CARNET DE FAMILLE 1
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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CARNET DE FAMILLE 1
Je m’appelle Christelle, je viens tout juste de fêter mon dix septièmement
anniversaire.
Comme depuis l’age de cinq ans, je vie dans des pensions religieuses pour mes études
et pendant les vacances scolaires des instituts divers je ne voyais me mère que deux
ou trois foie par an, je ne connais que très peu ma famille. De plus ma mère est morte
dans un accident de voiture il y a trois ans de ça, j’ai fait une demande
d’émancipation et elle vient juste d’aboutir, c’est donc la première période de
vacance que je passe au manoir de la famille. En faisant un peu de rangement
dans le grenier, j’ai découvert un vieux carnet dans lequel est rapportée la vie de
mes ancêtres. Après en avoir difficilement lue le début, les pages en partie moisies
sont partiellement effacées et l’écriture est par moment difficilement lisible j’ai
décidé d’en retranscrire ici ce que j’ai pu déchiffrer.
Tout le début, du carnet est écrit avec un crayon d’après ce que j’a réussi a lire,
c’est mon arrière grand mère qui a commencé a raconter sa vie, je vais un peu
résumer le début, d’après ce que j’ai pu lire elle n’avais pas la vie facile
Au début, dans son village il y avait très peux de personnes à savoir lire écrire et
compter, elle, elle savait grâce aux cours que lui avait donné le curé. A la suite de
ces cours, bien que très jeune, elle faisait partie des personnes instruites qui
lisaient les passages de la bible a l’église le dimanche.
Elle note qu’elle a commencé son carnet a l’age de quinze ans, c’est a ce moment, que
pour son anniversaire, fier des progrès qu’elle faisait, ce curé lui a offert ce
carnet et un crayon pour pouvoir travailler chez elle et pour raconter sa vie, son
travail, ses joies et ses peines. C’était devenu son carnet intime. Et celui des
générations suivantes.
Dans les premières pages elle raconte longuement le dur travail qu’elle doit faire au
champ pour aider ses parents les ménages pour quelques sous chez les riches
commerçants du village. Sa vie semble prendre un tournant a partir du moment ou elle
raconte la fête au village, le bal ou le fils de la ferme voisine l’embrasse pour la
première fois de sa vie.
Hier soir, c’étais comme dans un rêve, Paul m’a fait danser puis m’a offert à boire
puis nous avons encore dansé et bu. Il m’a embrassé, Je me sentais bien dans ses bras.
Ma tête tournait un peu, je ne sais pas si c’étais le vin, la danse ou ses baisers
mais j’étais comme sur un petit nuage. Comme il était assez tard, et que l’orchestre a
arrêté de jouer, j’ai voulu rentrer chez moi mais mes jambes refusaient de me porter,
il m’a raccompagné vers chez mes parents en me soutenant et au niveau de la vieille
grange a l’entrée du chemin, il m’a a nouveau embrassé en me poussant dans la
paille.
Après, je ne sais pas trop ce qui s’est passé si ce n’est que j’ai ressenti d’abord
énormément de plaisir et qu’il m’a en partie déshabillée puis j’ai eut très mal dans
mon sexe et ensuite a nouveau beaucoup de plaisir. Je ne sais pas ce qu’il m’a fait
mais le plaisir a été très violent je m’avais jamais ressenti un tel plaisir, ça m’a
assommé si bien que je me suis endormie contre lui dans ses bras. Quand nous nous
sommes réveillés le soleil était bien levé Paul est vite partis pour travailler sans
même me dire un mot, me laissant la, toute seule a moitié nue dans la paille.
J’ai remis de l’ordre dans mes vêtements et je suis rentrée chez moi. La, ma mère
m’a traitée de tout un tas de noms que je ne connaissais pas et m’a envoyer me changer
pour aller travailler. Le soir, elle m’a demandé de lui dire ce que j’avais fait de ma
nuit. Après mon explication un peu vague, elle a voulu voir ma culotte puis après
avoir constaté les traces de sang et des taches bizarres, elle m’a demandé d’aller me
laver le minou et d’aller voir le curé pour me confesser. Je n’y ai rien compris.
…………………………………………………………
Le dimanche suivant après la messe, je suis passé voir le curé pour me confesser, il
m’a demandé des choses qui m’ont parues complètement folles aux quelles je n’ai pas su
répondre alors il m’a demandé de faire pénitence pour mes péchés. Les quels, il ne me
l’a pas dit.
A ma sortie de l ‘église j’ai vue Paul il était avec d’autres garçons du village et
ils discutaient. Comme il ne m’avait pas vue, je me suis rapproché pour le saluer et
la, j’ai été surprise par ce que j’ai entendu.
- elle est super bonne, je t’assure, il faudrait que tu l’essaye
- tu parle bien de la petite Noémie, la petite pimbêche qui fait la lecture a
l’église ?
- oui, c’est bien elle, c’est la première foie de ma vie qu’une pucelle me fait
aussi bien jouir.
- A ce point ?
- Je t’assure, elle aime vraiment la bite, la cochonne, Essaye la, tu verra,
après trois ou quatre verres de vin, tu fait d’elle ce que tu veux et en plus elle
aime ça la salope elle n’arrête pas d’en redemander, elle m’a complètement vidé,
épuisé.
- Il va falloir que j’essaye de la draguer au prochain bal.
- Non, je vais m’en occuper, elle a confiance en moi et tu va voir, on la
baisera tous si tu veux je suis sur que tu pourras même l’enculer, je n’ai pas essayé
l’autre soir parce-que j’étais trop fatigué et je ne bandais plus mais je suis sur
qu’elle aurait aimé ça.
Je ne comprenais pas trop de quoi ils voulaient parler, mais j’ai bien compris que
c’étais moi qu’ils traitaient de salope, je suis discrètement partie en pleurant.
Je comprends un peu mieux maintenant la réaction de ma mère et les questions du curé
l’autre soir, je me suis mal comporté.
……………………………………………………………………………….
Deux mois sont passés, je ne comprends pas trop ce qui m’arrive mais depuis plus d’un
mois je suis malade, je me sens toute drôle, je n’ai plus mes règles, j’ai des
sensations étranges dans tout mon corps et je vomie pour un oui ou pour un non. Ce
soir c’est le bal de la moisson c’est une belle fête mais je me sens si mal que je ne
sais même pas si je vais y aller.
Mes parents ont insisté pour que nous allions tous ensemble au bal. Moi, je suis
restée dans mon coin a bouder tout le début de la soirée puis Paul est venu m’inviter
à danser je ne voulais pas, il a insisté et ma mère m’a demandé d’y aller.
Après deux ou trois danses il m’a proposé de boire un verre puis nous sommes
retournés danser. Vers minuit mes parents sont rentrés se coucher me laissant toute
seule dans les bras de Paul. Nous avons dansé, a nouveau bu. Avant que l’orchestre
s’arrête de jouer, il m’a présentée à ses amis, j’ai un peu dansé et bu avec tous les
garçons, ils m’ont semblé très sympa. Quand l’orchestre a arrêté, comme je me sentais
fatiguée et que ma tête tournait un peu, j’ai voulu rentrer. Paul très chevaleresque a
insisté pour me raccompagner.
Sur le chemin de ma maison nous sommes passé devant la grange et la, il a recommencé
a m’embrasser et me caresser tendrement. C’était très agréable, je l’ai laissé faire.
J’étais un peu gaie mais comme j’avais régulièrement vomi ce que je buvais, je n’étais
pas complètement saoule comme l’autre soir. C’est donc lucide que je l’ai laissé
faire. Tout en m’embrassant, il m’a couché dans la paille, puis il m’a caressé tout le
corps surtout la poitrine, j’aimais bien ça faisait naître dans tout mon corps des
frissons très agréables et je n’ai rien fait pour l’arrêter. Doucement, il a dégrafé
mon corsage pour me les embrasser et les lécher, c’était encore plus agréable, pendant
que je me pâmais sous ses caresses il a relevé ma jupe, poussé ma culotte et ses
doigts sont entré en moi. Le plaisir que me procuraient ces caresses était tel que je
n’ai pas pu m’empêcher de gémir.
Encouragé par mes petits cris, il est venu sur moi et tout en m’embrassant et me
caressant il m’a pénétré avec son truc. Le plaisir que me procurait cette pénétration
était intense et je n’ai pas eut le courage de le faire arrêter, c’étais trop bon.
Au bout d’un moment, alors que je n’arrêtais pas de crier mon plaisir, il s’est
crispé, s’est mis a râler fortement en se contractant et j’ai senti mon sexe inondé
d’une liqueur brûlante. C’étais tellement jouissif de sentir ces giclées qui
fouettaient le plus profond de mon intimité que j’ai perdu connaissance.
Quand j’ai refait surface le plaisir était toujours présent mais c’étais un autre
garçon qui s’activait sur moi, il était plus gros et plus long, il buttait au fond de
mon vagin a chaque foie qu’il s’enfonçait. Quand il a jouis, j’ai été comme tétanisé
par l’orgasme qui m’a engloutit. Rapidement, il s’est retiré et un autre a pris sa
place le plaisir que je ressentais ne s’arrêtait pas bien au contraire, tout en me
pilonnant le sexe, il a attrapé mes fesses et s’est lancé sur le coté pour me faire
passer sur lui, puis il s’est immobilisé et un autre garçon s’est enfoncé dans mes
fesses. Sa pénétration n’a pas été très agréable puis de les sentir tous les deux en
moi a amplifié mon plaisir a tel point que j’ai encore eut un orgasme foudroyant qui
m’a a nouveau fait perdre connaissance.
Quand j’ai refait surface, j’étais seule, entièrement nue dans la paille, mon sexe et
mes fesses me faisaient un peu mal et un liquide visqueux et blanchâtre s’en
échappait, les garçons étaient tous partis. Mes vêtements étaient tous éparpillés
dans la grange.
J’ai essuyé mon sexe avec de la paille et je me suis rhabillée. Encore toute flagada
a cause du plaisir que j’avais eut. Je suis rentrée chez moi pour me faire encore une
foi insulter par mes parents. Maintenant, je savais pourquoi.
………………………………………………………………..
Il y a maintenant quatre mois que j’ai eut mon premier baiser avec Paul, je ne suis
plus malade mais mon ventre a tellement grossi que je ne peu plus le cacher. Tout le
monde me traite comme une pestiférée, je n’y comprends rien. Même le curé ne souhaite
plus que je fasse la lecture a l’église et ma mère disant que je porte la honte sur
la famille me demande de partir de la maison.
…………………………………
Avec mon gros ventre je suis partie vers la ville pour trouver du travail. En chemin,
j’ai rencontré un homme très intéressant, il est médecin et m’a proposé de m’héberger
en échange de petits services le temps de finir ma grossesse puis de travailler pour
lui comme assistante en échange du logis et des repas pour moi et mon enfant. J’ai
accepté, ravie.
…………………………………..
J’ai accouché ce matin, j’ai une petite fille, je vais l’appeler Béatrice.
Maintenant que j’ai accouché, mon patron, le médecin a décidé de m’instruire pour que
je l’assiste pendant ses visites et aussi pour que je ne me retrouve plus enceinte
par accident. C’est fou, cet homme que je croyais sérieux, est en Fet un vrai
libertin et sa femme est comme lui, les bruits que j’ai entendu de ma chambre pendant
la fin de ma grossesse n’étaient que des orgies organisées par mon patron. Je suis
sure qu’avec eux je vais beaucoup apprendre.
……………………………………………..
Trois an sont déjà passé sans que j’écrive un mot dans mon carnet, je n’avais plus le
temps, maintenant, ce n’est pas pareil, il va falloir que je quitte mon emploi,
pourtant mon travail était très plaisant, le matin j’assistais mon patron dans ses
visites, l’après midi, je m’occupais de la maison avec sa femme et le soir, nous nous
retrouvions tous avec des amis a eux pour des parties très jouissives. ça fait trois
ans que je suis au service de ce médecin, avec lui et sa femme, j’ai appris tout ce
qui pouvais se rapporter au plaisir que l’on peu avoir en faisant l’amour physique que
ce soit avec un homme ou une femme, je suis devenue une experte pour donner du plaisir
et aussi en recevoir, nous pratiquions des exercices trois fois par semaine et je ne
me suis jamais retrouvé a nouveaux enceinte et pourtant a chaque soirée, je prenais
quatre ou cinq décharges en moi.
La technique que m’a indiquée le docteur semble très fiable. Je vous la donne ici,
elle pourra peut être servir a quelqu’un.
Elle est très simple elle consiste a n’accepter qu’un homme jouisse dans notre sexe
qu’a certaines périodes de notre cycle, cette période est d’ environ quinze jours
après le début des règles le reste du temps ils peuvent éjaculer dans nos fesses ou
dans nos bouche l’autre partie du traitement consiste a un nettoyage en profondeur de
notre vagin a l’aide d’une poire qui injecte de l’eau sous pression après chaque
rapport. En utilisant ces techniques je ne suis plus retombée enceinte.
Enfin tout ça, c’est fini, mon patron a été appelé pour partir a la guerre et sa femme
ne peux pas nous garder ma fille et moi. Avant de partir il m’a offert la poire pour
nettoyer mon sexe.
Je suis partie pour Paris espérant trouver du travail. Mais c’est la guerre et il y a
pénurie. Le seul moyen que j’ai trouvé pour gagner rapidement et agréablement de quoi
vivre c’est me prostituer. Mes premières passes furent un peu fastidieuses, je
manquais d’expérience petit à petit, je me suis fait une clientèle avec qui J’ai
beaucoup de succès, je suis la seule fille de la rue qui ne simule pas et qui trouve
le moyen de jouir avec tous ses clients et ça leur plaie beaucoup et ils se le disent.
Ma clientèle augmente de jour en jour. Grâce a ça, j’ai gagné assez d’argent pour
acheter une grande maison et surtout offrir une bonne école a ma fille.
……………………………………………….
Je reprends mon carnet après quatre ans d’absence. Ça y est la guerre est finie, la
vie reprend normalement, je ne travaille plus dans la rue mais chez moi, sur rendez-
vous. En plus de mes rendez-vous, j’ai trouvé un emploi de serveuse dans un grand café
de la capitale ça me permet de prendre des contacts pour de nouveaux clients, Je gagne
très bien ma vie et je mets pas mal d’argent de coté bien que les écoles de luxe et
les colonies me coûtent une fortune mais rien n’est trop beau pour ma fille.
……………………………………………
J’ai envie de faire un petit break, je ne sais pas pourquoi mais je n’éprouve plus
autan de plaisir avec mes clients, ça deviens un travail contraignant et je n’aime pas
trop ça. De toute manière, même si j’arrête, je gagnerais assez d’argent pour bien
vivre grâce aux loyers des appartements que j’ai acheté. J’ai envie de retourner chez
mes parents pour voir ce qu’ils sont devenus. En comptant bien, ça fait plus de dix
ans que ma mère m’a obligée de partir pour sauver l’honneur de la famille. Je vais
revenir en grande dame et je pourrais passer un peu de temps avec ma fille et lui
faire connaître ses grands parents.
……………………………..
Au village, je ne reconnais personne, tous les gens que je connaissais sont morts ou
sont partis. Notre ferme est abandonnée.
Par la mairie, j’ai appris que mon père avait été tué a la guerre et que ma mère
n’avais pas tenue le coup toute seule et était partie.
Je me suis installée dans la ferme. Grâce a ma cagnotte, je l’ai bien aménagée, j’ai
fait venir des copines et maintenant, j’organise des soirées avec de riches parisiens
qui désirent s’encanailler a la campagne. Maintenant nous sommes une dizaine de filles
à travailler ensemble.
………………………………
Je suis fatiguée par la vie trépidante que je mène, ma fille va bientôt avoir seize
ans, je ne l’ai pratiquement jamais vue, elle est toujours en pension pour ses études
même pendant les vacances, elle reste dans des instituts, je ne souhaite pas qu’elle
comprenne comment je finance sa vie de princesse. Il faut que ça change j’aimerais
bien pouvoir être avec elle.
J’ai fait des travaux dans la grande maison de Paris, j’ai engagé plusieurs filles, et
ça tourne super bien. J’ai aussi racheté la ferme voisine celle des parents de mon
premier amant, le pauvre il est mort lui aussi a la guerre. Et encore deux autres
fermes du coin qui étaient a l’abandon j’ai aussi racheté le manoir qui domine le
village, il était presque en ruine, je l’ai fait restaurer pour pouvoir recevoir ma
fille dans une belle maison.
Je laisse la gérance de mes maisons à des copines et je me retire dans le manoir
pour tout arranger pour recevoir ma fille.
Demain, je prendrais le train pour aller la chercher.
……………………………..
a suivre
anniversaire.
Comme depuis l’age de cinq ans, je vie dans des pensions religieuses pour mes études
et pendant les vacances scolaires des instituts divers je ne voyais me mère que deux
ou trois foie par an, je ne connais que très peu ma famille. De plus ma mère est morte
dans un accident de voiture il y a trois ans de ça, j’ai fait une demande
d’émancipation et elle vient juste d’aboutir, c’est donc la première période de
vacance que je passe au manoir de la famille. En faisant un peu de rangement
dans le grenier, j’ai découvert un vieux carnet dans lequel est rapportée la vie de
mes ancêtres. Après en avoir difficilement lue le début, les pages en partie moisies
sont partiellement effacées et l’écriture est par moment difficilement lisible j’ai
décidé d’en retranscrire ici ce que j’ai pu déchiffrer.
Tout le début, du carnet est écrit avec un crayon d’après ce que j’a réussi a lire,
c’est mon arrière grand mère qui a commencé a raconter sa vie, je vais un peu
résumer le début, d’après ce que j’ai pu lire elle n’avais pas la vie facile
Au début, dans son village il y avait très peux de personnes à savoir lire écrire et
compter, elle, elle savait grâce aux cours que lui avait donné le curé. A la suite de
ces cours, bien que très jeune, elle faisait partie des personnes instruites qui
lisaient les passages de la bible a l’église le dimanche.
Elle note qu’elle a commencé son carnet a l’age de quinze ans, c’est a ce moment, que
pour son anniversaire, fier des progrès qu’elle faisait, ce curé lui a offert ce
carnet et un crayon pour pouvoir travailler chez elle et pour raconter sa vie, son
travail, ses joies et ses peines. C’était devenu son carnet intime. Et celui des
générations suivantes.
Dans les premières pages elle raconte longuement le dur travail qu’elle doit faire au
champ pour aider ses parents les ménages pour quelques sous chez les riches
commerçants du village. Sa vie semble prendre un tournant a partir du moment ou elle
raconte la fête au village, le bal ou le fils de la ferme voisine l’embrasse pour la
première fois de sa vie.
Hier soir, c’étais comme dans un rêve, Paul m’a fait danser puis m’a offert à boire
puis nous avons encore dansé et bu. Il m’a embrassé, Je me sentais bien dans ses bras.
Ma tête tournait un peu, je ne sais pas si c’étais le vin, la danse ou ses baisers
mais j’étais comme sur un petit nuage. Comme il était assez tard, et que l’orchestre a
arrêté de jouer, j’ai voulu rentrer chez moi mais mes jambes refusaient de me porter,
il m’a raccompagné vers chez mes parents en me soutenant et au niveau de la vieille
grange a l’entrée du chemin, il m’a a nouveau embrassé en me poussant dans la
paille.
Après, je ne sais pas trop ce qui s’est passé si ce n’est que j’ai ressenti d’abord
énormément de plaisir et qu’il m’a en partie déshabillée puis j’ai eut très mal dans
mon sexe et ensuite a nouveau beaucoup de plaisir. Je ne sais pas ce qu’il m’a fait
mais le plaisir a été très violent je m’avais jamais ressenti un tel plaisir, ça m’a
assommé si bien que je me suis endormie contre lui dans ses bras. Quand nous nous
sommes réveillés le soleil était bien levé Paul est vite partis pour travailler sans
même me dire un mot, me laissant la, toute seule a moitié nue dans la paille.
J’ai remis de l’ordre dans mes vêtements et je suis rentrée chez moi. La, ma mère
m’a traitée de tout un tas de noms que je ne connaissais pas et m’a envoyer me changer
pour aller travailler. Le soir, elle m’a demandé de lui dire ce que j’avais fait de ma
nuit. Après mon explication un peu vague, elle a voulu voir ma culotte puis après
avoir constaté les traces de sang et des taches bizarres, elle m’a demandé d’aller me
laver le minou et d’aller voir le curé pour me confesser. Je n’y ai rien compris.
…………………………………………………………
Le dimanche suivant après la messe, je suis passé voir le curé pour me confesser, il
m’a demandé des choses qui m’ont parues complètement folles aux quelles je n’ai pas su
répondre alors il m’a demandé de faire pénitence pour mes péchés. Les quels, il ne me
l’a pas dit.
A ma sortie de l ‘église j’ai vue Paul il était avec d’autres garçons du village et
ils discutaient. Comme il ne m’avait pas vue, je me suis rapproché pour le saluer et
la, j’ai été surprise par ce que j’ai entendu.
- elle est super bonne, je t’assure, il faudrait que tu l’essaye
- tu parle bien de la petite Noémie, la petite pimbêche qui fait la lecture a
l’église ?
- oui, c’est bien elle, c’est la première foie de ma vie qu’une pucelle me fait
aussi bien jouir.
- A ce point ?
- Je t’assure, elle aime vraiment la bite, la cochonne, Essaye la, tu verra,
après trois ou quatre verres de vin, tu fait d’elle ce que tu veux et en plus elle
aime ça la salope elle n’arrête pas d’en redemander, elle m’a complètement vidé,
épuisé.
- Il va falloir que j’essaye de la draguer au prochain bal.
- Non, je vais m’en occuper, elle a confiance en moi et tu va voir, on la
baisera tous si tu veux je suis sur que tu pourras même l’enculer, je n’ai pas essayé
l’autre soir parce-que j’étais trop fatigué et je ne bandais plus mais je suis sur
qu’elle aurait aimé ça.
Je ne comprenais pas trop de quoi ils voulaient parler, mais j’ai bien compris que
c’étais moi qu’ils traitaient de salope, je suis discrètement partie en pleurant.
Je comprends un peu mieux maintenant la réaction de ma mère et les questions du curé
l’autre soir, je me suis mal comporté.
……………………………………………………………………………….
Deux mois sont passés, je ne comprends pas trop ce qui m’arrive mais depuis plus d’un
mois je suis malade, je me sens toute drôle, je n’ai plus mes règles, j’ai des
sensations étranges dans tout mon corps et je vomie pour un oui ou pour un non. Ce
soir c’est le bal de la moisson c’est une belle fête mais je me sens si mal que je ne
sais même pas si je vais y aller.
Mes parents ont insisté pour que nous allions tous ensemble au bal. Moi, je suis
restée dans mon coin a bouder tout le début de la soirée puis Paul est venu m’inviter
à danser je ne voulais pas, il a insisté et ma mère m’a demandé d’y aller.
Après deux ou trois danses il m’a proposé de boire un verre puis nous sommes
retournés danser. Vers minuit mes parents sont rentrés se coucher me laissant toute
seule dans les bras de Paul. Nous avons dansé, a nouveau bu. Avant que l’orchestre
s’arrête de jouer, il m’a présentée à ses amis, j’ai un peu dansé et bu avec tous les
garçons, ils m’ont semblé très sympa. Quand l’orchestre a arrêté, comme je me sentais
fatiguée et que ma tête tournait un peu, j’ai voulu rentrer. Paul très chevaleresque a
insisté pour me raccompagner.
Sur le chemin de ma maison nous sommes passé devant la grange et la, il a recommencé
a m’embrasser et me caresser tendrement. C’était très agréable, je l’ai laissé faire.
J’étais un peu gaie mais comme j’avais régulièrement vomi ce que je buvais, je n’étais
pas complètement saoule comme l’autre soir. C’est donc lucide que je l’ai laissé
faire. Tout en m’embrassant, il m’a couché dans la paille, puis il m’a caressé tout le
corps surtout la poitrine, j’aimais bien ça faisait naître dans tout mon corps des
frissons très agréables et je n’ai rien fait pour l’arrêter. Doucement, il a dégrafé
mon corsage pour me les embrasser et les lécher, c’était encore plus agréable, pendant
que je me pâmais sous ses caresses il a relevé ma jupe, poussé ma culotte et ses
doigts sont entré en moi. Le plaisir que me procuraient ces caresses était tel que je
n’ai pas pu m’empêcher de gémir.
Encouragé par mes petits cris, il est venu sur moi et tout en m’embrassant et me
caressant il m’a pénétré avec son truc. Le plaisir que me procurait cette pénétration
était intense et je n’ai pas eut le courage de le faire arrêter, c’étais trop bon.
Au bout d’un moment, alors que je n’arrêtais pas de crier mon plaisir, il s’est
crispé, s’est mis a râler fortement en se contractant et j’ai senti mon sexe inondé
d’une liqueur brûlante. C’étais tellement jouissif de sentir ces giclées qui
fouettaient le plus profond de mon intimité que j’ai perdu connaissance.
Quand j’ai refait surface le plaisir était toujours présent mais c’étais un autre
garçon qui s’activait sur moi, il était plus gros et plus long, il buttait au fond de
mon vagin a chaque foie qu’il s’enfonçait. Quand il a jouis, j’ai été comme tétanisé
par l’orgasme qui m’a engloutit. Rapidement, il s’est retiré et un autre a pris sa
place le plaisir que je ressentais ne s’arrêtait pas bien au contraire, tout en me
pilonnant le sexe, il a attrapé mes fesses et s’est lancé sur le coté pour me faire
passer sur lui, puis il s’est immobilisé et un autre garçon s’est enfoncé dans mes
fesses. Sa pénétration n’a pas été très agréable puis de les sentir tous les deux en
moi a amplifié mon plaisir a tel point que j’ai encore eut un orgasme foudroyant qui
m’a a nouveau fait perdre connaissance.
Quand j’ai refait surface, j’étais seule, entièrement nue dans la paille, mon sexe et
mes fesses me faisaient un peu mal et un liquide visqueux et blanchâtre s’en
échappait, les garçons étaient tous partis. Mes vêtements étaient tous éparpillés
dans la grange.
J’ai essuyé mon sexe avec de la paille et je me suis rhabillée. Encore toute flagada
a cause du plaisir que j’avais eut. Je suis rentrée chez moi pour me faire encore une
foi insulter par mes parents. Maintenant, je savais pourquoi.
………………………………………………………………..
Il y a maintenant quatre mois que j’ai eut mon premier baiser avec Paul, je ne suis
plus malade mais mon ventre a tellement grossi que je ne peu plus le cacher. Tout le
monde me traite comme une pestiférée, je n’y comprends rien. Même le curé ne souhaite
plus que je fasse la lecture a l’église et ma mère disant que je porte la honte sur
la famille me demande de partir de la maison.
…………………………………
Avec mon gros ventre je suis partie vers la ville pour trouver du travail. En chemin,
j’ai rencontré un homme très intéressant, il est médecin et m’a proposé de m’héberger
en échange de petits services le temps de finir ma grossesse puis de travailler pour
lui comme assistante en échange du logis et des repas pour moi et mon enfant. J’ai
accepté, ravie.
…………………………………..
J’ai accouché ce matin, j’ai une petite fille, je vais l’appeler Béatrice.
Maintenant que j’ai accouché, mon patron, le médecin a décidé de m’instruire pour que
je l’assiste pendant ses visites et aussi pour que je ne me retrouve plus enceinte
par accident. C’est fou, cet homme que je croyais sérieux, est en Fet un vrai
libertin et sa femme est comme lui, les bruits que j’ai entendu de ma chambre pendant
la fin de ma grossesse n’étaient que des orgies organisées par mon patron. Je suis
sure qu’avec eux je vais beaucoup apprendre.
……………………………………………..
Trois an sont déjà passé sans que j’écrive un mot dans mon carnet, je n’avais plus le
temps, maintenant, ce n’est pas pareil, il va falloir que je quitte mon emploi,
pourtant mon travail était très plaisant, le matin j’assistais mon patron dans ses
visites, l’après midi, je m’occupais de la maison avec sa femme et le soir, nous nous
retrouvions tous avec des amis a eux pour des parties très jouissives. ça fait trois
ans que je suis au service de ce médecin, avec lui et sa femme, j’ai appris tout ce
qui pouvais se rapporter au plaisir que l’on peu avoir en faisant l’amour physique que
ce soit avec un homme ou une femme, je suis devenue une experte pour donner du plaisir
et aussi en recevoir, nous pratiquions des exercices trois fois par semaine et je ne
me suis jamais retrouvé a nouveaux enceinte et pourtant a chaque soirée, je prenais
quatre ou cinq décharges en moi.
La technique que m’a indiquée le docteur semble très fiable. Je vous la donne ici,
elle pourra peut être servir a quelqu’un.
Elle est très simple elle consiste a n’accepter qu’un homme jouisse dans notre sexe
qu’a certaines périodes de notre cycle, cette période est d’ environ quinze jours
après le début des règles le reste du temps ils peuvent éjaculer dans nos fesses ou
dans nos bouche l’autre partie du traitement consiste a un nettoyage en profondeur de
notre vagin a l’aide d’une poire qui injecte de l’eau sous pression après chaque
rapport. En utilisant ces techniques je ne suis plus retombée enceinte.
Enfin tout ça, c’est fini, mon patron a été appelé pour partir a la guerre et sa femme
ne peux pas nous garder ma fille et moi. Avant de partir il m’a offert la poire pour
nettoyer mon sexe.
Je suis partie pour Paris espérant trouver du travail. Mais c’est la guerre et il y a
pénurie. Le seul moyen que j’ai trouvé pour gagner rapidement et agréablement de quoi
vivre c’est me prostituer. Mes premières passes furent un peu fastidieuses, je
manquais d’expérience petit à petit, je me suis fait une clientèle avec qui J’ai
beaucoup de succès, je suis la seule fille de la rue qui ne simule pas et qui trouve
le moyen de jouir avec tous ses clients et ça leur plaie beaucoup et ils se le disent.
Ma clientèle augmente de jour en jour. Grâce a ça, j’ai gagné assez d’argent pour
acheter une grande maison et surtout offrir une bonne école a ma fille.
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Je reprends mon carnet après quatre ans d’absence. Ça y est la guerre est finie, la
vie reprend normalement, je ne travaille plus dans la rue mais chez moi, sur rendez-
vous. En plus de mes rendez-vous, j’ai trouvé un emploi de serveuse dans un grand café
de la capitale ça me permet de prendre des contacts pour de nouveaux clients, Je gagne
très bien ma vie et je mets pas mal d’argent de coté bien que les écoles de luxe et
les colonies me coûtent une fortune mais rien n’est trop beau pour ma fille.
……………………………………………
J’ai envie de faire un petit break, je ne sais pas pourquoi mais je n’éprouve plus
autan de plaisir avec mes clients, ça deviens un travail contraignant et je n’aime pas
trop ça. De toute manière, même si j’arrête, je gagnerais assez d’argent pour bien
vivre grâce aux loyers des appartements que j’ai acheté. J’ai envie de retourner chez
mes parents pour voir ce qu’ils sont devenus. En comptant bien, ça fait plus de dix
ans que ma mère m’a obligée de partir pour sauver l’honneur de la famille. Je vais
revenir en grande dame et je pourrais passer un peu de temps avec ma fille et lui
faire connaître ses grands parents.
……………………………..
Au village, je ne reconnais personne, tous les gens que je connaissais sont morts ou
sont partis. Notre ferme est abandonnée.
Par la mairie, j’ai appris que mon père avait été tué a la guerre et que ma mère
n’avais pas tenue le coup toute seule et était partie.
Je me suis installée dans la ferme. Grâce a ma cagnotte, je l’ai bien aménagée, j’ai
fait venir des copines et maintenant, j’organise des soirées avec de riches parisiens
qui désirent s’encanailler a la campagne. Maintenant nous sommes une dizaine de filles
à travailler ensemble.
………………………………
Je suis fatiguée par la vie trépidante que je mène, ma fille va bientôt avoir seize
ans, je ne l’ai pratiquement jamais vue, elle est toujours en pension pour ses études
même pendant les vacances, elle reste dans des instituts, je ne souhaite pas qu’elle
comprenne comment je finance sa vie de princesse. Il faut que ça change j’aimerais
bien pouvoir être avec elle.
J’ai fait des travaux dans la grande maison de Paris, j’ai engagé plusieurs filles, et
ça tourne super bien. J’ai aussi racheté la ferme voisine celle des parents de mon
premier amant, le pauvre il est mort lui aussi a la guerre. Et encore deux autres
fermes du coin qui étaient a l’abandon j’ai aussi racheté le manoir qui domine le
village, il était presque en ruine, je l’ai fait restaurer pour pouvoir recevoir ma
fille dans une belle maison.
Je laisse la gérance de mes maisons à des copines et je me retire dans le manoir
pour tout arranger pour recevoir ma fille.
Demain, je prendrais le train pour aller la chercher.
……………………………..
a suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas mal mais il faudrait relire et corriger parce qu'il y a certaines incohérence au
montage dans la chronologie des événements par exemple on ne comprend pas très bien
comment de serveuse elle passe mère maquerelle en achetant la moitié du village on
dirait que tu as inversé des paragraphes (traitement de texte ?)
montage dans la chronologie des événements par exemple on ne comprend pas très bien
comment de serveuse elle passe mère maquerelle en achetant la moitié du village on
dirait que tu as inversé des paragraphes (traitement de texte ?)