Un fantasme devenu réalité
Récit érotique écrit par Gerpier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un fantasme devenu réalité
Divorcé depuis dix ans et retraité depuis un an, je cherchais comment occuper ma vie et quand un ancien collègue
m'a raconté qu'il faisait son arbre généalogique, ça m'a semblé intéressant et il m'a expliqué comment faire. Je
connaissais à peu près tout ou presque mais mes recherches m'ont permis de redécouvrir des cousins et cousines
dont je ne me souvenais plus, sans parler de cousins éloignés et d'ancêtres.
Je vais parler de Monique puisque c'est plutôt d'elle qu'il s'agit et parce que maintenant, elle compte dans ma vie :
mes parents s'étaient mariés là où ma mère habitait et ils avaient quitté le village aussitôt après pour s'installer en
ville, à l'autre bout de la France, là où mon père avait été muté et c'est loin de mes ancêtres que j'ai vécu toute ma
vie. C'était donc une excellente occasion d'y retourner. Je suis allé à la petite mairie et des gens très gentils m'ont
aidé à y voir un peu plus clair. Monique. C'était une de mes cousines. Elle était née un an avant moi. Peu à peu, les
souvenirs me revenaient, surtout les confidences de ma mère qui, sur la fin de sa vie, m'avait confié quelques secrets
mais pas tous. Monique. Les parents de Monique tenaient un commerce dans un village aux alentours. "Tu ne te
souviens pas d'elle, avait ajouté ma mère ? Vous étiez inséparables ! Tu faisais dix kilomètres à vélo par la campagne
pour aller la voir !"
Je devais bien avoir douze ans à l'époque. Monique, elle était comment ? J'étais là dans ce village où avait habité mes
grands-parents et je n'avais pas de photos pour vérifier. Du coup, une fois mes recherches probablement épuisées,
je suis allé dans cet autre village. Ça tombait bien car il y avait un gîte et ils avaient une chambre libre. J'ai parlé à la
propriétaire, mais elle ne savait rien car installée seulement depuis une dizaine d'années. A la mairie, rien. Un vieux
sur un banc m'a dit qu'il se souvenait qu'avaient paru des photos, de vieilles photos de classe, dans le journal il y
avait quelques années.
Je suis retourné à la mairie. C'était le même bâtiment que l'école mais l'école était fermée depuis longtemps mais la
femme a bien voulu chercher et m'a apporté un classeur et j'ai pu regarder. Heureusement, l'instituteur avait presque
systématiquement marqué les noms aux dos des photos et l'année. Je tournais les pages. J'avais douze ans et
Monique aussi. J'étais aussi aussi excité qu'une puce à l'idée de revoir ma cousine. Je me rappelais qu'on avait traîné
dans la forêt, roulé comme des fous autour du lac... Tiens, il était où le lac ?
- Remblayé, m'a répondu la femme ! Remblayé pour faire une lotissement comme ils ne pouvaient pas construire
dans la forêt !
Ah, voilà ! Ça devait être cette année là. J'ai regardé les noms avant de regarder la photo : Marie X., Marie N., Nicole
F., Chantal V. Au bas de la liste, il y avait aussi Monique P. J'ai cru que mon cœur allait s'arrêter de battre mais j'ai eu
la force de retourner la photo et j'ai vu une fille avec des nattes jusqu'aux hanches ! Ça me faisait bizarre parce que
je ne me souvenais pas du tout de ça.
J'ai pris le classeur et je suis allé voir la femme et je lui ai demandé si Monique P. lui disait quelque chose et elle m'a
répondu que oui, il lui semblait bien... Qu'il y avait encore quelqu'un qui avait ce nom-là et qui habitait deux rues
plus loin, une petite maison aux volets rouges... Je ne tenais plus tellement j'étais ému.
J'ai aussi vu la photocopieuse et j'ai fait un agrandissement de la photo mais ce n'était pas terrible.
- Donnez-moi votre adresse, m'a dit la femme ! Je vais demander à quelqu'un de vous faire un tirage et je vous
l'enverrai !
Elle n'a pas voulu d'argent pour ça. J'ai pris la photocopie et je suis parti chercher la petite maison. Quand j'ai tiré la
cloche, une petite vieille est sortie et m'a demandé ce que je voulais. J'ai pensé que ça ne pouvait pas être Monique
où alors, une sinistre maladie l'aurait transformée !
- Monique, ai-je fait ? Vous la connaissez ?
- Vous êtes qui, m'a répondu la petite vieille ?
J'ai expliqué ma situation et elle m'a répondu qu'elle l'avait vue la semaine passée, qu'elle venait la voir toutes las
semaines, qu'elle était retraitée et qu'elle habitait en ville.
- Où, ai-je demandé ?
- Où, m'a fait la femme qui semblait amusée ? Entrez, je vais vous donner son adresse !
Je suis entré. Ça sentait bon la propreté mais ce n'était pas la richesse. La femme avait du mal à se déplacer. Elle m'a
proposé de boire quelque chose mais j'ai refusé puis elle a sorti un cahier d'un tiroir et a enfilé ses lunettes et elle a
écrit l'adresse sur une feuille de papier.
- C'est une belle femme, a ajouté la femme en me tendant la feuille ! Et elle est très gentille ! C'est la petite-fille de
mon frère aîné ! Dieu ait pitié de lui !
J'ai pensé en remontant dans ma voiture que ça me faisait un morceau de plus dans mon arbre et je suis parti pour
cette fille. L'adresse n'était pas difficile à trouver :
- Qu'est-ce que c'est, m'a demandé une voix féminine à l'interphone ?
- Ton cousin, Roland !
- Roland, a fait la femme en ouvrant la porte en grand ? Si je m'attendais...
C'était en effet une belle femme mais ça faisait plus de cinquante ans que je ne l'avais vue.
- Qu'est-ce que tu fais là, a insisté Monique ? Tu aurais pu me téléphoner !
J'ai raconté mon voyage en commençant par la fin, la petite-ville, les deux villages. Monique m'a dit que j'avais bien
du temps à perdre que de rechercher mes ancêtres. Je lui ai demandé en retour pourquoi ça ne l'intéressait pas mais
je comprenais peu à peu ses raisons à ce qu'elle me racontait. Son mariage. Le commerce tenu avec son mari qui ne
vivait que pour ça et elle qui s'ennuyait. Son mari qui en était mort et elle obligée de trouver un travail et puis la
retraite. Son logement en location. Je la regardais. La petite vieille avait bien raison. Monique était vraiment belle.
Une belle femme mûre au sourire permanent. Un beau chignon et des mains délicates.
- Je me suis marié avec lui mais je ne l'aimais pas, a continué Monique ! Je croyais que je l'aimais au début... Et toi ?
- Moi, lui ai-je fait, ce n'est pas plus glorieux ! Je ne voulais pas rester seul et je me suis marié et je me suis
accroché à la première qui m'est tombée dans les bras !
Monique s'est mise à rire. J'ai continué :
- Tu as des enfants ?
- Des enfants ? Non ! On n'avait pas le temps, m'a répondu ma cousine comme si elle avait des regrets ! Et toi ?
- Moi ? Non, lui ai-je répondu ! Ma femme est partie avant d'avoir pu !
- Et pourquoi est-elle partie, m'a demandé Monique ?
J'ai répondu que c'était gênant à dire mais ma cousine à insisté et j'ai dû lui avouer que ma femme et moi n'avions
pas le même point de vue sur la sexualité !
- Tu ne veux pas me raconter, a insisté ma cousine ?
- Bin, voilà, j'étais un petit peu trop insistant...
- C'est marrant, a fait Monique ! C'est comme mon mari !
Son visage s'était éclairé et ses yeux brillaient.
- Ton mari était un peu trop insistant, lui ai-je demandé ?
- Non, c'était moi, m'a fait ma cousine ! Ils se seraient très bien entendu !
Je venais de comprendre. J'ai regardé Monique et j'essayais de capter son regard et j'avais envie de la titiller :
- Tu faisais comment, ai-je demandé à ma cousine ?
- Comment, m'a répondu Monique ? Sans doute comme toi, à moins que tu aies eu une maîtresse ?
Comment pouvais-je lui avouer que bien que marié, j'avais continué à me masturber en cachette ?
- C'est dommage, a ajouté Monique ! Quel gâchis !
- Tu as peut-être un ami, maintenant, ai-je ajouté ?
- Ça va pas, m'a répondu ma cousine ? Pourquoi veux-tu que je m'embête avec un bonhomme !
- T'es pas tournée gouine, lui ai-je répliqué ?
Je ne savais pas pourquoi j'avais dit ça mais je ne m'avais pu m'empêcher. Monique avait blêmi et ne me répondait
pas. Je lui ai demandé de m'excuser.
- Oh, ne t'excuse pas, m'a répondu ma cousine ! Je ne sais même pas pourquoi je fais ça ! J'ai une histoire avec une
femme ! Je couche avec elle de temps en temps ! Je l'ai connue pendant un voyage et puis ça s'est fait !
Je lui ai répondu que j'étais désolé et que j'allais la laisser mais Monique n'a pas voulu que je parte et a insisté pour
que je passe la nuit chez elle. Tout à coup, elle a remonté la manche de sa robe pour se gratter et j'ai vu qu'elle avait
un tatouage, une frise qui lui fait le tour du bras et ma cousine a surpris mon regard :
- J'ai beau avoir soixante-trois ans, m'a-t-elle dite, je n'en suis pas moins moderne !
- Il y a longtemps que tu as ça, lui ai-je demandé ?
- Oui, dix ans ! En fait c'est ma... qui me l'a demandé ! Ça ne te plaît pas ?
Je suis resté silencieux un moment puis je lui ai dit que c'était qu'elle ait une maîtresse qui me dérangeait. Monique
m'a souri :
- Tu es jaloux ? Si, tu es jaloux ! Si c'était un homme, ça ne te gênerait pas peut-être ?
J'ai rougi et elle a continué en s'approchant de moi et en posant ses mains sur mes bras :
- C'est de savoir qu'il m'arrive de coucher avec une femme qui te dérange ? Tu n'arrives pas à imaginer ?
Elle continuait à sourire.
- Je ne suis pas une lesbienne, a continué ma cousine ! C'est juste pour le plaisir ! Je te l'ai dit, je suis une gouine,
c'est tout !
- Et si tu avais un homme, ai-je bégayé ?
- Ah, la voilà la grande question a ajouté Monique ! Si c'était un homme ! Si c'était toi ?
- Moi ?
- Oui, toi, a continué Monique en me bourrant le thorax de coups de poings ! Tu vas le dire ! Moi, je t'aimais quand
nous étions gamins !
Je suis resté une nouvelle fois sans répondre. Elle était là, devant moi et presque furieuse et continuait à me bourrer
de coups de poings mais plus mollement.
- Et toi, tu ne m'aimais pas, a insisté Monique ?
- Oh, si ! Je me branlais même en pensant à toi, lui ai-je répondu sans réfléchir parce que c'était la vérité que j'avais
occultée.
Je regardais ma cousine et j'avais l'impression que sa robe avait enflé et que ses mamelons... Ses mamelons
pointaient sous le tissu. J'ai tendu les bras et Monique est venue s'y réfugier mais quand j'ai voulu l'embrasser sur la
bouche, elle a refusé en prétextant que ce n'était pas le moment. Nous nous sommes assis de chaque côté de la table
et quand j'ai posé ma main sur la sienne, elle m'a laissé faire. Je la regardais dans les yeux.
- C'était comment avec ton mari ?
- A y réfléchir, m'a répondu Monique, je dirais qu'il tirait son coup sans s'occuper de me faire plaisir.
- Et ta copine, elle te fait plaisir, ai-je insisté ?
- D'abord, ce n'est pas une copine, a protesté ma cousine ! C'est juste une relation sexuelle ! J'en ai besoin, elle
aussi, encore qu'elle voudrait bien me mettre la main dessus !
Je devinais ce qu'elle voulait dire. Elle a continué :
- J'aurais pu avoir des amants, a ajouté Monique ! Ce ne sont pas les propositions qui ont manqué !
- Tu ne lui a jamais demandé de te faire jouir ?
- Non, je n'ai jamais osé et de toute façon, comme je me masturbais... J'aurais bien voulu alors que tu m'embrasses !
A chaque fois qu'on se voyait, j'espérais...
- Et moi je me masturbais...
- Oh, moi aussi, a continué Monique ! Ça faisait bien un an que je me masturbais et tu aurais même pu faire plus
que m'embrasser si tu avais voulu !
- Tu veux dire...
- Oui, m'a fait ma cousine ! J'en avais très envie ! Mais, ta femme, qu'est-ce qu'elle te reprochait exactement ?
- Moi, ai-je commencé - j'étais rouge comme une tomate - je ne voulais pas me contenter de faire l'amour couché
sur elle ! Je voulais faire l'amour en levrette, lui faire sucer mon pénis, faire l'amour entre ses seins, la sodomiser...
Je guettais les réactions de ma cousine. Quand j'avais parlé de sodomie, elle avait rougi elle aussi. Je me suis rendu
compte que j'avais dit ça pour la choquer et voir ce qu'elle dirait.
- T'es vraiment un cochon, m'a répondu Monique !
- Tu n'aimes pas ce genre de cochon, ai-je répliqué ?
- Tu es un cochon, a insisté ma cousine !
Elle s'est levée de la table et m'a dit qu'elle allait préparer le dîner et que j'avais qu'à aller chercher ma valise dans
ma voiture. Quand je suis remonté, j'ai mis la table mais pour deux ce n'est pas très compliqué. J'avais l'habitude de
faire ma popote et de vivre seul. J'ai fait le tour de l'appartement. Les seules choses de valeur c'était le lit et son
armoire dans sa chambre. Quand je suis revenu dans la cuisine, j'étais déjà servi et nous avons dîné.
- Je vais coucher où, ai-je fini par demander à Monique ?
- Dans le fauteuil, m'a-t-elle répondu ! Tu ne penses tout de même pas que je vais coucher avec un obsédé sexuel !
Pendant que ma cousine faisait la vaisselle, j'ai tenté de lui tenir les hanches mais elle m'a repoussé. J'ai refait une
tentative un peu plus tard, sans succès. J'ai donc fini par faire ma toilette et enfiler mon peignoir puis je me suis
assis dans le fauteuil.
- Je vais me coucher, m'a dit Monique ! Passe une bonne nuit !
J'ai entendu couler l'eau dans la salle de bains et je me suis levé au cas où...
- Qu'est-ce que tu fais, m'a demandé Monique ? Tu veux me cacher ça !
J'ai baissé les yeux et comme mon peignoir s'était ouvert, j'ai vu mon pénis en érection. Il y avait longtemps que je
n'avais pas bandé comme ça sans me tripoter un bon moment et c'est ce que j'ai dit à ma cousine. Elle avait eu le
temps de me tourner le dos et d'enfiler son peignoir et je n'avais pu rien voir.
- Va te coucher, a insisté Monique !
Elle protestait encore quand j'ai posé mes bras sur ses hanches. J'étais derrière elle, le pénis planté dans son
peignoir et mon pénis commençait à me faire mal. Je lui ai promis que j'attendrais qu'elle ait joui avant de jouir à
mon tour.
- Ça serait bien la première fois, m'a répondu Monique ! Viens ! Ça fait si longtemps que j'en ai envie !
- Cinquante-deux ans, a été ma réponse !
- Attends !
Le temps que nous retirions nos peignoirs et j'ai pris Monique sous les fesses tandis qu'elle arrondissait ses bras
autour de mon cou et je l'ai pénétrée. Je n'avais jamais fait ça avec mon épouse même si elle avait accepté tout le
reste mais tout ce qu'elle me disait c'était quel plaisir je pouvais avoir à faire ça ! J'avais bien enconné ma cousine
mais ce n'était plus une gamine de vingt ans si bien qu'elle a vite remis les pieds sur le parquet et j'ai pu jouer avec
sa poitrine. Vous prenez une gamine de douze ans avec deux petits cônes presque plats et voilà que maintenant elle
a des seins énormes, longs et mous et très excitants.
- Tu veux que je te suce, m'a demandé Monique ?
- Pas tout de suite, lui ai-je répondu, mais elle a plié les genoux et j'ai pu mettre ma bite entre ses seins.
- Ça te plaît de faire ça, m'a demandé ma cousine ?
Elle serrait sa poitrine entre ses mains et avait coincé mon pénis.
- Viens, lui ai-je dit !
Je l'ai poussée sur le lit. Elle avait les fesses juste au bord et je lui ai relevé les cuisses pour pouvoir m'enfoncer à
nouveau.
- Baise-moi, m'a supplié ma cousine ! Baise-moi fort !
J'ai attrapé ses hanches et je l'ai baisée. C'était doux, agréable. Au bout d'un moment, elle m'a dit que ça venait et
j'ai pu jouir à mon tour.
- Cochon, a fini par me dire Monique, les bras en croix et les cuisses relevées !
Je suis resté enfoncé jusqu'à ce que je débande et je l'ai regardée. Elle me souriait.
- Cochon, me répéta-t-elle !
Elle est allée se laver puis elle est revenue dans la chambre et m'a tiré par la main pour que je m'allonge avec elle sur
le lit. Elle m'a tourné le dos et m'a pris la main et l'a posée sur ses seins.
- Dire qu'il a fallu attendre si longtemps, a ensuite dit ma cousine !
- Ça aurait pu ne pas arriver, ai-je conclu !
Nous nous sommes endormis. Comme personne ne m'attendait, je suis resté plusieurs jours avec ma cousine. Nous
n'avons pas arrêté de baiser et elle de goûter à mes fantasmes puis j'ai pensé qu'on pouvait peut-être acheter une
maison là où nous avions vécu notre enfance. Une autre maison parce que la maison de nos grands-parents avait
été démolie pour en faire un parking ! Monique a protesté qu'elle n'avait pas d'argent mais j'ai dit qu'en vendant ma
maison on aurait largement assez et six mois plus tard on s'est installés. Entre temps, nous avions fait plusieurs
allers et retour chez l'un et chez l'autre. J'aimerai bien qu'on se marie, mais ma cousine se méfie du mariage. Alors,
on fait comme si. L'important, c'est qu'on puisse baiser, non ?
Ah, j'ai oublié : je n'ai pas voulu faire une malheureuse et ma cousine voit encore son amie si spéciale. Elle est même
venue nous voir chez nous. La prochaine fois, elle y passera la nuit et j'espère bien qu'elles accepteront que je les
regarde s'aimer !
Roland
m'a raconté qu'il faisait son arbre généalogique, ça m'a semblé intéressant et il m'a expliqué comment faire. Je
connaissais à peu près tout ou presque mais mes recherches m'ont permis de redécouvrir des cousins et cousines
dont je ne me souvenais plus, sans parler de cousins éloignés et d'ancêtres.
Je vais parler de Monique puisque c'est plutôt d'elle qu'il s'agit et parce que maintenant, elle compte dans ma vie :
mes parents s'étaient mariés là où ma mère habitait et ils avaient quitté le village aussitôt après pour s'installer en
ville, à l'autre bout de la France, là où mon père avait été muté et c'est loin de mes ancêtres que j'ai vécu toute ma
vie. C'était donc une excellente occasion d'y retourner. Je suis allé à la petite mairie et des gens très gentils m'ont
aidé à y voir un peu plus clair. Monique. C'était une de mes cousines. Elle était née un an avant moi. Peu à peu, les
souvenirs me revenaient, surtout les confidences de ma mère qui, sur la fin de sa vie, m'avait confié quelques secrets
mais pas tous. Monique. Les parents de Monique tenaient un commerce dans un village aux alentours. "Tu ne te
souviens pas d'elle, avait ajouté ma mère ? Vous étiez inséparables ! Tu faisais dix kilomètres à vélo par la campagne
pour aller la voir !"
Je devais bien avoir douze ans à l'époque. Monique, elle était comment ? J'étais là dans ce village où avait habité mes
grands-parents et je n'avais pas de photos pour vérifier. Du coup, une fois mes recherches probablement épuisées,
je suis allé dans cet autre village. Ça tombait bien car il y avait un gîte et ils avaient une chambre libre. J'ai parlé à la
propriétaire, mais elle ne savait rien car installée seulement depuis une dizaine d'années. A la mairie, rien. Un vieux
sur un banc m'a dit qu'il se souvenait qu'avaient paru des photos, de vieilles photos de classe, dans le journal il y
avait quelques années.
Je suis retourné à la mairie. C'était le même bâtiment que l'école mais l'école était fermée depuis longtemps mais la
femme a bien voulu chercher et m'a apporté un classeur et j'ai pu regarder. Heureusement, l'instituteur avait presque
systématiquement marqué les noms aux dos des photos et l'année. Je tournais les pages. J'avais douze ans et
Monique aussi. J'étais aussi aussi excité qu'une puce à l'idée de revoir ma cousine. Je me rappelais qu'on avait traîné
dans la forêt, roulé comme des fous autour du lac... Tiens, il était où le lac ?
- Remblayé, m'a répondu la femme ! Remblayé pour faire une lotissement comme ils ne pouvaient pas construire
dans la forêt !
Ah, voilà ! Ça devait être cette année là. J'ai regardé les noms avant de regarder la photo : Marie X., Marie N., Nicole
F., Chantal V. Au bas de la liste, il y avait aussi Monique P. J'ai cru que mon cœur allait s'arrêter de battre mais j'ai eu
la force de retourner la photo et j'ai vu une fille avec des nattes jusqu'aux hanches ! Ça me faisait bizarre parce que
je ne me souvenais pas du tout de ça.
J'ai pris le classeur et je suis allé voir la femme et je lui ai demandé si Monique P. lui disait quelque chose et elle m'a
répondu que oui, il lui semblait bien... Qu'il y avait encore quelqu'un qui avait ce nom-là et qui habitait deux rues
plus loin, une petite maison aux volets rouges... Je ne tenais plus tellement j'étais ému.
J'ai aussi vu la photocopieuse et j'ai fait un agrandissement de la photo mais ce n'était pas terrible.
- Donnez-moi votre adresse, m'a dit la femme ! Je vais demander à quelqu'un de vous faire un tirage et je vous
l'enverrai !
Elle n'a pas voulu d'argent pour ça. J'ai pris la photocopie et je suis parti chercher la petite maison. Quand j'ai tiré la
cloche, une petite vieille est sortie et m'a demandé ce que je voulais. J'ai pensé que ça ne pouvait pas être Monique
où alors, une sinistre maladie l'aurait transformée !
- Monique, ai-je fait ? Vous la connaissez ?
- Vous êtes qui, m'a répondu la petite vieille ?
J'ai expliqué ma situation et elle m'a répondu qu'elle l'avait vue la semaine passée, qu'elle venait la voir toutes las
semaines, qu'elle était retraitée et qu'elle habitait en ville.
- Où, ai-je demandé ?
- Où, m'a fait la femme qui semblait amusée ? Entrez, je vais vous donner son adresse !
Je suis entré. Ça sentait bon la propreté mais ce n'était pas la richesse. La femme avait du mal à se déplacer. Elle m'a
proposé de boire quelque chose mais j'ai refusé puis elle a sorti un cahier d'un tiroir et a enfilé ses lunettes et elle a
écrit l'adresse sur une feuille de papier.
- C'est une belle femme, a ajouté la femme en me tendant la feuille ! Et elle est très gentille ! C'est la petite-fille de
mon frère aîné ! Dieu ait pitié de lui !
J'ai pensé en remontant dans ma voiture que ça me faisait un morceau de plus dans mon arbre et je suis parti pour
cette fille. L'adresse n'était pas difficile à trouver :
- Qu'est-ce que c'est, m'a demandé une voix féminine à l'interphone ?
- Ton cousin, Roland !
- Roland, a fait la femme en ouvrant la porte en grand ? Si je m'attendais...
C'était en effet une belle femme mais ça faisait plus de cinquante ans que je ne l'avais vue.
- Qu'est-ce que tu fais là, a insisté Monique ? Tu aurais pu me téléphoner !
J'ai raconté mon voyage en commençant par la fin, la petite-ville, les deux villages. Monique m'a dit que j'avais bien
du temps à perdre que de rechercher mes ancêtres. Je lui ai demandé en retour pourquoi ça ne l'intéressait pas mais
je comprenais peu à peu ses raisons à ce qu'elle me racontait. Son mariage. Le commerce tenu avec son mari qui ne
vivait que pour ça et elle qui s'ennuyait. Son mari qui en était mort et elle obligée de trouver un travail et puis la
retraite. Son logement en location. Je la regardais. La petite vieille avait bien raison. Monique était vraiment belle.
Une belle femme mûre au sourire permanent. Un beau chignon et des mains délicates.
- Je me suis marié avec lui mais je ne l'aimais pas, a continué Monique ! Je croyais que je l'aimais au début... Et toi ?
- Moi, lui ai-je fait, ce n'est pas plus glorieux ! Je ne voulais pas rester seul et je me suis marié et je me suis
accroché à la première qui m'est tombée dans les bras !
Monique s'est mise à rire. J'ai continué :
- Tu as des enfants ?
- Des enfants ? Non ! On n'avait pas le temps, m'a répondu ma cousine comme si elle avait des regrets ! Et toi ?
- Moi ? Non, lui ai-je répondu ! Ma femme est partie avant d'avoir pu !
- Et pourquoi est-elle partie, m'a demandé Monique ?
J'ai répondu que c'était gênant à dire mais ma cousine à insisté et j'ai dû lui avouer que ma femme et moi n'avions
pas le même point de vue sur la sexualité !
- Tu ne veux pas me raconter, a insisté ma cousine ?
- Bin, voilà, j'étais un petit peu trop insistant...
- C'est marrant, a fait Monique ! C'est comme mon mari !
Son visage s'était éclairé et ses yeux brillaient.
- Ton mari était un peu trop insistant, lui ai-je demandé ?
- Non, c'était moi, m'a fait ma cousine ! Ils se seraient très bien entendu !
Je venais de comprendre. J'ai regardé Monique et j'essayais de capter son regard et j'avais envie de la titiller :
- Tu faisais comment, ai-je demandé à ma cousine ?
- Comment, m'a répondu Monique ? Sans doute comme toi, à moins que tu aies eu une maîtresse ?
Comment pouvais-je lui avouer que bien que marié, j'avais continué à me masturber en cachette ?
- C'est dommage, a ajouté Monique ! Quel gâchis !
- Tu as peut-être un ami, maintenant, ai-je ajouté ?
- Ça va pas, m'a répondu ma cousine ? Pourquoi veux-tu que je m'embête avec un bonhomme !
- T'es pas tournée gouine, lui ai-je répliqué ?
Je ne savais pas pourquoi j'avais dit ça mais je ne m'avais pu m'empêcher. Monique avait blêmi et ne me répondait
pas. Je lui ai demandé de m'excuser.
- Oh, ne t'excuse pas, m'a répondu ma cousine ! Je ne sais même pas pourquoi je fais ça ! J'ai une histoire avec une
femme ! Je couche avec elle de temps en temps ! Je l'ai connue pendant un voyage et puis ça s'est fait !
Je lui ai répondu que j'étais désolé et que j'allais la laisser mais Monique n'a pas voulu que je parte et a insisté pour
que je passe la nuit chez elle. Tout à coup, elle a remonté la manche de sa robe pour se gratter et j'ai vu qu'elle avait
un tatouage, une frise qui lui fait le tour du bras et ma cousine a surpris mon regard :
- J'ai beau avoir soixante-trois ans, m'a-t-elle dite, je n'en suis pas moins moderne !
- Il y a longtemps que tu as ça, lui ai-je demandé ?
- Oui, dix ans ! En fait c'est ma... qui me l'a demandé ! Ça ne te plaît pas ?
Je suis resté silencieux un moment puis je lui ai dit que c'était qu'elle ait une maîtresse qui me dérangeait. Monique
m'a souri :
- Tu es jaloux ? Si, tu es jaloux ! Si c'était un homme, ça ne te gênerait pas peut-être ?
J'ai rougi et elle a continué en s'approchant de moi et en posant ses mains sur mes bras :
- C'est de savoir qu'il m'arrive de coucher avec une femme qui te dérange ? Tu n'arrives pas à imaginer ?
Elle continuait à sourire.
- Je ne suis pas une lesbienne, a continué ma cousine ! C'est juste pour le plaisir ! Je te l'ai dit, je suis une gouine,
c'est tout !
- Et si tu avais un homme, ai-je bégayé ?
- Ah, la voilà la grande question a ajouté Monique ! Si c'était un homme ! Si c'était toi ?
- Moi ?
- Oui, toi, a continué Monique en me bourrant le thorax de coups de poings ! Tu vas le dire ! Moi, je t'aimais quand
nous étions gamins !
Je suis resté une nouvelle fois sans répondre. Elle était là, devant moi et presque furieuse et continuait à me bourrer
de coups de poings mais plus mollement.
- Et toi, tu ne m'aimais pas, a insisté Monique ?
- Oh, si ! Je me branlais même en pensant à toi, lui ai-je répondu sans réfléchir parce que c'était la vérité que j'avais
occultée.
Je regardais ma cousine et j'avais l'impression que sa robe avait enflé et que ses mamelons... Ses mamelons
pointaient sous le tissu. J'ai tendu les bras et Monique est venue s'y réfugier mais quand j'ai voulu l'embrasser sur la
bouche, elle a refusé en prétextant que ce n'était pas le moment. Nous nous sommes assis de chaque côté de la table
et quand j'ai posé ma main sur la sienne, elle m'a laissé faire. Je la regardais dans les yeux.
- C'était comment avec ton mari ?
- A y réfléchir, m'a répondu Monique, je dirais qu'il tirait son coup sans s'occuper de me faire plaisir.
- Et ta copine, elle te fait plaisir, ai-je insisté ?
- D'abord, ce n'est pas une copine, a protesté ma cousine ! C'est juste une relation sexuelle ! J'en ai besoin, elle
aussi, encore qu'elle voudrait bien me mettre la main dessus !
Je devinais ce qu'elle voulait dire. Elle a continué :
- J'aurais pu avoir des amants, a ajouté Monique ! Ce ne sont pas les propositions qui ont manqué !
- Tu ne lui a jamais demandé de te faire jouir ?
- Non, je n'ai jamais osé et de toute façon, comme je me masturbais... J'aurais bien voulu alors que tu m'embrasses !
A chaque fois qu'on se voyait, j'espérais...
- Et moi je me masturbais...
- Oh, moi aussi, a continué Monique ! Ça faisait bien un an que je me masturbais et tu aurais même pu faire plus
que m'embrasser si tu avais voulu !
- Tu veux dire...
- Oui, m'a fait ma cousine ! J'en avais très envie ! Mais, ta femme, qu'est-ce qu'elle te reprochait exactement ?
- Moi, ai-je commencé - j'étais rouge comme une tomate - je ne voulais pas me contenter de faire l'amour couché
sur elle ! Je voulais faire l'amour en levrette, lui faire sucer mon pénis, faire l'amour entre ses seins, la sodomiser...
Je guettais les réactions de ma cousine. Quand j'avais parlé de sodomie, elle avait rougi elle aussi. Je me suis rendu
compte que j'avais dit ça pour la choquer et voir ce qu'elle dirait.
- T'es vraiment un cochon, m'a répondu Monique !
- Tu n'aimes pas ce genre de cochon, ai-je répliqué ?
- Tu es un cochon, a insisté ma cousine !
Elle s'est levée de la table et m'a dit qu'elle allait préparer le dîner et que j'avais qu'à aller chercher ma valise dans
ma voiture. Quand je suis remonté, j'ai mis la table mais pour deux ce n'est pas très compliqué. J'avais l'habitude de
faire ma popote et de vivre seul. J'ai fait le tour de l'appartement. Les seules choses de valeur c'était le lit et son
armoire dans sa chambre. Quand je suis revenu dans la cuisine, j'étais déjà servi et nous avons dîné.
- Je vais coucher où, ai-je fini par demander à Monique ?
- Dans le fauteuil, m'a-t-elle répondu ! Tu ne penses tout de même pas que je vais coucher avec un obsédé sexuel !
Pendant que ma cousine faisait la vaisselle, j'ai tenté de lui tenir les hanches mais elle m'a repoussé. J'ai refait une
tentative un peu plus tard, sans succès. J'ai donc fini par faire ma toilette et enfiler mon peignoir puis je me suis
assis dans le fauteuil.
- Je vais me coucher, m'a dit Monique ! Passe une bonne nuit !
J'ai entendu couler l'eau dans la salle de bains et je me suis levé au cas où...
- Qu'est-ce que tu fais, m'a demandé Monique ? Tu veux me cacher ça !
J'ai baissé les yeux et comme mon peignoir s'était ouvert, j'ai vu mon pénis en érection. Il y avait longtemps que je
n'avais pas bandé comme ça sans me tripoter un bon moment et c'est ce que j'ai dit à ma cousine. Elle avait eu le
temps de me tourner le dos et d'enfiler son peignoir et je n'avais pu rien voir.
- Va te coucher, a insisté Monique !
Elle protestait encore quand j'ai posé mes bras sur ses hanches. J'étais derrière elle, le pénis planté dans son
peignoir et mon pénis commençait à me faire mal. Je lui ai promis que j'attendrais qu'elle ait joui avant de jouir à
mon tour.
- Ça serait bien la première fois, m'a répondu Monique ! Viens ! Ça fait si longtemps que j'en ai envie !
- Cinquante-deux ans, a été ma réponse !
- Attends !
Le temps que nous retirions nos peignoirs et j'ai pris Monique sous les fesses tandis qu'elle arrondissait ses bras
autour de mon cou et je l'ai pénétrée. Je n'avais jamais fait ça avec mon épouse même si elle avait accepté tout le
reste mais tout ce qu'elle me disait c'était quel plaisir je pouvais avoir à faire ça ! J'avais bien enconné ma cousine
mais ce n'était plus une gamine de vingt ans si bien qu'elle a vite remis les pieds sur le parquet et j'ai pu jouer avec
sa poitrine. Vous prenez une gamine de douze ans avec deux petits cônes presque plats et voilà que maintenant elle
a des seins énormes, longs et mous et très excitants.
- Tu veux que je te suce, m'a demandé Monique ?
- Pas tout de suite, lui ai-je répondu, mais elle a plié les genoux et j'ai pu mettre ma bite entre ses seins.
- Ça te plaît de faire ça, m'a demandé ma cousine ?
Elle serrait sa poitrine entre ses mains et avait coincé mon pénis.
- Viens, lui ai-je dit !
Je l'ai poussée sur le lit. Elle avait les fesses juste au bord et je lui ai relevé les cuisses pour pouvoir m'enfoncer à
nouveau.
- Baise-moi, m'a supplié ma cousine ! Baise-moi fort !
J'ai attrapé ses hanches et je l'ai baisée. C'était doux, agréable. Au bout d'un moment, elle m'a dit que ça venait et
j'ai pu jouir à mon tour.
- Cochon, a fini par me dire Monique, les bras en croix et les cuisses relevées !
Je suis resté enfoncé jusqu'à ce que je débande et je l'ai regardée. Elle me souriait.
- Cochon, me répéta-t-elle !
Elle est allée se laver puis elle est revenue dans la chambre et m'a tiré par la main pour que je m'allonge avec elle sur
le lit. Elle m'a tourné le dos et m'a pris la main et l'a posée sur ses seins.
- Dire qu'il a fallu attendre si longtemps, a ensuite dit ma cousine !
- Ça aurait pu ne pas arriver, ai-je conclu !
Nous nous sommes endormis. Comme personne ne m'attendait, je suis resté plusieurs jours avec ma cousine. Nous
n'avons pas arrêté de baiser et elle de goûter à mes fantasmes puis j'ai pensé qu'on pouvait peut-être acheter une
maison là où nous avions vécu notre enfance. Une autre maison parce que la maison de nos grands-parents avait
été démolie pour en faire un parking ! Monique a protesté qu'elle n'avait pas d'argent mais j'ai dit qu'en vendant ma
maison on aurait largement assez et six mois plus tard on s'est installés. Entre temps, nous avions fait plusieurs
allers et retour chez l'un et chez l'autre. J'aimerai bien qu'on se marie, mais ma cousine se méfie du mariage. Alors,
on fait comme si. L'important, c'est qu'on puisse baiser, non ?
Ah, j'ai oublié : je n'ai pas voulu faire une malheureuse et ma cousine voit encore son amie si spéciale. Elle est même
venue nous voir chez nous. La prochaine fois, elle y passera la nuit et j'espère bien qu'elles accepteront que je les
regarde s'aimer !
Roland
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super récit...j ai aussi une cousine de 47 ans,qui me fait bander....merci ,pour ces
belles histoires
belles histoires
Histoire simple ,mais très touchante , rafraichissante ,un plaisir de vous lire .
Pas mal, ce recit.
amour avec retard, pourquoi ps: bon