Eveil sexuel

- Par l'auteur HDS MiX -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Eveil sexuel Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Eveil sexuel
Pour toutes celles et ceux qui ont déjà lu mes histoires précédentes, celle là se place juste avant toutes les autres. En fait quelques mois avant, l'été qui a précédé l'année scolaire dans laquelle elles se déroulent. Comme tous les ados, à cette époque là, j'étais quelqu'un d'assez mal dans ma peau, d'assez renfermé et je venais de sortir d'une rupture avec une fille qui s'était assez mal passée pour moi. Donc si vous avez eu l'impression que voila, mes potes de l'époque et moi on est des gens assez libérés et sans complexes, sachez que ça n'a pas toujours été le cas, en tous cas pas en ce qui me concerne. Ceci est la réelle première fois que j'ai eu un rapport sexuel avec un homme c'est juste que c'est très personnel et que j'ai hésité à vous le raconter.


Cette histoire a commencé bien étrangement alors que je me croyais seul chez moi. J'étais chez mon père, qui a divorcé de ma mère il y a 7 ans, seul, il était sensé être parti dîner avec une de ses Xème copine du moment. Il devait être environ une heure du matin, c'était un vendredi soir du mois de juin.
Dans cette grande maison au milieu de la campagne, un endroit où je n'ai pas grandi et où je ne connait personne, il n'y a pas grand chose à faire d'autre que jouer au jeux vidéos le soir. C'est ce que j'ai fait une bonne partie de la soirée puis j'ai décidé d'aller prendre une douche et de me coucher.
Je me suis dirigé vers la salle de bain, ai enlevé mes habits et et ai commencé à me doucher.
J'ai 23 ans, je mesure 1m85, la peau bronzée par le sport en extérieur. Sans me vanter je peux dire que je suis plutôt bien foutu. Brun, cheveux courts, barbu, le torse recouverts de fins poils noirs raides allant jusque sur le ventre et rejoignant mon pubis. Les bras, les cuisses, les fesse musclés. Entre mes jambes ballotte une paire de couilles grosses comme deux bonnes boules de billard, nerveuses et regroupées en bas de ma queue. Mon manche fait 14-15 cm au repos, très gros, presque anormalement gros, épais comme un rouleau de papier toilette (la partie en carton hein !) terminé par un gland naturellement découvert rouge foncé. Tout le monde pense que je suis circoncis mais je ne le suis pas, c'est naturel.
Mais à cette époque je n'étais pas du tout comme ça. Je commençais le sport donc j'étais encore un peu fin, très élancé. Ma peau était moins bronzée et la peau de mon pénis, qui faisait peut être 13cm au repos, recouvrait encore le gland à moitié. (mon avatar est une photo prise juste à cette époque). Je n'avais pas fini ma croissance à tous les niveaux mais c'était en bonne voie. A cette époque là je désespérais d'avoir des poils pour enfin ressembler à un vrai homme et le peu que j'avais je le rasais parce que mon ex m'avait dit que c'était plus sexy.
J'ai pris ma douche, j'en suis sorti, me suis séché et comme j'allais de toutes façons dormir à poil, je sortais nu de la salle de bain, mes habits dans la main. Quand je suis sorti de la salle de bain, alors que je pensais être seul, j'ai entendu un bruit au fond du couloir et puis la lumière s'est allumée. Mon père était là, à l'autre bout du corridor, en train d'enlever ses chaussures. Je me suis immédiatement couvert par pudeur mais mes habits me sont tombés des mains et j'essayais assez piteusement de les ramasser par terre pour cacher mon intimité. La scène devait être drôle à voir. Mon père m'a lancé :
- Ca va, c'est moi qui t'ai fabriqué, c'est pas non plus la peine de faire un scandale !
Rouge comme une tomate, je suis allé me cacher dans ma chambre.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, j'étais naturellement encore un peu gêné de la veille. Je mangeais mes céréales sans rien dire, le nez dans le bol. Il a alors commencé la conversation :
- Des nouvelles de Camille?
Camille était ma copine, il l'a rencontré deux fois, mais comme souvent avec les parents, ils oublient qu'entre temps il y a eu une rupture.
- Non, on a rompu, c'est fini depuis un moment.
- Et sinon… Camille et toi, vous avez …
- On a quoi papa ?
J'avais peur de savoir ce qu'il me demandait.
- Tu sais, … es ce que vous avez eu des rapports sexuels ?
J'étais gêné, mais je me suis dit qu'après ce qui était arrivé la veille, je ne pouvais pas encore faire mon pudique ou il allait définitivement penser que je suis un puceau coincé et m'assaillir d'encore plus de questions.
- Oui, on l'a fait.
- Et avant Camille ?
- Personne.
- Et après Camille ?
- Personne.
Il a soupiré et a marmonné :
- C'est que tu dois t'y prendre vraiment mal. En tout cas ça vient pas de mon côté…
- Pardon ?
- Non, rien.
Et puis il a changé de sujet et sur le coup je n'ai absolument pas compris le lien entre les deux.
- Pour les vacances cet été, c'est toujours la deuxième semaine de Juillet qu'on part ensemble hein ?
- Oui papa. On va en toujours au Pays Basque ?
- Non, on va à la Méditerranée !
- Hier encore tu me disais qu'on irai dans la maison d'Yvonne à Biarritz !
- Oui, ben les plans ont changé, aller, va te préparer, on va être en retard !

La discussion s'est arrêtée là, les semaines ont passé sans que je n'y pense. La deuxième semaine de Juillet est arrivée.
Nous sommes partis de chez lui en voiture, le trajet à pris un temps fou. Quand nous sommes arrivé c'était la nuit. C'était une sorte de petit village en bord de mer, un peu dans le dunes, avec des bungalows en bois posés sur le sable. Il était tard, c'était désert, nous avons déchargé la voiture et sommes allé dormir. La première surprise fut qu'il n'y avait qu'une chambre avec un lit deux places et un salon. Pas franchement habitué à cette promiscuité, c'est assommé par la fatigue, en caleçon et en t-shirt par 30 degrés que j'ai trouvé le sommeil.

Le lendemain, il devait être 10h, je fut réveillé par le bruit de l'eau qui coulait. Mes valises n'étaient plus par terre, mon père, avec sa manie du rangement, avait du tout mettre dans les placards.
Je criais dans le vide : Pa ?????????
Sa voix me répondit : Je suis dehors, je prends ma douche !
- Comment ça tu prends ta douche dehors ?
- La salle de bain est dehors, c'est tout de même plus agréable.
Je ne savais pas quoi répondre, l'idée de me laver comme ça devant tout le monde me plaisait moyennement.
- Il y a une deuxième douche de libre, vient te décrasser.
- Heu, comme ça dehors ?
- Il y a des paravents couillon !
Rassuré, je retirais mes habits, nouait une serviette bien fermement autour de ma taille et sortait par la porte de derrière. Je me dirigeais vers le bruit de l'eau, à 3 mètres de là sur un petit chemin pavé. Effectivement, il y avait des cloisons en bambous, la cabine avait l'air très très spacieuse et pour cause...
J'ai crié : Et elle est ou la douche libre ?
Il m'a répondu : devant toi !
Pénétrant dans ce carré, j'ai effectivement vu un emplacement libre en dessous d'un pommeau de douche et en face : mon père, nu, s'étalant du gel douche sur le torse, en dessous d'un second jet.
Je suis resté bouche bée trois secondes car c'était la première fois que je le voyais à poil depuis l'âge de 11 ans environ. Il est comme moi aujourd'hui, grand, foutu comme un sportif et poilu. Plus poilu que moi d'ailleurs. Le plus choquant c'est sa bite : Trait pour trait la même que la mienne actuellement mais plus longue. A vu de nez elle devait faire 16 ou 17 cm au repos. Mais à part ça, à la veine près (nos veines sont bleues et assez visibles même si le rendu de mes photos n'est pas très bon), c'est la même. Même épaisseur, même gland, même burnes. Tout pareil.
J'étais au comble de la gêne, en train de faire malgré moi quelques pas en arrière pour sortir quand il s'est dirigé vers la douche libre et, tournant le robinet qui avait une forme assez bizarre, il m'a dit :
- Voila, pour l'allumer c'est comme ça. La température tu la règles avec le bouton d'à côté.
J'ai tenté d'ouvrir la bouche pour dire quelque chose, il a tout de suite continué :
- Ta serviette, tu peux la mettre sur la cloison et ne t'inquiètes pas, c'est une douche privative uniquement pour notre bungalow.
Je me suis mis dos à lui, ait enlevé ma serviette en tremblant un peu, l'ai posé sur la cloison comme il l'a dit et en marchand en crabe, je me suis mis sous la douche. Il s'est approché de moi, il était à 5 cm et moi je ne savais plus où me foutre. Il m'a tendu le gel douche et est sorti de la cabine avec sa serviette sur l'épaule, nu en fait.
Avant de passer la porte, il a pris la mienne alors que je ne fais pas attention et est sorti en me disant : Tu n'auras pas besoin de ça ici !
Le voyant partir je lui ai hurlé : C'est pas drôle, rend la moi !
- Je te dis que tu n'aurais pas besoin de ça ici !
Toujours criant à travers la cloison : Mais pourquoi tu dis ça ?

Il m'a alors répondu ce que je ne voulais pas entendre : C'est un village nudiste !
La porte arrière du chalet à claqué.


J'ai eu tout le temps de sécher au soleil avant d'oser sortir de cette cabine. Je me suis dirigé vers la porte arrière en essayant d'être le plus rapide possible. Elle était naturellement fermée.
Je devais faire le tour par devant.
Sur le perron, mon père m'attendait, un panier à la main.
J'ai essayé de rentrer dans la maison, il m'a lancé : Te fatigues pas va, la porte est fermée.
Il m'a tendu mes lunettes de soleil et m'a dit : Viens, on va aller bronzer sur la plage !
Je n'avais pas vraiment d'autre choix que de le suivre. Les ruelles me paraissaient bondées alors que rétrospectivement je sais qu'il n'y avait pas tant de monde que ça. Tout le monde était nu, les jeunes, les vieux, tout le monde. Je me sentais le plus nu de tous ce qui était techniquement vrai puisque j'étais pieds nu et les autres en tongs. Les pieds dans le sable, c'était agréable même si sur le moment je ne n'y pensais pas trop.
J'étais énervé et j'ai lancé à mon père :
- Tu penses pas qu'il aurait été intelligent de me demander mon avis avant de venir ici ?
- Ben non, tu aurais refusé...
- Bien sur que j'aurais refusé !
- Il faut que tu te décoinces, je t'ai pas élevé pour que tu sois mal dans ta peau !
- Et qu'es ce que je fais si je bande ?
- Tu penses à ta grand mère jusqu'à ce qu'on sorte du village et après ça ne sera plus un problème.

Je n'ai plus osé poser de question.

Nous sommes sorti du village, avons longé la plage et dépassé l'endroit où se retrouvaient toutes les familles pour arriver sur une autre plage nettement plus déserte.
On s'est installé sur des serviettes, je regardais la mer, une fille se baignait, nue. Il y avait d'autres personnes dans l'eau mais mon père a tout de suite remarqué ce que je regardais et m'a dit :
- Elle est mignonne hein !
- Oui, mais je vais arrêter de la regarder, elle me donne la trique.
- Et alors ? Si t'as la trique va te branler derrière dans les dunes et si t'as de la chance elle t'y suivra. C'est comme ça que ça se passe ici.
- Ca m'intéresse pas !
- Ecoute mon fils, tu es beau, tu es intelligent, tu as la vie devant toi et il y a des capotes dans le panier. Tu ne vas pas me dire qu'il n'y a qu'une seule fille qui s'est intéressé à toi dans toute ta vie, je ne te croirais pas!
Comme beaucoup de pères, le mien est assez avare de compliments et ce qu'il venait de dire m'a touché. Ca m'a détendu.
Il a ajouté en rigolant :
- En plus avec le paquet que tu as…ça me ferait bien mal!
J'ai pouffé de rire et ai ajouté timidement :
- D'ailleurs, merci…
- Pourquoi ?
- Pour le paquet …
- Toi aussi t'as remarqué hein !
Il s'est posté à côté de moi pour comparer et, ajoutant avec une voix d'expert :
- Bon, les centimètres en plus tu les auras à l'ancienneté !
- Ah bon ? Ca peut encore grandir à mon âge ?
- Il te reste bien 1 ou 2 centimètres de marge avant que ton gland soit entièrement découvert mais a mon avis tu prendra plus en épaisseur qu'en longueur. La longueur ça vient plus lentement. En tout cas j'étais comme toi à ton âge et c'est ce que mon père m'a dit et il a eu raison.
- Papy ? Il t'as dit ça ?
- Ben oui. Tu crois que c'est avec qui que je suis venu ici la première fois ? Bon c'était pas aussi luxueux qu'aujourd'hui, on dormait dans des tentes.
- Papy venait dans ce type d'endroits ?
- Ben ouais, surtout avant et après son divorce avec ta grand mère. Elle n'était pas vraiment fan de nudisme et puis tu sais comme il est coureur ! D'ailleurs il y vient toujours. Moi j'avais un peu envie de voir autre chose, mais ça fait 5 ans que je reviens ici une semaine l'été, normalement quand tu es chez ta mère.
Son portable sonna. Il répondit :
- Ah, justement on parlait de toi ! …. Ben là on est sur la plage qui est à gauche après le drapeau tu sais … oui, celle là même ! … Ben je te vois arriver, bon à tout de suite.
Est arrivé alors ce que je craignais le plus. Mon grand père est apparu en face de nous. Nu, bien entendu. Franchement, il était bien conservé. Mieux que je ne le pensais. C'était un grand mec de 65 ans, sportif aussi, la peau un peu tombante mais avec encore tous ses cheveux. Certains étaient gris, certains de ses poils aussi. Comme mon père et moi il a les yeux bleus, comme mon père et moi il est poilu, comme mon père et moi il a ce gros paquet qui ballottait entre ses jambes. Comme mon père, il avait la queue plus longue que celle de son fils, la sienne devenait proprement énorme. De même grosseur que la mienne, elle faisait pratiquement la taille que j'arrivait à atteindre en érection, soit 18 centimètres. Je me levais pour l'embrasser, un peu gêné mais déjà plus décontracté qu'en prenant ma douche. Il me dit en me faisant la bise :
- Ben voila notre grand gaillard. Qu'es ce que tu me racontais Michel, il a pas l'air mal dans sa peau du tout !
- Si t'avais vu les manoeuvres que j'ai du entreprendre pour le faire sortir du bungalow…
- Ah, de mon temps on aurait pas eu ce problème avec les tentes ! Tu te souviens ?
- Oui oui… en attendant tes tentes elles étaient pas très pratiques !
Mon grand père m'a alors interpelé :
- Tu vois, à ton âge ton père était pas beaucoup mieux que toi ! Va faire une levrette dans une tente ! Moi j'ai toujours fait ça dans les dunes, à la dure!
Et sans me laisser le temps d'encaisser la nouvelle :
- En tout cas c'est sur que c'est bien ton fils Michel, maintenant y'a plus de doute ! Il l'a encore plus forte que moi quand j'avais son âge ! Quand il aura l'âge de la retraite il pourra plus la tenir dans une main !
Je ne suis pas expert en patrimoine génétique mais en tout cas il doit y avoir des gênes très persistants dans notre famille. La ressemblance est flagrante, même à une génération d'écart. On avait l'impression que c'était le même service trois pièces avec simplement quelques années de différence à chaque fois.
- A vu de nez ça doit faire 15 bons centimètres ça !
- Oui 13 en mode repos.
- Ben alors pourquoi tu t'en sers pas ?!!!
La nouvelle avait vite passé les générations.

A ce moment là la fille qui se baignait est sortie de l'eau. Elle devait avoir la vingtaine, était grande, brune, épilée de partout avec de beaux seins bien fermes. Elle passa entre nous trois alors que nous étions debout près de nos serviettes. C'était une provocation, elle aurait pu passer n'importe ou de part et d'autre. Elle s'est dirigée vers les dunes.
Mon père et mon grand père bandaient comme des ânes. C'était impressionnant. J'ai lancé au plus vieux :
- Et ça, ça doit bien faire 25cm !
- 24 au garde-à-vous, et je compte bien m'en servir !
Très rapidement, il a posé ses affaires et s'est dirigé vers les dunes.
Mon père et moi avons continué à discuter et après un quart d'heure, une envie de pissé se faisant ressentir, je me suis éloigné pour aller me soulager. Alors que j'urinais derrière un arbre, j'ai entendu la voix de mon grand père, quelque part, derrière un fouret beuglant :
" T'aime ça hein ! Je suis sur que t'en a jamais eu une aussi grosse avant!"
Une voix féminine, certainement celle de la fille qui était passée devant nous, émettait de petits cris de plaisir, de petits "ha oui, ha oui, encore !". Il a surenchéri "Vas y, serres ta petite chatte que je me finisse" en lui assenant de bruyantes claques sur les fesses.
Dieu merci, je ne voyais rien de cette scène, j'ai d'ailleurs terminé le plus rapidement possible de pisser pour pouvoir m'en aller.
Quelques minutes après que je sois revenu à nos serviette, il s'est repointé, le gland écarlate dans une sorte de semie érection. Il tenait un papier à la main :
- Première baise de la saison : du tonnerre. Un bon signe pour la semaine qui vient !
Les deux vieux ont rigolé et se sont endormi au soleil. Pendant leur sieste j'en ai profité pour aller jeter un oeil au morceau de papier qu'il avait rangé sous un tube de crème solaire à côté de lui. Il y était écrit : "Bungalow 11, 22h00. Pas contre une sodomie". Pour la première fois depuis ma rupture avec mon ex une envie de baiser m'a pris d'un seul coup, j'avais une trique monstrueuse.

Après un repas léger, je suis aller prendre ma douche, toujours un peu dans mon coin, toujours gêné. Toujours le seul à être gêné d'ailleurs. Machinalement je suis allé enfiler un caleçon et ai entrepris de sortir pour rejoindre le bungalow 11, je ne pensais qu'à ça. Il devait être 21h30. Au moment où je passait la porte, mon père, qui faisait la vaisselle dans la cuisine, m'a lancé :
- Tu n'oublies pas quelque chose ?
En regardant mon caleçon avec insistance. J'avais tellement envie de me vider les couilles, une envie soudaine qui ne m'avait plus pris aussi rapidement et aussi fermement depuis ma rupture avec mon ex que, sans poser de question, je l'ai enlevé et l'ai lancé sur le canapé avant de partir en coup de vent.
Je suis arrivé quelques minutes plus tard devant le bungalow 11, je me sentais un peu con comme ça. Il y avait de la lumière, j'ai toqué à la porte. La fille m'a ouvert, elle n'était pas plus habillée que moi. Machinalement elle m'a demandé :
- Qui es tu ?
Je lui ai alors répondu du tac au tac :
- Je suis le petit fils de Roger. Il m'a dit de venir te dire qu'il ne pourra pas venir ce soir.
- Ah, c'est dommage.
Je n'en revenait pas d'être là, mais je n'ai pas perdu mon sang froid.
- Sinon, le mot que t'as laissé dit que tu n'est pas contre la sodomie…
- Entre.

Alors qu'elle me faisait dos je claquais la porte derrière nous et la prenait par les hanches pour la coller à moi. Passant ma main sur ses seins, sur sa chatte, lui empoignant la vulve, lui titillant le clito. Je bandais comme un âne et ma bite à trouver le chemin de sa petite chatte bien mouillée sans problème mais je ne voulais pas de ça. Après quelques vas et viens dans son vagin, j'avais la bite très lubrifiée et je l'ai lentement poussée contre sa rondelle. Elle soufflait profondément, toujours debout, dos à moi.
Je l'ai besogné comme ça, par derrière, lui empoignant la chatte en même temps, par acoups successifs en prenant bien la peine de retirer tout mon dard avant de lui réenfoncer. Au bout de dix minutes elle m'a jouit entre les mais, à gros flots. C'était la première fois que je baisais une femme fontaine, j'ai adoré. Sa chatte et ma main ruisselaient de sa mouillure, elle ne se contrôlait plus et criait :
- Oh oui ! Oh Oui ! J'aime ta bite !
Je n'avais jamais vu une meuf aussi chaude de ma vie. J'ai largué toute mon abstinence et ma frustration des derniers mois dans son anus. Ca coulait, ça ruisselait. Quand j'ai retiré ma bite, l'intérieur de ses cuisses était trempé de mouillure et de sperme. Elle s'est écroulée sur la table, je suis allé me rincer au lavabo de la cuisine. Quand je suis sorti, toujours essoufflée sur la table, elle m'a lancé :
- T'es meilleur que ton grand père !
- Oui, ben d'ailleurs il sera à l'heure. Je t'ai menti. Je compte sur toi pour ne rien dire et le satisfaire. J'ai pas envie qu'il m'accuse d'avoir cassé son coup.
Elle me regarda en riant et dit : salaud ! Si ça te dis, demain dans les dunes t'auras pas besoin de me mentir pour me prendre…
- On verra. Lui ai-je répondu.
J'ai pris une clope dans son paquet, l'ai allumée et suis sorti par la porte de derrière. J'ai fini la clope adossé contre le mur arrière de son bungalow. Au bout de quelques minutes quelqu'un à toqué à la porte, c'était mon ancêtre. La porte claqua immédiatement. J'ai juste entendu :
- Ah non ! Pas par derrière, j'ai un peu mal !
Et mon grand père râler avant de se faire une raison. J'avoue que ça m'a fait plaisir de lui avoir cassé son coup. Je suis alors rentré pour éviter d'en entendre encore plus.
Quand je suis arrivé au bungalow, mon père lisait dans le lit. Le lit deux place où on allait dormir toute la semaine. Il a levé les yeux vers moi, il a sourit, certainement en voyant mon gland rougit par cette baise par derrière. Il n'a fait aucun commentaire à part :
- Ton caleçon est sur la chaise derrière toi.
Je lui ai alors répondu :
- Laisse tomber !
Et me suis couché à poil comme ça.

Cette baise m'avait transformé. L'atmosphère lubrique de sexe qui régnait dans ce village de vacances m'avait changé. Quand je me suis levé le lendemain matin c'était comme si je n'étais plus la même personne. Avant, c'est vrai, j'étais assez mal dans ma peau, démoralisé par les cours et par cette rupture mais au bout d'un jour là bas j'étais devenu un homme qui s'assumait et j'avais à nouveau des pulsions sexuelles dignes de ce nom.
Je me suis levé le lendemain, je bandais comme un cheval, ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Je suis passé devant mon caleçon, toujours sur le dossier de la chaise, sans le regarder. Sorti de la chambre, je suis passé devant la porte de la cuisine qui était ouverte, j'ai salué mon père qui faisait la cuisine. Il m'a salué.
Il m'a ébouriffé les cheveux alors que je m'asseyais à la table du salon pour manger et m'a lancé en souriant :
- Ca fait plaisir à voir.
Je ne sais pas si c'est parce que je mangeais de bon appétit ou parce qu'il semblait que les organes reproducteurs fonctionnaient à nouveau. Petit à petit je débandais tout de même.
Après mangé je suis allé prendre ma douche. Je laissait l'eau chaude couler sur mon visage, j'étais bien. Et puis la trique m'a repris. Machinalement je mettais du gel douche dessus. Ca faisait deux semaines que je ne m'étais pas branlé. J'en ressentait très peu l'envie ces derniers temps. Machinalement, les yeux fermé, la tête sous le jet, je me donnait du plaisir. C'était pas une branlette à la sauvette comme on en a tous fait parce qu'on avait envie de gicler rapidement, c'était une branlette dans les règles de l'art, en prenant mon temps. au moment où j'allais presque jouir mon père est entré dans la douche en disant :
- Je vois que tout fonctionne. Ca te gêne si je me joint ?
J'ai ouvert les yeux. Lui ai répondu que non. Plus rien ne me gênait maintenant.
Il s'est mit sous sa douche. On s'est branlé chacun à un bout du box, j'étais déjà bien chaud. J'ai giclé une dizaine de grosses doses de foutre bien blanc au bout de quelques secondes et suis sorti.

Plus tard, nous sommes allé à ce qui était désormais notre endroit habituel et il a alors commencé la discussion.
- Fiston, tu me dis si ça te gêne d'en parler mais je me posais une question. Ca fait combien de temps que tu t'étais pas branlé comme ça ?
- Longtemps tu sais. Je sais, ça se voit à ce que j'ai expulsé.
- Mais… ça va ?
- Ben ça allait pas fort ces 10 derniers mois. Tu sais, la rupture, les cours, rien n'allait en fait. Même d'un point de vue psychologique, j'ai eu du mal à aller vers les autres. Je me suis renfermé. Je sortais plus.
- Mais pourquoi t'es pas venu m'en parler ?
- Ben on a jamais vraiment discuté de ces choses là, j'osais pas.
On a discuté comme ça des problèmes que j'avais eu pendant un moment. Ca m'a fait du bien. Il m'a donné des conseils. C'était bien.
Papy et lui sont devenus comme des potes pour moi, des potes qui ont l'avantage de l'expérience. Je pense que je n'aurais jamais pu faire ça avant et c'est certainement pour ça qu'on ne me l'a jamais proposé, mais arrivé à l'âge de 18 ans, je sais maintenant qu'on se sent mieux quand on s'assume. Aujourd'hui j'ai des poils partout, je les assume, je n'y touche plus du tout et les nanas trouvent ça très excitant.
Maintenant j'étais réveillé, j'étais décomplexé et la suite de la semaine allait être encore plus folle !
Le soleil, la chaleur et la détente aidant, je commençais à nouveau à bander comme un âne. Je cherchais la fille d'hier du regard, voir si elle ne pouvait pas me dépanner au moins d'une pipe. Mon père avait remarqué mes yeux balayant la plage et dit en riant :
- Tu cherches la fille d'hier ? On ne t'arrête plus !
- Oui, mais je ne la voit pas.
- Je pense pas qu'elle viendra aujourd'hui !
- Pourquoi ?
- Parce que ton grand père est en train de lui ramoner le fion dans son bungalow.
- Ah bon ? Mais comment tu sais ça ?
- Contrairement à toi je me suis pas contenté d'une branlette ce matin. J'ai reçu un message de papy qui me disait qu'il allait pas à la plage aujourd'hui. Je suis passé chez lui pour voir si tout allait bien, la porte de devant était fermée, à l'arrière la fille prenait sa douche. Je suis rentré dans la cabine, elle m'a tailler une petite pipe. C'était royal !
- Sympa ! T'aurais aussi pu me faire partager !
- Elle lui a dit que tu l'avais fait grimper en dix minutes hier, ça l'a heurté dans ses sentiments ! Imagine si tu en avais encore profité ce matin ...
On a rigolé a gorge déployées et puis il a repris en me désignant un type d'une vingtaine d'année qui se baignait.
- Par contre le type là c'est le copain de la fille qu'on s'est tout les trois tapé.
- Comment tu sais ça ?
- Ils habitent dans le même bungalow mais bien sur il n'est jamais là quand j'y suis.


Ce camp m'avait fait passer du stade amorphe de quelqu'un qui n'avait presque plus de vie sexuelle, même tout seul, à celui d'un type en rut constamment.
Une fois arrivé dans les dunes, je me suis mis dans un coin en retrait, un peu caché, pour me branler. Alors que je pensais être seul, j'ai entendu du bruit près de moi. Un couple baisait allègrement à quelques pas. Je suis allé voir.
C'était un homme d'une trentaine d'année et une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de 25. Je me suis approché, ma triche dans la main en leur disant :
- Ca vous gêne si je regarde ?
Ils me firent signe que non, et je me suis posté près d'eux pour ne rien louper. La fille était en levrette, à 4 pattes dans le sable, ses lourds seins tournoyaient alors que le type la bourrait en lui tenant les hanches. Elle gémissait très fort, elle avait l'air d'y prendre beaucoup de plaisir, de plus en plus de plaisir…et puis ce fut l'orgasme, très long, très bruyant. Elle se laissait aller complètement, il lui claquait abondamment les fesses et elle en redemandais.
Au bout d'un moment, le type a essayé de la lui mettre par derrière, elle a poussé un cri de douleur et a décampé comme un éclair. Il est resté là, bouche bée, la bite dans les mains, sans savoir quoi faire et m'a dit :
- Elle m'a dit qu'elle aimait ça par derrière !
- Oui mais t'as vu comme tu lui as mis ? T'aurais pu y aller doucement. Mets toi à sa place, t'aimerais toi que je te mette ma queue par surprise sans ménagement ?
- Franchement oui.
Il y a eu quelques secondes de silence. Je ne savais pas trop quoi faire. Machinalement, et je ne m'explique toujours pas pourquoi, j'ai répondu :
- Commence par me tailler une pipe et on verra après.
On dit que les mecs sucent mieux que les nanas et c'est totalement vrai. Il s'est bien appliqué, m'a pompé le gland, branler le manche, malaxer les burnes, c'était magique. J'avais la queue dure comme de l'acier, la tête renversée, les yeux fermés. Au début j'imaginais que c'était une fille qui me suçait mais après j'ai appris à prendre ce plaisir pour ce qu'il était et je l'ai regardé faire. Le mec était très beau et très bien foutu. Il n'avait pas une bite aussi grosse que la mienne, elle était normale dirons-nous mais il avait un corps d'homme fait alors que je n'étais qu'un garçon.
Le jus montait rapidement en moi mais il savait me contrôler et marquait des poses juste aux bons moments tant et si bien qu'au bout d'un quart d'heure je lui ai dit :
- Allé, maintenant fait moi jouir !
- Je te préviens, j'avale pas ton sperme !
- Mais oui, bien sur.
Je lui ai appuyé sur la tête, ait baisé sa bouche en y donnant des coups de reins et ait tout largué au fond de sa gorge. Il n'avait pas d'autre choix que d'avaler. Ca lui a plu, en fait ce genre de mecs à besoin d'être dominé après avoir baiser toutes ces filles en levrette.
- Maintenant fais moi les fesses ! m'a-t-il demandé.
- Non, j'ai envie d'aller bronzer. Je suis dans le bungalow 9, passe ce soir si tu veux me sucer.
Je n'étais pas encore prêt pour aller plus loin. Certainement une sorte de refoulement intérieur ou la peur d'être jugé si quelqu'un l'apprenait. J'allais très vite changer d'avis.

Le soir venu, après manger, comme il ne venait pas, je suis resté seul sur la terrasse à lire un magazine de foot qui trainait par là. Vers une heure, ne sachant plus quoi faire, je me suis dirigé vers le bungalow de cette fille que je m'étais déjà tapé et dont je ne me souviens plus du nom, si tant est que je l'ai su un jour. Je me disais qu'elle pourrait peut être me dépanner d'une pipe. Effectivement, elle était là, mais, après un petit coup d'oeil par la fenêtre de sa chambre, je me suis aperçu qu'elle était en train de s'envoyer en l'air avec celui qui était sensé être son copain. Je pense qu'il ne savais pas qu'il n'était pas le seul à profiter d'elle.
Je me suis posté devant la fenêtre, la bite dans la main, pour me donner un peu de plaisir en les regardant. Ca n'a pas duré longtemps, ils devaient déjà en être à la fin. Elle a joui, déversant des flots de mouillure sur la commode contre laquelle il la niquait. Après avoir vaguement essuyé le tout, elle s'est mise au lit directement et a éteint la lumière.
Lui, a saisi son portable et est sorti par l'entrée principale, se dirigeant vers l'autre côté du camp. Il était encore en vue quand je vis mon père arriver derrière lui, venant de l'arrière du bungalow d'en face où il s'était probablement caché, aller toquer à la porte. Je savais ce qu'il allait se passer. Je suis sorti de ma cachette, le regardant je lui ai dit :
- Bonne bourre !
Il a sourit mais n'a rien dit. Moi, j'ai suivit le copain cocu pour voir où il allait. Il s'était arrêté au milieu du camp, a attendu 10 minutes puis est retourné à son bungalow. Il parlait avec quelqu'un par textos. Ce coup-ci la lumière était éteinte. On entendait pas de bruit dans la chambre, peut être que mon père avait eu la présence d'esprit de baiser sa proie dans l'entrée ou dans la cuisine.
Je continuais à suivre le type. Il n'est pas rentré dans la maisonnette mais l'a contournée et derrière, adossé contre le mur, l'attendait quelqu'un. Au début je n'ai pas vu dans la pénombre qui c'était puis j'ai reconnu sa voix. C'était mon grand père. En deux temps trois mouvements le type était plaqué face contre le mur et le vieux le besognait méchamment en lui mettant la main sur la bouche. Il lui enfonçait son gros membre pas accous secs. En tout, ce rapport sexuel a du duré environ 20 minutes. Moi je me suis éloigné parce que bon, je n'avais pas trop envie de voir ça. Je suis revenu après avoir entendu les râles de plaisir du vieux qui jouissait.
Il l'a laissé seul, se dirigeant vers l'entrée de la maison, attendant probablement que la fille réponde à un de ses messages et lui dise d'entrer.
C'était à mon tour maintenant, les deux autres allaient attendre.
Je me suis approché de lui et lui ai dit :
- Si c'est de quelqu'un pour s'occuper de tes fesses, je peux aussi m'en charger.
Il n'a pas répondu, a posé son portable et s'est retourné, debout, face au mur, au même endroit qu'avant. Ses fesses ruisselaient aussi de foutre, apparemment le précédent s'était déchargé dedans.
Je ne savais pas trop quoi faire. J'ai pressé mon gland contre la rondelle. Tout son trou était déjà ouvert et lubrifié. C'est rentré très facilement. J'ai plaqué mon corps contre le sien et ait passé ma main autour de sa taille pour bien appuyer sur son pubis à chaque fois que je lui enfonçait ma queue. J'étais très excité, je n'allais pas durer longtemps, d'autant qu'il serrait son trou de plus en plus fort autour de ma queue. Il gémissait de plus en plus fort à mesure que la pression se faisait grande autour de mon chibre. J'ai placé une main sur sa bouche et ait accélérer le mouvement pour bien me vider les couilles comme il faut. Il criait à présent dans ma main. J'ai tout lâché en beuglant.
Quand je me suis retiré j'ai vu un filet de sperme s'écouler de sa bite. Il en avait tapissé le mur. A cette époque là je n'avais aucune idée qu'on puisse jouir spontanément par le cul.
J'étais couvert de transpiration et du sperme avait ruisselé sur ma bite et mes couilles. Je suis aller prendre une douche dans leur box. Pendant que je me lavais j'ai entendu des pas se diriger vers la maison et la voix de mon père qui en avait manifestement terminer avec la fille :
- Qu'es ce qui t'es arrivé, on dirait qu'un bataillon t'as déjà fait les fesses.
- Un bataillon non, mais assez pour me faire repeindre le mur, regarde…
- Ah bon, et je le connais?
A ce moment là je suis sorti de la cabine, marchant vers notre bungalow, la bite encore en semie érection, le gland rouge et j'ai dit sans m'arrêter : Biensur que tu le connais !
Il a ricané et m'a lancé : petit queutard !
Naturellement, la nuit ne s'est pas arrêtée là pour eux, aussitôt que j'ai eu le dos tourné ils ont commencé à baiser, moi je suis allé me coucher.

Par la suite, autant la fille que son copain sont venus me solliciter pour que je leur donne du plaisir mais j'ai décidé qu'il était temps de me diversifier.
Mon père, mon grand père et moi avons eu une petite discussion tous les trois et on a convenu de partager nos conquêtes pour que tous puissent en profiter. Le meilleur terrain de chasse selon mon père, était la partie du camp qui était restée à l'ancienne, formée de grandes tantes et où les gens n'étaient pas nudistes. Elle était un peu plus loin mais j'ai décider d'aller y prendre ma douche dans la salle de bain collective des hommes. Il fallait la jouer finement car la majeure partie d'entre eux étaient hétéros.
Pour maximiser nos chances, nous y sommes allés tous les trois et la combine à marché.
Au bout de quelques minutes passées à faire semblant de nous laver, un homme de la quarantaine est entré. Un très bel homme, la peau bronzée, les fesses bien fermes, le torse poilu. Il nous a salué et s'est posté sous le jet qui était en face. Au bout de quelques minutes, nous voyant discuter ensemble, il a lancé :
- Vous êtes nouveaux ici, c'est la première fois que je vous voit.
- On vient de la zone où il y a les bungalow mais nos douches privées sont tombées en panne, lui ai je répondu.
- Ah, vous êtes venus ensemble ? Laissez moi deviner : le grand père, le père et le fils !
- Oui, tout juste. C'est si flagrant que ça ? Ai-je rajouté.
- Il y a des détails qui ne trompent pas !
Ca nous a tous fais sourire. Il a enchaîner :
- Sinon, on dit qu'il y a très peu de familles dans la zone où vous êtes, c'est près de la plage un peu chaude, c'est ça ?
- Oui.
- Et c'est vraiment si chaud que ça ?
On sentait la question de l'homme lubrique qui ne baise plus sa femme depuis des mois. On lui a répondu tout simplement qu'effectivement, il y avait pas mal de sexe dans les dunes, notamment. Il a enchaîné :
- Et vous, qui êtes venus en famille, ça ne vous dérange pas ?
Mon père lui a alors répondu : Vous savez, mon fils est un peu grand pour faire des châteaux de sable !
Puis il nous a dit qu'il avait pensé à y aller, mais qu'avec sa femme c'était pas possible. On lui a répondu que rien ne l'empêchait de venir à la plage avec nous.
Le jour même, sur le chemin vers notre emplacement habituel, nous avons fait un crochet par la plage conventionnelle (nous avons mis un maillot de bain pour l'occasion), tombant, comme par hasard, sur notre nouvel ami. Il s'appelait Renaud. Sa femme était avec les autres femmes au foyer et les petits enfants un peu plus loin, lui, était avec d'autres hommes et les plus grand enfants dont son fils, Louis, qui devait avoir mon âge. Il n'était pas laid du tout mais avait l'air vraiment coincé dans son grand short de bain. Renaud a prétexté vouloir aller visiter "l'autre plage" pour "voir à quoi ça ressemble" pour pouvoir nous suivre mais ce qu'il n'avait pas prévu c'est que son fils a insisté pour venir visiter cette plage avec lui. Mon père, enchanté de trouver "quelqu'un de mon âge" lui a dit que ce n'était pas grave, qu'il pouvait venir et que ça me ferait quelqu'un avec qui parler.
Les vieux, qui avaient l'air plutôt pressé nous ont dit, au bout de quelques mètres, qu'ils allaient dans les dunes et nous ont semés. Louis m'a alors demandé ce qu'il y avait de si bien que ça à voir dans les dunes. Je lui ai dit qu'il y avait un bar pas mal là bas sans trop m'étaler dans mon mensonge.
Arrivés à notre emplacement, je suis resté seul avec Louis que je ne connaissais donc ni d'Eve, ni d'Adam. C'était un très beau blond, avec des yeux bleus et de petites taches de rousseur sur les joues. Un peu plus baraqué que moi et un peu plus bronzé aussi.
Il a posé son sac. J'ai posé mon sac.
Il a étendu sa serviette. J'ai étendu ma serviette.
J'ai enlevé mon maillot de bain et me suis couché. Après tout, on était sur une plage nudiste. Il y eu deux secondes de flottement pendant lesquelles il a clairement observé ma bite. Il faisait chaud, elle était déployée à sa taille maximum au repos, un sacré morceau pour mon âge. D'un seul coup d'un seul il a baissé son short et s'est couché.
Il avait une bite normale, dans les 9-10cm au repos et des petites fesses bien joufflues, à croquer.
Je lui ai alors demandé : C'est la première fois que tu vas sur une plage nudiste ?
Il m'a répondu que oui. J'ai ajouté : Alors tiens, mets toi de la crème solaire partout.
En réalité on a pas plus de chances de chopper des coups de soleil sur une partie ou l'autre du corps, c'est juste que je voulais le voir s'en étaler sur la bite. C'est ce qu'il à fait. Il en a bien tartiné sur ses boules et sur sa queue en la prenant dans sa main comme pour se branler. Ca n'a pas loupé, il a aussitôt eu un début d'érection, puis une érection complète qu'il ne tentait même pas de cacher. De mon côté j'ai fait pareil, massant mon membre jusqu'à l'érection en faisant semblant de ne pas le regarder.
- En fait, ton père et le mien sont allé sauter des meufs dans les dunes, c'est ça ?
- Oui, on peut vraiment rien te cacher…
- Et toi, avec ta grosse queue, pourquoi tu n'es pas aller avec eux ?
- Parce qu'il fallait bien que quelqu'un reste avec toi !
- Ah, c'est cool, merci. Tu peux m'étaler de la crème dans le dos stp ?
- Ok, par contre faudrait que je me mette sur ton dos.
Il s'est retourné sur le ventre et je me suis assis sur lui, mon érection était entre ses fesses. Je me suis bien appliqué à lui étaler la crème en continuant de lui parler :
- Mais toi, t'avais pas envie d'y aller dans les dunes ?
- Ben si, mais j'imaginais mal mon père me dire ce qu'il s'y passe. Ca revient à dire qu'il trompe ma mère.
- Effectivement. Tu devrais t'étaler de la crème sur les fesses aussi.
- Ben, fais le maintenant que t'y es.
Je suis un peu descendu, maintenant j'était assis sur le haut de ses cuisses et mon gland pointait directement en face de son petit trou. J'ai commencé par lui étaler gentiment, puis je lui ai pétri les miches plus énergiquement pour enfin en étaler une grosse rasade sur sa raie. Je passais ma main dans sa raie, titillant sa rondelle. A partir de là le message était clair, il n'y avait plus besoin de parler.
Il n'y avait pas trop de monde autour de nous mais il fallait être discrets. J'ai étalé de la crème sur ma bite et l'ai enfoncée progressivement dans son fion. On l'a fait comme ça, moi couché sur lui qui était aplati sur la serviette, face contre terre. Je faisais des vas et viens le moins amples possible pour ne pas qu'on nous remarque. Il serrait bien sa rondelle autour de mon membre a intervalles réguliers. Je grognais comme une bête car son cul se serrait de plus en plus et j'ai du poser ma main sur sa bouche au moment de son orgasme. Ne pouvant jouir de cette façon (les allers retours n'étaient pas assez amples, moi j'aime stimuler toute ma bite), j'ai sorti ma bite de son cul. Toujours dans la meme position, couché sur lui, je me suis vidé à la main sur son trou et l'arrière de ses couilles.
Après un petit passage dans la mer pour me rincer, je suis retourné à nos serviettes. Mon père était rentré en cours de route et Louis s'était assoupi avec le sourire sur les lèvres. Posté à côté de lui sur ma serviette, mon père avait remarqué les taches de sperme que j'avais laissé sur le pauvre Louis et m'a souri. Quand je suis arrivé à hauteur d'eux, il le doigtait gentiment en lui disant : t'en veux peux être une plus grosse maintenant ?
Il était temps que j'aille voir ce qu'il se passait dans les dunes.

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