Ce dont je ne suis pas le plus fier.

- Par l'auteur HDS Gerpier -
Récit érotique écrit par Gerpier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ce dont je ne suis pas le plus fier. Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ce dont je ne suis pas le plus fier.
C'était il y a dix ans et après six mois de chômage, j'avais retrouvé un boulot, mais c'était loin de chez nous. Avec Olga, nous étions mariés depuis cinq ans mais ça n'allait pas très fort. Ça avait pourtant été merveilleux. J'avais vingt ans et j'étais timide. Je n'avais pas connu beaucoup de filles jusque là. Olga est arrivée dans ma vie et nous nous sommes mariés au bout de trois mois. Je sais bien que c'est elle qui l'a voulu mais ça avait été si agréable de se laisser faire. Je n'en étais pas revenu qu'une fille aussi jolie ait pu s'intéresser à moi.
Pendant de rapides fiançailles, elle ne m'avait laissé toucher que ses cuisses et lui peloter les seins sans pouvoir vraiment les toucher. Elle disait tout le temps qu'une fois qu'on serait mariés on pourrait faire ce qu'on voudrait et j'étais impatient.
Puis après le mariage, elle a dit qu'elle se jugeait trop jeune pour faire un enfant. Il ne me restait plus qu'à attendre. Pour le reste, elle ne m'avait pas menti parce qu'on a vraiment tout fait et qu'au bout de six mois, il ne nous restait plus grand chose à découvrir.
Pour le reste, tout allait bien. On travaillait tous les deux. On allait souvent au restaurant et on sortait. Au bout de deux ans, un soir que je rentrais, je l'ai trouvée dans le salon. Olga m'a montré un article d'un journal. Ça parlait de naturisme.
- Toi qui me préfère nue, m'a-t-elle dit, ça te dirait qu'on passe les vacances dans un camp naturiste ?
J'aime bien quand Olga est nue et j'aime bien la regarder quand elle fait sa toilette mais elle n'a pas la même curiosité pour moi. J'aime aussi quand - le balcon de l'appartement ne pouvant être vu d'un autre immeuble - elle dispose son linge sur le séchoir, nue encore. J'aime aussi qu'elle traîne dans la maison, toujours nue, ne s'habillant qu'au dernier moment.
Ce n'était pas la première fois que je rougissais devant mon épouse. Je rougis toujours quand je lui propose de faire des trucs pas très classe comme la première fois où je lui ai demandé si je pouvais la sodomiser. Elle était très fâchée que je lui ai proposé ça et m'a répondu qu'elle n'était pas une putain. Bon, c'est pour dire.
J'ai dit que ça ne me dérangeait pas de faire du nudisme et nous sommes allés à Montalivet cinq ans de suite avant de prendre des vacances à l'étranger comme tout le monde.
Puis est arrivé le chômage et tout a changé. Olga avait sa vie et moi je faisais tout à la maison alors qu'avant on partageait, mais à mon avis, ce n'était que juste.

Heureusement donc, six mois plus tard, j'ai trouvé un nouvel emploi, à deux cents kilomètres de chez nous. Le type qui m'avait reçu m'avait semblé un peu bizarre. Un peu trop mielleux peut-être. Mais question boulot et salaire c'était mieux que ce que j'avais eu jusqu'ici et j'ai accepté.
Restait que faire deux cents kilomètres matin et soir, même par l'autoroute. J'ai tenté ça une seule fois. Le soir suivant, j'ai pris une chambre. J'appelais Olga tous les soirs et j'avais le sentiment que notre histoire tournait mal. Je rentrais le dimanche et elle m'assaillait de questions pour savoir si j'étais seul dans ma chambre d'hôtel et elle se refusait si bien qu'un jour j'ai insisté. Olga n'a rien dit et s'est laissé faire.
Cela faisait un mois que j'étais loin d'elle. Au boulot, ça allait. Mon employeur me tournait bien autour mais je mettais ça sur son besoin de savoir si je faisais bien l'affaire. Puis un soir, à l'heure de quitter le bureau, il est venu me voir et m'a dit qu'il m'invitait à dîner.
Pouvais-je répondre ? J'avais déjà fait quelques restaurants dans cette ville, mais celui où il m'emmenait était vraiment cher, mais après tout, j'étais invité. C'est à ce moment, au moment du café qu'il m'a dit qu'il avait envie de moi. Je pourrais écrire que j'avais peur de comprendre, mais j'avais compris tout de suite, à son regard. Il a continué avant que je ne réponde en m'avouant qu'il était homosexuel. Ce n'est pas le terme qu'il a employé. Il a ensuite dit que je ne tenais pas beaucoup à ma femme puisque j'avais accepté de m'en éloigner.
Je n'osais le regarder. Quand je levais les yeux sur lui, je pouvais voir qu'il jubilait de sa position. Il aurait pu me menacer de me virer si je n'acceptais pas.
- Vous ne savez pas ce que c'est que d'être amoureux, m'a-t-il dit ensuite ! Quand je vous ai vu, j'ai su que c'était vous !
Vous me faites bander !
Il a ajouté qu'il me nommerait directeur, et qu'il augmenterait mon salaire.
- Je bande, a-t-il ajouté ! Ça me fait mal et j'ai envie de vous !
Je crois que j'étais sur le point de m'enfuir à toutes jambes. Sur ce, un type s'approche de nous, met la main sur l'épaule de mon patron, lui adresse la parole et j'ai eu l'impression que je n'existais plus. Mon patron s'est levé, a dit au serveur de mettre l'addition sur son compte et à moi il a dit qu'il me verrait demain.
Je suis rentré à l'hôtel et j'ai appelé Olga qui m'a traité de salaud et qui a raccroché. Le lendemain au bureau, j'ai attendu avec crainte que mon patron ne vienne me voir. L'après-midi, personne non plus. Au moment de sortir de l'usine, le voilà qui arrive dans sa Mercedes et me dit de monter.
Que faire d'autre. Je monte. On roule.
- Je n'aime pas me faire baiser, rugit-il ! Je préfère baiser ! Alors, vous êtes d'accord ?
Je savais bien de quoi il parlait mais je ne répondais pas. Il a continué, toujours en rugissant :
- Je n'aimais pas ça moi non plus ! J'ai commencé quand j'étais à l'armée et j'ai fini par aimer ! Bon sang, ça n'a rien d'extraordinaire, surtout pour un homme comme vous !
Je ne voyais pas où on allait. Il continuait :
- Vous l'enculez votre femme ? Les femmes aiment ça ! D'ailleurs, ma sœur se fait mettre dans le derrière par mon beau-frère !
Il s'est tu un instant puis a repris :
- Vous le connaissez ! L'homme, hier au soir. Il aime bien aussi se faire mettre mais c'est lui qui m'a mis !
Nous avons passé une grille et mon patron a arrêté la voiture devant une belle maison. Il m'a ensuite dit que c'était la maison qu'il avait hérité de ses parents et moi, je ne sais pas pourquoi, je l'ai suivi gentiment. Il s'est arrêté dans le salon puis il a servi des boissons. Je ne savais non plus pourquoi j'avais admis que toute résistance serait vaine et que le mieux serait que j'accepte ce qu'il voulait.
Pendant qu'on buvait, j'ai vu mon patron qui ouvrait sa braguette et sortait sa bite et ses couilles. Il bandait déjà à moitié.
- Voici l'outil, m'a-t-il dit ! Montrez-moi le vôtre !
J'ai sorti ma bite et mes couilles à mon tour. Mon patron a tendu la main et m'a attrapé les couilles.
- Vous avez peur ?
Je n'avais pas peur. Peut-être un peu de crainte au moment de passer à l'acte. Il me troussait le prépuce et faisait rouler mes couilles entre ses doigts.
- Vous avez une petite bite, a-t-il ajouté !
Olga me faisait bander rapidement au début de notre mariage. Je bandais même avant qu'elle ne me touche et elle suçait avec grâce, me suppliant à chaque fois de ne pas éjaculer dans sa bouche, mais jamais je n'arrivais à me contenir si bien qu'à chaque fois elle avalait mon foutre. Pour prévenir ses colères, je lui disais que même si ça arrivait par le haut, ça finissait dans son ventre.
- Votre femme, elle s'appelle comment, m'a demandé mon patron ?
- Olga !
- Olga, a-t-il fait ? C'est russe ? Elle est russe ?
Je lui ai expliqué qu'elle était bretonne mais il m'a interrompu :
- Si j'avais aimé les femmes, j'aurais préféré une mince avec de gros nichons ! Après tout, leur utilité c'est de continuer l'espèce !
Il s'était mis à rire, satisfait de son bon mot. De sa main droite, il se branlait et de la gauche il me branlait. J'ai fini par bander quand à lui, je ne voulais pas voir quand il m'a dit de me coucher sur la table. J'allais au sacrifice. Après tout, j'avais souvent demandé à ma femme et il fallait bien que je sache ce que c'était puis j'ai senti les doigts qui m'ouvraient les fesses et aussitôt son pénis s'est enfoncé dans mon anus.
Il poussait des oh et des ah tout en me répétant que finalement j'aimais ça et finalement, après la douleur, j'ai vraiment aimé. J'avais, comme tout le monde, rêvé de me faire enculer et ça m'était arrivé.
Les cris ont vite tourné aux soupirs et mon patron s'est mis à hurler que ça venait et j'ai senti le sperme envahir mon sphincter. Il s'est retiré presque aussitôt et quand je me suis retourné, son pantalon avait retrouvé sa place normale. Le mien était sur mes chevilles.
- J'avais un ami, m'a dit mon patron, mais il est parti avec un autre ! Rhabillez-vous !
Je me suis rhabillé. Il a appelé un taxi et je suis rentré à l'hôtel. J'en avais plein mon caleçon et mon pantalon était humide.
Le téléphone a sonné. C'était Olga et elle n'a dit qu'un mot avant de raccrocher : Salaud !
On était le vendredi. Mon patron m'a relancé mais je devais rentrer chez moi. Il n'a rien dit. Une fois chez moi, j'ai retrouvé
Olga. Elle était muette et avait un regard sombre. Dans le lit, elle m'a laissé la toucher et m'a encore une fois traité de salaud puis elle s'est mise à pleurer. Je lui ai demandé pourquoi elle pleurait mais c'est difficile de faire parler une femme qui pleure mais elle a fini par me dire qu'elle était presque sûre qu'elle était enceinte. Que l'autre fois quand je l'avais prise... J'ai mis ma main sur son ventre.
- Je ne voulais pas, pas maintenant, m'a dit Olga !
Je lui ai demandé si elle en était sûre.
- Tu n'as pas vu mes seins, m'a fait Olga !
J'ai posé ma main sur son sein. Elle avait toujours eu de jolis seins.
- Je vais être déformée, a insisté mon épouse !
- Je ne t'en aimerai que plus, ai-je insisté, en ramenant ma main sur son ventre ! Après, tu le retrouveras ton ventre plat !
Comme mon patron, si j'ose la comparaison, j'ai toujours rêvé d'une femme à gros nichons et j'en ai épousé une qui...
- Si au moins, a fait Olga, je pouvais garder mes gros nichons ! Tu continueras à me faire l'amour ?
A part cette fameuse fois, cela faisait un bon moment qu'on n'avait pas fait l'amour.
- Tu peux me prendre en levrette, si tu veux mais avant, je veux monter sur toi !
Je me suis mis sur le dos et Olga m'est montée dessus. Elle avait passé sa main sous son ventre et la frottait sur ma bite et mes couilles. Elle me souriait.
- Tu ne me trompes pas, au moins, dans ton hôtel ?
J'ai juré et Olga m'a dit qu'elle allait me faire jouir jusqu'à ce que je m'endorme. Elle s'est empalée et m'a fait l'amour et quand elle a senti que j'allais succomber, elle m'a dit de la prendre en levrette, ce que j'ai fait.
- Mon dieu, j'ai eu si peur que tu ne m'aimes plus, m'a dit Olga ! Tu te rappelles au début ? Si tu veux m'enculer, je ne t'en empêcherais pas !
Ce mot dans sa bouche, de sa voix, je m'en souviens toujours et il résonne toujours comme cette nuit-là. Une fois allongés l'un contre l'autre, Olga m'a demandé si j'avais déjà eu envie de me faire enculer. Et avant que je puisse répondre, elle avait repris :
- Les hommes, je comprends qu'ils n'aiment pas ça ! C'est leur fierté, a commencé Olga ! Les femmes, ça ne les gêne pas beaucoup ! Les deux ouvertures sont voisines et puis la bouche... Tu ne trouves pas que c'est beau, une bite qui s'enfonce ?
Tu le vois bien quand tu t'enfonces dans ma bouche !
Je restais muet. Après ça, elle a dit qu'elle allait se laver et j'entendu le bruit de la poire à lavement. Quand Olga est revenue dans le lit, elle s'est lovée contre moi avant d'ajouter que quand je le voudrais, elle se ferait un lavement et que ce serait plus propre. Après ça on a dormi. Le dimanche soir, alors que je repartais, elle m'a dit qu'elle me dirait un truc au téléphone quand je serais arrivé, qu'elle ne voulait pas que j'y pense pendant que je serais sur la route et que ce n'était pas grave.
Le lendemain, j'ai passé toute la journée à attendre et le soir même mon patron est venu me relancer dans mon bureau :
- Vous avez envie ? Moi, j'ai envie !
Je l'ai suivi dans sa voiture et chez lui. J'étais relax parce qu'avec Olga ça allait beaucoup mieux et puis elle était peut-être vraiment enceinte ? Comme la première fois mon patron m'a pris sur la table de son salon mais une fois fini, il est resté enfoncé et a saisi ma bite.
- Joli bijou, m'a-t-il dit ! Vous ne voulez pas m'essayer ?
J'ai répondu non dans un cri à moitié étouffé par mon émotion.
- Dommage ! Je vais vous branler ! Vous aimez vous branler ? Moi j'ai toujours aimé ça !
Il s'est mis à me branler et je n'ai pas honte à avouer que j'aime ça avec lui que quand c'est Olga qui me le fait. Sa main est plus ferme et il sait faire des pauses, s'arrêter pour que j'oublie que j'ai envie d'éjaculer.
- En fin de compte, j'aime bien votre bite, m'a-t-il fait !
Il continuait à me branler et j'ai fini par dire que je ne pouvais plus me retenir.
- Laissez-vous aller, m'a dit mon patron !
Je me suis laissé aller. C'était vraiment bon et je sentais bien les jets de mon sperme que mes couilles libéraient. Quand il m'a laissé, j'ai mis un moment à me relever parce que je n'avais plus de jambes. J'étais vraiment vidé.
- Laissez, m'a-t-il fait, la femme de ménage nettoiera !
Je me suis retourné. Il avait déjà remonté son pantalon et moi j'étais à moitié nu devant lui. Il jubilait :
- On attaque un autre mois ! Je vous mets à quatre mille !

Quatre mille euros par mois. Jamais je n'avais gagné autant.
- Rassurez-vous, a-t-il ajouté ! Ça ne fait pas de vous mon mignon ! Vous me plaisez, c'est tout !
Un taxi m'a ramené à l'hôtel. J'ai appelé Olga. La première chose qu'elle m'a dit, c'est qu'elle avait envie d'être contre moi et que je lui manquais.
- Tu n'avais pas quelque chose à me dire, ai-je demandé à Olga ?
- J'ai honte de te le dire, m'a-t-elle répondu !
- Dis-le, lui ai-je fait !
- Eh bien, voilà, ça ne va pas te plaire ! Parce qu'on était fâchés, je t'ai trompé avec la voisine !
- Quoi ?
- J'ai couché avec la voisine, a insisté Olga ! J'avais peur que tu m'aimes plus ! Et c'est moins grave... Je ne le ferais plus jamais, je te le jure !
Il y a eu un long silence puis elle a continué :
- Tu m'en veux ?
Elle s'est mise à hurler qu'elle ne voulait pas que je la quitte, que c'était sûr qu'elle était enceinte, que je ne devais pas abandonner notre enfant. Moi, je savais déjà que je ne lui en voulais pas.
- C'était comment ?
- Salaud, m'a fait Olga !
Ce n'était pas le même "salaud" qu'avant. Elle a continué en me disant que c'était agréable et qu'elle ne l'avait jamais fait, reprenant que ça n'avait pas d'importance.
- Et toi, tu l'as déjà fait avec un homme, m'a demandé Olga ?
Je n'ai pas répondu.
- Tu l'as déjà fait, a insisté Olga ?
J'ai menti.
- Je me demande comment ça fait, m'a dit Olga !
Elle était soudain calme et rassurée.
- Tu peux continuer si tu veux, lui ai-je dit !
- Tu n'as pas honte, m'a rétorqué Olga !
- Oh, non, lui ai-je répondu ! J'aimerais bien que ma femme soit une jolie gouine !
Olga a protesté. Je l'écoutais. Je connais bien notre voisine. Elle a bien quarante-cinq ans et vit seule. J'étais fatigué.
- Je vais m'allonger sur le lit. Tu te masturbes, ai-je demandé à mon épouse ?
- Toi aussi ?
J'ai mis le haut-parleur et je me suis branlé. Je pouvais entendre les soupirs d'Olga. Elle a bientôt crié que ça venait et moi aussi j'ai joui. J'ai repris le combiné :
- Je préférerais te savoir dans les bras de la voisine que dans les bras d'un autre homme !
Olga m'a traité de cochon. En raccrochant, j'étais plus cool et me faire enculer par mon patron ne me posait plus problème.
Le jeudi suivant il m'a gardé plus longtemps et m'a pris deux fois de suite.
- Branlez-vous devant moi, a-t-il fini par me dire !
Je l'ai fait, sans honte. J'étais même content de faire ça devant lui, qu'il voit comment je me débrouille, tout ça en pensant à
Olga qui peut-être, était avec notre voisine. Le samedi suivant, quand je suis rentré, Olga m'attendait.
- Tu l'as fait, lui ai-je demandé ?
- Fait quoi, m'a-t-elle fait ?
Elle semblait revenir de la Lune.
- Fait quoi, m'a-t-elle répété ?
- Tu sais bien, avec la voisine !
- T'es malade ! T'es fou ! Une fois, ça m'a suffi !
J'ai mis ma main sur son ventre.
- Ça pousse, ai-je demandé à Olga ?
- Idiot ! T'es bien un homme ! Au début c'est les seins et j'ai toujours mal aux seins !
Je lui ai dit que j'avais hâte que son ventre soit plus gros. Dans le lit, je l'ai tout de suite prise en levrette mais j'ai fait une pause en plein milieu :
- J'aimerais bien te voir avec la voisine !
Olga a attendu pour répondre puis m'a dit que ce que je voulais c'était la sauter, notre voisine !
- Tu es jalouse, ai-je demandé à Olga ? Il n'y a pas de raison parce que vous serez toutes les deux ! Alors, dis-moi ce que vous avez fait !
Olga a rougi puis elle m'a avoué qu'elles avaient fait un soixante-neuf puis que la voisine s'était mise contre elle et lui avait sucé les mamelons tout en la masturbant...
C'était trop excitant. J'ai repris les hanches de ma femme et je suis allé jusqu'au bout. Je ne sais pas comment je m'y étais pris parce qu'elle en avait plein les fesses et plein les cuisses. On s'est écroulés l'un contre l'autre.
- Et après, ai-je demandé à Olga ?
- Après ? Elle me lui a fait faire un fisting !
- Un quoi, ai-je fait ?
- Un fisting ! Je lui ai enfoncé ma main dans le vagin !
Olga montrait sa main et bien que ses mains soient assez petites, j'ai eu du mal à imaginer ce que ça faisait.
- Tu sais, m'a dit Olga en riant, tout un chacun, un jour ou l'autre, a eu envie de retourner dans le ventre de sa mère !
J'ai pris sa main dans la mienne et on s'est endormis. Pour moi, ça continuait comme ça avait commencé. J'allais avec courage chez mon patron et lui donnais du plaisir. Olga m'a montré des annonces dans le journal et j'ai commencé des tractations afin de retrouver un boulot là où j'habite.
Je ne sais pas si un jour j'aurai le courage de dire à Olga ce que j'ai fait et même de lui dire que ça me plaît.

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