais de reprendre mon cunni ; mais cette fois mes doigts s occupaient de son clito gonflé, pendant que ma bouche nettoyait sa chatte luisante. Je suçotais ses lèvres distendues par le traitement que leur avait réservé ma main ; produisant des bruits de succion exagérés.
Je plantais le plus loin possible ma langue dans sa grotte doucement odorante. Karine ne restait pas insensible à mon travail. Ses cris de jouissance n étaient plus qu une plainte sans fin qu elle n interrompait que pour reprendre son souffle. Je décidai d accélérer et de la faire jouir une seconde fois.
J accentuai la pression sur son clitoris, les rotations de mes doigts se faisaient plus rapides. Au bout d à peine trente secondes, Ka se relevait un peu pour profiter du spectacle mais surtout pour écraser mon visage sur sa chatte gonflée.
Deuxième jouissance, un peu moins forte que la précédente mais elle me tapissa la bouche et bas du visage de jute. Sa main me maintenait le visage bien plaqué pour que je n en perde pas une goutte.
Une fois encore je me délectai du goût de son jus intime et malgré la fraîcheur de l eau je sentais mon sexe bien dur.
Karine était vaincue. Les mollets dans l’eau ; les cuisses ouvertes, elle était maintenant allongée les yeux clos.
Par petits mouvements de buste j envoyai des petites vagues s écraser sur sa chatte et sa rondelle. Cela avait tendance à faire frissonner Ka qui ne put articuler qu’un laconique : « c est bon. »
J étais fier de moi. Fier de la jouissance que j avais pue lui faire connaître et je pensai à cet instant qu elle m en devrait une. Et qu’un jour, au besoin, je pourrais lui demander de me vider les couilles sans penser abuser.
Karine reprenait doucement pied avec sa réalité. D’expérience, je savais qu elle aimait prendre son temps après avoir pris son pied : pour savourer l instant. Je la laissais, les yeux perdus dans le bleu du ciel.
C est la queue encore gonflée que je sortis de la piscine pour aller voir si Camille avait essayé de me joindre.
Effectivement deux textos m attendaient.
Le premier pour me remercier du traitement de princesse que je venais de lui offrir.
Le second pour me demander si j aimais l abricot.
J imaginais déjà son sexe tout lisse et luisant. J avais hâte de le voir, de le toucher et de le manger.
N y tenant plus je l appelais pour lui donner rendez-vous : elle finissait ses emplettes et ensuite me rejoindrait chez moi pour un après-midi piscine et sauna.
- Je n ai pas de maillot ; me répondit-elle.
- Rassure toi moi non plus. Tu seras là dans combien de temps ? lui demandai je en pensant qu il fallait que je prenne congé de Karine.
- Une heure, peut-être deux. Je vais faire vite, histoire de pouvoir me rendre compte si tu me trouves excitante dans la lingerie que je suis en train d essayer.
Sur ces mots et pour me laisser sur ma faim, je suppose, Camille raccrocha. Elle avait réussi son coup et ma queue reprenait de l épaisseur.
Bon, elle ne devait pas croiser Karine ; en plus à poil dans la piscine.
Mais je m inquiétais pour rien : en bonne amie dévouée, Ka avait déjà compris la situation en entendant les quelques bribes de discussion. Elle se releva, s approcha de moi et s accroupis devant ma chaise.
J imagine que je dois partir. me dit elle. J ai le temps de m occuper de toi avant ? poursuivi t elle en commençant à jouer avec mon sexe.
Pas aujourd’hui, sois mignonne. (je n arrivais pas à croire que j étais en train de refuser une bonne partie de baise et d éconduire une femme superbe). A ce que j ai entendu au téléphone je crois que je vais voir besoin de toutes mes forces pour tenir la soirée.
Je ne la connais pas, je la déteste déjà. Elle me prive de ton jus, me répondit elle mi courroucée mi amusée. Si ta soirée ne se passe pas comme prévue appelle moi : je verrai si je peux me séparer de la bite sur laquelle je serai certainement plantée pour venir te voir.
Son sourire me dit que tout était déjà oublié. Apres avoir raccompagnée Karine à la porte, je mis mon temps à profit pour ranger un peu et me poser au soleil.
Attendant Camille pour une fin de journée qui, je l'espérais, serait aussi dingue que promise.

Les avis des lecteurs

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J'espère lire la fin.

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Histoire bien racontée comme du vécu. La suite de l histoire de Camille est passionnante car représentative de l attitude de tellement de femme de son age abandonnée au moment ou leur beauté leur envie de se lâcher.



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