Cathy Kruger se libère
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cathy Kruger se libère
Les aventures de Cathy Kruger commencent dans les histoires à dormir debout.
Avant d'être Cathy Kruger, j'étais un garçon. Je plaisais aux filles qui me trouvaient charmant, mais pas assez pour le sexe. Les hommes par contre me coursaient. Mon éternelle apparence d'ado et mes fesses de fille les attiraient. Depuis que je suis devenue fille, c'est encore mieux. L'opération et les hormones ont fait de moi une petite bombe et toujours avec cet air juvénile. Depuis ma séparation d'avec Quentin (Carole), je me suis faite draguer par des étudiants.
Maintenant, j'ai 29 ans et j'en parais 17. J'ai de longs cheveux blonds et une silhouette de rêve. Tout me va, pantalon, jupe, short... Depuis que j'ai fait l'amour avec un garçon de 18 ans, étudiant à Montpellier, je hante les lieux autour des universités. Je m'habille en jean moulant qui fait ressortir mes fesses, avec un chemisier suffisamment étroit pour qu'on devine mes seins. Je suis sexy, mais avec l'air d'une étudiante sage.
Je rentre au fast-food, et déjà, les yeux se posent sur moi. Avec mon plateau, je vais m'asseoir à une table seule, sur la banquette. Ça ne tarde pas. Deux ados, l'air sûr d'eux pour impressionner les autres garçons, s'approchent.
- Bonjour ! On peut s'asseoir ici ?
- Oui, mais en face !
- On te fait peur ?
- Non, mais j'aime pas qu'on me colle !
- T'es à la fac ?
- Oui !
- Je t'ai jamais vue avant. Je t'aurais pas oublié, dit-il en regardant mes seins.
- Je vais à la fac, mais pas ici !
Pendant qu'ils parlaient, je regardais les autres tables. J'essayais de repérer les garçons plutôt timides. J'adore provoquer et initier les jeunes inexpérimentés. J'en vois un qui se rend aux toilettes. Je m'excuse auprès des autres et le rejoins. J'attends près du lavabo qu'il ressorte pour se laver les mains. Quand il m'aperçoit, il devient tout rouge. Je lui tends un bout de papier avec mon numéro de téléphone avec, écrit dessous, "appelles-moi". Il sort et j'attends un moment encore, pour que les autres ne se doutent de rien. Je me rassois et je fini mon plateau. Je me lève, les clés de ma voiture en main, au-dessus de ma tête.
- Au revoir ! dis-je en souriant aux autres garçons.
Tous, ils ont les yeux écarquillés sur mon cul moulé dans ce jean serré. Je monte dans ma voiture et j'attends. Peut-être deux minutes à peine après ma sortie, je vois le garçon des toilettes se lever et sortir. Il sort son téléphone et le mien sonne.
- Bonjour, bredouilla-t-il.
- Fais le tour du pâté de maison. Rendez-vous dans le parking en face dans trois minutes.
Je raccroche. Je le vois qu'il s'élance. Je démarre et me rend sur place. Il se tient à l'entrée. Je m'arrête devant lui et dit :
- Monte ! Je m'appelle Cathy. Et toi ?
- Benoît !
J'ouvre mon chemisier, je ne porte pas de soutif. Le rouge lui vient aux joues. En même temps, je vois la bosse que fait son sexe sous sa braguette. Je me penche vers la boite à gants, de façon à ce qu'il puisse mieux voir, et j'en tire un bandeau.
- Mets ça, je n'veux pas que tu saches où j'habite !
Une fois aveugle, je l'emmène chez moi. La chambre est décorée comme celle d'une midinette. Des photos de mes soit-disant parents, d'autres de moi, des posters sur les murs. Je lui enlève le bandeau et il regarde autour de lui.
- Tes parents sont absents ?
- Oui ! Ils sont à Cannes pour le festival.
Je lui montre le lit.
- Mets-toi à l'aise et assieds-toi là ! Je reviens !
Lorsque je réapparais, je ne porte qu'un string noir. Je lève mes bras au-dessus de sa tête et je tourne sur moi-même.
- Tadam !!!
Des grosses gouttes de sueur perlent sur son front. Son visage est cramoisi. Je le prend par la main et dis :
-Allez viens !
Il se lève et je le serre contre moi. Il résiste un peu. Je l'embrasse dans le cou et le repousse légèrement. Je déboutonne sa chemise et sort les pans de son pantalon. Il n'a pas un poil sur le torse. Sa peau est rose. Je pose mes lèvres dessus. Elle est douce comme une peau de bébé. Je le reprend dans mes bras. Le contact de mes seins sur son torse l'électrise. Il m'enlace. Je l'embrasse à nouveau dans le cou. Je le repousse encore et lui écarte les bras. Je lui ôte sa chemise et défait la ceinture de son pantalon. Je le laisse tomber à ses pieds. Je m'agenouille et lui enlève ses chaussures et ses chaussettes. Son slip est tendu et retient à peine ce qui le fait homme. Je me redresse et le pousse vers le lit. Il se retrouve allongé en travers. Je saisi les jambes du pantalon et le lui enlève. En slip, je le vois, désemparé, ne sachant quoi faire. Je m'assois sur ses cuisses et me penche vers lui. Je pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue force l'entrée de sa bouche et je lui donne un baiser profond et voluptueux. Il passe ses bras autour de moi, me serre et me rend mon baiser. Essoufflée, mes lèvres descendent sur son torse. Ma langue lèche sa poitrine et s'attarde sur son nombril. Mes doigts agrippent son slip sur ses hanches et, à mesure que ma langue descend vers son sexe, le slip glisse lentement jusqu'à ses cuisses. Je le prends dans ma bouche et il essaye de me retenir. Je lâche le tissu et saisi ses poignets. Mes lèvres glissent le long de son pénis et l'engloutissent tout entier. Il sursaute.
- Je n'ai jamais... bredouilla-t-il.
- Chut ! répondis-je.
Je me relève et lui retire son slip. Je m'allonge à nouveau sur lui et lui reprend sa bouche. Pendant que je l'embrasse, je me soulève sur les genoux et ma main saisit son sexe. Je le dirige vers le mien et me laisse lentement retomber dessus. Sa respiration devient haletante. A peine assise sur ses cuisses, le sexe au fond de moi, Benoît jouit en moi. Il s'excuse. Je trouve ça charmant. Avant qu'il ajoute d'autres bêtises, je pose mes lèvres sur sa bouche pour l'empêcher de parler. Je reste assise sur lui. Une fois calmé, je le serre contre moi et le pousse à changer de place.
Maintenant, il est sur moi. Son sexe est toujours en moi. Il se relève sur ses coudes. Il me regarde, un grand sourire sur ses lèvres. Il est beau, il est jeune. D'un léger coup de reins, il me montre qui est l'homme. Comme je serre mes cuisses autour de lui, il commence à onduler des hanches. Je le repousse et me retourne. A genoux, je lui présente mes fesses.
- Pose tes mains sur mes hanches !
Je glisse ma main entre mes cuisses et attrape son membre. Je pose le gland sur mon petit trou.
- Pousses ! Fort !
D'une seule ruée, il enfonce sa queue dans mon cul.
- Allez, vas-y, à fond !
Il m' a pilonnée à grands coups de pine et a joui dans mon cul.
- Voilà, dis-je. La prochaine fois, vous serez deux !
Avant d'être Cathy Kruger, j'étais un garçon. Je plaisais aux filles qui me trouvaient charmant, mais pas assez pour le sexe. Les hommes par contre me coursaient. Mon éternelle apparence d'ado et mes fesses de fille les attiraient. Depuis que je suis devenue fille, c'est encore mieux. L'opération et les hormones ont fait de moi une petite bombe et toujours avec cet air juvénile. Depuis ma séparation d'avec Quentin (Carole), je me suis faite draguer par des étudiants.
Maintenant, j'ai 29 ans et j'en parais 17. J'ai de longs cheveux blonds et une silhouette de rêve. Tout me va, pantalon, jupe, short... Depuis que j'ai fait l'amour avec un garçon de 18 ans, étudiant à Montpellier, je hante les lieux autour des universités. Je m'habille en jean moulant qui fait ressortir mes fesses, avec un chemisier suffisamment étroit pour qu'on devine mes seins. Je suis sexy, mais avec l'air d'une étudiante sage.
Je rentre au fast-food, et déjà, les yeux se posent sur moi. Avec mon plateau, je vais m'asseoir à une table seule, sur la banquette. Ça ne tarde pas. Deux ados, l'air sûr d'eux pour impressionner les autres garçons, s'approchent.
- Bonjour ! On peut s'asseoir ici ?
- Oui, mais en face !
- On te fait peur ?
- Non, mais j'aime pas qu'on me colle !
- T'es à la fac ?
- Oui !
- Je t'ai jamais vue avant. Je t'aurais pas oublié, dit-il en regardant mes seins.
- Je vais à la fac, mais pas ici !
Pendant qu'ils parlaient, je regardais les autres tables. J'essayais de repérer les garçons plutôt timides. J'adore provoquer et initier les jeunes inexpérimentés. J'en vois un qui se rend aux toilettes. Je m'excuse auprès des autres et le rejoins. J'attends près du lavabo qu'il ressorte pour se laver les mains. Quand il m'aperçoit, il devient tout rouge. Je lui tends un bout de papier avec mon numéro de téléphone avec, écrit dessous, "appelles-moi". Il sort et j'attends un moment encore, pour que les autres ne se doutent de rien. Je me rassois et je fini mon plateau. Je me lève, les clés de ma voiture en main, au-dessus de ma tête.
- Au revoir ! dis-je en souriant aux autres garçons.
Tous, ils ont les yeux écarquillés sur mon cul moulé dans ce jean serré. Je monte dans ma voiture et j'attends. Peut-être deux minutes à peine après ma sortie, je vois le garçon des toilettes se lever et sortir. Il sort son téléphone et le mien sonne.
- Bonjour, bredouilla-t-il.
- Fais le tour du pâté de maison. Rendez-vous dans le parking en face dans trois minutes.
Je raccroche. Je le vois qu'il s'élance. Je démarre et me rend sur place. Il se tient à l'entrée. Je m'arrête devant lui et dit :
- Monte ! Je m'appelle Cathy. Et toi ?
- Benoît !
J'ouvre mon chemisier, je ne porte pas de soutif. Le rouge lui vient aux joues. En même temps, je vois la bosse que fait son sexe sous sa braguette. Je me penche vers la boite à gants, de façon à ce qu'il puisse mieux voir, et j'en tire un bandeau.
- Mets ça, je n'veux pas que tu saches où j'habite !
Une fois aveugle, je l'emmène chez moi. La chambre est décorée comme celle d'une midinette. Des photos de mes soit-disant parents, d'autres de moi, des posters sur les murs. Je lui enlève le bandeau et il regarde autour de lui.
- Tes parents sont absents ?
- Oui ! Ils sont à Cannes pour le festival.
Je lui montre le lit.
- Mets-toi à l'aise et assieds-toi là ! Je reviens !
Lorsque je réapparais, je ne porte qu'un string noir. Je lève mes bras au-dessus de sa tête et je tourne sur moi-même.
- Tadam !!!
Des grosses gouttes de sueur perlent sur son front. Son visage est cramoisi. Je le prend par la main et dis :
-Allez viens !
Il se lève et je le serre contre moi. Il résiste un peu. Je l'embrasse dans le cou et le repousse légèrement. Je déboutonne sa chemise et sort les pans de son pantalon. Il n'a pas un poil sur le torse. Sa peau est rose. Je pose mes lèvres dessus. Elle est douce comme une peau de bébé. Je le reprend dans mes bras. Le contact de mes seins sur son torse l'électrise. Il m'enlace. Je l'embrasse à nouveau dans le cou. Je le repousse encore et lui écarte les bras. Je lui ôte sa chemise et défait la ceinture de son pantalon. Je le laisse tomber à ses pieds. Je m'agenouille et lui enlève ses chaussures et ses chaussettes. Son slip est tendu et retient à peine ce qui le fait homme. Je me redresse et le pousse vers le lit. Il se retrouve allongé en travers. Je saisi les jambes du pantalon et le lui enlève. En slip, je le vois, désemparé, ne sachant quoi faire. Je m'assois sur ses cuisses et me penche vers lui. Je pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue force l'entrée de sa bouche et je lui donne un baiser profond et voluptueux. Il passe ses bras autour de moi, me serre et me rend mon baiser. Essoufflée, mes lèvres descendent sur son torse. Ma langue lèche sa poitrine et s'attarde sur son nombril. Mes doigts agrippent son slip sur ses hanches et, à mesure que ma langue descend vers son sexe, le slip glisse lentement jusqu'à ses cuisses. Je le prends dans ma bouche et il essaye de me retenir. Je lâche le tissu et saisi ses poignets. Mes lèvres glissent le long de son pénis et l'engloutissent tout entier. Il sursaute.
- Je n'ai jamais... bredouilla-t-il.
- Chut ! répondis-je.
Je me relève et lui retire son slip. Je m'allonge à nouveau sur lui et lui reprend sa bouche. Pendant que je l'embrasse, je me soulève sur les genoux et ma main saisit son sexe. Je le dirige vers le mien et me laisse lentement retomber dessus. Sa respiration devient haletante. A peine assise sur ses cuisses, le sexe au fond de moi, Benoît jouit en moi. Il s'excuse. Je trouve ça charmant. Avant qu'il ajoute d'autres bêtises, je pose mes lèvres sur sa bouche pour l'empêcher de parler. Je reste assise sur lui. Une fois calmé, je le serre contre moi et le pousse à changer de place.
Maintenant, il est sur moi. Son sexe est toujours en moi. Il se relève sur ses coudes. Il me regarde, un grand sourire sur ses lèvres. Il est beau, il est jeune. D'un léger coup de reins, il me montre qui est l'homme. Comme je serre mes cuisses autour de lui, il commence à onduler des hanches. Je le repousse et me retourne. A genoux, je lui présente mes fesses.
- Pose tes mains sur mes hanches !
Je glisse ma main entre mes cuisses et attrape son membre. Je pose le gland sur mon petit trou.
- Pousses ! Fort !
D'une seule ruée, il enfonce sa queue dans mon cul.
- Allez, vas-y, à fond !
Il m' a pilonnée à grands coups de pine et a joui dans mon cul.
- Voilà, dis-je. La prochaine fois, vous serez deux !
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