Ce mec ... 1
Récit érotique écrit par MiX [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ce mec ... 1
J’ai rencontré un mec qui est une véritable montage de contradiction. Je ne saurais pas trop comment appeler cela, peut être un « macho gay » mais ce serait un peu abusif car il n’est macho qu’au lit et je ne sais même pas pourquoi j’utilise le mot « macho » pour décrire ses habitudes sexuelles pour le moins étranges.
On s’est rencontré via des amis communs, ce qui m’a tout de suite plu a été sa confiance en lui qui était palpable sans pour autant virer à la lourdeur. D’origine chinoise, il vit en France depuis un paquet d’année et comme je parle plutôt bien le chinois on s’est tout de suite bien entendu. On a échangé nos numéro et on s’est revus le jour suivant pour aller courir ensemble dans le parc. Une fois nos dix kilomètres effectués, on a marché un peu et il m’a raccompagné jusqu’à chez moi, passant le bras autour de ma taille pendant tout le trajet. J’ai du me concentrer pour ne pas avoir la gaule. Il m’a laissé sur le pas de la porte de l’immeuble en me disant qu’il allait me rappeler.
Deux jours après nous sommes encore allés courir ensemble dans le parc, ça commençait à devenir une habitude mais ça m’a plu. Cette fois-ci il avait ramené un sac à dos avec dedans une bouteille d’eau et une serviette parce que je lui avait dit la fois d’avant que je détestais porter quoi que ce soit pendant ma course tout en ayant soif à chaque fois. C’était la première d’une longue série de charmante attentions.
Il m’a raccompagné devant la porte de chez moi, toujours la main sur ma taille et parfois même sur mes fesses et, au dernier moment, m’a ramené près de lui et m’a embrassé. Il ne m’a même pas demandé si je voulais qu’il monte et m’a laissé sur le pas de la porte avec la trique en me promettant de me rappeler.
J’ai eu droit à un autre échantillon de sa confiance en lui la troisième fois que nous nous sommes vu, toujours pour courir dans ce foutu parc. Cette fois-ci j’ai tout fait pour qu’on finisse chez lui.
A peine avions nous passé la porte qu’il s’est déshabillé, retirant d’abord son t shirt puis ses chaussettes, son short et enfin son petit caleçon blanc et les a jeté dans une poubelle de linge sale directement posée dans l’entrée.
« Je suis généralement nu à la maison, j’espère que ça ne te gène pas ».
La façon si sexy et en même temps si détachée avec laquelle il a dit ça a suffit à me faire saliver, sa queue a fait le reste. Elle pendant en face de moi en dessous d’un petit buisson de poils noirs raides. J’ai eu du mal à décrocher mes yeux de son tuyau qui devait faire dans les 14 ou 15 cm au repos, posé sur des couilles pendantes. En vrai gentleman, il ne bandait pas encore. Sa bite pendait sagement entre ses cuisses musclées avec un gland rouge foncé percé de part en part par une barre dorée, le tout regardait gentiment vers le sol, comme pour éviter de me faire peur.
Il s’est dirigé vers moi et m’a déshabillé comme on déshabille un gamin, vêtement par vêtement. Je ne suis pas aussi bien élevé que lui, je bandais comme un âne, ça avait l’air de lui plaire. Ma queue était raide et mon gland écarlate pointait son prince Albert vers lui.
On a pas eu besoin de dire quoi que ce soit pour se faire comprendre notre point commun.
« Maintenant va sous la douche, j’ai envie de niquer." Il a prononcé cette phrase avec telle nonchalance que je n’ai pas eu l’impression que c’était un ordre tout en comprenant qu’il ne valait mieux pas marchander avec luiIl m’a lavé et savonné avec délicatesse et m’a doigté comme un saligot pendant une bonne demie heure. Puis il m’a séché et fait coucher sur le lit pour me pomper la bite avec avidité, comme quelqu’un qui a son premier repas depuis quatre jours.
J’avais envie de gouter la sienne, elle était si belle et avait l’air à la fois solide et pure alors qu’elle était désormais complètement gonflée et dure affichant un gros gland en béton et une hampe profilée constellée de veine mais sans un plis de peau.
« Pas besoin de t’occuper de ça, ton cul me suffit » m’a-t-il dit avec la même nonchalance qui m’a donné encore plus envie de jouer avec son manche." "Ca faisait un bon moment que personne ne m’avait pénétré, j’aurais préféré un plus petit membre pour me remettre en jambe mais je ne suis pas du style à cracher dans la soupe." Il est entré lentement dans mon cul serré, appréciant chaque centimètre qu’il parcourait.
Il m’a niqué comme si sa vie en dépendait pendant environ un quart d’heure jusqu’au moment où j’ai lâché une dizaine de jets de sperme sur ses draps, il a alors retiré sa queue de moi, s’est branlé vigoureusement et a craché sa sauce sur mon dos en rugissant comme un lion.
On s’est écroulés sur le lit, une minute de silence a passé avant qu’il me dise d’une voix douce mais ferme, classique de lui :
Ne refait plus jamais ça.
« Ça » quoi ?
Te toucher la bite pendant que je te nique. C’est irrespectueux.
Comment ça irrespectueux?
JE suis celui qui doit te faire jouir, pas toi, donc ne le refais plus jamais, d’accord ?" Il a dit ça d’une façon si sexy que je ne suis pas arrivé à mal le prendre et j’ai juste répondu « ok » puis il a ajouté :Soit dit en passant, maintenant qu’on est ensemble, je dois te dire que j’accorde beaucoup d’importance à la fidélité." Puis il m’a regardé avec un sourire magnifique : « Mais rassure toi, je mettrai un point d’honneur à te baiser autant de fois que tu le souhaiteras et j’attends la même chose de ta part ». Et puis il m’a embrassé, content de cette mise au point.""Sa queue était à présent redevenue molle et quelques gouttes de sperme étaient restées coincées dans son bijoux doré. Je l’ai regardée et puis j’ai commencé à jouer avec, d’abord en la touchant et puis en la léchant et en la suçant quand elle redevint dure comme la pierre.
Tu n’es pas forcé de faire ça…Je sais, j’ai envie de le faire.
D’accord, si ça te fait plaisir… Il avait l’air presque gêné de cette attention que je lui portait, de ce plaisir qui lui semblait égoïste.
Bon allé, remets toi à quatre patte maintenant, j’ai envie de ton cul.
Non, laisse moi jouer encore un peu.
J’avais ses couilles dans la main, il ne pouvait pas dire grand chose. Je lui polissait le gland de la même façon que je polis le mien quand je suis seul. Sa queue est particulièrement résistante, on peut jouer avec comme on veut, être un peu rude, un peu violent, sans que ça ne lui fasse mal, bien au contraire, il adore quand on y va un peu fort, sans trop lubrifier.
Putain c’est bon ! Continue comme ça, tu te débrouilles super bien bébé !
Il gémissait de sa voix grave de plus en plus fort et puis, à un moment, il a saisit sa bite alors qu’elle était en dehors de ma bouche et a commencé à se masser le gland très très rapidement, le pointant vers son ventre et lâcha plusieurs volées de semence crémeuse qui s’étalèrent autour de son nombril. Après avoir repris ses esprits il s’est relevé, m’a saisi le visage dans une main et m’a embrassé.
Merci bébé, c’était vraiment super. Normalement je ne fais pas ça mais avec toi je crois que je vais y prendre gout !
Il s’est en suite dirigé vers la salle de bain pour se débarbouiller alors que je lui lançais :
Juste comme ça, pourquoi tu m’a pris ta queue ?
Ben, parce que j’allais gicler, logique…Euh, je ne comprends pas…Ben, j’allais quand même pas te gicler dans la bouche quand même !
Sur le coup, ça l’a meme fait rire.
Ben, si …C’est pas la peine de te forcer si tu veux pas, c’était déjà vraiment super, j’ai vraiment kiffé !
Je me force à rien ! La prochaine fois tu me laisses ta queue, d’accord ?
D’accord, si tu veux. Je vais pas me branler pendant trois jours avant comme ça tu seras récompensé pour tes efforts !
La perspective de me gicler dans la bouche l’avait rendu extatique, comme un soir de premier rendez-vous ou à la veille de Noël, il voulait préparer ça comme il se doit. Comme si le « travail » que je faisais en le suçant devait être compensé par quelque chose, en l’occurrence trois jours d’abstinence.
ll est sorti de la salle de bain avec une érection magnifique, presque menaçante. Je lui lançait :
Elle mesure combien ?
19 cm.
Pas mal pour un chinois !
Je faisais exprès de le provoquer et j’avais raison.
Tu vas voir ce qu’il va te faire le chinois ! Allé mets toi à quatre patte et arrête de discuter !
J’ai du garder mes mains sur le mur pendant toute l’opération. Il m’a niqué en levrette mais lui était accroupis derrière moi ce qui faisait taper sa bite sur les parois de mon orifice, un geste douloureux les dix premières minutes mais très agréable par la suite.
Son gland me labourait la prostate et, par moment, il s’arrêtait, se calait dans moi et me branlait pendant quelques minutes avec juste un peu de salive dans la paume de sa main.
Il cessait toujours ses caresses au bon moment, ne m’emmenant jamais trop loin. Malgré cette alternance de pénétrations et de caresses, sa queue est restée dure comme un bout de bois. C’était un peu comme si il tentait de me faire parcourir un chemin, un chemin vers l’orgasme en quelque sorte. Il utilisait ma queue pour amorcer le processus, la massant d’abord franchement puis de plus en plus légèrement jusqu’au moment où il avait juste son indexe sur mon urètre pour contrôler si je mouillait bien. Il étalait mon liquide sur mon frein et laissait simplement son doigt aller et venir dessus au gré de ses pénétrations. Petit à petit, le mouillement quasi inconscient au début commença à se faire sentir à travers ma bite, comme si un peu situé dans mon cul se propageait dans mon membre me tirant des gémissements et puis :
Vas y plus fort !
Tu la sens ?
Oui putain, vas y plus fort.
Mon cul se serrait au maximum, ses couilles claquaient contre mon périnée, sa queue avait l’air d’être plus dure que jamais. J’ étais tellement pris dans mon propre plaisir, un truc que j’avais jamais ressenti avant, que je ne l’ai presque pas entendu grogner derrière moi.
Il y allait comme un bourrin ce qui a décuplé mon orgasme et l’a fait continué bien après que les dernières gouttes de mon sperme soient venues s’écraser sur le lit.
Deux secondes de silence ont suivit, il s’est désengagé de moi en s’excusant.
Pourquoi tu t’excuses ?
J’ai été pris dans le machin, comme tu jouissait je voulais pas arrêter alors… j’ai tout lâché dans ton trou…Il s’est penché et a commencé à lécher son sperme autour de mon orifice. Sa langue était douce et courageuse, je n’ai pas eu le courage de lui dire que ce n’était pas grave.
On s’est rencontré via des amis communs, ce qui m’a tout de suite plu a été sa confiance en lui qui était palpable sans pour autant virer à la lourdeur. D’origine chinoise, il vit en France depuis un paquet d’année et comme je parle plutôt bien le chinois on s’est tout de suite bien entendu. On a échangé nos numéro et on s’est revus le jour suivant pour aller courir ensemble dans le parc. Une fois nos dix kilomètres effectués, on a marché un peu et il m’a raccompagné jusqu’à chez moi, passant le bras autour de ma taille pendant tout le trajet. J’ai du me concentrer pour ne pas avoir la gaule. Il m’a laissé sur le pas de la porte de l’immeuble en me disant qu’il allait me rappeler.
Deux jours après nous sommes encore allés courir ensemble dans le parc, ça commençait à devenir une habitude mais ça m’a plu. Cette fois-ci il avait ramené un sac à dos avec dedans une bouteille d’eau et une serviette parce que je lui avait dit la fois d’avant que je détestais porter quoi que ce soit pendant ma course tout en ayant soif à chaque fois. C’était la première d’une longue série de charmante attentions.
Il m’a raccompagné devant la porte de chez moi, toujours la main sur ma taille et parfois même sur mes fesses et, au dernier moment, m’a ramené près de lui et m’a embrassé. Il ne m’a même pas demandé si je voulais qu’il monte et m’a laissé sur le pas de la porte avec la trique en me promettant de me rappeler.
J’ai eu droit à un autre échantillon de sa confiance en lui la troisième fois que nous nous sommes vu, toujours pour courir dans ce foutu parc. Cette fois-ci j’ai tout fait pour qu’on finisse chez lui.
A peine avions nous passé la porte qu’il s’est déshabillé, retirant d’abord son t shirt puis ses chaussettes, son short et enfin son petit caleçon blanc et les a jeté dans une poubelle de linge sale directement posée dans l’entrée.
« Je suis généralement nu à la maison, j’espère que ça ne te gène pas ».
La façon si sexy et en même temps si détachée avec laquelle il a dit ça a suffit à me faire saliver, sa queue a fait le reste. Elle pendant en face de moi en dessous d’un petit buisson de poils noirs raides. J’ai eu du mal à décrocher mes yeux de son tuyau qui devait faire dans les 14 ou 15 cm au repos, posé sur des couilles pendantes. En vrai gentleman, il ne bandait pas encore. Sa bite pendait sagement entre ses cuisses musclées avec un gland rouge foncé percé de part en part par une barre dorée, le tout regardait gentiment vers le sol, comme pour éviter de me faire peur.
Il s’est dirigé vers moi et m’a déshabillé comme on déshabille un gamin, vêtement par vêtement. Je ne suis pas aussi bien élevé que lui, je bandais comme un âne, ça avait l’air de lui plaire. Ma queue était raide et mon gland écarlate pointait son prince Albert vers lui.
On a pas eu besoin de dire quoi que ce soit pour se faire comprendre notre point commun.
« Maintenant va sous la douche, j’ai envie de niquer." Il a prononcé cette phrase avec telle nonchalance que je n’ai pas eu l’impression que c’était un ordre tout en comprenant qu’il ne valait mieux pas marchander avec luiIl m’a lavé et savonné avec délicatesse et m’a doigté comme un saligot pendant une bonne demie heure. Puis il m’a séché et fait coucher sur le lit pour me pomper la bite avec avidité, comme quelqu’un qui a son premier repas depuis quatre jours.
J’avais envie de gouter la sienne, elle était si belle et avait l’air à la fois solide et pure alors qu’elle était désormais complètement gonflée et dure affichant un gros gland en béton et une hampe profilée constellée de veine mais sans un plis de peau.
« Pas besoin de t’occuper de ça, ton cul me suffit » m’a-t-il dit avec la même nonchalance qui m’a donné encore plus envie de jouer avec son manche." "Ca faisait un bon moment que personne ne m’avait pénétré, j’aurais préféré un plus petit membre pour me remettre en jambe mais je ne suis pas du style à cracher dans la soupe." Il est entré lentement dans mon cul serré, appréciant chaque centimètre qu’il parcourait.
Il m’a niqué comme si sa vie en dépendait pendant environ un quart d’heure jusqu’au moment où j’ai lâché une dizaine de jets de sperme sur ses draps, il a alors retiré sa queue de moi, s’est branlé vigoureusement et a craché sa sauce sur mon dos en rugissant comme un lion.
On s’est écroulés sur le lit, une minute de silence a passé avant qu’il me dise d’une voix douce mais ferme, classique de lui :
Ne refait plus jamais ça.
« Ça » quoi ?
Te toucher la bite pendant que je te nique. C’est irrespectueux.
Comment ça irrespectueux?
JE suis celui qui doit te faire jouir, pas toi, donc ne le refais plus jamais, d’accord ?" Il a dit ça d’une façon si sexy que je ne suis pas arrivé à mal le prendre et j’ai juste répondu « ok » puis il a ajouté :Soit dit en passant, maintenant qu’on est ensemble, je dois te dire que j’accorde beaucoup d’importance à la fidélité." Puis il m’a regardé avec un sourire magnifique : « Mais rassure toi, je mettrai un point d’honneur à te baiser autant de fois que tu le souhaiteras et j’attends la même chose de ta part ». Et puis il m’a embrassé, content de cette mise au point.""Sa queue était à présent redevenue molle et quelques gouttes de sperme étaient restées coincées dans son bijoux doré. Je l’ai regardée et puis j’ai commencé à jouer avec, d’abord en la touchant et puis en la léchant et en la suçant quand elle redevint dure comme la pierre.
Tu n’es pas forcé de faire ça…Je sais, j’ai envie de le faire.
D’accord, si ça te fait plaisir… Il avait l’air presque gêné de cette attention que je lui portait, de ce plaisir qui lui semblait égoïste.
Bon allé, remets toi à quatre patte maintenant, j’ai envie de ton cul.
Non, laisse moi jouer encore un peu.
J’avais ses couilles dans la main, il ne pouvait pas dire grand chose. Je lui polissait le gland de la même façon que je polis le mien quand je suis seul. Sa queue est particulièrement résistante, on peut jouer avec comme on veut, être un peu rude, un peu violent, sans que ça ne lui fasse mal, bien au contraire, il adore quand on y va un peu fort, sans trop lubrifier.
Putain c’est bon ! Continue comme ça, tu te débrouilles super bien bébé !
Il gémissait de sa voix grave de plus en plus fort et puis, à un moment, il a saisit sa bite alors qu’elle était en dehors de ma bouche et a commencé à se masser le gland très très rapidement, le pointant vers son ventre et lâcha plusieurs volées de semence crémeuse qui s’étalèrent autour de son nombril. Après avoir repris ses esprits il s’est relevé, m’a saisi le visage dans une main et m’a embrassé.
Merci bébé, c’était vraiment super. Normalement je ne fais pas ça mais avec toi je crois que je vais y prendre gout !
Il s’est en suite dirigé vers la salle de bain pour se débarbouiller alors que je lui lançais :
Juste comme ça, pourquoi tu m’a pris ta queue ?
Ben, parce que j’allais gicler, logique…Euh, je ne comprends pas…Ben, j’allais quand même pas te gicler dans la bouche quand même !
Sur le coup, ça l’a meme fait rire.
Ben, si …C’est pas la peine de te forcer si tu veux pas, c’était déjà vraiment super, j’ai vraiment kiffé !
Je me force à rien ! La prochaine fois tu me laisses ta queue, d’accord ?
D’accord, si tu veux. Je vais pas me branler pendant trois jours avant comme ça tu seras récompensé pour tes efforts !
La perspective de me gicler dans la bouche l’avait rendu extatique, comme un soir de premier rendez-vous ou à la veille de Noël, il voulait préparer ça comme il se doit. Comme si le « travail » que je faisais en le suçant devait être compensé par quelque chose, en l’occurrence trois jours d’abstinence.
ll est sorti de la salle de bain avec une érection magnifique, presque menaçante. Je lui lançait :
Elle mesure combien ?
19 cm.
Pas mal pour un chinois !
Je faisais exprès de le provoquer et j’avais raison.
Tu vas voir ce qu’il va te faire le chinois ! Allé mets toi à quatre patte et arrête de discuter !
J’ai du garder mes mains sur le mur pendant toute l’opération. Il m’a niqué en levrette mais lui était accroupis derrière moi ce qui faisait taper sa bite sur les parois de mon orifice, un geste douloureux les dix premières minutes mais très agréable par la suite.
Son gland me labourait la prostate et, par moment, il s’arrêtait, se calait dans moi et me branlait pendant quelques minutes avec juste un peu de salive dans la paume de sa main.
Il cessait toujours ses caresses au bon moment, ne m’emmenant jamais trop loin. Malgré cette alternance de pénétrations et de caresses, sa queue est restée dure comme un bout de bois. C’était un peu comme si il tentait de me faire parcourir un chemin, un chemin vers l’orgasme en quelque sorte. Il utilisait ma queue pour amorcer le processus, la massant d’abord franchement puis de plus en plus légèrement jusqu’au moment où il avait juste son indexe sur mon urètre pour contrôler si je mouillait bien. Il étalait mon liquide sur mon frein et laissait simplement son doigt aller et venir dessus au gré de ses pénétrations. Petit à petit, le mouillement quasi inconscient au début commença à se faire sentir à travers ma bite, comme si un peu situé dans mon cul se propageait dans mon membre me tirant des gémissements et puis :
Vas y plus fort !
Tu la sens ?
Oui putain, vas y plus fort.
Mon cul se serrait au maximum, ses couilles claquaient contre mon périnée, sa queue avait l’air d’être plus dure que jamais. J’ étais tellement pris dans mon propre plaisir, un truc que j’avais jamais ressenti avant, que je ne l’ai presque pas entendu grogner derrière moi.
Il y allait comme un bourrin ce qui a décuplé mon orgasme et l’a fait continué bien après que les dernières gouttes de mon sperme soient venues s’écraser sur le lit.
Deux secondes de silence ont suivit, il s’est désengagé de moi en s’excusant.
Pourquoi tu t’excuses ?
J’ai été pris dans le machin, comme tu jouissait je voulais pas arrêter alors… j’ai tout lâché dans ton trou…Il s’est penché et a commencé à lécher son sperme autour de mon orifice. Sa langue était douce et courageuse, je n’ai pas eu le courage de lui dire que ce n’était pas grave.
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