Changement de cadre. (Suite des aventures de Claire).
Récit érotique écrit par Kebe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Changement de cadre. (Suite des aventures de Claire).
Chapitre 4
Je n’ai pas très envie de raconter quand Cédric m’a retrouvée attachée sur notre lit. Il est facile d’imaginer ce qu’il a pu ressentir.
Six semaines se sont écoulées. Nous avons entamé les procédures de divorce. Nous ne vivons plus ensemble non plus. Je lui ai expliqué ce qui s’est passé depuis le début, avec honnêteté mais il ne semblait pas pouvoir m’entendre.
Il accepte maintenant de me reparler mais je crois qu’il ne pourra jamais me pardonner. L’image de sa femme souillée, nue sur son lit, le hantera probablement jusqu’à la fin de ses jours.
J’ai conservé l’appartement. Cédric est chez ses parents. Il ne pouvait pas continuer à vivre ici.
J’ai énormément pleuré. Je me sens terriblement seule. Je ne peux parler à personne. J’ai trop honte. Mon amie Zoé à bien entendu compris que notre secret a évolué et mal tourné pour mon couple. Christelle se doute aussi de quelque. Pourtant, son franc parler et son caractère direct ne lui permettent pas d’aborder le sujet ouvertement. Je dois porter sur moi un masque dissuasif.
Je me renferme au boulot. Je deviens passive et agressive. Mes collègues commencent à m’éviter. J’ai demandé à mon boss un congé sans solde de six mois. Il a tiré la tronche mais me l’a finalement concédé. Je ne sais pas encore ce que je vais en faire. Peut-être quitter la ville et aller à la montagne…Mes parents et ceux de Cédric n’y comprennent rien. Apparemment Cédric ment sur la vraie raison de notre rupture. Je l’imite sans hésitation. Mes parents ne supporteraient pas le choc et probablement qu’ils me renieraient. Ce genre de comportement est aux antipodes de leurs valeurs. Je me retrouve à les éviter aussi, par facilité. Quand je les vois, ils me questionnent sans cesse et m’encouragent à me rapprocher de Cédric, leur gendre idéal. Ils pensent que l’orage que nous traversons est surmontable, que chaque couple en rencontre. C’est insupportable.
C’est décidé ! Je pars la semaine prochaine. J’ai trouvé un petit job de serveuse dans un hôtel restaurant familial à la montagne. Il se trouve au bord d’un petit lac. Ce n’est pas très touristique. On ne le trouve pas sur les circuits habituels. Le village le plus proche est à six kilomètres. Ça me fera le plus grand bien. L’air pur de la montagne, les couleurs de l’automne, le calme me permettront de faire le point et de me réorienter dans la vie. Je doute vouloir reprendre mon activité professionnelle comme auparavant. Peut-être devrais-je déménager ? Changer de pays ?
Dans le train qui me mène vers ma nouvelle existence, je suis songeuse. Je repense à cette terrible journée qui a tout changé, qui a brisé mes rêves. Je devrais la haïr, et c’est le cas en quelque sorte. Pourtant, je ne peux m’empêcher de repenser aux sensations que j’ai ressenties. Certaines étaient délicieuses. Les autres souvenirs me procurent aujourd’hui un frisson. Quelle humiliation ! J’interromps ces pensées pour réaliser que, malgré moi, ma culotte est mouillée d’excitation. Il faut que j’arrête. Ce n’est pas possible. Ce n’est pas moi. Je deviens folle.
Lors de mon arrivée à la gare du village, j’aperçois une femme d’une quarantaine d’années sur le quai. Elle ressemble à la photo de la patronne de l’hôtel. Ce doit être elle. Je m’approche avec ma valise. Elle vient à ma rencontre.
- Vous devez être Claire ? me dit-elle.
- Oui, c’est moi ! Et vous êtes probablement Mme Duschênes ?
- Je vous en prie, appelez-moi Catherine. Venez ! Ma voiture est juste derrière. Vous avez fait bon voyage ?
- Je, oui. Je n’ai pas vu le temps passer.
Nous nous installons dans sa voiture. Une grosse berline qui dénote dans le paysage ; qui est magnifique d’ailleurs. Les mélèzes, omniprésents, éclaboussent les montagnes de leur parure orange. La route qui mène à l’hôtel est sinueuse à souhait. Des ruisseaux se jettent le long de parois abruptes et les gouttelettes qu’ils dispersent rendent les couleurs de l’arc en ciel. C’est féerique.
Quel merveilleux temps ! Il ne fait même pas frais pour un mois d’octobre ; pourtant nous sommes à 1400 mètres d’altitude.
Nous arrivons devant l’Hôtel, en bois clair. Il ne doit pas être vieux. Trois étages, pas plus, et de petites fenêtres sous les combles. Certainement ou se trouvera ma chambre. Il peut accueillir seize clients.
La patronne est seule. Elle n’est pas mariée et n’a pas d’enfants.
Une femme de ménage passe tous les matins pour faire les chambres. Un cuisinier et son aide proposent un menu simple, rustique.
Catherine me fait visiter rapidement. Elle me mène ensuite à ma chambre. Elle n’est pas grande. Un lit, une table, une armoire, une petite télévision. La douche est dans le couloir. Les toilettes aussi. Ce n’est pas grave, je ne viens pas pour passer du temps dedans. J’ai hâte de parcourir la montagne.
Mon temps sera toutefois compté. Je travaille tous les jours sauf le lundi. Je sers au restaurant et j’aide ou l’on peut avoir besoin de moi. Un petit service à midi et un plus grand le soir.
La première journée se passe sans anicroche. Je me couche épuisée mais l’esprit serein. Il y a longtemps que ça ne m’est pas arrivé.
Le personnel est sympa. Joachim, le cuisinier me propose régulièrement un petit en cas ou un verre à boire, discrètement, entre deux services. Il est d’origine portugaise, dans la quarantaine, comme Catherine.
Son aide s’appelle Francis. Il a vingt ans à peine. Il a quitté le foyer familial sur une énième dispute avec ses parents. Il semble timide et ne m’adresse que peu la parole.
Je ne connais pas encore la femme de ménage. Je l’ai croisée deux fois. Je sais seulement qu’elle se nomme Olivia.
C’est mon troisième jour et Catherine me dit que ce soir, nous aurons une table de six personnes pour le diner. Ce sont des habitués du village ; chasseurs dans leurs loisirs qui viennent arroser leur journée au restaurant avant de rentrer chez eux.
J’ai dressé les tables comme d’habitude.
Etonnement, depuis le début de la semaine, l’hôtel semble presque vide. Quelques rares clients se sont montrés mais aucun n’a une chambre réservée. A vrai dire, ce sont des clients du restaurant uniquement. Peut-être que le week-end amènera son lot de touristes.
Le restaurant est vide aussi ce soir, à l’exception de nos chasseurs. Ils sont bruyants, braillards. Ils ont manifestement déjà bu avant de venir.
Ils me commandent de la bière pour attendre le repas.
- Regardez cette poupée, dit l’un d’eux.
- Elle est sacrément bien roulée.
- Ouai ! Hein petite ! Comment tu t’appelles ?
Outrée par leurs propos. Je réponds néanmoins timidement.
Ils sont déjà un peu ivres. Je vais tâcher de ne pas trop m’attarder sur leurs propos. Ce sont des paysans sans éducation.
En même temps, ma tenue n’est pas faite pour éviter ce genre de désagréments. Catherine a insisté pour que je porte une jupe à carreaux gris, blancs pour le service. Elle est courte et m’arrive à mi-cuisse. Heureusement je porte des bas. J’ai dû insister pour des baskets. Elle voulait m’imposer des chaussures à talons. Le haut est plus classique mais suggère quand même ma poitrine.
La soirée se passera uniquement avec ces clients. Il est vingt-deux heures et personne d’autre n’est venu. Je me demande comment Catherine se dérouille avec si peu de clients.
Je sers vais proposer des digestifs et des cafés lorsque, le type que me traitait de poupée me met la main aux fesses. Je me retire aussitôt et lui lance une claque qui résonne encore dans ma tête.
Ses compères se fendent d’un rire gras et lui, sa stupéfaction passée, les imite.
Ils partent peu après. Je me mets à ranger la salle.
Catherine approche de moi, elle vient sûrement m’aider et voir si je ne suis pas trop choquée. Si elle savait ce que j’ai vécu, elle ne se ferait pas tant de soucis.
Je me trompe cependant. Elle ne vient pas pour ça. Au contraire, elle me réprimande.
- Ce sont mes meilleurs clients Claire. Tu te crois où pour te permettre un tel comportement ?
Abasourdie, je ne sais que répondre et bredouille faiblement :- Que… je… mais, ce grand type m’a mis la main aux fesses.
- Et alors ? Tu trouves que nous avons assez de clients pour nous permettre de risquer de perdre nos habitués ? On voit bien que tu n’as pas de soucis. Je ne suis pas lâ pour six mois comme toi. C’est de ma vie dont il s’agit.
- Je… mais ils n’ont pas arrêté de me faire des remarques sur mon physique et…- Ça suffit ! Si tu veux continuer à travailler ici, tu t’excuseras auprès d’eux. Ils reviennent demain soir. Tâche de savoir te comporter.
Je vais me coucher, un nœud de rancœur dans le ventre. Ce séjour s’annonçait si bien. J’hésite à faire ma valise et partir. Mais pour aller où ? Qui m’attend ?
Je rumine la moitié de la nuit et me décide à serrer le poing. Je ne vais pas me dégonfler à la première difficulté.
Je n’ai pas très envie de raconter quand Cédric m’a retrouvée attachée sur notre lit. Il est facile d’imaginer ce qu’il a pu ressentir.
Six semaines se sont écoulées. Nous avons entamé les procédures de divorce. Nous ne vivons plus ensemble non plus. Je lui ai expliqué ce qui s’est passé depuis le début, avec honnêteté mais il ne semblait pas pouvoir m’entendre.
Il accepte maintenant de me reparler mais je crois qu’il ne pourra jamais me pardonner. L’image de sa femme souillée, nue sur son lit, le hantera probablement jusqu’à la fin de ses jours.
J’ai conservé l’appartement. Cédric est chez ses parents. Il ne pouvait pas continuer à vivre ici.
J’ai énormément pleuré. Je me sens terriblement seule. Je ne peux parler à personne. J’ai trop honte. Mon amie Zoé à bien entendu compris que notre secret a évolué et mal tourné pour mon couple. Christelle se doute aussi de quelque. Pourtant, son franc parler et son caractère direct ne lui permettent pas d’aborder le sujet ouvertement. Je dois porter sur moi un masque dissuasif.
Je me renferme au boulot. Je deviens passive et agressive. Mes collègues commencent à m’éviter. J’ai demandé à mon boss un congé sans solde de six mois. Il a tiré la tronche mais me l’a finalement concédé. Je ne sais pas encore ce que je vais en faire. Peut-être quitter la ville et aller à la montagne…Mes parents et ceux de Cédric n’y comprennent rien. Apparemment Cédric ment sur la vraie raison de notre rupture. Je l’imite sans hésitation. Mes parents ne supporteraient pas le choc et probablement qu’ils me renieraient. Ce genre de comportement est aux antipodes de leurs valeurs. Je me retrouve à les éviter aussi, par facilité. Quand je les vois, ils me questionnent sans cesse et m’encouragent à me rapprocher de Cédric, leur gendre idéal. Ils pensent que l’orage que nous traversons est surmontable, que chaque couple en rencontre. C’est insupportable.
C’est décidé ! Je pars la semaine prochaine. J’ai trouvé un petit job de serveuse dans un hôtel restaurant familial à la montagne. Il se trouve au bord d’un petit lac. Ce n’est pas très touristique. On ne le trouve pas sur les circuits habituels. Le village le plus proche est à six kilomètres. Ça me fera le plus grand bien. L’air pur de la montagne, les couleurs de l’automne, le calme me permettront de faire le point et de me réorienter dans la vie. Je doute vouloir reprendre mon activité professionnelle comme auparavant. Peut-être devrais-je déménager ? Changer de pays ?
Dans le train qui me mène vers ma nouvelle existence, je suis songeuse. Je repense à cette terrible journée qui a tout changé, qui a brisé mes rêves. Je devrais la haïr, et c’est le cas en quelque sorte. Pourtant, je ne peux m’empêcher de repenser aux sensations que j’ai ressenties. Certaines étaient délicieuses. Les autres souvenirs me procurent aujourd’hui un frisson. Quelle humiliation ! J’interromps ces pensées pour réaliser que, malgré moi, ma culotte est mouillée d’excitation. Il faut que j’arrête. Ce n’est pas possible. Ce n’est pas moi. Je deviens folle.
Lors de mon arrivée à la gare du village, j’aperçois une femme d’une quarantaine d’années sur le quai. Elle ressemble à la photo de la patronne de l’hôtel. Ce doit être elle. Je m’approche avec ma valise. Elle vient à ma rencontre.
- Vous devez être Claire ? me dit-elle.
- Oui, c’est moi ! Et vous êtes probablement Mme Duschênes ?
- Je vous en prie, appelez-moi Catherine. Venez ! Ma voiture est juste derrière. Vous avez fait bon voyage ?
- Je, oui. Je n’ai pas vu le temps passer.
Nous nous installons dans sa voiture. Une grosse berline qui dénote dans le paysage ; qui est magnifique d’ailleurs. Les mélèzes, omniprésents, éclaboussent les montagnes de leur parure orange. La route qui mène à l’hôtel est sinueuse à souhait. Des ruisseaux se jettent le long de parois abruptes et les gouttelettes qu’ils dispersent rendent les couleurs de l’arc en ciel. C’est féerique.
Quel merveilleux temps ! Il ne fait même pas frais pour un mois d’octobre ; pourtant nous sommes à 1400 mètres d’altitude.
Nous arrivons devant l’Hôtel, en bois clair. Il ne doit pas être vieux. Trois étages, pas plus, et de petites fenêtres sous les combles. Certainement ou se trouvera ma chambre. Il peut accueillir seize clients.
La patronne est seule. Elle n’est pas mariée et n’a pas d’enfants.
Une femme de ménage passe tous les matins pour faire les chambres. Un cuisinier et son aide proposent un menu simple, rustique.
Catherine me fait visiter rapidement. Elle me mène ensuite à ma chambre. Elle n’est pas grande. Un lit, une table, une armoire, une petite télévision. La douche est dans le couloir. Les toilettes aussi. Ce n’est pas grave, je ne viens pas pour passer du temps dedans. J’ai hâte de parcourir la montagne.
Mon temps sera toutefois compté. Je travaille tous les jours sauf le lundi. Je sers au restaurant et j’aide ou l’on peut avoir besoin de moi. Un petit service à midi et un plus grand le soir.
La première journée se passe sans anicroche. Je me couche épuisée mais l’esprit serein. Il y a longtemps que ça ne m’est pas arrivé.
Le personnel est sympa. Joachim, le cuisinier me propose régulièrement un petit en cas ou un verre à boire, discrètement, entre deux services. Il est d’origine portugaise, dans la quarantaine, comme Catherine.
Son aide s’appelle Francis. Il a vingt ans à peine. Il a quitté le foyer familial sur une énième dispute avec ses parents. Il semble timide et ne m’adresse que peu la parole.
Je ne connais pas encore la femme de ménage. Je l’ai croisée deux fois. Je sais seulement qu’elle se nomme Olivia.
C’est mon troisième jour et Catherine me dit que ce soir, nous aurons une table de six personnes pour le diner. Ce sont des habitués du village ; chasseurs dans leurs loisirs qui viennent arroser leur journée au restaurant avant de rentrer chez eux.
J’ai dressé les tables comme d’habitude.
Etonnement, depuis le début de la semaine, l’hôtel semble presque vide. Quelques rares clients se sont montrés mais aucun n’a une chambre réservée. A vrai dire, ce sont des clients du restaurant uniquement. Peut-être que le week-end amènera son lot de touristes.
Le restaurant est vide aussi ce soir, à l’exception de nos chasseurs. Ils sont bruyants, braillards. Ils ont manifestement déjà bu avant de venir.
Ils me commandent de la bière pour attendre le repas.
- Regardez cette poupée, dit l’un d’eux.
- Elle est sacrément bien roulée.
- Ouai ! Hein petite ! Comment tu t’appelles ?
Outrée par leurs propos. Je réponds néanmoins timidement.
Ils sont déjà un peu ivres. Je vais tâcher de ne pas trop m’attarder sur leurs propos. Ce sont des paysans sans éducation.
En même temps, ma tenue n’est pas faite pour éviter ce genre de désagréments. Catherine a insisté pour que je porte une jupe à carreaux gris, blancs pour le service. Elle est courte et m’arrive à mi-cuisse. Heureusement je porte des bas. J’ai dû insister pour des baskets. Elle voulait m’imposer des chaussures à talons. Le haut est plus classique mais suggère quand même ma poitrine.
La soirée se passera uniquement avec ces clients. Il est vingt-deux heures et personne d’autre n’est venu. Je me demande comment Catherine se dérouille avec si peu de clients.
Je sers vais proposer des digestifs et des cafés lorsque, le type que me traitait de poupée me met la main aux fesses. Je me retire aussitôt et lui lance une claque qui résonne encore dans ma tête.
Ses compères se fendent d’un rire gras et lui, sa stupéfaction passée, les imite.
Ils partent peu après. Je me mets à ranger la salle.
Catherine approche de moi, elle vient sûrement m’aider et voir si je ne suis pas trop choquée. Si elle savait ce que j’ai vécu, elle ne se ferait pas tant de soucis.
Je me trompe cependant. Elle ne vient pas pour ça. Au contraire, elle me réprimande.
- Ce sont mes meilleurs clients Claire. Tu te crois où pour te permettre un tel comportement ?
Abasourdie, je ne sais que répondre et bredouille faiblement :- Que… je… mais, ce grand type m’a mis la main aux fesses.
- Et alors ? Tu trouves que nous avons assez de clients pour nous permettre de risquer de perdre nos habitués ? On voit bien que tu n’as pas de soucis. Je ne suis pas lâ pour six mois comme toi. C’est de ma vie dont il s’agit.
- Je… mais ils n’ont pas arrêté de me faire des remarques sur mon physique et…- Ça suffit ! Si tu veux continuer à travailler ici, tu t’excuseras auprès d’eux. Ils reviennent demain soir. Tâche de savoir te comporter.
Je vais me coucher, un nœud de rancœur dans le ventre. Ce séjour s’annonçait si bien. J’hésite à faire ma valise et partir. Mais pour aller où ? Qui m’attend ?
Je rumine la moitié de la nuit et me décide à serrer le poing. Je ne vais pas me dégonfler à la première difficulté.
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