Candaulisme difficile 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Candaulisme difficile 4
Greg paraît enchanté de la rapidité de notre accord. Il tient à préciser les termes du contrat.
- Pourquoi attendre plus longtemps ? Nous voilà réunis, profitons de cette occasion et entrons dans le vif du sujet. Nous sommes bien d'accord sur nos rôles respectifs. Elvire tu es la femme heureuse, le centre des attentions de deux hommes. Je reste le mari aimant et amoureux, soucieux d'assurer ton bonheur, qui juge nécessaire pour atteindre ses voeux et les tiens de faire appel aux loyaux services d'un tiers chargé de te posséder et de te faire jouir comme le ferait un amant. Jean tu es cet intervenant idéal. Merci d'avoir la générosité de partager notre rêve et de promettre à ma femme les plaisirs du sexe de son âge.
Tu as été le premier mari de cette femme, vous avez divorcé parce que tu l'as décidé. N'importe quel autre homme tomberait amoureux d'Elvire dès le premier rendez-vous. Or tel n'est pas le but poursuivi. Tu as connu intimement Elvire. Tu ne voulais plus d'elle, tu l'as poussée dans mes bras pour ma plus grande joie. Je t'ai choisi pour cette tâche parce que je vous pense sentimentalement incompatibles après votre expérience maritale rompue. Mais, mon cher ami, sois mille fois remercié pour les efforts que tu réaliseras lorsque tu la prendras. Merci d'être le seul qui ne sera pas tenté de me la ravir.
Jean est étonné de cette entrée en matière. Le voilà réduit à n'être que l'instrument de la jouissance. Greg le croit incapable de ranimer les sentiments anciens, il est inutile de le contredire et réjouissant de lui laisser des illusions Pour Greg la queue de Jean compte plus que son coeur ou sa tête. Il devra la faire aller et venir dans mon vagin, provoquer le suintement de cyprine, foncer, me défoncer, m'arracher les cris de plaisir. Greg aurait aussi bien pu acheter une machine pour exécuter ce va et vient infatigable qui finit par irriter les innombrables terminaisons nerveuses d'un vagin. C'est vexant pour l'ami choisi. Rira bien qui rira le dernier. Sans l'écart de Carole notre fusion n'aurait pas été que sexuelle.L'avenir dira que mon mari n'est pas aussi infaillible qu'il le pense.
Moi-même je ne m'attendais pas à entendre les limites restrictives fixées par Greg. Jean et moi devrons avoir des rapports sexuels. Notre séparation et notre divorce sont pour mon mari des garanties contre la tentation de ressusciter le passé. Nous baiserons, nous prendrons notre plaisir, j'aurai des orgasmes car Jean est engagé dans cette intention, mais nous ne risquons pas de "faire l'amour"; mon coeur doit appartenir uniquement à l'homme qui prête mon corps à Jean. Cela revient à interdire tout attachement de la femme à celui qui la sautera sous la surveillance du maître.
Cela change tout. Jean pourrait changer d'avis. Il reste sans voix. Son immobilité rassure le propriétaire de la femme. Qui ne dit mot consent. Enhardi par notre silence Greg poursuit :
- Pour confirmer mes propos, voilà comment nous procéderons. Je suis celui qui offre sa femme à un tiers que j'ai choisi soigneusement, je suis le mari qui offre à sa femme une sorte d'amant pour pallier mes défaillances. Jean compensera mes manques et toi ma tendre épouse tu devras considérer qu'il agit à ma place, avec la volonté de te faire connaître la joie que je souhaite te donner.
Toutefois ma santé ne m'interdit pas tout. Ainsi j'affirme mon statut de mari en te préparant. En premier c'est à moi de te déshabiller. La nudité est de rigueur. Viens, ma chérie, laisse-moi enlever ta robe. Oh! Tu ne portes ni soutien-gorge ni culotte? Vous étiez arrivés à ce point d'accord quand la conduite de Carole vous a dérangés. J'aurais tant aimé te dépouiller lentement, pièce après pièce, devant Jean. T'enlever moi-même ta culotte aurait eu une valeur symbolique très forte.Enfin tu as gaedé tzs bas. Je veux les rouler et les retirer. A ton tour, tire sur ma veste de pyjama, baisse le pantalon, doucement, dégage ma biroute. Merde, avoir un engin pareil et ne plus pouvoir en user. Non, je ne suis pas impuissant, je bande encore plus qu'avant. Dis-moi, Jean, ne formons-nous pas un beau couple ?
Curieusement Jean approuve. Greg croit bon d'insister.
- Vois Elvire. Elle a allaité Linda pendant six mois. Ses seins n'ont presque pas changé, ils ont pris un peu de volume seulement, mais ont toujours fière allure restent accrochés haut. Le diamètre des aréoles a peu varié. Viens ici, tâte, touche ses tétins : à peine les frôle-t-on qu'ils se transforment en pointes dures. Hein ? Pour mon plaisir elle réagira avec toi comme avec moi
- Effectivement, ils sont tels que dans mon souvenir. Je m'efforcerai d'en tirer le meilleur, tu les verras se dresser comme tu le souhaites.
- C'est que j'ai pris soin de son corps. Elle a été soignée et suivie par la meilleure esthéticienne de la région. Cela explique l'absence de ces vergetures disgracieuses qui marquent les mères qui se laissent aller. Admire la taille, les longues jambes sans varices. Reconnais, gros veinard, que tu vas disposer d'un corps en parfait état, bien entretenu. Apporte-lui le plaisir, prends soin de respecter les formes de ma merveille.
Greg me fait penser à ces concours du salon de l'agriculture où l'on couronne la plus belle vache ou le plus beau taureau. Je suis gênée d'être ainsi détaillée, d'être mise en valeur pour que Jean se félicite d'avoir répondu positivement à l'offre de mon mari. Là, je suis un objet, bel objet peut-être, une femme à faire frissonner, à saillir et à combler de plaisir, une sorte de truc qu'on s'évertue à secouer d'orgasmes. Finalement Greg sera le spectateur de mise en scène. Jean et moi ne serons que les acteurs, les interprètes des rôles qu'il nous a destinés pour son plaisir. La beauté de mon corps met en valeur le possesseur, mon plaisir sera à l'origine du sien, tout est fait en faveur de l'époux qui se croit généreux. Pas de sentiments chez les acteurs, mais du sexe !
Pourquoi Greg m'attire-t-il contre lui ? Il tient à marquer son avantage : il dirige l'opération. Il se frotte à mon dos, il plaque un avant bras sur ma poitrine, colle une main dans les poils de mon pubis, la fait descendre sur ma vulve et réussit à glisser son majeur dans ma fente. Le doigt fouille mon vagin, sort, remonte à la bouche de l'époux :
- Quel merveilleux nectar. Tu devras y goûter, mon ami. Je ne veux pas vous faire languir plus longtemps. Déplaçons-nous, allons au salon, le canapé est très confortable et sera le lieu idéal pour ce premier contact. J'affectionne particulièrement ce meuble où, toi et moi, ma chérie, avons connus nos premiers émois. C'est là que tout a commencé. Oh ! Pardon, Elvire tu n'as pas encore dénudé Jean. Il le faut, ce sera la preuve de ta volonté de copuler avec lui. Oui, enlève tout, le slip y compris. Mais voilà un membre de dimensions respectables. On peut déclarer, mon amour, que tu sais choisir les hommes et que tu as un goût prononcé pour les verges longues et vigoureuses. Je passe devant, suivez moi.
- Voilà. Jean occupe ce fauteuil. Je te demande un peu de patience. J'aimerais te montrer ce à quoi je suis réellement réduit. Avec Elvire nous nous asseyons sur le canapé, en biais. Ma chérie te souviens-tu de notre toute première fois. J'avais glissé ma main entre tes cuisses. Oui, ne serre pas tes genoux, détends-toi. Ma main était montée à ta culotte. Aujourd'hui cet obstacle n'existe pas, je touche immédiatement ta vulve. Non, ne te contracte pas, c'est juste pour montrer à Jean que je peux te masturber et introduire des doigts dans ta chatte. Ensuite je peux dispenser un plaisir incomplet par des mouvements rapides de mes doigts dans ton vagin. Par bonheur tu te trémousses toujours et tu finis par pousser ces petites plaintes adorables que Jean entend.
Eh: oui, les doigts de Greg créent des ondes et font soulever mes fesses. Jean aussi sait faire. Mais il n'est pas venu faire le voyeur, assister aux démonstrations de Greg.Je vois une ombre dans son regard. Mon époux cesse ses manipulations, me fait lever et me penche sur la table. Il ne peut s'empêcher de commenter.
- Je crois que je l'ai prise en levrette sur cette table. Je vais te montrer prudemment comment. Je suis bien raide et dur, Elvire peux-tu tirer sur tes fesses de manière à ouvrir le passage. Voilà, je risque quelques centimètres dans ta chatte. Je dois me retenir, ne pas m'emballer. Que dis-tu de ce coït, cher ami? Mais, tu te lèves, tu vas vers la sortie. Tu ne te sens pas bien à l'évocation de ce passé lointain. Ah ù je vois, nous ne pouvons pas réagir de la même façon. Reste, qu'est-ce qu'il t'arrive ?
La voix blanche Jean répond :
- Excuse-moi. Tu dénature notre entente. Je devais prendre Elvire et tu devais être spectateur de notre union. Or tu es en train d'inverser les rôles. Je n'ai donc plus de raison de perdre mon temps ici.
- Oh ! Que tu es devenu pointilleux et susceptible. Mais j'arrête, j'ai atteint mes limites et je te cède la place. Elvire est chauffée à blanc par mes soins, tu peux la posséder maintenant,. C'est une passation de pouvoir. Ne te vexe pas si j'ai voulu participer dans la limite de mes moyens à cette première expérience. Que décides-tu ?
Jean se tourne vers moi, lit dans mes yeux la déception que provoquerait son départ. Nous avons eu tant de difficultés à nous avouer nos vrais sentiments. La conduite inqualifiable de Greg, cette manière de tout vouloir dicter et contrôler, ont failli le conduire à renoncer. Ma face blême lui rappelle l'affreux danger de l'espoir mortellement touché à peine né. Jean se reprend et s'impose. Ou Greg n'était pasz sincère et veut nous dégoûter Jean afin de nous fâcher définitivement et il est au bord de la réussite. Ou sa proposition n'est pas un piège, mais relève d'une volonté réelle de m'assurer une vie sexuelle active et satisfaisante avec mon premier mari, alors il se fera plus discret. Jean affirme son autorité avec culot
- Je préférerais un lit bien large à ce canapé trop riche en souvenirs pour toi. Ta chambre me conviendra parfaitement. Tu prendras place dans ton fauteuil quand tu voudras surveiller nos rapports. Je tolérerai que tu viennes tenir la main d'Elvire pour l'encourager à se donner sans retenue. Faites vos jeux et préliminaires en dehors de ma présence, rien n'est plus normal entre époux. Cependant quand vous souhaiterez me confier la tâche de réjouir sexuellement ta femme, moi seul guiderai, en accord avec elle, du "mode d'emploi". Nous serons alors un couple en action et nous n'aurons besoin d'aucune aide extérieure pour atteindre le but fixé.
Pouvons nous envisager mon rôle sous cette forme ? Ta présence en qualité de commanditaire peut se comprendre bien que j'y voie un frein aux élans amoureux. Je conserve de par mon éducation une pudeur pour mes affaires intimes. Existe-t-il une situation plus intime qu'une relation sexuelle? Il reste à préciser la durée du service à rendre et la fréquence hebdomadaire ou mensuelle des rencontres. Y as-tu déjà réfléchi avec Elvire?
Pour une fois Greg est pris de court. Il n'a pas abordé avec moi ces aspects pratiques. Au moment de passer de l'idée du partage à la réalisation il s'aperçoit des difficultés de la mise en application pratique. Il est demeuré muet et a écouté abasourdi la longue tirade de Jean. Il espérait coopérer davantage à la montée de mon plaisir, or Jean conditionne sa participation à une présence qu'il juge d'ailleurs gênante. Il pourra voir, me donner la main mais laisser l'initiative à l'amant. Greg va-t-il se dégonfler après avoir fait appel à Jean et m'avoir demandé de me soumettre à cette pratique peu commune et plutôt mal jugée dans notre monde?
- Pourquoi attendre plus longtemps ? Nous voilà réunis, profitons de cette occasion et entrons dans le vif du sujet. Nous sommes bien d'accord sur nos rôles respectifs. Elvire tu es la femme heureuse, le centre des attentions de deux hommes. Je reste le mari aimant et amoureux, soucieux d'assurer ton bonheur, qui juge nécessaire pour atteindre ses voeux et les tiens de faire appel aux loyaux services d'un tiers chargé de te posséder et de te faire jouir comme le ferait un amant. Jean tu es cet intervenant idéal. Merci d'avoir la générosité de partager notre rêve et de promettre à ma femme les plaisirs du sexe de son âge.
Tu as été le premier mari de cette femme, vous avez divorcé parce que tu l'as décidé. N'importe quel autre homme tomberait amoureux d'Elvire dès le premier rendez-vous. Or tel n'est pas le but poursuivi. Tu as connu intimement Elvire. Tu ne voulais plus d'elle, tu l'as poussée dans mes bras pour ma plus grande joie. Je t'ai choisi pour cette tâche parce que je vous pense sentimentalement incompatibles après votre expérience maritale rompue. Mais, mon cher ami, sois mille fois remercié pour les efforts que tu réaliseras lorsque tu la prendras. Merci d'être le seul qui ne sera pas tenté de me la ravir.
Jean est étonné de cette entrée en matière. Le voilà réduit à n'être que l'instrument de la jouissance. Greg le croit incapable de ranimer les sentiments anciens, il est inutile de le contredire et réjouissant de lui laisser des illusions Pour Greg la queue de Jean compte plus que son coeur ou sa tête. Il devra la faire aller et venir dans mon vagin, provoquer le suintement de cyprine, foncer, me défoncer, m'arracher les cris de plaisir. Greg aurait aussi bien pu acheter une machine pour exécuter ce va et vient infatigable qui finit par irriter les innombrables terminaisons nerveuses d'un vagin. C'est vexant pour l'ami choisi. Rira bien qui rira le dernier. Sans l'écart de Carole notre fusion n'aurait pas été que sexuelle.L'avenir dira que mon mari n'est pas aussi infaillible qu'il le pense.
Moi-même je ne m'attendais pas à entendre les limites restrictives fixées par Greg. Jean et moi devrons avoir des rapports sexuels. Notre séparation et notre divorce sont pour mon mari des garanties contre la tentation de ressusciter le passé. Nous baiserons, nous prendrons notre plaisir, j'aurai des orgasmes car Jean est engagé dans cette intention, mais nous ne risquons pas de "faire l'amour"; mon coeur doit appartenir uniquement à l'homme qui prête mon corps à Jean. Cela revient à interdire tout attachement de la femme à celui qui la sautera sous la surveillance du maître.
Cela change tout. Jean pourrait changer d'avis. Il reste sans voix. Son immobilité rassure le propriétaire de la femme. Qui ne dit mot consent. Enhardi par notre silence Greg poursuit :
- Pour confirmer mes propos, voilà comment nous procéderons. Je suis celui qui offre sa femme à un tiers que j'ai choisi soigneusement, je suis le mari qui offre à sa femme une sorte d'amant pour pallier mes défaillances. Jean compensera mes manques et toi ma tendre épouse tu devras considérer qu'il agit à ma place, avec la volonté de te faire connaître la joie que je souhaite te donner.
Toutefois ma santé ne m'interdit pas tout. Ainsi j'affirme mon statut de mari en te préparant. En premier c'est à moi de te déshabiller. La nudité est de rigueur. Viens, ma chérie, laisse-moi enlever ta robe. Oh! Tu ne portes ni soutien-gorge ni culotte? Vous étiez arrivés à ce point d'accord quand la conduite de Carole vous a dérangés. J'aurais tant aimé te dépouiller lentement, pièce après pièce, devant Jean. T'enlever moi-même ta culotte aurait eu une valeur symbolique très forte.Enfin tu as gaedé tzs bas. Je veux les rouler et les retirer. A ton tour, tire sur ma veste de pyjama, baisse le pantalon, doucement, dégage ma biroute. Merde, avoir un engin pareil et ne plus pouvoir en user. Non, je ne suis pas impuissant, je bande encore plus qu'avant. Dis-moi, Jean, ne formons-nous pas un beau couple ?
Curieusement Jean approuve. Greg croit bon d'insister.
- Vois Elvire. Elle a allaité Linda pendant six mois. Ses seins n'ont presque pas changé, ils ont pris un peu de volume seulement, mais ont toujours fière allure restent accrochés haut. Le diamètre des aréoles a peu varié. Viens ici, tâte, touche ses tétins : à peine les frôle-t-on qu'ils se transforment en pointes dures. Hein ? Pour mon plaisir elle réagira avec toi comme avec moi
- Effectivement, ils sont tels que dans mon souvenir. Je m'efforcerai d'en tirer le meilleur, tu les verras se dresser comme tu le souhaites.
- C'est que j'ai pris soin de son corps. Elle a été soignée et suivie par la meilleure esthéticienne de la région. Cela explique l'absence de ces vergetures disgracieuses qui marquent les mères qui se laissent aller. Admire la taille, les longues jambes sans varices. Reconnais, gros veinard, que tu vas disposer d'un corps en parfait état, bien entretenu. Apporte-lui le plaisir, prends soin de respecter les formes de ma merveille.
Greg me fait penser à ces concours du salon de l'agriculture où l'on couronne la plus belle vache ou le plus beau taureau. Je suis gênée d'être ainsi détaillée, d'être mise en valeur pour que Jean se félicite d'avoir répondu positivement à l'offre de mon mari. Là, je suis un objet, bel objet peut-être, une femme à faire frissonner, à saillir et à combler de plaisir, une sorte de truc qu'on s'évertue à secouer d'orgasmes. Finalement Greg sera le spectateur de mise en scène. Jean et moi ne serons que les acteurs, les interprètes des rôles qu'il nous a destinés pour son plaisir. La beauté de mon corps met en valeur le possesseur, mon plaisir sera à l'origine du sien, tout est fait en faveur de l'époux qui se croit généreux. Pas de sentiments chez les acteurs, mais du sexe !
Pourquoi Greg m'attire-t-il contre lui ? Il tient à marquer son avantage : il dirige l'opération. Il se frotte à mon dos, il plaque un avant bras sur ma poitrine, colle une main dans les poils de mon pubis, la fait descendre sur ma vulve et réussit à glisser son majeur dans ma fente. Le doigt fouille mon vagin, sort, remonte à la bouche de l'époux :
- Quel merveilleux nectar. Tu devras y goûter, mon ami. Je ne veux pas vous faire languir plus longtemps. Déplaçons-nous, allons au salon, le canapé est très confortable et sera le lieu idéal pour ce premier contact. J'affectionne particulièrement ce meuble où, toi et moi, ma chérie, avons connus nos premiers émois. C'est là que tout a commencé. Oh ! Pardon, Elvire tu n'as pas encore dénudé Jean. Il le faut, ce sera la preuve de ta volonté de copuler avec lui. Oui, enlève tout, le slip y compris. Mais voilà un membre de dimensions respectables. On peut déclarer, mon amour, que tu sais choisir les hommes et que tu as un goût prononcé pour les verges longues et vigoureuses. Je passe devant, suivez moi.
- Voilà. Jean occupe ce fauteuil. Je te demande un peu de patience. J'aimerais te montrer ce à quoi je suis réellement réduit. Avec Elvire nous nous asseyons sur le canapé, en biais. Ma chérie te souviens-tu de notre toute première fois. J'avais glissé ma main entre tes cuisses. Oui, ne serre pas tes genoux, détends-toi. Ma main était montée à ta culotte. Aujourd'hui cet obstacle n'existe pas, je touche immédiatement ta vulve. Non, ne te contracte pas, c'est juste pour montrer à Jean que je peux te masturber et introduire des doigts dans ta chatte. Ensuite je peux dispenser un plaisir incomplet par des mouvements rapides de mes doigts dans ton vagin. Par bonheur tu te trémousses toujours et tu finis par pousser ces petites plaintes adorables que Jean entend.
Eh: oui, les doigts de Greg créent des ondes et font soulever mes fesses. Jean aussi sait faire. Mais il n'est pas venu faire le voyeur, assister aux démonstrations de Greg.Je vois une ombre dans son regard. Mon époux cesse ses manipulations, me fait lever et me penche sur la table. Il ne peut s'empêcher de commenter.
- Je crois que je l'ai prise en levrette sur cette table. Je vais te montrer prudemment comment. Je suis bien raide et dur, Elvire peux-tu tirer sur tes fesses de manière à ouvrir le passage. Voilà, je risque quelques centimètres dans ta chatte. Je dois me retenir, ne pas m'emballer. Que dis-tu de ce coït, cher ami? Mais, tu te lèves, tu vas vers la sortie. Tu ne te sens pas bien à l'évocation de ce passé lointain. Ah ù je vois, nous ne pouvons pas réagir de la même façon. Reste, qu'est-ce qu'il t'arrive ?
La voix blanche Jean répond :
- Excuse-moi. Tu dénature notre entente. Je devais prendre Elvire et tu devais être spectateur de notre union. Or tu es en train d'inverser les rôles. Je n'ai donc plus de raison de perdre mon temps ici.
- Oh ! Que tu es devenu pointilleux et susceptible. Mais j'arrête, j'ai atteint mes limites et je te cède la place. Elvire est chauffée à blanc par mes soins, tu peux la posséder maintenant,. C'est une passation de pouvoir. Ne te vexe pas si j'ai voulu participer dans la limite de mes moyens à cette première expérience. Que décides-tu ?
Jean se tourne vers moi, lit dans mes yeux la déception que provoquerait son départ. Nous avons eu tant de difficultés à nous avouer nos vrais sentiments. La conduite inqualifiable de Greg, cette manière de tout vouloir dicter et contrôler, ont failli le conduire à renoncer. Ma face blême lui rappelle l'affreux danger de l'espoir mortellement touché à peine né. Jean se reprend et s'impose. Ou Greg n'était pasz sincère et veut nous dégoûter Jean afin de nous fâcher définitivement et il est au bord de la réussite. Ou sa proposition n'est pas un piège, mais relève d'une volonté réelle de m'assurer une vie sexuelle active et satisfaisante avec mon premier mari, alors il se fera plus discret. Jean affirme son autorité avec culot
- Je préférerais un lit bien large à ce canapé trop riche en souvenirs pour toi. Ta chambre me conviendra parfaitement. Tu prendras place dans ton fauteuil quand tu voudras surveiller nos rapports. Je tolérerai que tu viennes tenir la main d'Elvire pour l'encourager à se donner sans retenue. Faites vos jeux et préliminaires en dehors de ma présence, rien n'est plus normal entre époux. Cependant quand vous souhaiterez me confier la tâche de réjouir sexuellement ta femme, moi seul guiderai, en accord avec elle, du "mode d'emploi". Nous serons alors un couple en action et nous n'aurons besoin d'aucune aide extérieure pour atteindre le but fixé.
Pouvons nous envisager mon rôle sous cette forme ? Ta présence en qualité de commanditaire peut se comprendre bien que j'y voie un frein aux élans amoureux. Je conserve de par mon éducation une pudeur pour mes affaires intimes. Existe-t-il une situation plus intime qu'une relation sexuelle? Il reste à préciser la durée du service à rendre et la fréquence hebdomadaire ou mensuelle des rencontres. Y as-tu déjà réfléchi avec Elvire?
Pour une fois Greg est pris de court. Il n'a pas abordé avec moi ces aspects pratiques. Au moment de passer de l'idée du partage à la réalisation il s'aperçoit des difficultés de la mise en application pratique. Il est demeuré muet et a écouté abasourdi la longue tirade de Jean. Il espérait coopérer davantage à la montée de mon plaisir, or Jean conditionne sa participation à une présence qu'il juge d'ailleurs gênante. Il pourra voir, me donner la main mais laisser l'initiative à l'amant. Greg va-t-il se dégonfler après avoir fait appel à Jean et m'avoir demandé de me soumettre à cette pratique peu commune et plutôt mal jugée dans notre monde?
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