Chapitre 4 partie 3 fin . Jérôme
Récit érotique écrit par Liospuman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chapitre 4 partie 3 fin . Jérôme
Chapitre 4 partie 3 fin .
Jérôme
Je suis réveillé par Yves qui tente d’étrangler Karl. Les yeux enragés, il parait totalement hors de lui. Nous sommes enlacé et nu dans le lit. Lui hurle qu'il "a un droit sur moi et que Karl n'a pas intérêt à lui avoir volé". Sur le coup, cette phrase ne m'a pas marqué, c'est bien plus tard qu'elle fera écho en moi.
J'interviens pour les séparer et je demande à Yves de sortir de ma chambre et de m'attendre au salon. Je m'assure que mon amoureux va bien et j'en profite pour lui expliquer brièvement qui est Yves.
En retournant dans le salon, je fais une halte par les WC. Je ne comprenais pas Yves, certes, il m'avait trouvé avec un homme et alors ? Voulait-il prendre ma défense et sauver mon honneur ou bien est-il homophobe ?
Dans un cas comme dans l'autre, je décide d'arrêter de l'employer. Mais je lui suis reconnaissant pour tout ce qu'il a fait pour moi alors je dois mettre les formes. Lorsque j’ouvre la porte du salon, je l’aperçois face à la fenêtre le regard plonger vers l’extérieur. Je m’approche doucement de lui et l'appelle. Mais il ne répond pas. Je finis par lui toucher le bras, mais sans crier gare, je me retrouve plaquer contre la fenêtre. Ses mains se placent de chaque côté de ma tête sur la cloison. Son regard est glacial et terrifiant. J’essaie de parler, mais il m'ordonne de la fermer. Pour ne pas en rajouter, je ne dis rien. Son visage s'approche rapidement du mien et il m'embrasse de force tout en me maintenant par la nuque. Son baiser n'a rien de tendre, ni de doux. Il est plein de tensions, de désir de soumission et de colère. J’arrive à me libérer et lui crie dessus. Il me replace contre la fenêtre et ne cesse de répéter qu'il ne me laissera pas, que je suis a lui et a lui seul.
Il m'arrache mes vêtements et je me retrouve nu. J'essaie de m'extirper, mais en vain. Il baisse son pantalon et son slip. Il me soulève et me colle au mur. Il met mes deux jambes autour de lui et me prend de force. Les larmes de douleur coulent le long de mes joues… La pénétration m’a tellement fait mal que j'ai le souffle coupé, je n'arrive même pas à hurler. L'équilibre est précaire alors je m'accroche à lui. Il l’interprète comme un signe d'acceptation et commence ses aller-retour. Ses coups de bites sont secs et brutaux totalement à l'opposer de Karl. J'aimerais dire que je n'ai ressenti ou que de la souffrance et aucun plaisir, mais ce serait mentir.
Après quelques aller-retour, il semble soudain calmé et sort de son espèce d’état second. Il réalise la position où l'on se trouve et se retire. Il plonge son regard dans le mien et "Pardon…" C'est tout, rien d'autre aucune explication.Je suis fou de rage, je préviens Yves que son comportement est inacceptable et que je vais me séparer de lui. Il me met une gifle monumentale, j'en tombe au sol.
Yves : sache qu'a Paris, j'ai découvert des choses graves sur ta famille et la police en a après toi. Si tu me renvoies, je te dénonce et je tue Karl et ses amis.
Moi : je refuse d'être ta chose, j'exige que tu quittes sur-le-champ ma demeure. Sinon j'appelle la police, quitte à me faire arrêter.
Il sort en trompe de la pièce et fait semblant de partir, mais rapidement, il revient avec la police qui arrête Karl et les autres pour coups et blessures. Il risque des peines lourdes et je n'ai pas d'autre choix que d'accepter si je veux les sauver.
Après cet épisode, il est devenu peu à peu le maître de ma vie. Il prenait toutes les décisions : dans un premier temps, il a exigé qu'on déménage pour Perpignan "question de sécurité", puis il a changé mon nom, pour finir, il me baiser régulièrement de force.
Jusqu'au jour ou c'est moi qui lui ai demandé de me prendre. À partir de ce jour, tout est devenu flou, je suis son employeur, mais il est mon maître, je suis son esclave, mais il est mon employé. Parfois, il me fouette ou me ceinture les fesses sans aucune raison. Juste pour se détendre et le plaisir de m'entendre hurler. Parfois, il me prête à des amis a lui pour qu'ils me partagent en réunion de force et aussi brutalement que lui le fait. Pendant prêt de douze ans, j'ai subi toute les tortures physiques et sexuelles imaginable. Les années passent, il a vieilli, il avait 39 ans quand j'en avais 18. Aujourd'hui, j'ai 30 ans, lui en a presque 52, notre relation s'est normalisée enfin si je puis dire. Il n'a plus assez de poigne pour me battre et j'ai beaucoup plus de force qu'avant. Il a pris beaucoup de poids a force de ne rien faire et de manger gras. Nous n'avons quasiment plus de relation charnel et cela me conviens. Je fréquente d'autres hommes et il le sait.
Il y avait François, Pierre, Patrick, Nicolas, Thomas, Jeremy. Mais mon préféré, c'est Slimane. C'est un Marocain de 32 ans. La peau matte, les yeux verts, dans les 1m85 pour 70k, assez mince pas trop musclé, mais avec un charme fou. Celui des vrai homme, travailleur et vigoureux. Il était agent d'entretien dans mes bureaux. Le soir après le départ de tout le monde, il venait m'embrassait dans mon bureau. Je me souviens de ce jour-là. Je lui rends son baiser et lui caresse le dos. Il s'agenouille et baisse mon slip. Il caresse un peu ma bite tendue et souffle de l'air chaud dessus, moi, je ferme les yeux pour profiter pleinement de l’instant. Ensuite, je sens sa langue chaude et humide sur mon gland. J’ouvre les yeux pour en profiter et le spectacle et magnifique. Le bougre, il sait y faire. Je sens le plaisir monter en moi. Mes mains caressent sa tête.
- Arrête, je vais jouir.
À ces mots, je jouis dans sa bouche.
Il avale puis m’embrasse, nous partageons mon sperme. Je descends lui rendre la politesse, mais il refuse. En 1 minute, il est nu devant moi à quatre pattes et me dit.
- viens en moi !
- Tu es sûr ?
- Certain ! Fait l’amour !
- OkJe commence par lui lécher les fesses et les tripoter et je me rapproche de son anus tout plié. Alors que ma langue tourne autour de son petit trou, il me fait comprendre qu'il est temps de passer aux choses sérieuses.
J'applique un peu de gel, j'enfile un condom et je m’enfonce en lui. Il pousse un soupir de plaisir. J’ai eu un peu de mal à enfoncer mon gland. Il donne un coup de reins pour que je m’enfonce plus profondément en lui. Je m’appuie sur son dos pour maîtriser ma pénétration. Au bout d’un moment, mon pubis est contre ses fesses. Je sens qu’il profite du plaisir que je lui donne. De son côté, il me procure aussi un immense plaisir. Je le pénètre doucement un long moment, jusqu'à ce qu’il jouisse. Puis j’accélère e mouvement pour jouir aussi. Nous nous écroulons avant de sombrer dans un sommeil réparateur.
Un jour, il me dit vouloir un enfant de moi à tout prix. Soi-disant pour la descendance et pour être une vraie famille. Mais la réalité est différente, il veut pouvoir conserver ma fortune et mon train de vie après ma mort. Je le suspect même de planifier mon assassinat. Je refuse plusieurs fois, mais il brandit son arme secret, le chantage. Alors j'épouse une jeune femme du village et lui fait l'amour de mon mieux jusqu’à ce qu'elle tombe enceinte.
Malheureusement, elle ne survit pas à la naissance d'Alexandre. Je soupçonne encore mon geôlier, car juste après, il exige qu'on quitte Perpignan pour Orléans.
Notre relation vue de l’extérieur parait normale. Je suis un jeune père célibataire qui vit avec son oncle. Même si les mœurs ont commencé à changer sur les homos, je préfère rester discret. Mais Yves, fait venir des gigolo à peine majeure pour les baiser sous notre toit. Les rumeurs commencent à se propager et Alexandre en fait les frais à l'école. De plus, j'ai peur pour lui, peur de ce qu'Yves pourrait lui faire en mon absence. La peur ne me quitte plus, surtout lorsqu'ils partent en voyage ensemble. Mais je ne peux pas m'absenter aussi souvent que lui qui ne travailles pas. Je travaille plus de 12h par jour pour fructifier mon entreprise. À l'image de ma mère, j'ai créé un fond d’investissement.
Puis il a eut ce jour, je ne sais pas exactement pourquoi, mais cela a fait comme un électrochoc. Je me suis souvenu de la première fois où il m'a agressé et j'ai décide de mettre mon fils en pension en suisse pour le protéger. Je sais que j'ai dû lui paraître insensible et dur, mais je devais le protéger.
À partir de ce moment, je me suis totalement plongé dans le travail, pour plus d'efficacité, j'ai choisi d’aménager mon bureau comme un appartement. Comme ça, je ne suis pas obligé de rentrer voir cet homme. J'avais 45 ans et mon entreprise était classée dans les 100 plus grandes de France. Un magazine homo m'a mis en couverture. Je suis devenu une petite célébrité et plusieurs magazines, ont voulu parler de moi. Je n'avais pas beaucoup de temps pour aller voir Alex. Mais Yves y aller régulièrement, mais je ne craignais rien avec le personnel de l'établissement et les droits de visite restreints.
Un jour, j'ai reçu une lettre d'une femme qui me donner rendez-vous à Paris a coter de la tour Eiffel. Ce qui me troubla le plus fut la manière de me désigner, "mon poussin". Seule ma mère ou mes sœurs faisaient cela. En la rencontrant, j'ai toute de suite reconnu ma sœur Clarence, elle était en vie. Elle me raconta que ma mère avait fait le nécessaire et qu'aucun soupçon ne se porter sur nous. Elles avaient été piégées toutes les trois dans un incendie, provoqué par Yves et que mon autre sœur n'avait pas survécu. Ma mère et Clarence avaient été hospitalisées plusieurs jours. Puis elles avaient pris la route pour me rejoindre au manoir, mais je n'étais déjà plus là. Ensuite, elle on passé des années à me chercher en vain car j'avais changé de nom et souvent déménagé.
J'ai su que ma mère était morte, 6 mois plutôt d'une pneumonie. Cependant Clarence, elle était belle est bien vivante. Mais la suite m'effraya. Elle était mourante et il ne lui restait que quelques jours à vivre, elle voulait simplement me revoir. Je passai, c'est quelques jours avec elle, son mari et ses deux enfants. Je cédai la moitié de ma fortune aux enfants de ma sœur. Son époux était un homme brave et je lui promis d’être toujours là. À mon retour à la maison, ma colère n'avait pas de limite, je mis Yves à la rue, il n'avait plus aucun moyen de pression sur moi. Mais je perdis en même temps l'amour de mon fils.
Fin flash backSes souvenirs me traversèrent l'esprit qu'une fraction de secondes. Lorsque mon petit-fils finit de présenter son idée, j'étais très fière de lui. Après qu'il soit partit faire un tour avec mon directeur commercial. J'ai appelé mon petit-neveu. Le petit-fils de ma sœur qui est orphelin depuis peu et qui se retrouve à la tête d'une grosse entreprise. Nous dînons ensemble 2 fois par semaine. Je pense proposer à Quentin de se joindre a nous et de rencontrer son cousin.
Jérôme
Je suis réveillé par Yves qui tente d’étrangler Karl. Les yeux enragés, il parait totalement hors de lui. Nous sommes enlacé et nu dans le lit. Lui hurle qu'il "a un droit sur moi et que Karl n'a pas intérêt à lui avoir volé". Sur le coup, cette phrase ne m'a pas marqué, c'est bien plus tard qu'elle fera écho en moi.
J'interviens pour les séparer et je demande à Yves de sortir de ma chambre et de m'attendre au salon. Je m'assure que mon amoureux va bien et j'en profite pour lui expliquer brièvement qui est Yves.
En retournant dans le salon, je fais une halte par les WC. Je ne comprenais pas Yves, certes, il m'avait trouvé avec un homme et alors ? Voulait-il prendre ma défense et sauver mon honneur ou bien est-il homophobe ?
Dans un cas comme dans l'autre, je décide d'arrêter de l'employer. Mais je lui suis reconnaissant pour tout ce qu'il a fait pour moi alors je dois mettre les formes. Lorsque j’ouvre la porte du salon, je l’aperçois face à la fenêtre le regard plonger vers l’extérieur. Je m’approche doucement de lui et l'appelle. Mais il ne répond pas. Je finis par lui toucher le bras, mais sans crier gare, je me retrouve plaquer contre la fenêtre. Ses mains se placent de chaque côté de ma tête sur la cloison. Son regard est glacial et terrifiant. J’essaie de parler, mais il m'ordonne de la fermer. Pour ne pas en rajouter, je ne dis rien. Son visage s'approche rapidement du mien et il m'embrasse de force tout en me maintenant par la nuque. Son baiser n'a rien de tendre, ni de doux. Il est plein de tensions, de désir de soumission et de colère. J’arrive à me libérer et lui crie dessus. Il me replace contre la fenêtre et ne cesse de répéter qu'il ne me laissera pas, que je suis a lui et a lui seul.
Il m'arrache mes vêtements et je me retrouve nu. J'essaie de m'extirper, mais en vain. Il baisse son pantalon et son slip. Il me soulève et me colle au mur. Il met mes deux jambes autour de lui et me prend de force. Les larmes de douleur coulent le long de mes joues… La pénétration m’a tellement fait mal que j'ai le souffle coupé, je n'arrive même pas à hurler. L'équilibre est précaire alors je m'accroche à lui. Il l’interprète comme un signe d'acceptation et commence ses aller-retour. Ses coups de bites sont secs et brutaux totalement à l'opposer de Karl. J'aimerais dire que je n'ai ressenti ou que de la souffrance et aucun plaisir, mais ce serait mentir.
Après quelques aller-retour, il semble soudain calmé et sort de son espèce d’état second. Il réalise la position où l'on se trouve et se retire. Il plonge son regard dans le mien et "Pardon…" C'est tout, rien d'autre aucune explication.Je suis fou de rage, je préviens Yves que son comportement est inacceptable et que je vais me séparer de lui. Il me met une gifle monumentale, j'en tombe au sol.
Yves : sache qu'a Paris, j'ai découvert des choses graves sur ta famille et la police en a après toi. Si tu me renvoies, je te dénonce et je tue Karl et ses amis.
Moi : je refuse d'être ta chose, j'exige que tu quittes sur-le-champ ma demeure. Sinon j'appelle la police, quitte à me faire arrêter.
Il sort en trompe de la pièce et fait semblant de partir, mais rapidement, il revient avec la police qui arrête Karl et les autres pour coups et blessures. Il risque des peines lourdes et je n'ai pas d'autre choix que d'accepter si je veux les sauver.
Après cet épisode, il est devenu peu à peu le maître de ma vie. Il prenait toutes les décisions : dans un premier temps, il a exigé qu'on déménage pour Perpignan "question de sécurité", puis il a changé mon nom, pour finir, il me baiser régulièrement de force.
Jusqu'au jour ou c'est moi qui lui ai demandé de me prendre. À partir de ce jour, tout est devenu flou, je suis son employeur, mais il est mon maître, je suis son esclave, mais il est mon employé. Parfois, il me fouette ou me ceinture les fesses sans aucune raison. Juste pour se détendre et le plaisir de m'entendre hurler. Parfois, il me prête à des amis a lui pour qu'ils me partagent en réunion de force et aussi brutalement que lui le fait. Pendant prêt de douze ans, j'ai subi toute les tortures physiques et sexuelles imaginable. Les années passent, il a vieilli, il avait 39 ans quand j'en avais 18. Aujourd'hui, j'ai 30 ans, lui en a presque 52, notre relation s'est normalisée enfin si je puis dire. Il n'a plus assez de poigne pour me battre et j'ai beaucoup plus de force qu'avant. Il a pris beaucoup de poids a force de ne rien faire et de manger gras. Nous n'avons quasiment plus de relation charnel et cela me conviens. Je fréquente d'autres hommes et il le sait.
Il y avait François, Pierre, Patrick, Nicolas, Thomas, Jeremy. Mais mon préféré, c'est Slimane. C'est un Marocain de 32 ans. La peau matte, les yeux verts, dans les 1m85 pour 70k, assez mince pas trop musclé, mais avec un charme fou. Celui des vrai homme, travailleur et vigoureux. Il était agent d'entretien dans mes bureaux. Le soir après le départ de tout le monde, il venait m'embrassait dans mon bureau. Je me souviens de ce jour-là. Je lui rends son baiser et lui caresse le dos. Il s'agenouille et baisse mon slip. Il caresse un peu ma bite tendue et souffle de l'air chaud dessus, moi, je ferme les yeux pour profiter pleinement de l’instant. Ensuite, je sens sa langue chaude et humide sur mon gland. J’ouvre les yeux pour en profiter et le spectacle et magnifique. Le bougre, il sait y faire. Je sens le plaisir monter en moi. Mes mains caressent sa tête.
- Arrête, je vais jouir.
À ces mots, je jouis dans sa bouche.
Il avale puis m’embrasse, nous partageons mon sperme. Je descends lui rendre la politesse, mais il refuse. En 1 minute, il est nu devant moi à quatre pattes et me dit.
- viens en moi !
- Tu es sûr ?
- Certain ! Fait l’amour !
- OkJe commence par lui lécher les fesses et les tripoter et je me rapproche de son anus tout plié. Alors que ma langue tourne autour de son petit trou, il me fait comprendre qu'il est temps de passer aux choses sérieuses.
J'applique un peu de gel, j'enfile un condom et je m’enfonce en lui. Il pousse un soupir de plaisir. J’ai eu un peu de mal à enfoncer mon gland. Il donne un coup de reins pour que je m’enfonce plus profondément en lui. Je m’appuie sur son dos pour maîtriser ma pénétration. Au bout d’un moment, mon pubis est contre ses fesses. Je sens qu’il profite du plaisir que je lui donne. De son côté, il me procure aussi un immense plaisir. Je le pénètre doucement un long moment, jusqu'à ce qu’il jouisse. Puis j’accélère e mouvement pour jouir aussi. Nous nous écroulons avant de sombrer dans un sommeil réparateur.
Un jour, il me dit vouloir un enfant de moi à tout prix. Soi-disant pour la descendance et pour être une vraie famille. Mais la réalité est différente, il veut pouvoir conserver ma fortune et mon train de vie après ma mort. Je le suspect même de planifier mon assassinat. Je refuse plusieurs fois, mais il brandit son arme secret, le chantage. Alors j'épouse une jeune femme du village et lui fait l'amour de mon mieux jusqu’à ce qu'elle tombe enceinte.
Malheureusement, elle ne survit pas à la naissance d'Alexandre. Je soupçonne encore mon geôlier, car juste après, il exige qu'on quitte Perpignan pour Orléans.
Notre relation vue de l’extérieur parait normale. Je suis un jeune père célibataire qui vit avec son oncle. Même si les mœurs ont commencé à changer sur les homos, je préfère rester discret. Mais Yves, fait venir des gigolo à peine majeure pour les baiser sous notre toit. Les rumeurs commencent à se propager et Alexandre en fait les frais à l'école. De plus, j'ai peur pour lui, peur de ce qu'Yves pourrait lui faire en mon absence. La peur ne me quitte plus, surtout lorsqu'ils partent en voyage ensemble. Mais je ne peux pas m'absenter aussi souvent que lui qui ne travailles pas. Je travaille plus de 12h par jour pour fructifier mon entreprise. À l'image de ma mère, j'ai créé un fond d’investissement.
Puis il a eut ce jour, je ne sais pas exactement pourquoi, mais cela a fait comme un électrochoc. Je me suis souvenu de la première fois où il m'a agressé et j'ai décide de mettre mon fils en pension en suisse pour le protéger. Je sais que j'ai dû lui paraître insensible et dur, mais je devais le protéger.
À partir de ce moment, je me suis totalement plongé dans le travail, pour plus d'efficacité, j'ai choisi d’aménager mon bureau comme un appartement. Comme ça, je ne suis pas obligé de rentrer voir cet homme. J'avais 45 ans et mon entreprise était classée dans les 100 plus grandes de France. Un magazine homo m'a mis en couverture. Je suis devenu une petite célébrité et plusieurs magazines, ont voulu parler de moi. Je n'avais pas beaucoup de temps pour aller voir Alex. Mais Yves y aller régulièrement, mais je ne craignais rien avec le personnel de l'établissement et les droits de visite restreints.
Un jour, j'ai reçu une lettre d'une femme qui me donner rendez-vous à Paris a coter de la tour Eiffel. Ce qui me troubla le plus fut la manière de me désigner, "mon poussin". Seule ma mère ou mes sœurs faisaient cela. En la rencontrant, j'ai toute de suite reconnu ma sœur Clarence, elle était en vie. Elle me raconta que ma mère avait fait le nécessaire et qu'aucun soupçon ne se porter sur nous. Elles avaient été piégées toutes les trois dans un incendie, provoqué par Yves et que mon autre sœur n'avait pas survécu. Ma mère et Clarence avaient été hospitalisées plusieurs jours. Puis elles avaient pris la route pour me rejoindre au manoir, mais je n'étais déjà plus là. Ensuite, elle on passé des années à me chercher en vain car j'avais changé de nom et souvent déménagé.
J'ai su que ma mère était morte, 6 mois plutôt d'une pneumonie. Cependant Clarence, elle était belle est bien vivante. Mais la suite m'effraya. Elle était mourante et il ne lui restait que quelques jours à vivre, elle voulait simplement me revoir. Je passai, c'est quelques jours avec elle, son mari et ses deux enfants. Je cédai la moitié de ma fortune aux enfants de ma sœur. Son époux était un homme brave et je lui promis d’être toujours là. À mon retour à la maison, ma colère n'avait pas de limite, je mis Yves à la rue, il n'avait plus aucun moyen de pression sur moi. Mais je perdis en même temps l'amour de mon fils.
Fin flash backSes souvenirs me traversèrent l'esprit qu'une fraction de secondes. Lorsque mon petit-fils finit de présenter son idée, j'étais très fière de lui. Après qu'il soit partit faire un tour avec mon directeur commercial. J'ai appelé mon petit-neveu. Le petit-fils de ma sœur qui est orphelin depuis peu et qui se retrouve à la tête d'une grosse entreprise. Nous dînons ensemble 2 fois par semaine. Je pense proposer à Quentin de se joindre a nous et de rencontrer son cousin.
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