Double vie 4
Récit érotique écrit par Kebe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Double vie 4
C’était donc ça ! Et moi qui croyais comme un naïf que notre couple avait développé une nouvelle intimité, plus débridée mais encore plus confiante. Quel abruti !
La lecture de ce journal arrive à son terme. Il reste encore quelques épisodes que je connais pour les avoir vécus avec Florence et d’autres dont les détails me déchirent le corps. Et moi qui croyais que nous étions en pleine renaissance sexuelle, alors qu’elle me préparait, qu’elle me modelait
Elle veut que je la regarde avec ce Diego et que je participe à leurs ébats. Je ne peux honnêtement nier que j’ai pris mon pied dans nos jeux en imaginant qu’un autre la baisait, qu’elle n’était qu’une garce prête à toutes les perversions. Ça me libérait et je pouvais réaliser mes fantasmes les plus secrets. Mais c’était quand même moi, pas lui !
J’essaie de réfléchir en tournant en rond dans mon salon. Il faut que je reste rationnel et que ma colère ne m’empêche pas de penser et d’anticiper les événements. De ma décision dépendra mon avenir ; notre avenir.
Il me faut une bonne heure avant d’en arriver à discerner les différentes possibilités qui s’offrent à moi.
Soit, je la quitte ! Je l’oublie définitivement ou… en tous les cas j’essaie. J’ai l’impression que c’est ce que je dois faire mais je crains qu’une telle décision ne soit marquée par l’instinct de jalousie et qu’au final je le regrette.
Soit, je reste avec elle et je me contente de cette situation. Nous gardons notre équilibre et continuons à vivre comme avant. Cette idée m’est impossible ! Je l’écarte aussitôt. Je ne pourrais pas et elle n’en voudrait pas non plus.
Il me reste la vengeance qui me permettrait d’évacuer ma colère, de satisfaire mon orgueil blessé. Mais je la perdrais inexorablement. Et alors ? Quitte à la perdre, autant se venger avant, non ?
Je peux encore essayer de la faire oublier ce Diego en lui parlant franchement. Mais à lire son journal, je doute que ce soit possible. Nous vivrions dans le mensonge et je douterai toujours d’elle.
Ou alors, je lutte contre mes sentiments et ma colère et je rentre dans son jeu. Je la garde et nous essayons de trouver un nouvel équilibre avec ce Diego. Mais suis-je capable d’un tel effort ? Suis-je capable de sacrifier mon ego pour ce partage contre nature ? j’en doute fortement.
Je ne peux nier qu’il m’est difficile de trancher. Mes sentiments s’emmêlent et me perdent dans un tourbillon d’émotions. Mon orgueil et ma jalousie affrontent farouchement l’amour que je lui porte. Il n’y a pas d’issues, pas de vainqueur. Je perds dans tous les cas.
Je ne décide rien et passe une soirée bien glauque avec Florence. J’ai besoin de plus de temps.
La semaine entière s’écoule. Rien n’a changé. Je suis tombé dans une sorte de léthargie qui m’anesthésie l’esprit.
Ce soir pourtant, Florence semble particulièrement tendue. Elle vient s’asseoir vers moi, sur le sofa, devant la télé que je ne regarde pas vraiment. Je vois qu’elle hésite. Elle se colle et pose sa tête sur mon épaule. Je ne lui rends pas ses caresses. Elle franchit le pas avant moi et m’avoue qu’elle à rencontré un homme, qu’il s’appelle Diego et qu’elle a couché avec lui. Malgré son stress, elle me le dit sans ciller. Son courage me rappelle ma faiblesse et je n’aime pas ça.
Malgré ma préparation et toutes mes réflexions je lui dis précisément ce que je ne devrai pas. Je lui avoue avoir trouvé et lu son journal.
Elle se mord les lèvres et les excuses que j’attends se muent un en simple « alors ? ».
Cette réponse me sort de ma torpeur. Je me lève d’un bon et je la gifle. Quel abruti ! Ça ne nous était jamais arrivé. J’ai honte, et c’est moi qui me retrouve à m’excuser à présent. Comment est-ce possible ?
Nous finissons en pleurs chacun d’un côté du sofa. Puis, lentement, elle se rapproche jusqu’ à ce qu’elle se trouve blottie contre moi. Je passe mes bras autour d’elle et nos corps s’enlacent pour n’en faire plus qu’un. Je sens à ce moment que Diego entre définitivement dans ma vie.
Elle m’en reparle juste après. Mon silence semble l’encourager. Elle m’explique sa douleur, son déchirement. Elle m’embrasse tendrement en me disant qu’elle m’aime. Elle me parle de lui.
J’accepte de le rencontrer mais je ne lui promets rien.
La fin de semaine approche et la tension monte. Diego viendra demain soir à la maison. J’avoue ne pas réussir à me projeter dans cette soirée. Mon cerveau doit me protéger d’une nouvelle douleur. Florence quant à elle irradie mais semble aussi très nerveuse. Elle me comble d’attentions et de tendresse. Elle doit vraiment tenir à moi et je crois que c’est ce qui me retient encore.
J’ai du mal à l’avouer mais Diego est un bel homme et sa comparaison me fait souffrir. Je voulais immédiatement lui montrer qu’il était ici chez moi. Au lieu de quoi, je bégaie un timide bonsoir et son assurance, sa jovialité et ses manières amicales me déstabilisent.
Il s’assied à mon côté, face à Florence. Nous buvons un verre de champagne alors qu’il mène une conversation pleine d’humour qui dérive délicatement vers un sujet plus intime.
Florence se lève et vient s’asseoir entre nous. Elle m’embrasse sur la joue et cherche mon regard. Nous restons quelques secondes ainsi, les yeux dans les yeux. Elle se retourne ensuite et embrasse Diego fougueusement. Je m’y attendais mais le choc est quand même là. Je me dis que c’est le premier pas qui coûte et que certaines choses demandent du temps pour être appréciées.
Nous buvons encore quelques verres et je lorsque nous ouvrons la troisième bouteille, je réalise que je suis le seul à boire. Mais tant pis.
Florence est venue s’asseoir sur mes genoux pour m’embrasser. Les mains chaudes de Diego, qui se tenait derrière moi, ont pris contact avec mon corps. Il m’a massé les épaules un moment et je me suis laissé faire, l’esprit anesthésié par le champagne.
Je suis resté là, assis sur le sofa, pendant que Florence déshabillait cet homme dans mon salon. Je vidais ma coupe, sans me poser de questions.
Lorsqu’elle a sorti le sexe dressé de Diego de son caleçon, un frissonnement est monté dans ma colonne vertébrale. Florence a mis sa main dessus, puis après quelques caresses, s’est agenouillée et l’a pris délicatement dans sa bouche.
Une vague m’a submergé. Je me noyais et elle m’a rejeté sur la berge. Je me lève d’un bon et sors de la pièce. Je sais ce que je dois faire. Je l’ai toujours su et le voile s’est déchiré. Je dois reprendre mes esprits et vite. Florence ne me laisse que quelques secondes avant de venir me chercher. Elle me prend par la main et me ramène au salon. Je la suis.
Elle veut que je la regarde sucer cet homme. Soit. J’obéis.
Je me rassieds et la regarde reprendre ce sexe dans sa bouche. Elle le parcourt avec la langue jusqu’à ce que Diego pousse un puissant grognement de plaisir. Lorsqu’il se retire, un mince filet de sperme coule sur le menton de ma femme qui se lève pour venir m’embrasser.
La lecture de ce journal arrive à son terme. Il reste encore quelques épisodes que je connais pour les avoir vécus avec Florence et d’autres dont les détails me déchirent le corps. Et moi qui croyais que nous étions en pleine renaissance sexuelle, alors qu’elle me préparait, qu’elle me modelait
Elle veut que je la regarde avec ce Diego et que je participe à leurs ébats. Je ne peux honnêtement nier que j’ai pris mon pied dans nos jeux en imaginant qu’un autre la baisait, qu’elle n’était qu’une garce prête à toutes les perversions. Ça me libérait et je pouvais réaliser mes fantasmes les plus secrets. Mais c’était quand même moi, pas lui !
J’essaie de réfléchir en tournant en rond dans mon salon. Il faut que je reste rationnel et que ma colère ne m’empêche pas de penser et d’anticiper les événements. De ma décision dépendra mon avenir ; notre avenir.
Il me faut une bonne heure avant d’en arriver à discerner les différentes possibilités qui s’offrent à moi.
Soit, je la quitte ! Je l’oublie définitivement ou… en tous les cas j’essaie. J’ai l’impression que c’est ce que je dois faire mais je crains qu’une telle décision ne soit marquée par l’instinct de jalousie et qu’au final je le regrette.
Soit, je reste avec elle et je me contente de cette situation. Nous gardons notre équilibre et continuons à vivre comme avant. Cette idée m’est impossible ! Je l’écarte aussitôt. Je ne pourrais pas et elle n’en voudrait pas non plus.
Il me reste la vengeance qui me permettrait d’évacuer ma colère, de satisfaire mon orgueil blessé. Mais je la perdrais inexorablement. Et alors ? Quitte à la perdre, autant se venger avant, non ?
Je peux encore essayer de la faire oublier ce Diego en lui parlant franchement. Mais à lire son journal, je doute que ce soit possible. Nous vivrions dans le mensonge et je douterai toujours d’elle.
Ou alors, je lutte contre mes sentiments et ma colère et je rentre dans son jeu. Je la garde et nous essayons de trouver un nouvel équilibre avec ce Diego. Mais suis-je capable d’un tel effort ? Suis-je capable de sacrifier mon ego pour ce partage contre nature ? j’en doute fortement.
Je ne peux nier qu’il m’est difficile de trancher. Mes sentiments s’emmêlent et me perdent dans un tourbillon d’émotions. Mon orgueil et ma jalousie affrontent farouchement l’amour que je lui porte. Il n’y a pas d’issues, pas de vainqueur. Je perds dans tous les cas.
Je ne décide rien et passe une soirée bien glauque avec Florence. J’ai besoin de plus de temps.
La semaine entière s’écoule. Rien n’a changé. Je suis tombé dans une sorte de léthargie qui m’anesthésie l’esprit.
Ce soir pourtant, Florence semble particulièrement tendue. Elle vient s’asseoir vers moi, sur le sofa, devant la télé que je ne regarde pas vraiment. Je vois qu’elle hésite. Elle se colle et pose sa tête sur mon épaule. Je ne lui rends pas ses caresses. Elle franchit le pas avant moi et m’avoue qu’elle à rencontré un homme, qu’il s’appelle Diego et qu’elle a couché avec lui. Malgré son stress, elle me le dit sans ciller. Son courage me rappelle ma faiblesse et je n’aime pas ça.
Malgré ma préparation et toutes mes réflexions je lui dis précisément ce que je ne devrai pas. Je lui avoue avoir trouvé et lu son journal.
Elle se mord les lèvres et les excuses que j’attends se muent un en simple « alors ? ».
Cette réponse me sort de ma torpeur. Je me lève d’un bon et je la gifle. Quel abruti ! Ça ne nous était jamais arrivé. J’ai honte, et c’est moi qui me retrouve à m’excuser à présent. Comment est-ce possible ?
Nous finissons en pleurs chacun d’un côté du sofa. Puis, lentement, elle se rapproche jusqu’ à ce qu’elle se trouve blottie contre moi. Je passe mes bras autour d’elle et nos corps s’enlacent pour n’en faire plus qu’un. Je sens à ce moment que Diego entre définitivement dans ma vie.
Elle m’en reparle juste après. Mon silence semble l’encourager. Elle m’explique sa douleur, son déchirement. Elle m’embrasse tendrement en me disant qu’elle m’aime. Elle me parle de lui.
J’accepte de le rencontrer mais je ne lui promets rien.
La fin de semaine approche et la tension monte. Diego viendra demain soir à la maison. J’avoue ne pas réussir à me projeter dans cette soirée. Mon cerveau doit me protéger d’une nouvelle douleur. Florence quant à elle irradie mais semble aussi très nerveuse. Elle me comble d’attentions et de tendresse. Elle doit vraiment tenir à moi et je crois que c’est ce qui me retient encore.
J’ai du mal à l’avouer mais Diego est un bel homme et sa comparaison me fait souffrir. Je voulais immédiatement lui montrer qu’il était ici chez moi. Au lieu de quoi, je bégaie un timide bonsoir et son assurance, sa jovialité et ses manières amicales me déstabilisent.
Il s’assied à mon côté, face à Florence. Nous buvons un verre de champagne alors qu’il mène une conversation pleine d’humour qui dérive délicatement vers un sujet plus intime.
Florence se lève et vient s’asseoir entre nous. Elle m’embrasse sur la joue et cherche mon regard. Nous restons quelques secondes ainsi, les yeux dans les yeux. Elle se retourne ensuite et embrasse Diego fougueusement. Je m’y attendais mais le choc est quand même là. Je me dis que c’est le premier pas qui coûte et que certaines choses demandent du temps pour être appréciées.
Nous buvons encore quelques verres et je lorsque nous ouvrons la troisième bouteille, je réalise que je suis le seul à boire. Mais tant pis.
Florence est venue s’asseoir sur mes genoux pour m’embrasser. Les mains chaudes de Diego, qui se tenait derrière moi, ont pris contact avec mon corps. Il m’a massé les épaules un moment et je me suis laissé faire, l’esprit anesthésié par le champagne.
Je suis resté là, assis sur le sofa, pendant que Florence déshabillait cet homme dans mon salon. Je vidais ma coupe, sans me poser de questions.
Lorsqu’elle a sorti le sexe dressé de Diego de son caleçon, un frissonnement est monté dans ma colonne vertébrale. Florence a mis sa main dessus, puis après quelques caresses, s’est agenouillée et l’a pris délicatement dans sa bouche.
Une vague m’a submergé. Je me noyais et elle m’a rejeté sur la berge. Je me lève d’un bon et sors de la pièce. Je sais ce que je dois faire. Je l’ai toujours su et le voile s’est déchiré. Je dois reprendre mes esprits et vite. Florence ne me laisse que quelques secondes avant de venir me chercher. Elle me prend par la main et me ramène au salon. Je la suis.
Elle veut que je la regarde sucer cet homme. Soit. J’obéis.
Je me rassieds et la regarde reprendre ce sexe dans sa bouche. Elle le parcourt avec la langue jusqu’à ce que Diego pousse un puissant grognement de plaisir. Lorsqu’il se retire, un mince filet de sperme coule sur le menton de ma femme qui se lève pour venir m’embrasser.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
l’auteur est mort , il n’ y aura pas de suite. de tte facon dans la suite comme tous les caudalistes le mari se serait enfilé par Diego voire meme devenu leursoumis. alex H
Alors la suite arrive , oui , non peut etre.
Alors la suite !!!
QITTE TA PUTE elle ne t'aime pas
Cette femme contrairement à ce qu elle dit n aime pas son mari elle a le feu au cul et ne veux surtout pas perdre son petit confort c est une garde.Qu il la vire et sans regret il n aura pas de mal à retrouver une femme aimante et fidèle.
Alors la suite !!!!
Grégoire a encore l'esprit embué par l'amour qu'il a pour la femme de sa vie .
Et cest pour cette même raison qu'il a le cul entre deux chaise, sur la suite qu'il doit
donner à son couple .
Et c'est d'ailleur pour ça qu'il a accepté de recevoir l'amant de sa femme chez lui .
Mais là elle est allée trop loin en revenant le chercher , alors qu'il en avait vu assez
sur ce que Florence lui imposait.
A mes yeux , ce baiser mélanger du du sperme de son amant qu'elle impose à son mari
humilié, est la goutte qui fait débordé le vase .
Et ce même baiser, je lui aurais recraché à la figure histoire de l'humilier à son tour
devant son amant qui voyait sa position prendre le dessus sur celle du mari cocu.
Et pour finir je serai monté dans la chambre lui préparer une valise que j'aurais déposé
devant la porte avant de foutre son mec dehors en lui faisant bien comprendre que c'est
Lui ou c'est moi et que si elle veut continuer à vivre ses fantasmes dans le dos de son
mari elle n'a qu'à continuer à s'éclater avec son nouveau sex toy vivant en attendant les
papier de divorce.
Si on aime son mari , au point où elle le dit dans son journal, on ne lui impose pas un
tel affront.
Maintenant c'est à elle de réfléchir sur sa double vie et si elle est prête à perdre
celui qu'elle aime plus que tout.
Roulio
Et cest pour cette même raison qu'il a le cul entre deux chaise, sur la suite qu'il doit
donner à son couple .
Et c'est d'ailleur pour ça qu'il a accepté de recevoir l'amant de sa femme chez lui .
Mais là elle est allée trop loin en revenant le chercher , alors qu'il en avait vu assez
sur ce que Florence lui imposait.
A mes yeux , ce baiser mélanger du du sperme de son amant qu'elle impose à son mari
humilié, est la goutte qui fait débordé le vase .
Et ce même baiser, je lui aurais recraché à la figure histoire de l'humilier à son tour
devant son amant qui voyait sa position prendre le dessus sur celle du mari cocu.
Et pour finir je serai monté dans la chambre lui préparer une valise que j'aurais déposé
devant la porte avant de foutre son mec dehors en lui faisant bien comprendre que c'est
Lui ou c'est moi et que si elle veut continuer à vivre ses fantasmes dans le dos de son
mari elle n'a qu'à continuer à s'éclater avec son nouveau sex toy vivant en attendant les
papier de divorce.
Si on aime son mari , au point où elle le dit dans son journal, on ne lui impose pas un
tel affront.
Maintenant c'est à elle de réfléchir sur sa double vie et si elle est prête à perdre
celui qu'elle aime plus que tout.
Roulio
Alors la suite !!!!
Refuse sinon t’es mort. Elle va de plus en plus baiser avec lui et toi tu regarderas comme
un bon cocu et il va venir s’installer chez toi et tu finiras dans la chambre d’ami. Ou
elle ira dormir chez lui et tu la perdras, et tu resteras seul. Dis lui que tu ne veux pas
de cela. Réagis vite.
un bon cocu et il va venir s’installer chez toi et tu finiras dans la chambre d’ami. Ou
elle ira dormir chez lui et tu la perdras, et tu resteras seul. Dis lui que tu ne veux pas
de cela. Réagis vite.
On n'impose pas à l'autre ce genre de relation. Le libertinage, l'échangisme ou le
candaulisme ce n'est pas ça...
L attitude de Florence est odieuse. Elle profite d'un moment fe détresse de son
compagnon pour lui imposer ses envies.
Le couple n'a aucun avenir dans cette voie.
Seule une réaction franche et sans ambiguité du mari pourra éventuellement sauver le
couple, et si ce n'est pas le cas ,cela l'empêchera lui de tomber plus bas que terre.
candaulisme ce n'est pas ça...
L attitude de Florence est odieuse. Elle profite d'un moment fe détresse de son
compagnon pour lui imposer ses envies.
Le couple n'a aucun avenir dans cette voie.
Seule une réaction franche et sans ambiguité du mari pourra éventuellement sauver le
couple, et si ce n'est pas le cas ,cela l'empêchera lui de tomber plus bas que terre.