Chantal 3
Récit érotique écrit par Le relieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chantal 3
Chantal 3Un dimanche chargé d’émotions
Après le départ de Chantal, le curé pris de remords, est resté en prière un moment, quand il a ressenti la fraîcheur de l’église et qu’il s’est aperçu qu’il était encore nu, ça a définitivement mis fin à sa résolution de ne plus revoir sa jolie paroissienne.
Bien sur, ce n’était pas la première fois mais comme toujours après, il prenait la résolution de ne pas recommencer, mais la chair est faible et avec ce que ses paroissiennes venaient lui confesser pouvait-il en être autrement, surtout que chaque fois c’était les mêmes fautes et chaque fois il poussait ses pénitentes à en dire plus et parfois cela finissait comme ce soir, mais cette fois la pécheresse était plus jeune.
Au diable son vœu de chasteté, d’ailleurs ne venait-il pas de jeter à nouveau sa soutane aux orties. D’ailleurs rien que de penser à Chantal, son sexe reprenait-il de la vigueur.
D’ailleurs son évêque qui était son confesseur lui accordait à chaque fois l’absolution en disant : « faites en sorte que cela ne sorte pas de la paroisse ».
Il a remis sa soutane, et il est parti pour la boulangerie pour commander un gâteau pour son dimanche.
Il a demandé à la mère de Chantal si leur fille pouvait le lui apporter le gâteau après la messe.
Le bon curé a eu du mal à dormir souvent tenu éveillé par des pensées érotiques, et donc à l’heure où il rejoint l’autel pour célébrer l’office, il voit arriver Chantal avec la boite de gâteau à la main, il sent son sexe se dresser sous l’aube et la chasuble, (pourvu que les fidèles ne s’en aperçoivent pas !!!).
Et voilà une messe qui n’a jamais été aussi vite célébrée. Et au moment de la bénédiction finale, il regarde sa montre et il découvre qu’il a mit un quart d’heure de moins (mon dieu j’espère que je n’ai rien oublié !!!). Durant tout l’office il n’a eu de cesse de regarder Chantal qui régulièrement prenait plaisir à lui simuler des baisers avec ses lèvres pulpeuses.
Fin de l’office il salut ses paroissiens sur le parvis de l’église, tandis que la démoniaque Chantal l’attend près d’un des piliers, sa boite de gâteau à la main.
Puis enfin les salutations terminées il s’empresse de faire entrer Chantal et il referme l’église, et entraîne sa tentatrice vers la sacristie, et avec empressement il retire chasuble et aube, pour apparaître nu, bite tendue vers son démon de chair.
Il prend Chantal par la main et l’entraîne vers une petite porte cachée par un rideau et qui donne accès au presbytère. A peine arrivée dans la cuisine, Chantal pose le paquet et elle relève sa jupe pour que le curé puisse voir qu’elle ne porte aucun sous vêtements.
Elle s’assoie au bord de la table et elle relève ses jambes pour qu’il puisse bien voir sa fente au milieu de sa toison de feu.
L’abbé tombe à genoux devant Chantal et plonge tête baisée dans l’entre cuisses de la belle et il lui broute le mille feuilles baveux.
Le curé passe sa langue dans les moindres recoins de la vulve, explorant chaque centimètre de chair, s’enivrant du parfum de plaisir et du jus goûteux qui s’écoule de cette grotte exquise qu’il fouille autant qu’il peut, et puis entre ses lèvres il aspire le gros clito de Chantal ; il a vraiment l’impression de sucer une petite bite si ce n’est tout ce nectar qui coule de la fente.
Mais Chantal sent son plaisir qui monte et elle supplie l’abbé : « viens prend moi vite je veux ta grosse queue !!! ».
Alors l’abbé se redresse et vient poser son gros gland à l’orée de la fente, Chantal pousse son sexe en avant pour bien se faire pénétrer.
Le curé sent sa queue s’enfoncer dans un volcan en éruption, du jus vient lui arroser les couilles et il sent palpiter le vagin autour de sa tige, comme si Chantal le masturbait.
Quelques allers retours dans cet antre à plaisir et il sent déjà qu’il va exploser, vivement il se retire et il arrose généreusement la vulve de Chantal qui prend en main cette lance qui est en train de l’asperger, et elle s’en barbouille la fente et le ventre.
Elle laisse là le curé la queue entre les jambes, il est temps de rentrer à la boulangerie, sinon sa mère va se poser des questions, mais elle reviendra une autre fois pour livrer des gâteaux.
Le samedi suivant après la dernière confession le curé s’étonne de ne pas avoir vu Chantal à l’église et à regret il s’en va vers le fond de l’église, et juste au moment où il s’apprête à fermer la porte, Chantal se faufile dans l’entrebâillement et juste le temps de faire tourner la clé, le curé se retourne et Chantal a déjà retiré sa robe et il la voit là devant lui sans soutien-gorge et en train de retirer sa petite culotte.
En moins de temps pour le dire, la soutane vole au milieu des chaises et prenant la main de Chantal il l’entraîne vers le chœur. Le temps de traverser la nef il bande comme un âne, toute la semaine Chantal n’a pas pu venir le rencontrer au presbytère, elle a eu ses règles et puis ses parents ont eu besoin d’elle à la boulangerie. Et là elle n’a qu’une envie, sentir ce gros sexe au fond de son ventre.
L’abbé se couche sur le tapis devant l’autel et aussitôt Chantal vient le chevaucher et elle frotte sa fente tout le long de l’objet de ses désirs. Cette grosse tige glisse entre ses petites lèvres, lui retroussant le clitoris à chaque passage le bruit humide que font leurs deux sexes affole les amants, le curé tient Chantal par les hanches, et tente de la pénétrer, mais la belle tient à mener la danse à sa guise, faire languir son amant jusqu’au paroxysme, voilà son désir premier, lui extraire toute sa semence s’en enduire le ventre et le sexe avant de se sucer les doigts, le goût du sperme elle ne pourra plus s’en passer.
Mais son amant n’en peux plus et en un seul coup de rein il s’enfonce jusqu’au fond du fruit juteux, Chantal pousse un rugissement de femelle comblée ; et aussitôt elle s’agite sur le mandrin chauffé à blanc qui lui dilate les chairs. Mais déchaînée à ce point elle sait que son amant ne va pas résister longtemps, alors elle cesse tout mouvement, et elle se contente de masser le sexe de son amant uniquement par des contractions de ses parois spongieuses et puis cette odeur de sexe surchauffé, qui monte aux narines du curé et ce jus qui lui brûle le gland, il sent qu’il ne va pas pouvoir résister plus longtemps alors il crie à Chantal : « Retire toi je vais cracher mon jus !!!! ».
« Attends encore un peu que je pompe bien ta queue » lui répond sa diablesse qui se régale de se faire perforer par un si gros morceau.
« Vite retire toi je jouis !!!!!! ».
Chantal sort le pénis de son amant à regrets juste à l’instant où gicle toute la crème de son baiseur, qui lui couvre la vulve avec force, Chantal de dépêche de changer de position pour emboucher le gland de son amant et reçoit les deux dernières giclées qu’elle avale avec délectation.
Puis elle laisse là son amant allongé sur le tapis dans une torpeur érotique, et elle rejoint le fond de l’église tout en récoltant de la main tout le jus qui couvre sa vulve, et elle suce ses doigts. Puis et remet ses habits excepté sa culotte qu’elle rapporte dans le chœur et elle l’entoure sur la queue de son amant qui à du mal à reprendre ses esprits, et le démon féminin quitte l’église en laissant la porte grande ouverte.
Après le départ de Chantal, le curé pris de remords, est resté en prière un moment, quand il a ressenti la fraîcheur de l’église et qu’il s’est aperçu qu’il était encore nu, ça a définitivement mis fin à sa résolution de ne plus revoir sa jolie paroissienne.
Bien sur, ce n’était pas la première fois mais comme toujours après, il prenait la résolution de ne pas recommencer, mais la chair est faible et avec ce que ses paroissiennes venaient lui confesser pouvait-il en être autrement, surtout que chaque fois c’était les mêmes fautes et chaque fois il poussait ses pénitentes à en dire plus et parfois cela finissait comme ce soir, mais cette fois la pécheresse était plus jeune.
Au diable son vœu de chasteté, d’ailleurs ne venait-il pas de jeter à nouveau sa soutane aux orties. D’ailleurs rien que de penser à Chantal, son sexe reprenait-il de la vigueur.
D’ailleurs son évêque qui était son confesseur lui accordait à chaque fois l’absolution en disant : « faites en sorte que cela ne sorte pas de la paroisse ».
Il a remis sa soutane, et il est parti pour la boulangerie pour commander un gâteau pour son dimanche.
Il a demandé à la mère de Chantal si leur fille pouvait le lui apporter le gâteau après la messe.
Le bon curé a eu du mal à dormir souvent tenu éveillé par des pensées érotiques, et donc à l’heure où il rejoint l’autel pour célébrer l’office, il voit arriver Chantal avec la boite de gâteau à la main, il sent son sexe se dresser sous l’aube et la chasuble, (pourvu que les fidèles ne s’en aperçoivent pas !!!).
Et voilà une messe qui n’a jamais été aussi vite célébrée. Et au moment de la bénédiction finale, il regarde sa montre et il découvre qu’il a mit un quart d’heure de moins (mon dieu j’espère que je n’ai rien oublié !!!). Durant tout l’office il n’a eu de cesse de regarder Chantal qui régulièrement prenait plaisir à lui simuler des baisers avec ses lèvres pulpeuses.
Fin de l’office il salut ses paroissiens sur le parvis de l’église, tandis que la démoniaque Chantal l’attend près d’un des piliers, sa boite de gâteau à la main.
Puis enfin les salutations terminées il s’empresse de faire entrer Chantal et il referme l’église, et entraîne sa tentatrice vers la sacristie, et avec empressement il retire chasuble et aube, pour apparaître nu, bite tendue vers son démon de chair.
Il prend Chantal par la main et l’entraîne vers une petite porte cachée par un rideau et qui donne accès au presbytère. A peine arrivée dans la cuisine, Chantal pose le paquet et elle relève sa jupe pour que le curé puisse voir qu’elle ne porte aucun sous vêtements.
Elle s’assoie au bord de la table et elle relève ses jambes pour qu’il puisse bien voir sa fente au milieu de sa toison de feu.
L’abbé tombe à genoux devant Chantal et plonge tête baisée dans l’entre cuisses de la belle et il lui broute le mille feuilles baveux.
Le curé passe sa langue dans les moindres recoins de la vulve, explorant chaque centimètre de chair, s’enivrant du parfum de plaisir et du jus goûteux qui s’écoule de cette grotte exquise qu’il fouille autant qu’il peut, et puis entre ses lèvres il aspire le gros clito de Chantal ; il a vraiment l’impression de sucer une petite bite si ce n’est tout ce nectar qui coule de la fente.
Mais Chantal sent son plaisir qui monte et elle supplie l’abbé : « viens prend moi vite je veux ta grosse queue !!! ».
Alors l’abbé se redresse et vient poser son gros gland à l’orée de la fente, Chantal pousse son sexe en avant pour bien se faire pénétrer.
Le curé sent sa queue s’enfoncer dans un volcan en éruption, du jus vient lui arroser les couilles et il sent palpiter le vagin autour de sa tige, comme si Chantal le masturbait.
Quelques allers retours dans cet antre à plaisir et il sent déjà qu’il va exploser, vivement il se retire et il arrose généreusement la vulve de Chantal qui prend en main cette lance qui est en train de l’asperger, et elle s’en barbouille la fente et le ventre.
Elle laisse là le curé la queue entre les jambes, il est temps de rentrer à la boulangerie, sinon sa mère va se poser des questions, mais elle reviendra une autre fois pour livrer des gâteaux.
Le samedi suivant après la dernière confession le curé s’étonne de ne pas avoir vu Chantal à l’église et à regret il s’en va vers le fond de l’église, et juste au moment où il s’apprête à fermer la porte, Chantal se faufile dans l’entrebâillement et juste le temps de faire tourner la clé, le curé se retourne et Chantal a déjà retiré sa robe et il la voit là devant lui sans soutien-gorge et en train de retirer sa petite culotte.
En moins de temps pour le dire, la soutane vole au milieu des chaises et prenant la main de Chantal il l’entraîne vers le chœur. Le temps de traverser la nef il bande comme un âne, toute la semaine Chantal n’a pas pu venir le rencontrer au presbytère, elle a eu ses règles et puis ses parents ont eu besoin d’elle à la boulangerie. Et là elle n’a qu’une envie, sentir ce gros sexe au fond de son ventre.
L’abbé se couche sur le tapis devant l’autel et aussitôt Chantal vient le chevaucher et elle frotte sa fente tout le long de l’objet de ses désirs. Cette grosse tige glisse entre ses petites lèvres, lui retroussant le clitoris à chaque passage le bruit humide que font leurs deux sexes affole les amants, le curé tient Chantal par les hanches, et tente de la pénétrer, mais la belle tient à mener la danse à sa guise, faire languir son amant jusqu’au paroxysme, voilà son désir premier, lui extraire toute sa semence s’en enduire le ventre et le sexe avant de se sucer les doigts, le goût du sperme elle ne pourra plus s’en passer.
Mais son amant n’en peux plus et en un seul coup de rein il s’enfonce jusqu’au fond du fruit juteux, Chantal pousse un rugissement de femelle comblée ; et aussitôt elle s’agite sur le mandrin chauffé à blanc qui lui dilate les chairs. Mais déchaînée à ce point elle sait que son amant ne va pas résister longtemps, alors elle cesse tout mouvement, et elle se contente de masser le sexe de son amant uniquement par des contractions de ses parois spongieuses et puis cette odeur de sexe surchauffé, qui monte aux narines du curé et ce jus qui lui brûle le gland, il sent qu’il ne va pas pouvoir résister plus longtemps alors il crie à Chantal : « Retire toi je vais cracher mon jus !!!! ».
« Attends encore un peu que je pompe bien ta queue » lui répond sa diablesse qui se régale de se faire perforer par un si gros morceau.
« Vite retire toi je jouis !!!!!! ».
Chantal sort le pénis de son amant à regrets juste à l’instant où gicle toute la crème de son baiseur, qui lui couvre la vulve avec force, Chantal de dépêche de changer de position pour emboucher le gland de son amant et reçoit les deux dernières giclées qu’elle avale avec délectation.
Puis elle laisse là son amant allongé sur le tapis dans une torpeur érotique, et elle rejoint le fond de l’église tout en récoltant de la main tout le jus qui couvre sa vulve, et elle suce ses doigts. Puis et remet ses habits excepté sa culotte qu’elle rapporte dans le chœur et elle l’entoure sur la queue de son amant qui à du mal à reprendre ses esprits, et le démon féminin quitte l’église en laissant la porte grande ouverte.
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