Chantal 1
Récit érotique écrit par Le relieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2018 dans la catégorie Plus on est
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Chantal 1
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Chantal 1
Chantal et Jean sont les boulangers de mon quartier. C'est leur fille qui m'apporte les croissants le dimanche matin. Il est vrai que Chantal a été ma maîtresse quelque temps, et que chaque fois que sa fille m'apporte les croissants je ne manque pas de la lutiner elle est aussi chaude que sa mère (voir Pauline 4). Mais revenons à Chantal. À cette époque les parents de Chantal, tenaient la boulangerie de la petite ville où je résidais chez mes parents. Jean était le mitron de la boulangerie. Il ne rêvait que d'une chose se faire la fille du patron, il s'arrangeait toujours pour la frôler chaque fois qu'il apportait le pain ou les pâtisseries dans la boutique. Un après midi alors que son père dormait, Chantal dit à sa mère qu'elle sortait une heure, Jean l'attendait à deux pas de la boulangerie, Jean la prend par la main et l’entraîne vers un petit immeuble de son quartier, Chantal pense que Jean va la faire entrer chez lui, mais que nenni, à peine sont-ils dans le hall et qu’ils prennent l’ascenseur, au lieu de monter, l’ascenseur rejoint le sous sol et les caves. Et justement Jean l’entraîne vers une des caves, la plus éloignée. Sitôt arrivée, plusieurs jeunes gens se saisissent de Chantal elle est immobilisée, on veut la bâillonner mais Chantal se doute de ce qu’il va lui arriver, et elle décide de suite de se laisser faire et elle le fait savoir au groupe, la seule chose qu’elle veut c’est que Jean soit le premier. Alors ils la regardent se dévêtir ; chaque jeune fait des yeux ronds, à cette époque même si on avait déjà 21 ans, dans les années soixante beaucoup de jeunes n’avaient jamais vu une fille sinon sur un LUI ou un PLAYBOY qui se passait en douce de main en main. Tandis que Chantal se mettait nue, les jeunes avaient déjà la main sur leur braguette, d’autre comme Jean et moi-même nous avions le sexe en main.
Et je voyais Chantal regarder furtivement afin d’estimer le sexe qui lui conviendrait après Jean.
J’espérais que je serai le second, ce serait ma première fille mais pas ma première femme ; quelques une dans la petite ville avaient déjà goûté à mon mandrin, il est vrai que sous la douche après le sport beaucoup avaient du mal à soutenir la comparaison même si je ne bandais pas face à eux, mais le bruit courrait que la nature m’avait bien pourvu, et certaines épouses avaient voulu le constater de leurs propres yeux. A 21 ans j’avais déjà couché avec la pharmacienne, et la femme du maire et celle du premier adjoint, et quelques autres qui n’avaient pas eu à se plaindre de mes services, mais qui s’en étaient vanté auprès de leurs amies.
Mais revenons à Chantal, une fois nue elle s’approche de Jean et lui saisi le sexe à pleine main, j’ai bien l’impression que ce n’est pas la première fois qu’elle à une queue entre les main, et le dépucelage ne concernera que Jean, j’en mettrais ma main au feu, la suite de l’histoire me le confirmera.
Chantal attire Jean jusqu’à un vieux matelas au fond de la cave, elle se couche sur le dos et tirant Jean à elle, elle écarte les cuisses nous dévoilant un belle touffe poilue (à cette époque on ne se rasait pas encore ou alors si on était une putain). Et tenant toujours Jean par la queue et le guide jusqu’à sa fente.
Jean s’y enfonce comme dans du beurre tiède, Chantal à le regard ailleurs, et en suivant se yeux je tombe sur le visage de mon ami Gérard (voir Séverine) et je comprend que Chantal n’en est pas à son coup d’essai, mais quelques allers retours de Jean et il se vide sur le ventre de la belle, qui pose ses yeux sur moi, je sais qu’à ce moment elle à choisi ma queue, les autres gars se sont déjà vidé les couilles en se branlant et ils quittent la cave, se demandant si un jour ce sera leur tour.
Jean se relève et quitte aussi la cave laissant là sa belle à la merci de deux queutards, Gérard et moi-même nous avons bien profité de cette belle rouquine au tempérament de feu, Chantal il ne faut pas que lui en promettre il faut lui en donner et plutôt deux fois qu’une.
Alors je me met nu et m’agenouille entre les cuisses de la belle rouquine, approchant mon dard de son buisson de feu ; et c’est Chantal qui prend les choses en main, frottant mon gland sur son bouton que je sens dardé sur ma chair sensible, et en deux minutes la belle s’envole en gueulant son plaisir, je dois lui prendre la bouche sinon on va se faire remarquer. Gérard prend ma place et lui enfonce la queue au fond de la bouche, tandis que je lui dilate la chatte avec mon qu’elle convoitait tantôt.
Nous la limons avec application nous relayant afin de ne pas jouir trop vite et de bien profiter de notre volcanique rouquine, et ce n’est que clapotis de chatte trempée et de bruits de sucions Mais trop excités nous finissons par gicler dans la bouche de Chantal qui n’en perd pas une larme, et bouche ouverte elle nous montre qu’elle a tout avalé.
Le soir tombe et nous nous rhabillons, je demande à Chantal : « ce n’est pas la première fois que tu te fais une partie ».
« non c’est Gérard qui m’a initiée, mais pour mes parents il me faut un copain convenable, alors j’ai choisi Jean, j’ai adoré ta queue !!!! »Gérard est parti, j’ai aidé Chantal à retrouver ses affaires, et nous sommes remonté dans le hall, ma fougueuse rouquine m’a embrassé longuement et m’a quitté en me disant : « A bientôt belle queue tu m’as fait du bien je vais rester ouverte un moment ». Sur ce, avant de partir elle retire sa culotte et me la met dans la poche ; et elle part en courant vers la boulangerie.
Chantal 1
Chantal et Jean sont les boulangers de mon quartier. C'est leur fille qui m'apporte les croissants le dimanche matin. Il est vrai que Chantal a été ma maîtresse quelque temps, et que chaque fois que sa fille m'apporte les croissants je ne manque pas de la lutiner elle est aussi chaude que sa mère (voir Pauline 4). Mais revenons à Chantal. À cette époque les parents de Chantal, tenaient la boulangerie de la petite ville où je résidais chez mes parents. Jean était le mitron de la boulangerie. Il ne rêvait que d'une chose se faire la fille du patron, il s'arrangeait toujours pour la frôler chaque fois qu'il apportait le pain ou les pâtisseries dans la boutique. Un après midi alors que son père dormait, Chantal dit à sa mère qu'elle sortait une heure, Jean l'attendait à deux pas de la boulangerie, Jean la prend par la main et l’entraîne vers un petit immeuble de son quartier, Chantal pense que Jean va la faire entrer chez lui, mais que nenni, à peine sont-ils dans le hall et qu’ils prennent l’ascenseur, au lieu de monter, l’ascenseur rejoint le sous sol et les caves. Et justement Jean l’entraîne vers une des caves, la plus éloignée. Sitôt arrivée, plusieurs jeunes gens se saisissent de Chantal elle est immobilisée, on veut la bâillonner mais Chantal se doute de ce qu’il va lui arriver, et elle décide de suite de se laisser faire et elle le fait savoir au groupe, la seule chose qu’elle veut c’est que Jean soit le premier. Alors ils la regardent se dévêtir ; chaque jeune fait des yeux ronds, à cette époque même si on avait déjà 21 ans, dans les années soixante beaucoup de jeunes n’avaient jamais vu une fille sinon sur un LUI ou un PLAYBOY qui se passait en douce de main en main. Tandis que Chantal se mettait nue, les jeunes avaient déjà la main sur leur braguette, d’autre comme Jean et moi-même nous avions le sexe en main.
Et je voyais Chantal regarder furtivement afin d’estimer le sexe qui lui conviendrait après Jean.
J’espérais que je serai le second, ce serait ma première fille mais pas ma première femme ; quelques une dans la petite ville avaient déjà goûté à mon mandrin, il est vrai que sous la douche après le sport beaucoup avaient du mal à soutenir la comparaison même si je ne bandais pas face à eux, mais le bruit courrait que la nature m’avait bien pourvu, et certaines épouses avaient voulu le constater de leurs propres yeux. A 21 ans j’avais déjà couché avec la pharmacienne, et la femme du maire et celle du premier adjoint, et quelques autres qui n’avaient pas eu à se plaindre de mes services, mais qui s’en étaient vanté auprès de leurs amies.
Mais revenons à Chantal, une fois nue elle s’approche de Jean et lui saisi le sexe à pleine main, j’ai bien l’impression que ce n’est pas la première fois qu’elle à une queue entre les main, et le dépucelage ne concernera que Jean, j’en mettrais ma main au feu, la suite de l’histoire me le confirmera.
Chantal attire Jean jusqu’à un vieux matelas au fond de la cave, elle se couche sur le dos et tirant Jean à elle, elle écarte les cuisses nous dévoilant un belle touffe poilue (à cette époque on ne se rasait pas encore ou alors si on était une putain). Et tenant toujours Jean par la queue et le guide jusqu’à sa fente.
Jean s’y enfonce comme dans du beurre tiède, Chantal à le regard ailleurs, et en suivant se yeux je tombe sur le visage de mon ami Gérard (voir Séverine) et je comprend que Chantal n’en est pas à son coup d’essai, mais quelques allers retours de Jean et il se vide sur le ventre de la belle, qui pose ses yeux sur moi, je sais qu’à ce moment elle à choisi ma queue, les autres gars se sont déjà vidé les couilles en se branlant et ils quittent la cave, se demandant si un jour ce sera leur tour.
Jean se relève et quitte aussi la cave laissant là sa belle à la merci de deux queutards, Gérard et moi-même nous avons bien profité de cette belle rouquine au tempérament de feu, Chantal il ne faut pas que lui en promettre il faut lui en donner et plutôt deux fois qu’une.
Alors je me met nu et m’agenouille entre les cuisses de la belle rouquine, approchant mon dard de son buisson de feu ; et c’est Chantal qui prend les choses en main, frottant mon gland sur son bouton que je sens dardé sur ma chair sensible, et en deux minutes la belle s’envole en gueulant son plaisir, je dois lui prendre la bouche sinon on va se faire remarquer. Gérard prend ma place et lui enfonce la queue au fond de la bouche, tandis que je lui dilate la chatte avec mon qu’elle convoitait tantôt.
Nous la limons avec application nous relayant afin de ne pas jouir trop vite et de bien profiter de notre volcanique rouquine, et ce n’est que clapotis de chatte trempée et de bruits de sucions Mais trop excités nous finissons par gicler dans la bouche de Chantal qui n’en perd pas une larme, et bouche ouverte elle nous montre qu’elle a tout avalé.
Le soir tombe et nous nous rhabillons, je demande à Chantal : « ce n’est pas la première fois que tu te fais une partie ».
« non c’est Gérard qui m’a initiée, mais pour mes parents il me faut un copain convenable, alors j’ai choisi Jean, j’ai adoré ta queue !!!! »Gérard est parti, j’ai aidé Chantal à retrouver ses affaires, et nous sommes remonté dans le hall, ma fougueuse rouquine m’a embrassé longuement et m’a quitté en me disant : « A bientôt belle queue tu m’as fait du bien je vais rester ouverte un moment ». Sur ce, avant de partir elle retire sa culotte et me la met dans la poche ; et elle part en courant vers la boulangerie.
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