Chantal exposée puis baisée dans un glory hole

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chantal exposée puis baisée dans un glory hole Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chantal exposée puis baisée dans un glory hole
On se promenait, en fin de journée, autour de la Madeleine. Chantal faisait du «lèche vitrine» à la recherche d’une robe de soirée. Des réceptions nous attendaient les semaines à venir et elle se voulait belle. Je lui ai proposé de lui offrir une jolie robe, mais j’insistais pour donner mon avis ; j’avais en arrière pensée l’idée de lui faire acheter une robe sexy, chose qu’elle ne ferait pas spontanément, connaissant sa réserve.
Dans une grande boutique elle essaye une jolie robe noire, échancrée sur la poitrine en arrondi mettant en valeur ses seins. Epaules nues, elle se porte sans soutien gorge. Comme le tissu est fin, je suppose qu’il devrait faciliter l’apparition inopinée de ses pointes au détour d’un courant d’air. Je me garde bien de lui dire, bien que... Elle est très moulante, lui fait une taille fine et allonge sa silhouette. Chantal est séduite, l’achat se fait, après quelques retouches, la robe sera à elle dès demain.
En sortant de la boutique, je sens ma femme heureuse de son acquisition. Pour forcer le plaisir, je lui propose de lui offrir les chaussures qui devraient accompagner cet écrin. Elle adore acheter des chaussures et je le sais. Une belle boutique du Bd Des Capucines, une grande pièce, un vendeur s’approche et Chantal donne ses envies et sa pointure. L’homme l’installe sur un fauteuil grand style, très profond. Je reste à l’écart. Quand il revient chargé de boites, il se pose sur un tabouret face à sa cliente, à ses pieds. Pour lui passer une chaussure il lui prend la jambe et la soulève. Alors mon imagination s’embrase. Je suis en train de penser qu’il lui regarde entre les cuisses, qu’il aperçoit sa culotte, non, elle ne porte pas de culotte ! Il mate son sexe qui s’ouvre quand les jambes s’écartent. Je me mets à bander. Chantal se lève pour faire quelques pas et voir l’effet de la paire de chaussure dans un miroir. Le phantasme s’évanouit.
Je ne peux m’empêcher de mettre ma femme dans des situations de l’exhiber à son insu. Quand elle se rassoit, mon fantasme redémarre. Le vendeur non content de mater les cuisses de la belle bourgeoise, discrètement, semblant de professionnalisme, il lui masse les chevilles et remonte légèrement le long des cuisses gainées de bas noirs. Chantal innocente ne s’aperçoit de rien, trop occupée à choisir ses escarpins noirs. Encore un petit tour devant les miroirs et le choix est fait. Dans la rue, cette fois ma femme me gratifie d’un baiser tant elle est contente de ses deux achats. Moi, je suis encore sur l’excitation engendrée par mon imagination.
Je bande encore quand on s’engage dans une petite rue à l’écart de la foule ; on passe soudain devant un sex-shop. L’envie me prend alors d’y pénétrer en profitant pervers de l’avantage des deux cadeaux. Bougonne, Chantal se laisse fléchir et me suit dans la boutique non sans avoir résisté quelques instants.
Passé le grand rideau rouge épais qui ferme la vue de l’intérieur de la boutique aux passants, on trouve une salle feutrée. Sur des rayons, des cassettes, des DVD, des livres et plus loin des objets de plaisirs de toutes sortes. Chantal se promène devant les étalages de sexe et regarde d’un regard discret et dubitatif. Elle a envie de me faire plaisir connaissant mes penchants pour les choses du sexe et surtout n’ignorant pas mes fantasmes la concernant !
Dans la boutique, derrière son comptoir il y a un jeune beur. Après nous avoir poliment salués, il retourne à sa lecture. Très vite on aperçoit deux clients attachés à choisir les ouvrages. Un monsieur assez âgé et un grand noir. L’arrivée d’une femme dans ce lieu ne passe pas inaperçu. Les deux hommes lèvent hypocritement le nez et matent discrètement la belle et jolie bourgeoise qui s’aventure dans ce lieu de débauche.
Chantal perchée sur des talons mi hauts, dans ce tailleur noir classique avec une jupe arrivant juste au dessus du genou n’a rien d’un sexe symbole mais c’est ce qui fait tout son charme. Hautaine, inaccessible, méprisante même pour ce milieu, elle est encore plus bandante ; on voudrait bien se la taper. Ma femme les ignore et cela les rend encore plus affutés, voyeurs.
Après un tour rapide de la boutique, elle me rejoint pour me demander de partir.
- Viens, je t’en prie. J’ai peur et cet endroit est malsain !
Je la rassure et continue de me balader dans les allées. Chantal me suit.
Au fond de la boutique on découvre un petit couloir qui s‘enfonce dans un espace mal éclairé une pancarte surmontée d’une flèche indique « Glory Hole ». Rapidement, je m’avance vers le couloir.
Au même moment, le rideau est tiré et laisse entrer la lumière de la rue. Deux noirs entrent dans la boutique et tout de suite repèrent Chantal. Ils ne sont pas timides et réservés comme les deux autres clients. Ils matent ma femme sans se gêner. Chantal qui les a vus entrer est mal à l’aise. Elle me demande à nouveau de partir. Je la rassure à nouveau et lui demande de me suivre au fond du couloir sombre. Visiblement, elle ne sait pas ce que Glory Hole signifie. Je lui explique ; elle a d’abord l’air affolée, mais je la persuade de simplement venir voir.
Je vois bien que les autres types de la salle se rapprochent de nous et visiblement, ils ont la ferme intention de nous suivre. Eux, ils ont vite compris le bon coup. Chantal ne les a pas remarqués. Elle me suit collée à moi.
- Ça sent le foutre, j'en ai marre on part de suite.
Je lui prends la main et la conduis dans une petite pièce qui n’est pas très large ; au milieu, contre le mur du fond, un simple tabouret. Les murs de chaque côté sont très rapprochés comme dans des toilettes très étroites.
Chantal regarde intriguée.
- Tu vas voir, lui dis-je, assied-toi sur le fauteuil et attend.
Incrédule mais curieuse elle y va avec comme un sourire aux lèvres. A-t-elle deviné à quoi servaient les trous dans les murs, au niveau de son visage ? je ne sais pas mais il faut bien reconnaître qu’une fois assise, elle a posé son regard dans le trou à sa droite, scrutant, dans l’attente qu’il se passe quelque chose. Le trou qu’elle a repéré est juste grand pour laisser un sexe d’homme.
Devant elle, je bande de la savoir là, alors que je devine que les types de la boutique, que j’ai vu nous suivre pour passer de l’autre côté de la cloison, sont en train de mater et de se préparer à profiter du bon coup.
- Et maintenant, me demande Chantal ? Qu’est-ce qui va arriver ?
Elle jette à nouveau un regard vers le trou et là, elle a un geste de recul.
- Michel, il y a quelqu’un derrière la cloison et il est en train de regarder ici. C’est dégueulasse !
- Mais non, ma belle. ! Ce sont les types de la salle qui viennent chercher de quoi se rincer l’œil. Ils ne peuvent pas te faire du mal. Tu es protégée par le mur.
Ce qui m’étonne le plus à cet instant c’est qu’elle reste assise et regarde toujours vers le trou. Un petit bruissement sur l’autre côté lui fait tourner la tête.
- Il y en a un autre de ce côté là aussi ! Michel j’ai peur.
- Ne bouge pas, reste tranquille, je vais aller voir.
De l’autre côté de la cloison, je trouve bien nos clients de tout à l’heure. A gauche les deux premiers arrivés, le vieillard et le jeune black. Je m’approche d’eux et tout doucement pour ne pas que Chantal entende, je leur dit que c’est la première fois qu’elle participe à ce jeu et qu’elle n’est pas très volontaire. Je demande d’être patients et de la ménager. Je tiens le même discours de l’autre côté aux deux blacks qui me semblent moins disposés.
- Elle est vraiment bandante ta femme. Je veux voir ses nichons et me faire sucer la bite, me dit le plus grand des deux.
Ces deux là me font peur et je suis près à renoncer quand j’imagine que je suis un peu pris au piège et que le repli pourrait être pal interprété. Je décide de jouer le tout pour le tout en espérant que Chantal accepte de jouer !
Chantal est toujours assise sur son tabouret. Elle regarde alternativement à droite puis à gauche. Je devine que des yeux la scrutent, attendant qu’elle veuille bien leur montrer un peu de son anatomie.
Je m’approche d’elle et sans rien dire je défais un bouton de sa veste de tailleur. Immédiatement elle le reboutonne.
- Tu es complètement fou. Je veux m’en aller !
- Reste tranquille et sois gentille. Il ne peut rien t’arriver et fais moi plaisir. Tu ne les verras pas et ils pourront se rincer l’œil gratuitement. Tu sais comme j’ai toujours voulu t’exhiber à des inconnus ; c’est l’occasion, tu ne crains rien.
Tout en disant cela, je m’attaque à nouveau au bouton de la veste mais cette fois, je défais aussi un second, et avant qu’elle ne puisse réagir, j’écarte les pans du vêtement pour exposer ses seins enfermés dans leur soutien gorge blanc en coton. Cette fois encore, très vite elle se recouvre mais ne reboutonne pas la veste. Je la regarde droit dans les yeux, suppliant :
- Sois sympa ! Laisse-moi te montrer.
Elle reste immobile, les yeux fixés dans les miens. Elle a le regard froid. Puis il devient neutre. Elle abandonne ! Sur le côté on n’entend rien.
- S’il te plait ! Rien qu’un moment, laisse-moi leur montrer tes seins. Juste montrer, tu vois bien qu’ils ne peuvent pas passer la main pour te toucher. Ils veulent simplement voir. S’il te plait.
A ce moment, je la sens hésitante, balancée entre la peur et me faire plaisir. Alors j’avance mes mains vers elle sans brusquerie.
- Tu es complètement cinglé dit-elle en baissant les bras ! Fait ce que tu veux mais je ne veux pas qu’ils me touchent.
Alors, en tremblant j’écarte les pans de la veste, je prends son soutien gorge par dessous et le lève dévoilant sa jolie poitrine blanche à la vue des mateurs. De chaque côté du mur, on entend des gémissements discrets. Chantal, la poitrine nue se met à sourire en les entendant. Visiblement, la peur passée, la situation l’amuse. Moi, je bande comme un fou.
Comme elle ne régit pas, j’en profite pour lui remonter sa jupe jusqu’à la naissance des bas. Au dessus, la peau blanche de ses cuisses apparaît à la lumière blafarde du cabinet. Elle réagit et baisse sa jupe.
- S’il te plait !
- Tu en veux toujours plus, me répond-t-elle. Tu es impossible.
Mais en disant cela, elle me laisse remonter sa jupe à nouveau mais cette fois je lui découvre sa culotte blanche en coton. Je m’écarte pour laisser les voyeurs se rincer l’œil.
Cette fois en plus des petits gémissements, certains se laissent aller à des commentaires.
- Merde ! T’as beaux seins!
- Montre-nous les mieux, enlève ta veste et ton soutif !
- Je veux voir ta culotte, ajoute une autre voix.
Chantal, reste muette tournant la tête à droite et à gauche vers les voix qui viennent d’ailleurs. C’est moi qui lui enlève sa veste et lui dégrafe son soutien gorge pour la mettre nue jusqu’à la taille. La pointe de ses seins est toute érigée et le commentaire arrive instantanément.
- T’as les seins qui bandent. T’aimes ça qu’on te voie ! Montre-toi bien, tourne-toi vers moi.
Tout cela est dit sans vulgarité et j’imagine que c’est le vieil homme qui parle.
Alors je tombe sur le cul car Chantal se tourne vers la voix et exhibe ses seins. Derrière elle, une autre voix réclame de voir. De bonne grâce, elle se retourne.
- Demande à ton mec de t’ les caresser pour les faire bander encore plus. Demande-lui de les faire danser, ballotter!
Alors, fou d’excitation, je m’exécute et ma femme se laisse faire. Je la vois même à un moment fermer les yeux pour goûter le plaisir de la caresse.
- Ouah, quelle paire de nichons ! On aimerait les toucher ! Montre-nous ses fesses maintenant.
Chantal manifestement est excitée, mais est-elle encore assez lucide pour réagir. Moi, je reste prudent et continue de lui caresser les seins. Pourtant quand une de mes mains quitte sa poitrine et commence à lui caresser les cuisses en remontant encore plus haut sa jupe, elle ne réagit pas et se laisse faire. Je la sens même soulever ses fesses une à une pour me permettre de relever sa jupe et la faire s’asseoir à même le tabouret. Tout en lui caressant un sein avec une main, je dégrafe sa jupe sur le côté. Une fois défaite, je la baisse découvrant son nombril puis son ventre. Je me penche sur elle et l’embrasse tendrement dans le cou ; je sens qu’elle a accepté de me laisser la déshabiller pour le plaisir des mateurs. Elle garde les yeux fermés comme pour se dégager de tout responsabilité de ce qui lui arrive.
Quand je tire sur la jupe pour l’enlever, elle soulève à nouveau ses fesses pour la laisser glisser le long de ses jambes, elle lève les pieds un à un pour dégager le vêtement.
A ce moment je sens une présence derrière moi. C’est le jeune vendeur qui nous a rejoint ; seulement lui, il assiste au spectacle en direct. J’ai peur que sa présence n’effraie ma femme. Soudain, elle ouvre les yeux et l’aperçoit. Il lui sourit et cela la calme car sans attendre, elle referme les yeux et se laisse aller.
Je n’en peux plus. Je suis au bord de la jouissance.
- Il faut lui enlever sa culotte maintenant. Elle doit avoir une chatte ! Vas-y mec, elle est chaude.
Ce commentaire vient de la droite, des deux noirs un peu plus rugueux. Ils me font peur et j’ai peur que cela ne fasse réagir Chantal. Rien. Ma femme reste impassible, nue sauf sa culotte, les yeux fermés elle se laisse mater par cinq inconnus.
Alors elle n’esquisse aucune résistance quand je lui saisis l’élastique de sa culotte et que lentement je la lui descends au bas des pieds avec son aide. Elle est maintenant nue complètement sous les regards que je devine lubrique des voyeurs derrière les cloisons ; le vendeur derrière moi s’est approché et par dessus mes épaules, il mate sans vergogne l’entrejambe.
- Ecarte-lui les cuisses qu’on voit sa chatte ! dit-il derrière. Tourne-là vers les clients qu’ils puissent en profiter.
Chantal, les yeux toujours fermés se laisse faire comme un pantin sans volonté. Elle accepté le jeu et me laisse faire d’elle ce que je veux. Alors j’en profite ; je la lève, la tourne d’un côté, de l’autre ; je la fais se courber pour exhiber son cul, j’écarte ses fesses pour découvrir son cul, je la pose sur le tabouret, lui prend ses jambes que je lève haut pour les écarter pour lui ouvrir son sexe à la vue des voyeurs.
De l’autre côté des parois, d’ailleurs, on entend les respirations ; des clapotis laissent penser qu’ils se branlent en matant ma femme. Une forte odeur de foutre et de sexe emplit maintenant le petit cabinet. Chantal se laisse aller. Je la pelote, lui introduit un puis deux doigts dans le sexe pour la faire jouir. Elle mouille, sa respiration s’accélère maintenant montrant qu’elle n’est plus insensible à la situation. Le gars derrière moi se branle et soudain dans un râle, il se libère en de longues éjaculations d’un sperme gluant et dense qui vient s’écraser sur la poitrine et le ventre de mon bien aimé. En recevant la semence, Chantal sursaute et ouvre les yeux ; le jeune homme lui sourit, elle l’a à la bonne. Elle regarde sur elle les trainées de sperme et dans un geste très sensuel, elle s’en saisit avec ses doigts qu’elle porte à ses lèvres, puis dans sa bouche pour sucer le sperme dont elle sait qu’elle l’a fait jaillir. Sa main retourne chercher un peu de la semence et en plusieurs fois elle se nettoie le ventre et les seins.
J’ai du mal à en croire mes yeux. Ma femme si peu portée sur le cul qui lèche et boit la semence d’un inconnu venu se branler en la regardant exhiber son corps. Je ne la reconnais plus, mais comme je suis heureux !
De chaque côté des parois, on s’excite.
A droite, une bite apparaît dans le trou dans la cloison. Elle noire, énorme toute recouverte de sécrétions. Elle est décalottée et le gland est turgescent prêt à exploser.
Chantal nue sur sa chaise, les mamelons dressés, tourne sa tête vers lui, surprise. Elle est excitée. Mais de l’autre côté, un bruissement lui fait tourner la tête. Un sourire apparaît sur son visage. Apparemment, la situation l’amuse. La connaissant bien, je sais ce que cela signifie. Elle est dans la provocation par rapport à elle-même ; elle se tourne vers moi et me regarde avec un regard avec expression bizarre, comme pour me dire tu l’as voulu, tu l’auras, mais c’est moi qui décide.
Tournant sa tête vers la bite d’ébène, elle fixe le gland sans oser s’en approcher. Puis lentement elle avance une main et délicatement elle s’en saisit. Le pas est franchi.
Alors sans plus se soucier de moi, elle prend les deux bites avec chacune de ses mains et commence à les branler lentement. De l’autre côté des parois on entend des respirations qui s’accélèrent. Visiblement le traitement que ma femme leur fait subir a l’air de plaire ! Soudain une voix s’élève.
- Suce-moi, suce-moi !
La voix vient du côté des noirs. Je redoute que cela ne soit pas possible. Chantal pourtant même si elle se met à rire, ne s’exécute pas ; pourtant elle fixe d’une manière étrange ce gland tout noir qu’elle décalotte en rythme. Elle le branle avec plus d’application que l’autre de l’autre côté. C’est cette taille qui l’impressionne et sa dureté ; puis soudain, elle déplace lentement sa tête vers cette bite énorme. Tout près, elle marque une hésitation, la fixant à quelques millimètres de ses lèvres. Puis lentement elle dépose ses lèvres sur le gland décalotté. L’homme de l’autre côté du mur crie presque. Cela incite Chantal à ouvrir sa bouche et sans plus hésiter cette fois engloutir cette queue sans visage habitée simplement d’une voix. Elle l’enfonce profondément au fond de sa bouche et commence à la sucer avec application. Elle la fait sortir et avec sa langue, elle la fait courir le long de la tige raide comme un bois.
Du méat sourd des sécrétions gluantes et abondantes. Chantal les lape de sa langue avec application.
De l’autre côté la respiration s’accélère, la bite se plaque contre le mur comme pour pénétrer un sexe imaginé. Chantal qui perçoit ce changement accélère les va et viens le long de la tige qu’elle a sorti de sa bouche pour fixer ses yeux sur le méat qui vibre. Soudain une giclée lui envoie un premier jet de sperme gluant et visqueux sur la joue et tout de suite après un autre sur les lèvres. Je vois alors la bouche de ma femme s’ouvrir et recevoir au fond de sa gorge une autre puis encore une autre giclée de semence. Quand le sexe se tarit, elle ferme sa bouche et distinctement on la voit avaler la liqueur que l’homme derrière la cloison lui a envoyée dans le corps.
Les cris et rugissements de la jouissance du premier déclenche aussitôt celle du branlé de l’autre côté du petit réduit et c’est une nouvelle série de giclées que Chantal va chercher pour s’en abreuver. Cette fois elle n’en manque pas une goutte et sans attendre elle avale tout spontanément. Je ne reconnais plus ma femme. Une folle de sperme…
Les deux bites se ramollissent et disparaissent dans les trous pour en laisser apparaître deux autres tout aussi grosses et bandées : une toute noire et une autre large et longue toute rouge et prête à exploser.
Le vendeur derrière moi s’est approché et la bite dans une main il se branle et de l’autre il se met à lui peloter les sens sans ménagement. Là encore ma femme ne réagit pas, au contraire elle semble apprécier quand il fait rouler ses mamelons entre ses doigts. Je sais qu’elle est très sensible des seins et que la jouissance est à ce prix.
Visiblement elle s’abandonne complètement ; moi, je m’écarte pour laisser ma place au vendeur ; je le vois qu’il la prend sous les bras pour la lever de son tabouret il la tourne vers un trou et lui met la bite noire dans la bouche. Aussitôt je la vois qui se met à sucer la tige dressée au travers du trou. Puis l’homme passe derrière elle. Je devine de suite ce qu’il veut faire : la faire baiser par cette queue longue et large. Je me place de côté pour ne rien rater de la scène. J’ai à mon tour sorti mon sexe pour me branler devant le spectacle de ma femme partouzée par cinq inconnus.
Le jeune vendeur a maintenant saisi le sexe et en écartant les fesses de le femelle, il le présente à l’entrée de son ventre. Alors je vois nettement que ma femme recule son cul pour s’empaler d’elle même sur la colonne de chair raide comme un bout de bois. Et lentement elle cadence des va et viens à son rythme. Tout en haletant, elle déplace sa langue le long de la bite du jeune noir, elle place sa langue sur le méat d’où l’on voit des sécrétions abondantes et gluantes qui s’échappent. Une forte odeur de sexe, de sperme et de cul emplit la petite pièce. De plus en plus vite Chantal se branle sur la bite qui la baise. Elle est très longue et elle ne pénètre pas entièrement dans son ventre ; elle saisit la bite noire dans sa bouche et elle creuse ses joues pour aspirer la semence qu’elle sent tout prêt à jaillir. La salope ! Jamais je ne l’ai vue ainsi.
Soudain elle libère sa bouche pour prendre de l’air car elle se met à geindre de plus en plus fort tout en accélérant son va et vient sur le sexe. Des deux côtés des parois le respiration est très forte, moi aussi je suis presque à jouir.
Chantal alors dans un spasme plante entièrement le colonne de chair dans son ventre et se met à crier en même temps qu’elle reçoit la giclée de sperme de la bite en face d’elle. Elle jouit longtemps, très fort avant de s’affaler sur le tabouret laissant les deux bites se replier et rentrer dans leurs niches. Incroyable. Je suis servi, j’ai découvert une sacrée pute.
Lentement, elle se lève et sans un regard pour moi ni le vendeur, elle se rhabille et sort de la cabine. Dans la boutique les inconnus sont là, ils la regardent avec un sourire de remerciement. Elle leur sourie. On sort et on s’éloigne sans échanger le moindre mot.
Ce n’est que quelques mètres après qu’elle m’adresse un sourire complice.
Ce devait être le début de bien autres aventures, exhibes, baises, sauf qu’à chaque fois, il me faut la pousser à franchir le pas de la débauche, car après elle retourne vite dans sa carapace de bourgeoise.
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