Cathy voyage en Italie
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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Cathy voyage en Italie
J'aime le sexe. Le must, pour moi, c'est d'être prise par deux hommes en même temps. Je suis jeune, jolie et sexy.
1m75. Des cheveux blonds qui descendent jusque sous des fesses petites, bombées et bien cambrées, montées sur des jambes longues et fuselées. La poitrine ferme, des seins bien dressés, je ne porte jamais de soutien gorge. D'immenses yeux noirs avec des cils de velours. Le nez fin et court, légèrement retroussé et une bouche à faire bander un évêque.
Mon sport favori, c'est la chasse aux post-ados, 17-19 ans. Ma tenue de chasse, c'est une minijupe rouge sur une petite culotte blanche translucide à travers laquelle, on devine le galbe de mes fesses. Un chemisier blanc échancré qui laisse voir mes seins. Une paire de bottes blanches avec des talons vertigineux. La minijupe se soulève à chacun de mes pas, laissant voir ma culotte. Mes lèvres, rouge sang, restent toujours entrouvertes sur des dents ultra-blanches et régulières.
Quand on me voit, tout le monde se retourne. Tous les jours que dieu fait, des mains se posent sur mon cul. C'est vrai que je fais tout pour.
Cette semaine, je suis à Milan. Sur la place de la cathédrale, quand on est jolie, on est vite abordée. Je repère deux garçons un peu timides qui, à mon approche, sourient l'air un peu gênés. Je leur dis que je suis perdue et que je ne retrouve pas mon hôtel, qu'on m'a volé mon sac, que je n'ai plus d'argent et que je n'ai rien mangé depuis le matin.
Ils se concertent et regardent mes jambes. L'un d'eux fourre sa main dans sa poche et en ressort des clés qu'il laisse tomber à mes pieds. Je me penche pour les ramasser et je sais qu'ils peuvent voir ma culotte. Je me relève et tend les clés au garçon. Leurs visages sont cramoisis et luisants de sueur. Le second me prend par la main et m'invite à les suivre.
Dans une petite venelle déserte, le plus grand s'arrête et se retourne. Il me prend les deux mains et marmonne quelque chose. L'autre est passé derrière moi et a soulevé ma jupe. Il tire sur la culotte et regarde mes fesses.
- Tu peux toucher ! lui dis-je, en posant ma main sur la braguette de son copain.
Surpris, il attrape ma main et la serre plus fort contre son sexe.
L'autre glisse sa main dans ma culotte et caresse mes fesses. Je les prend chacun par la main et je demande :
- Où on va ?
Les deux garçons m'amènent jusqu'à une porte. Le plus grand ouvre avec sa clé et dit :
- Au premier !
Puis :
- Passes devant !
Je prends l'escalier et commence à monter.
- Pietro, regardes !
La minijupe se soulève et mes fesses roulent sous le mouvement. Arrivés sur le palier, le grand ouvre une porte. Un lit contre le mur de gauche, une table et une chaise, devant la fenêtre. Nous entrons et la porte se referme. Les garçons restent là. Je me retourne et je porte la main à leurs braguettes. Ils bandent tous les deux. Je m'agenouille et déboutonne leurs pantalons. Je glisse mes doigts dans leurs slips pour libérer leurs bites. Je les saisis à pleine main et les branlent un peu. Leurs yeux sont fixés sur leurs engins. Un petit coup de langue à chacun et les voilà qui remontent leurs chemises.
Tour à tour, je prends leurs bites dans ma bouche. Leurs hanches se tendent. Je lèche leurs couilles. Le plus jeune est presque imberbe. Je trouve ça attendrissant. Après les avoir bien excités, je me relève.
- Bon, maintenant il faut me déshabiller !
Le grand déboutonne mon chemisier. Je prend mes seins dans mes mains et me penche vers eux. A genoux, je regarde le petit.
- Suces !
Imité par le grand, il prend mon téton dans sa bouche et aspire goulûment. Pendant ce temps-là, je reprend leurs bites en main et recommence à les astiquer.
Le grand s'attaque à la jupe. Il tire dessus et la fait glisser jusqu'à mes pieds. Je les soulève l'un après l'autre pour me libérer du vêtement. Il tend les mains vers ma culotte et je l'arrête.
- Non ! Pas toi !
Je prend les mains du petit.
- Mets tes mains de chaque côté ! Glisses deux doigts dedans ! Baisses-la un peu. Là, comme ça ! Retournes-moi ! Caresses mes fesses, embrasses-les. Retournes-moi encore ! Passes ta langue sur ma chatte ! Ouiiiii ! Baisses-la encore, jusqu'en bas ! Maintenant, glisses un doigt dedans !
Je me tourne vers l'autre.
- Mets un doigt dans mon cul !
Je reviens vers l'autre,
- Remontes-la ! Voilà, c'est ça ! Maintenant, arraches-la !
Assise sur le lit, chacun m'enlève une botte, et voilà, je suis à poil.
- A vous maintenant, déshabillez-vous !
Ils portaient tous les deux des boxers, à la mode, serrés. Leurs bites, déjà sorties étaient raides et frémissaient de désir.
- Je veux les deux en même temps ! Alors, un devant, l'autre derrière, et après vous échangez !
Le plus jeune était fasciné par mes fesses. Après les avoir sucé à nouveau pour les stimuler, c'est lui qui m'a pénétré le premier. Je me suis couchée sur le ventre et j'ai écarté mes fesses. A genoux derrière moi, il tenait sa bite à la main. Il a posé son gland sur mon petit trou et s'est laissé tomber sur moi. Aidé par la salive, le membre s'est enfoncé d'un seul coup.
- Mets tes bras autour de ma taille !
Je me suis tournée sur le côté. Sa bite plantée dans mon cul, le garçon a suivi le mouvement. Pietro se pencha vers moi et me lécha la moule. Sa langue se glissa entre les lèvres, m'arrachant un gémissement. Son jeune corps était bien fait. J'ai tendu la main et j'ai attrapé sa queue.
- Allez, viens !
Je l'ai pris dans ma bouche et j'ai posé mes mains sur son cul. J'ai imprimé le mouvement, arrière en avant, jusqu'à ce qu'il prenne le rythme. Après, seul, il me baisait par la bouche. Mes lèvres se serrèrent un peu plus sur son manche. Ma main sur son cul accélérait le mouvement. Quand le sperme monta, il mit ses mains sur ma tête et enfonça sa queue avec hargne. Il poussa un cri et les gouttes coulèrent dans ma bouche. J'avalais et j'aspirais de toutes mes forces. Le dos du garçon était arqué, le sexe projeté en avant.
Quand le jet s'est tari, je l'ai pris par la main et l'ai attiré vers le lit. Il s'est allongé contre moi. La force de sa jeunesse faisait qu'il était encore raide. J'ai agrippé sa queue et j'ai écarté mes jambes. J'ai passé mon bras sur ses fesses et je l'ai attiré vers moi. Sa queue est entrée dans ma chatte et je l'ai embrassé dans le cou. Ses hanches ondulaient en douceur. Ses petites fesses étaient adorables. Leur vue et le glissement de sa bite dans ma chatte m'ont arraché un râle.
Je me suis retourné à nouveau, et cette fois, j'étais couché sur Pietro. Le petit se mit alors en mouvement et je sentis sa queue glisser entre mes fesses.
Pietro et son jeune ami ont joui dans ma chatte et dans mon cul. Nous avons pris la douche tous ensemble. Les deux garçons m'ont savonné partout sur le corps. Ils avaient l'air heureux. Ce sont eux qui m'ont rhabillé, avec des gestes éminemment érotiques, que je leur ai enseigné.
1m75. Des cheveux blonds qui descendent jusque sous des fesses petites, bombées et bien cambrées, montées sur des jambes longues et fuselées. La poitrine ferme, des seins bien dressés, je ne porte jamais de soutien gorge. D'immenses yeux noirs avec des cils de velours. Le nez fin et court, légèrement retroussé et une bouche à faire bander un évêque.
Mon sport favori, c'est la chasse aux post-ados, 17-19 ans. Ma tenue de chasse, c'est une minijupe rouge sur une petite culotte blanche translucide à travers laquelle, on devine le galbe de mes fesses. Un chemisier blanc échancré qui laisse voir mes seins. Une paire de bottes blanches avec des talons vertigineux. La minijupe se soulève à chacun de mes pas, laissant voir ma culotte. Mes lèvres, rouge sang, restent toujours entrouvertes sur des dents ultra-blanches et régulières.
Quand on me voit, tout le monde se retourne. Tous les jours que dieu fait, des mains se posent sur mon cul. C'est vrai que je fais tout pour.
Cette semaine, je suis à Milan. Sur la place de la cathédrale, quand on est jolie, on est vite abordée. Je repère deux garçons un peu timides qui, à mon approche, sourient l'air un peu gênés. Je leur dis que je suis perdue et que je ne retrouve pas mon hôtel, qu'on m'a volé mon sac, que je n'ai plus d'argent et que je n'ai rien mangé depuis le matin.
Ils se concertent et regardent mes jambes. L'un d'eux fourre sa main dans sa poche et en ressort des clés qu'il laisse tomber à mes pieds. Je me penche pour les ramasser et je sais qu'ils peuvent voir ma culotte. Je me relève et tend les clés au garçon. Leurs visages sont cramoisis et luisants de sueur. Le second me prend par la main et m'invite à les suivre.
Dans une petite venelle déserte, le plus grand s'arrête et se retourne. Il me prend les deux mains et marmonne quelque chose. L'autre est passé derrière moi et a soulevé ma jupe. Il tire sur la culotte et regarde mes fesses.
- Tu peux toucher ! lui dis-je, en posant ma main sur la braguette de son copain.
Surpris, il attrape ma main et la serre plus fort contre son sexe.
L'autre glisse sa main dans ma culotte et caresse mes fesses. Je les prend chacun par la main et je demande :
- Où on va ?
Les deux garçons m'amènent jusqu'à une porte. Le plus grand ouvre avec sa clé et dit :
- Au premier !
Puis :
- Passes devant !
Je prends l'escalier et commence à monter.
- Pietro, regardes !
La minijupe se soulève et mes fesses roulent sous le mouvement. Arrivés sur le palier, le grand ouvre une porte. Un lit contre le mur de gauche, une table et une chaise, devant la fenêtre. Nous entrons et la porte se referme. Les garçons restent là. Je me retourne et je porte la main à leurs braguettes. Ils bandent tous les deux. Je m'agenouille et déboutonne leurs pantalons. Je glisse mes doigts dans leurs slips pour libérer leurs bites. Je les saisis à pleine main et les branlent un peu. Leurs yeux sont fixés sur leurs engins. Un petit coup de langue à chacun et les voilà qui remontent leurs chemises.
Tour à tour, je prends leurs bites dans ma bouche. Leurs hanches se tendent. Je lèche leurs couilles. Le plus jeune est presque imberbe. Je trouve ça attendrissant. Après les avoir bien excités, je me relève.
- Bon, maintenant il faut me déshabiller !
Le grand déboutonne mon chemisier. Je prend mes seins dans mes mains et me penche vers eux. A genoux, je regarde le petit.
- Suces !
Imité par le grand, il prend mon téton dans sa bouche et aspire goulûment. Pendant ce temps-là, je reprend leurs bites en main et recommence à les astiquer.
Le grand s'attaque à la jupe. Il tire dessus et la fait glisser jusqu'à mes pieds. Je les soulève l'un après l'autre pour me libérer du vêtement. Il tend les mains vers ma culotte et je l'arrête.
- Non ! Pas toi !
Je prend les mains du petit.
- Mets tes mains de chaque côté ! Glisses deux doigts dedans ! Baisses-la un peu. Là, comme ça ! Retournes-moi ! Caresses mes fesses, embrasses-les. Retournes-moi encore ! Passes ta langue sur ma chatte ! Ouiiiii ! Baisses-la encore, jusqu'en bas ! Maintenant, glisses un doigt dedans !
Je me tourne vers l'autre.
- Mets un doigt dans mon cul !
Je reviens vers l'autre,
- Remontes-la ! Voilà, c'est ça ! Maintenant, arraches-la !
Assise sur le lit, chacun m'enlève une botte, et voilà, je suis à poil.
- A vous maintenant, déshabillez-vous !
Ils portaient tous les deux des boxers, à la mode, serrés. Leurs bites, déjà sorties étaient raides et frémissaient de désir.
- Je veux les deux en même temps ! Alors, un devant, l'autre derrière, et après vous échangez !
Le plus jeune était fasciné par mes fesses. Après les avoir sucé à nouveau pour les stimuler, c'est lui qui m'a pénétré le premier. Je me suis couchée sur le ventre et j'ai écarté mes fesses. A genoux derrière moi, il tenait sa bite à la main. Il a posé son gland sur mon petit trou et s'est laissé tomber sur moi. Aidé par la salive, le membre s'est enfoncé d'un seul coup.
- Mets tes bras autour de ma taille !
Je me suis tournée sur le côté. Sa bite plantée dans mon cul, le garçon a suivi le mouvement. Pietro se pencha vers moi et me lécha la moule. Sa langue se glissa entre les lèvres, m'arrachant un gémissement. Son jeune corps était bien fait. J'ai tendu la main et j'ai attrapé sa queue.
- Allez, viens !
Je l'ai pris dans ma bouche et j'ai posé mes mains sur son cul. J'ai imprimé le mouvement, arrière en avant, jusqu'à ce qu'il prenne le rythme. Après, seul, il me baisait par la bouche. Mes lèvres se serrèrent un peu plus sur son manche. Ma main sur son cul accélérait le mouvement. Quand le sperme monta, il mit ses mains sur ma tête et enfonça sa queue avec hargne. Il poussa un cri et les gouttes coulèrent dans ma bouche. J'avalais et j'aspirais de toutes mes forces. Le dos du garçon était arqué, le sexe projeté en avant.
Quand le jet s'est tari, je l'ai pris par la main et l'ai attiré vers le lit. Il s'est allongé contre moi. La force de sa jeunesse faisait qu'il était encore raide. J'ai agrippé sa queue et j'ai écarté mes jambes. J'ai passé mon bras sur ses fesses et je l'ai attiré vers moi. Sa queue est entrée dans ma chatte et je l'ai embrassé dans le cou. Ses hanches ondulaient en douceur. Ses petites fesses étaient adorables. Leur vue et le glissement de sa bite dans ma chatte m'ont arraché un râle.
Je me suis retourné à nouveau, et cette fois, j'étais couché sur Pietro. Le petit se mit alors en mouvement et je sentis sa queue glisser entre mes fesses.
Pietro et son jeune ami ont joui dans ma chatte et dans mon cul. Nous avons pris la douche tous ensemble. Les deux garçons m'ont savonné partout sur le corps. Ils avaient l'air heureux. Ce sont eux qui m'ont rhabillé, avec des gestes éminemment érotiques, que je leur ai enseigné.
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