CHACUN SON TOUR – 3
Récit érotique écrit par Victor de Neuilly [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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CHACUN SON TOUR – 3
Finalement, bien que de prime abord elle ne soit pas certaine du résultat, Caroline accepte l’invitation du couple.
Pendant qu’Eric, Agnès, Caroline, Cindy et Jacques devisent, un verre d’apéritif en main cérémonieusement servi par Gilles, celui-ci dresse la table pour six. La cuisinière, à la vue du garçon nu, n’a pas bronché. Il ne doit pas être le premier invité qu’elle voit dans cette tenue.
Dès qu’elle a tout préparé, la cuisinière quitte la maison.
Jacques, alors que Gilles a servi le hors d’œuvre à chacun avant de s’asseoir, déclare :-Bon appétit ! (Il fixe Cindy) Quant à toi, pour ton inopportune intervention de tout à l’heure, Agnès se chargera de te corriger.
Cindy se mord les lèvres pour ne rien dire, baisse les yeux alors qu’Agnès s’enquiert :-Une fessée ou le martinet ?
Jacques répond illico :-Le martinet. Tu en as fait ta spécialité, non ?
Un sourire éclaire le visage d’Agnès :-Absolument. Le derrière d’Eric sait l’apprécier…
Gilles a effectué un service impeccable, rectifié par quelques claques sur son cul données par Eric, a été prié de faire le café et de le servir dans la salle des punitions.
Quand il y entre Cindy est liée nue en X sur le croix de Saint André, sa belle croupe pommée offerte à Agnès, postée sur la gauche, main droite prolongée par un martinet au manche en ébène représentant de sexe avec ses quatre lanières. Gilles s’assoit sur la seule chaise libre près d’Eric qui pose aussitôt une main de propriétaire sur sa cuisse gauche.
Caroline se garde de toute intervention, alors que Jacques assis à ses côtés sur le canapé et qui la tient enlacé, explique :-Ces quatre lanières ne sont pas en cuir. Elles sont issues de peau de chèvres, traitées spécialement à cet usage. Remarquez leur largeur de façon à ce qu’elle percute toujours la partie du corps visée du même côté. Eric, y as-tu déjà goûté ?
Gilles sent la main se crisper sur sa cuisse alors que l’interpellé répond d’une toute petite voix, limite audible :-Non. Jamais.
-Il me semblait bien. On verra. Allez, à toi Agnès.
Le bras droit se lève vers l’arrière et dans un lugubre chuintement les quatre lanières volent avant de s’étaler sur la croupe nue où elles laissent quatre empreintes blanches qui rosissent avant de rougir. Nouvelle volée, quatre nouvelles marques presque sur les précédentes.
Après la cinquième volée, Cindy crie :-Ouaaaaaaah !... Pluuuuuuus !... Ca fait… Trooooooop… Maaaaaaal !...
Agnès change côté, passe le martinet dans sa main gauche, nouvelle volée des quatre lanières vers le beau cul pommé mais atterrissage plus bas.
Gilles avait mal pour Cindy, serrait les dents, se savait surveiller par Eric dont la main étreignait toujours sa cuisse de manière possessive. Quant à Caroline il aurait donné cher pour savoir ce qu’elle pensait, toujours enlacée par Jacques.
Ce dernier lança à la fouetteuse :-Vas-y, colore bien son cul en rouge vif.
Gilles n’y tint plus, perdit le contrôle :-Non ! Arrêtez, elle souffre trop !
Sans même le regarder, Jacques ordonne à Eric en lui tendant une télécommande :-Emmène-le dans sa chambre. A son retour, je veux ses fesses vêtues d’une culotte rouge, sans un seul liseré blanc. A la main, il ne mérite rien d’autre.
Alors que Gilles va pour protester, Eric le soulève littéralement, le pousse devant lui, lâche :-Il en sera fait selon ton désir.
Quand les deux hommes sont dans le couloir, Eric dit à Gilles :-C’est malin de jouer les héros. Claquer ton cul me fait plaisir, mais je te croyais moins sensible…Il appuie sur le télécommande et une porte coulisse.
-…Estime-toi heureux qu’il n’ait pas décider de te faire fouetter à la place de Cindy…Eric referme la porte dans leur dos, avise le lit, délaisse la chaise, s’assied directement sur le lit, fait basculer Gilles à plat ventre sur ses cuisses, termine :-… Comme nous ne sommes que tous les deux, tu peux me tutoyer et crier tout ton saoul…Sans tarder, il fesse le cul, de façon anarchique. Son infatigable dextre claque le derrière à la volée.
Très vite Gilles clame sa douleur :-Nooooooon !... Une pause !... S’il te plaît !... Aaaaaaaye !... Pluuuuuuus… La fessééééééée !… Eric… Je t’en… Priiiiiiie !...
-Tes cris m’excitent autant que toi, je sens ta bite bien bandée entre mes cuisses. Je ne peux rien faire d’autre que de te culotter de rouge. Sois courageux…
Quand les deux hommes reviennent dans la salle des punitions, quinze bonnes minutes plus tard, un nouveau tableau s’offre à leurs yeux incrédules :-Agnès, harnachée d’un gode de bonne dimension, est en train de faire l’amour à Cindy toujours liée en X.
-Caroline, entièrement nue, est à quatre pattes sur le sol, prête à être embrochée par le vit encapuchonné d’un préservatif de Jacques.
Ce dernier, à la vue des deux hommes, ordonne :-Gilles, tourne-toi que je vois ta culotte.
Eric, qui le tient par le cou, lui impose un demi-tour. Le cul et le haut des cuisses sont rouge écarlate.
D’un claquement de langue contre son palais, Jacques apprécie le résultat, commande :-Gilles, met-toi à quatre pattes, tête face à ta femme. Eric va t’enculer pendant que je vais la prendre.
Le jeune homme fixe son épouse dans les yeux, sans bouger, mais la main d’Eric sur son cou se fait plus impérative et il plie les genoux, Eric l’accompagne en sortant son sexe de la braguette ouverte par son autre main.
Jacques ordonne :-Dès que nos bites seront en vous, il faudra vous embrasser.
Caroline a le regard voilé, ne cille même pas quand Jacques l’agrippe aux reins, guide son gland vers les lèvres déjà suintantes de cyprine. Il se positionne et s’enfonce dans l’antre glissante d’un seul coup de reins. La jeune fille lâche juste un :-Aaaaaaah !
Du coin de l’œil Gilles voit Eric qui couvre sa bite d’un fin préservatif. Il la trouve démesurée avec ce gros gland ovoïde suivi par cette épaisse colonne qui ressemble presque à un bras de jeune garçon. Eric enduit juste son gland d’une bonne couche de gel, en étale sur le trou du cul crispé de Gilles, claque par deux fois le derrière rouge :-Ne te crispe pas ! Sinon ça va te faire plus mal.
Eric positionne son gland sur l’anneau rectal, donne un petit coup de reins pour forcer les fronces à s’écarter. Puis, mains parfaitement agrippées aux hanches, il pousse.
Illico Gilles sent sa chair anale s’écarter largement et douloureusement, le crie :-Nooooooon !... Aaaaaaaye !... C’est trop… Gros !
Malgré sa bonne volonté, sa honte d’être enculé devant sa femme qui le regarde en souriant, Gilles se crispe. Deux claques le rappellent à l’ordre :-Ne te contracte pas ! Ca va te faire plus mal.
La dilatation provoquée par le gland ovoïde d’Eric effraie Gilles qui a l’impression que son anneau rectal va se déchirer :-Asssssssez !... Pluuuuuuus !... S’il vous… Plaît… Maître !... Pitiiiiiiié !... Ca m’éventre…Eric le gratifie de deux claques sur les fesses, lui accorde une petite pause, rectifie :-Ca y est le gland est entré ! Ca va aller mieux !
Eric pousse à nouveau, en douceur, apprécie d’avoir sa bite comme prise en étau par cette chair chaude qui l’enserre de toutes parts. Comme il a surtout graissé son gland, il sait que l’ardente pénétration est douloureuse pour Gilles qui continue à le crier sur tous les tons :-Ouaaaaaaah !... Nooooooon !... Vous… Etes… Trooooooop…. Grooooooos !…Arrrrrrrêtez… Maître !
-Embrasse ta femme, elle va partager ta douleur…Gilles regarde Caroline, toujours baisée profondément par Jacques, qui ouvre la bouche, lape ses lèvres avec gourmandise, l’œil trouble.
Sans cesser sa percée dans les entrailles de Gilles, Eric le force à avancer jusqu’à ce que ses lèvres entrent en contact avec celles de son épouse. Elle aspire carrément les cris de Gilles en un baiser passionné.
Eric achève sa pénétration ; Gilles sent les couilles et le ventre musclé de son Maître contre ses fesses.
Jacques reste enfoncé dans le vagin de Caroline, fait un signe à Eric.
Ils se mettent à baiser et enculer le couple en cadence, seulement guidés par les cris de Gilles qui diminuent rapidement.
La main solide d’Eric empoigne la bite bandée de Gilles.
Le quatuor jouit presqu’en même temps.
Caroline, une fois de retour chez eux, demanda :-Alors, chéri, penses-tu avoir envie de me tromper une nouvelle fois ?
F I N07 juin 2019
Pendant qu’Eric, Agnès, Caroline, Cindy et Jacques devisent, un verre d’apéritif en main cérémonieusement servi par Gilles, celui-ci dresse la table pour six. La cuisinière, à la vue du garçon nu, n’a pas bronché. Il ne doit pas être le premier invité qu’elle voit dans cette tenue.
Dès qu’elle a tout préparé, la cuisinière quitte la maison.
Jacques, alors que Gilles a servi le hors d’œuvre à chacun avant de s’asseoir, déclare :-Bon appétit ! (Il fixe Cindy) Quant à toi, pour ton inopportune intervention de tout à l’heure, Agnès se chargera de te corriger.
Cindy se mord les lèvres pour ne rien dire, baisse les yeux alors qu’Agnès s’enquiert :-Une fessée ou le martinet ?
Jacques répond illico :-Le martinet. Tu en as fait ta spécialité, non ?
Un sourire éclaire le visage d’Agnès :-Absolument. Le derrière d’Eric sait l’apprécier…
Gilles a effectué un service impeccable, rectifié par quelques claques sur son cul données par Eric, a été prié de faire le café et de le servir dans la salle des punitions.
Quand il y entre Cindy est liée nue en X sur le croix de Saint André, sa belle croupe pommée offerte à Agnès, postée sur la gauche, main droite prolongée par un martinet au manche en ébène représentant de sexe avec ses quatre lanières. Gilles s’assoit sur la seule chaise libre près d’Eric qui pose aussitôt une main de propriétaire sur sa cuisse gauche.
Caroline se garde de toute intervention, alors que Jacques assis à ses côtés sur le canapé et qui la tient enlacé, explique :-Ces quatre lanières ne sont pas en cuir. Elles sont issues de peau de chèvres, traitées spécialement à cet usage. Remarquez leur largeur de façon à ce qu’elle percute toujours la partie du corps visée du même côté. Eric, y as-tu déjà goûté ?
Gilles sent la main se crisper sur sa cuisse alors que l’interpellé répond d’une toute petite voix, limite audible :-Non. Jamais.
-Il me semblait bien. On verra. Allez, à toi Agnès.
Le bras droit se lève vers l’arrière et dans un lugubre chuintement les quatre lanières volent avant de s’étaler sur la croupe nue où elles laissent quatre empreintes blanches qui rosissent avant de rougir. Nouvelle volée, quatre nouvelles marques presque sur les précédentes.
Après la cinquième volée, Cindy crie :-Ouaaaaaaah !... Pluuuuuuus !... Ca fait… Trooooooop… Maaaaaaal !...
Agnès change côté, passe le martinet dans sa main gauche, nouvelle volée des quatre lanières vers le beau cul pommé mais atterrissage plus bas.
Gilles avait mal pour Cindy, serrait les dents, se savait surveiller par Eric dont la main étreignait toujours sa cuisse de manière possessive. Quant à Caroline il aurait donné cher pour savoir ce qu’elle pensait, toujours enlacée par Jacques.
Ce dernier lança à la fouetteuse :-Vas-y, colore bien son cul en rouge vif.
Gilles n’y tint plus, perdit le contrôle :-Non ! Arrêtez, elle souffre trop !
Sans même le regarder, Jacques ordonne à Eric en lui tendant une télécommande :-Emmène-le dans sa chambre. A son retour, je veux ses fesses vêtues d’une culotte rouge, sans un seul liseré blanc. A la main, il ne mérite rien d’autre.
Alors que Gilles va pour protester, Eric le soulève littéralement, le pousse devant lui, lâche :-Il en sera fait selon ton désir.
Quand les deux hommes sont dans le couloir, Eric dit à Gilles :-C’est malin de jouer les héros. Claquer ton cul me fait plaisir, mais je te croyais moins sensible…Il appuie sur le télécommande et une porte coulisse.
-…Estime-toi heureux qu’il n’ait pas décider de te faire fouetter à la place de Cindy…Eric referme la porte dans leur dos, avise le lit, délaisse la chaise, s’assied directement sur le lit, fait basculer Gilles à plat ventre sur ses cuisses, termine :-… Comme nous ne sommes que tous les deux, tu peux me tutoyer et crier tout ton saoul…Sans tarder, il fesse le cul, de façon anarchique. Son infatigable dextre claque le derrière à la volée.
Très vite Gilles clame sa douleur :-Nooooooon !... Une pause !... S’il te plaît !... Aaaaaaaye !... Pluuuuuuus… La fessééééééée !… Eric… Je t’en… Priiiiiiie !...
-Tes cris m’excitent autant que toi, je sens ta bite bien bandée entre mes cuisses. Je ne peux rien faire d’autre que de te culotter de rouge. Sois courageux…
Quand les deux hommes reviennent dans la salle des punitions, quinze bonnes minutes plus tard, un nouveau tableau s’offre à leurs yeux incrédules :-Agnès, harnachée d’un gode de bonne dimension, est en train de faire l’amour à Cindy toujours liée en X.
-Caroline, entièrement nue, est à quatre pattes sur le sol, prête à être embrochée par le vit encapuchonné d’un préservatif de Jacques.
Ce dernier, à la vue des deux hommes, ordonne :-Gilles, tourne-toi que je vois ta culotte.
Eric, qui le tient par le cou, lui impose un demi-tour. Le cul et le haut des cuisses sont rouge écarlate.
D’un claquement de langue contre son palais, Jacques apprécie le résultat, commande :-Gilles, met-toi à quatre pattes, tête face à ta femme. Eric va t’enculer pendant que je vais la prendre.
Le jeune homme fixe son épouse dans les yeux, sans bouger, mais la main d’Eric sur son cou se fait plus impérative et il plie les genoux, Eric l’accompagne en sortant son sexe de la braguette ouverte par son autre main.
Jacques ordonne :-Dès que nos bites seront en vous, il faudra vous embrasser.
Caroline a le regard voilé, ne cille même pas quand Jacques l’agrippe aux reins, guide son gland vers les lèvres déjà suintantes de cyprine. Il se positionne et s’enfonce dans l’antre glissante d’un seul coup de reins. La jeune fille lâche juste un :-Aaaaaaah !
Du coin de l’œil Gilles voit Eric qui couvre sa bite d’un fin préservatif. Il la trouve démesurée avec ce gros gland ovoïde suivi par cette épaisse colonne qui ressemble presque à un bras de jeune garçon. Eric enduit juste son gland d’une bonne couche de gel, en étale sur le trou du cul crispé de Gilles, claque par deux fois le derrière rouge :-Ne te crispe pas ! Sinon ça va te faire plus mal.
Eric positionne son gland sur l’anneau rectal, donne un petit coup de reins pour forcer les fronces à s’écarter. Puis, mains parfaitement agrippées aux hanches, il pousse.
Illico Gilles sent sa chair anale s’écarter largement et douloureusement, le crie :-Nooooooon !... Aaaaaaaye !... C’est trop… Gros !
Malgré sa bonne volonté, sa honte d’être enculé devant sa femme qui le regarde en souriant, Gilles se crispe. Deux claques le rappellent à l’ordre :-Ne te contracte pas ! Ca va te faire plus mal.
La dilatation provoquée par le gland ovoïde d’Eric effraie Gilles qui a l’impression que son anneau rectal va se déchirer :-Asssssssez !... Pluuuuuuus !... S’il vous… Plaît… Maître !... Pitiiiiiiié !... Ca m’éventre…Eric le gratifie de deux claques sur les fesses, lui accorde une petite pause, rectifie :-Ca y est le gland est entré ! Ca va aller mieux !
Eric pousse à nouveau, en douceur, apprécie d’avoir sa bite comme prise en étau par cette chair chaude qui l’enserre de toutes parts. Comme il a surtout graissé son gland, il sait que l’ardente pénétration est douloureuse pour Gilles qui continue à le crier sur tous les tons :-Ouaaaaaaah !... Nooooooon !... Vous… Etes… Trooooooop…. Grooooooos !…Arrrrrrrêtez… Maître !
-Embrasse ta femme, elle va partager ta douleur…Gilles regarde Caroline, toujours baisée profondément par Jacques, qui ouvre la bouche, lape ses lèvres avec gourmandise, l’œil trouble.
Sans cesser sa percée dans les entrailles de Gilles, Eric le force à avancer jusqu’à ce que ses lèvres entrent en contact avec celles de son épouse. Elle aspire carrément les cris de Gilles en un baiser passionné.
Eric achève sa pénétration ; Gilles sent les couilles et le ventre musclé de son Maître contre ses fesses.
Jacques reste enfoncé dans le vagin de Caroline, fait un signe à Eric.
Ils se mettent à baiser et enculer le couple en cadence, seulement guidés par les cris de Gilles qui diminuent rapidement.
La main solide d’Eric empoigne la bite bandée de Gilles.
Le quatuor jouit presqu’en même temps.
Caroline, une fois de retour chez eux, demanda :-Alors, chéri, penses-tu avoir envie de me tromper une nouvelle fois ?
F I N07 juin 2019
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