INITIATION ORIGINALE – 2 - histoire érotique

Par le truchement du miroir face à lui, Malcom voit puis sent le bras droit qui le ceinture. Alain lève bras gauche, l’abaisse et la première claque s’abat sur la peau encore blanche du cul nu. La seconde suit rapidement sur la fesse voisine.
Trois claques plus tard, Malcom serre les dents. Il a envie de résister. Bien sûr la douleur est présente mais supportable. Par défi, aussi il croise le regard d’Alain. Ce dernier comprend ce qui se trame dans l’esprit du garçon fessé. Parfait, puisqu’il veut jouer, il va être servi.
Les claques s’enchaînent à un rythme régulier sur les fesses qui de rose s’orientent vers le rouge. Des cris commencent à sourdre entre les lèvres serrées de Malcom, puis ils réussissent à franchir leurs barrages et à s’extérioriser :-Aaaaaaaye !... C’est… Asssssssez !...
En même temps des larmes perlent à ses paupières ouvertes ; son regard humide trahit l’intensité de la douleur que le garçon ressent à son derrière copieusement claqué, fessé d’importance :-Pitiiiiiiié !... Pluuuuuuus… La fessée !… Arrrrrrrêtez… Monsieur… J’ai… Trop… Maaaaaaal !...
Malcom n’aurait jamais cru que des mains aussi fines puissent lui causer une telle douleur. Il a un court instant l’intention de prononcer le mot code qui fera tout arrêter. Mais non ! Pour une première fois, un premier essai, il ne faut pas capituler aussi vite.
Alain, sachant que Malcom ne fuira pas, ôte la ceinture de son bras, passe sa main droite entre ses cuisses et la glisse jusqu’à la bite. Pas de doute, le garçon bande sous la fessée.
Pour Malcom tout change. Chaque claque augmente la douleur de son cul, chaque caresse sur sa bite raide trouble ses sens. Alain entreprend de le branler doucement tout en continuant d’aligner les claques sur ce beau cul rond qui lui aussi le fait bander.
Alain sent que la bite va cracher son jus, cesse la fessée, lâche la bite, expulse Malcom sur le sol.

Le garçon gémit :-Aaaaaaaye !
Avant de se relever pour frotter son cul rouge dans le fol espoir d’en calmer douleur et brûlure.
Alain se lève, s’octroie une dose de Glenfiddich, surprend le regard de Malcom en direction de son verre, lui en propose. Le garçon accepte, se lève, demande une fois servi :-Avez-vous un glaçon ?
Alain éclate de rire, rétorque en allant s’asseoir dans le canapé de cuir :-Veux-tu un supplément de fessée ? Jamais de glaçon avec ce Malt écossais.
Malcom bégaie :-Non ! Non ! Excusez-moi !
Il manque de s’étrangler en voulant boire trop vite, ce qui lui vaut une réprimande :-Prend ton temps ! A moins que tu ne veuilles rentrer chez toi tout de suite…Malcom fait non de la tête :-… Viens t’asseoir près de moi.
Le garçon prend place à un mètre d’Alain, le cuir froid rafraîchit son cul encore chaud de la fessée reçue.
L’homme le regarde, demande :-Aurais-tu peur pour t’asseoir loin de moi ?
C’est le visage de Malcom qui rougit, alors qu’il répond :-Non ! Monsieur, mais je voulais vous laisser de la place.
Alain pose sa main gauche sur la cuisse de Malcom, l’étreint sans forcer…
Quelque temps plus tard, Alain invite Malcom :-Allons dans la chambre, j’ai très envie de prendre ton beau petit cul.
Il pose sa main sur le cou de Malcom, sans serrer. Le jeune garçon se lève, et ils franchissent la porte ensemble, tournent à gauche dans le couloir, s’arrêtent Devant la porte juste en face de celle dévolue à Malcom, Alain dit :-Entre !
L’intérieur est sobrement meublé, sans ostentation : grand et large lit deux places voire trois, une commode, deux placards encastrés dans le mur. Alain se déshabille prestement, claque le derrière encore rouge à sa portée :-A quatre pattes, cuisses écartées.
Malcom prend la position alors qu’Alain ouvre le tiroir de la table de nuit, sort un préservatif de son emballage, couvre sa bite dont la longueur et surtout la forme impressionnent Malcom : gland ovoïde, colonne qui s’élargit jusqu’à la base. Alain le graisse soigneusement de gel, en passe à Malcom afin qu’il oigne son trou du cul.
L’homme se place derrière le garçon, pose la main droite sur la hanche, l’autre guide son épais pénis jusqu’à la pastille anale, le positionne dans l’axe avant de se poser sur l’autre hanche.
Alain donne un petit coup de rein. Rien ne se passe. Il alloue deux claques fortes au derrière, ordonne :-Détend-toi ! Pousse, ça va rentrer !
Nouveau coup de rein, plus puissant. Le gland s’introduit dans le conduit serré. Malcom ouvre la bouche, mais son cri se bloque dans la gorge.
Poursuivant son avantage, Alain perce le fondement lentement mais surement, s’enfonce sans à coup.
Malcom crie :-Aaaaaaaye !... Ca m’éventre !... Doucement !...
-N’exagère pas. Tu l’as presque en entier.
De fait, Alain se recule un peu, puis termine la pénétration anale d’un puissant coup de rein.
Malcom hurle :-Ouaaaaaaah !...
Alain reste immobile quelques instants, puis commence un lent retrait, jusqu’au gland qu’il laisse dans le cul. Nouvelle pénétration profonde.
L’homme commence à aller et venir dans le derrière plus réceptif, passe une
Main sous le ventre, sent la bite de Malcom en parfaite érection.
Sous les allées et venues de plus en plus rapides, la main branle Malcom plus énergiquement. C’est lui qui jouit le premier, suivi par Alain qui s’épanche dans le préservatif.

Pour Malcom, un premier essai réussit. Aura-t-il envie de recommencer ? Chi lo sa…
F I N03 juillet 2019