Chantal et mon pote complices (5)

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chantal et mon pote complices (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Chantal et mon pote complices (5)
Je me souviens que les jours qui ont suivi cette visite au Musée de l’érotisme, Chantal avait été des plus tendre avec moi. J’avais même eu l’impression qu’elle était disposée à me faire plaisir dans la déroute de mes fantasmes. Elle a bien essayé de savoir si je savais. J’ai fait celui qui n’avait rien vu même si à plusieurs reprises je lui ai parlé du Musée et de ce qu’on y avait vu. J’ai même été jusqu’à lui faire savoir que par moments je lui aurai bien fait des cochonneries sur place si j’avait été sûr de ne pas me faire envoyer sur les roses. Cela la faisait rire et à un moment, elle a même été jusqu’à me dire que j’aurais dû, car certaines choses qu’elle avait vues ce jour là, l’avaient troublée. Pour qu’elle m’avoue cela, il fallait vraiment qu’elle culpabilise sur ce qu’elle avait fait et qu’elle veuille se faire pardonner. Je devais plus tard profiter de cet état d’esprit, mais plus encore, j'allais découvrir une nouvelle épouse. Une femme qui était capable de dépasser ses principes bourgeois puis ses tabous pour devenir une véritable accro du sexe sous ses formes les plus perverses. Elle avait honte bien sûr, car elle savait qu'elle était devenue cette salope sans plus aucune volonté. Quand elle sortait de ses histoires je la retrouvais épuisée, abattue. Je la réconfortais et on reprenait notre vie de couple bourgeois et je l’aimais encore plus à chaque fois.
J'avais bien conscience de l'effet d'envoûtement lié à notre copain. René avait un ascendant sur elle qui maintenant me faisait peur, mais ne l'avais-je pas voulu? Ce mélange de sexe et de jalousie me procurait un plaisir sans limites.
Elle avait arrêté sa balade pour René en vue du Musée. Il m'a fallu attendre plusieurs jours pour savoir la suite.
Un soir au lit, elle s'est blottie contre moi et doucement, en me caressant le sexe, elle a repris son histoire.
- " En m'approchant du Musée, mes jambes se sont mises à trembler. J'ai failli m'évanouir. J'allais revoir René et lui raconter que je lui avais obéi à la lettre. Je savais qu'il attendait de moi que je lui raconte tout. J'avais honte et en même temps j'ai senti que je mouillais. Par l'échancrure de mon imper, que j'avais à peine refermé, le vent me caressait le sexe, et cette sensation de froid me faisait du bien.
Le Musée était éclairé mais visiblement fermé. Je me suis approchée de la porte vitrée. L’homme qui était au guichet lors de notre première visite est tout de suite venu à ma rencontre pour m’ouvrir la porte. Pas de René. Je ne sais comment dire mais il me trouble aussi cet homme ; il est moche, sans cheveux mais il est très sympa. Quand il me regarde il me déshabille des yeux. Tu sais comment je n’aime pas cela et pourtant quand lui me regarde, je trouve cela plaisant et même je ne fais rien pour me dérober. Je suis sûre que tu ne reconnaîtrais pas ta femme ! Une allumeuse ! Enfin presque. Une salope certainement. J’ai honte mais je ne peux résister.
Il restait encore quelques visiteurs attardés ce soir là au Musée. A la caisse une nana. Le gars m’a d’emblée traitée comme une reine. Il m’a entraînée dans le Musée pour une visite commentée. Il ne m’a pas proposé d’enlever mon imper. Drôle non ?
Au deuxième étage, l’exposition avait complètement changé. Tout l’étage était encombré de mannequins qui montraient de femmes attachées. Elles étaient toutes très belles. Deux personnes se promenaient parmi les modèles et cela faisait un peu drôle. Gérard, c’est comme ça qu’il s‘appelle, s’est arrêté devant une poupée à la grosse poitrine enserrée dans un assemblage incompréhensibles de cordes. Son visage montrait une certaine douleur. Quand il m’a demandé ce que j’en pensais, je lui ai avoué qu’auparavant cela me révoltait, mais ce soir, je trouvais cela très beau. Il a insisté en me demandant si cela me faisait quelque chose. Comme je ne répondais pas il a précisé sa pensée et en fait, il voulait savoir si cela m’excitait. J’étais troublée, surtout que je me suis sentie rougir comme il me regardait droit dans les yeux. Comme il a vu mon trouble, il n’a pas insisté et j’étais soulagée de ne pas avoir à avouer que cette femme attachée m’excitait ! Je suis sûr qu’il avait tout deviné. D’ailleurs pour poursuivre la visite, il m’a prise par l’épaule comme pour me protéger de mes démons. Je devais comprendre plus tard son comportement à ce moment de la visite.
Tu sais Arsène, je ne comprenais rien. Tout ce que je ressentais m’était inconnu. Tu n’as jamais su me parler ainsi. Gérard n’est pas très beau mais il est sympa et inspire une certitude concernant le sexe qui m’a tout de suite rassurée quand je l’ai vu la premières fois. Ne te fâche pas mais je me sentais bien auprès de lui et je me laissais aller à mes réactions.
On est redescendus à l’accueil vers 11 heures. René était là enfin avec deux autres types. Un jeune et un autre assez âgé avec un fort accent allemand. Mes jambes tremblent. Il me regarde à peine, me méprise même. Je souffre, je jouis presque. J’ai compris qu’il s’agissait d’un industriel qui venait pour affaires. M’avait-il vendue pour son propre compte cette fois ? L’autre était un d’un artiste qui exposait au Musée ».
Chantal me disait cela simplement, mais j’avais deviné qu’il s’agissait de l’inconnu qui l’avait attachée quelques semaines auparavant. Elle mentait bien et un accès de jalousie m’a envahi mélangé à une honte pour l’excitation que cela me procurait. Elle continue sa narration, sans complexes.
- « Les deux nouveaux venus m’ont saluée avec beaucoup de déférence. Un peu trop à mon goût. Je m’étais mise dans une situation qui maintenant me plaisait moins. Autant faire la belle devant Gérard et René me branchait et même me troublait, autant plaire à ces deux là, et surtout le gros allemand, m’amusait moins. Nous avons pris l’apéritif qu’on nous a servi dans une salle isolée du sous-sol. Le gros industriel ne cessait de me regarder avec insistance. Il lorgnait même dans le décolleté de l’imperméable pour essayer de saisir un peu de mes éventuels sous vêtements. J’étais énervée et cela n’a pas échappé à René. Il s’est approché de moi en me servant un autre verre de whisky. J’en étais à mon troisième et je me sentais déjà un peu partie. J’étais déçue, car René aurait dû savoir que je lui étais suffisamment soumise pour ne plus avoir à me saouler pour lui obéir.
Je réalisais que je devais avoir les joues rouges et je me sentais en chaleur. Gérard restait près de moi et cela me rassurait. Il riait beaucoup et je pense que lui aussi était un peu gris. J’étais seule femme parmi quatre mecs et avec une résistance et une aptitude à analyser la situation bien diminuée. René remplit encore mon verre. Il voulait assurer son « coup ». Il me regardait à peine et je cherchais son regard pour lui faire savoir que j’étais d’accord pour tout… Soumise, docile, obéissante tant je l’aimais. Comme je ne me sentais pas bien, je l’ai bu d’une traite le verre en le fixant droit dans les yeux pour le provoquer et me donner des forces.
A partir de ce moment là je ne me suis plus sentie capable de réagir à quoi que ce soit ; j’étais bien lucide pour me rendre compte de ce qui se passait mais j’étais incapable d’agir.
Soudain, j’ai senti que René me prenait par la taille pour me conduire dos contre le mur sur lequel je me suis appuyée. J’ai senti ses mains délacer la ceinture qui fermait mon imperméable. J’ai bien essayé de le retenir quand il s’est ouvert mais René m’a pris les mains et me les a passées dans les dos. Je me sentais bien et j’ai gardé de moi-même mes mains dans le dos. Les deux hommes regardaient, debout, leur verre à la main un mètre devant moi. Je n’ai pas bougé. J’ai tressailli quand René m’a embrassée dans le cou et je me suis même entendue rire bêtement. Il me plaisait et j’aimais qu’il m’embrasse. Je l’ai laissé faire. J’ai vu dans un coin de la pièce que Gérard avait prit une caméra et nous filmait ; je n’en étais pas bien sûre mais là aussi je n’ai rien dit. Lui aussi je l’aime bien et il pouvait faire ce qu’il voulait. Quand René a écarté les pans de l’imperméable pour mieux m’exhiber aux autres, j’ai senti un frisson parcourir mon corps ; je perdais pied. Puis sa main s’est emparée de mes seins qu’il a fait ballotter, danser. Il les a caressés un moment et fait rouler la pointe. Puis il les a giflés. A plusieurs reprises jusqu’à les faire rougir. J’ai eu mal même si les claques n’étaient pas très violentes. Je l’ai entendu dire aux autres que ma peau était douce et que mes tétons réagissaient vite. Je devenais folle. Et c’est vrai je me sentais les jambes tremblantes et tout excitée au bout des seins dont la peau me brûlait. J’haletais sous sa caresse. C’est moi qui me suis tournée vers lui pour l’inviter à me sucer la poitrine. Puis comme une automate, je me suis entendue lui demander de m’embrasser. Et quand il a approché ses lèvres des miennes, je me suis précipitée dessus pour lui voler un baiser. Pendant ce temps les deux autres s’étaient approchés pour mieux voir et sentir la femme. René soudain m’a relâchée et s’est éloigné pour laisser la place aux deux autres. C’était la livraison !
Ils ont commencé à me toucher. J’ai voulu les repousser mais René m’a demandé d’être sage avec eux et de les laisser me toucher. J’ai baissé les bras et j’ai senti leurs mains s’emparer de mes seins, de mes fesses, de mes cuisses. J’ai vu René s’éloigner encore plus pour laisser le gros prendre sa place à mes côtés, je n’ai rien dit, mais je me suis mise à pleurer, doucement parce qu’il s’était éloigné. Le gros allemand a commencé par me sucer le bout des seins à son tour. Sa langue était râpeuse et sa salive abondante. J’étais dégoûtée au début mais très vite j’ai senti le plaisir s’emparer de moi. Même lui m’excitait ! Je lui ai pris la tête pour l’appuyer fortement sur ma poitrine. Il a glissé une main entre mes cuisses a lissée les poils de mon pubis pour les écarter et trouver l’entrée de ma vulve.
J’ai voulu résister mais là encore j’ai entendu René me dire au loin de me laisser faire, j’ai obéi. Je mouillais et impossible de cacher mon excitation. L’autre homme s’est aussi approché de moi ; il m’a enlevé l’imperméable. J’étais nue dans cette pièce, avec mes seuls bas et mas chaussures, à la merci de mecs avides de sexe ; et moi plus je me sentais salie, plus je sentais mon excitation grandir. J’ai entendu l’allemand dire à René que je mouillais comme une fontaine et qu’il voulait me baiser. Une salope de pute a-t-il ajouté avec un accent.
A ces mots je me suis dégagée. Je ne voulais pas me faire baiser par ce gros porc. Si René s’était présenté j’aurais accepté. Mais pas ce vieillard libidineux.
René s’est approché, il m’a pris dans ses bras, m’a caressée la nuque et les cheveux pour me calmer et doucement il m’a dit d’être gentille, qu’il attendait de moi d’être docile. Ce monsieur représentait gros pour lui et qu’ensuite je serais entièrement à lui.
Ces mots m’ont calmée, René caressait mon dos. On s’est approché d’une table et là, il m’a retournée et m’a fait poser ma tête sur mes mains devant moi. Il m’a fait reculer les pieds et me cambrer pour faire ressortir ma croupe. Je l’ai entendu s’adresser à l’allemand en lui montrant mon cul et combien il était beau et rond ; j’ai senti qu’il écartait mes fesses pour exhiber mon petit trou et en même temps il me disait des mots doux pour me calmer et me soumettre : « calme toi, sois gentille, laisse-toi faire ». Et moi je n’avais qu’une seule envie, lui faire plaisir. Alors il m’a demandé d’ouvrir moi même mon cul pour le montrer aux deux autres ; après une hésitation, j’ai passé mes mains derrière moi et j’ai écarté mes fesses. C’est alors que j’ai senti un doigt qui me pénétrait et me fouillait le sexe. René m’a encore demandé de me laisser faire. Maintenant il savait que j’accepterais tout, s’il me le demandait. Je le confortais que j’étais devenue son esclave, comme il me l’avait crié lors de notre première rencontre au moment même où il déchargeait sa semence sur mes seins et mon visage.
Le jeune artiste s’était approché à son tour et je sentais sa bite tout près de mon visage. Il se branlait presque sur ma joue. J’entendais derrière moi le vieux qui disait : « je vais te baiser ma petite salope ; je vais te faire jouir ». Et ces mots me faisaient mouiller. Quand j’ai senti son gland à l’entrée de mon ventre, je ne l’ai pas refusé, au contraire, j’ai fait reculer légèrement mes fesses pour l’aider à me pénétrer. Je mouillais, Arsène tellement j’étais excitée. Les vapeurs d’alcool s’étaient dissipées et dans la salle régnait une forte odeur de sexe, de mouille et de sueur. L’homme derrière moi s’est mis me limer avec force, longtemps ; il prenait son temps le salaud. Il a commencé par des coups lents puis il a accéléré progressivement. Les autres regardaient.
Pendant ce temps René m’a fait descendre la tête jusqu’à sa braguette et m’a présenté sa queue qu’il avait sortie auparavant. Je l’ai engloutie entièrement dans ma bouche et me suis mise à la sucer sans hésiter. Je prenais un plaisir fou de me sentir baisée et sucer en même temps cette bite que j’aimais déjà. L’autre mec, le plus jeune me pelotait les seins et frottait sa bite sur mes bouts durcis.
Soudain, l’allemand s’est mis à râler et accélérer son va et vient. Je l’ai entendu crier qu’il allait lâcher la « purée » et d’un seul coup, j’ai senti les giclées de sperme chaud envahir mon ventre. Il était très chaud et abondant. J’avais l’impression qu’il ne s’arrêterait pas de me remplir. Ce signal a également amené René à la jouissance et par longues saccades il s’est déversé dans ma bouche. J’ai avalé jusqu’à la dernière goutte sa semence salée : je l’aimais d’amour à cette seconde. Le troisième homme, lui, a éjaculé sur mes seins et le sperme chaud s’est étalé sur ma poitrine et mon ventre. J’étais crevée.
René m’a prise dans ses bras et m’a allongée sur une table basse ; il a ouvert largement mes cuisses pour y recueillir le sperme qui s’en échappait. Il a pris un mouchoir et a essuyé les souillures de semence. Il ne cessait de répéter que j’étais bonne et qu’il m’aimait. C’est à ce moment que j’ai revu Gérard qui me filmait au fond de la pièce. J’ai eu un peu peur mais je n’ai rien dit. Le gros bandait à nouveau et il revenait me caresser les seins. Il a passé une main sous mes fesses pour les malaxer sans douceur. J’ai eu un sursaut quand il a fait pénétrer un doigt dans mon cul. Il s’est empressé de crier que j’étais étroite en cet endroit et qu’il aimerait y aller voir. Je refusais d’abord, comme je n’avais pas souvent été prise par là, mais René encore a insisté. Il m’a fait mettre à quatre pattes sur la table basse, s’est placé derrière moi et m’a ouvert les fesses pour montrer mon petit trou. La lumière violente qui venait du plafond devait bien éclairer cet endroit d’habitude caché. Là, il m’a demandé de pousser pour ouvris la corolle ; je l’ai fait et j’ai senti mon trou s’ouvrir. Un doigt s’est vite introduit dedans. A l’entrée d’abord, puis au fond. Au début j’avais un peu mal mais bientôt, le plaisir m’a envahi ; je trouvais du plaisir à me faire branler le cul. Mélange de honte et de plaisir.
Puis, il a enlevé son doigt et j’ai senti un jet de salive qui se posait sur mon trou, puis le doigt qui l’étalait pour lubrifier l’entrée. J’aimais soudaine toute cette saloperie. Et quand l’allemand a pointé sa bite à l’entrée de mon anus, là encore je ne l’ai pas refusé et je suis allé à sa rencontre. Il a eu du mal à entrer au début et j’avais très mal. J’ai crié et l’homme a retiré son membre. René s’est enduit le doigt de salive et doucement il a commencé à écarter les chairs de l’anus. Il a pris un gode que je n’ai pas vu venir et il l’a introduit doucement entre mes reins et s’est mis à me masturber le cul. Les deux autres étaient penchés sur moi et mataient. Ce faisant il me demandait si cela me donnait du plaisir. Sans hésiter je disais oui, alors il enfonçait encore plus profond son objet. A un moment je l’ai entendu dire à l’allemand que j’étais prête, que mon cul était assez dilaté et ouvert. Alors l’autre a pointé son gland et d’un coup de reins il s’est introduit dans moi sans aucune résistance à la place de du gode. Toute la colonne de chair m’a pénétrée sans douleur. Quand il a commencé à limer, j’ai senti comme une chaleur violente envahir mon corps et la jouissance est venue d’un seul coup, forte comme jamais je ne l’avais ressentie. Je sentais bien son gland buter contre les parois de mon ventre. Je me sentais souillée, salie mais heureuse. Pendant que le gros me besognait, René me maintenait et m’embrassait avec douceur et l’autre se branlait encore sur mes seins en regardant. J’ai joui par le cul en me faisant enculer. Jamais j’aurai pu imaginer me laisser aller si loin dans la débauche. A peine quelques secondes après moi, le gros a déchargé dans mon cul et j’ai encore nettement senti les giclées de sperme envahir mes reins. Il a vite quitté sa place quand la dernière goutte s’est échappée de son gland et avant que j’ai le temps de souffler, l’autre homme s’est mis en place derrière moi, encouragé par René. D’un seul coup il m’a pénétrée à son tour. Il a commencé des vas et viens très rapides. Je me laissais faire, sans plaisir cette fois. J’étais un ventre servant à assouvir le plaisir de cet homme inconnu de moi quelques heures avant. Heureusement très vite il a joui et m’a remplie à son tour de son sperme.
Après cet épisode, je me suis réfugiée dans les bras de René, fatiguée mais comblée. En même temps je prenait la mesure de ce qui venait de se passer. Les deux hommes nous ont quittés. Je me suis rhabillée. Il était deux heures du marin. Je m’étais faite baiser pendant plus de deux heures par deux inconnus. Voilà.
Ensuite René et Gérard m’ont félicités sur ma beauté et la sensualité. Gérard m’a avoué qu’il avait tout filmé. René m’a promis de me revoir, il attendait encore plus de moi ! C’est tout ce que j’espérais à cette minute ».
Quand Chantal eut terminé de parler, un grand silence s’est installé dans le lit. Je me suis mis à réfléchir. Chantal restait silencieuse. Ma bite dans sa main était dure et me faisait mal. Elle prenait la mesure de l’effet de sa conduite sur moi.
Elle venait tout bonnement de m’avouer qu’elle m’avait trompé sans vergogne. En plus d’avoir pris son pied, elle s’était amourachée d’un mec, un gigolo qui ne devait pas trop s’encombrer de scrupules. Mais je bandais ! Et ma bite me faisait mal. Jalousie, honte, excitation, douleur, tout cela se mêlait dans ma tête.
Je devais reconnaître qu’elle avait été franche pour tout m’avouer. Elle risquait gros ou bien elle se foutait maintenant de moi.
Les jours à venir devaient permettre d’éclaircir l’avenir de notre couple.
(à suivre et toujours possible de la voir si vous le souhaitez)
AL

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Texte coquin : Chantal et mon pote complices (5)
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