Histoire de rugbyman. Chapitre 5 une belle rencontre
Récit érotique écrit par Liospuman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Histoire de rugbyman. Chapitre 5 une belle rencontre
Histoire de rugbyman. Chapitre 5 une belle rencontre
"La vie n'est pas un jeu. Rencontrer une femme, faire des enfants, acheter une maison, trouver un travail qui nous plaît et avoir de l'argent cela parait être les buts de la vie. Mais pour moi, cela me parait illusoire, atterrant voir même inutile. Je n'arrive pas à concevoir ma vie avec autant de responsabilités ou autant d'interdits. "
POV Quentin
Voilà l'introduction de mon sujet de sociologie. Je me trouve sombre ces derniers temps et mon travail s'en ressens. Amélie ma binôme pour cette exposé parait un peu gêner par mon choix, mais elle n'ose pas trop me contredire. Alors j’en profite comme le salaud que je suis.
- Bon Quentin écoute cette intro me parait un peu sombre je préf...
- Et alors, le prof veut du vrai ?!
- Mais pas a ce point !
Elle me regarde droit dans les yeux et se fâche un peu. Je la regarde et essai de soutenir son regard. Mais je finis par exploser de rire et elle me suis dans le fou rire.
- Bon sérieux Quentin, on change l'intro,- Qu'est-ce que j'y gagne ?
- Un rendez-vous avec moi ce soir !
Voilà comment a commencer ma relation avec Amélie. C'est une copine de cours, on a tous les deux pris en unité transversale la sociologie. Nous sommes sortie ensemble ce jour-là et nous avons passé une super soirée. La nuit fut chaude aussi. Cette fille est folle, elle a voulu qu'on fasse des trucs de gamin toute la soirée comme sonner aux portes, jeter des capotes pleines d'eau du toit de son immeuble sur des passants et faire de la balançoire. Par contre lorsque nous sommes rentré chez elle, ce fut une autre histoire. Nous avons joué à des jeux de grand. Bonne pipe et baise en bonne et du forme.
Je me retrouve vêtu que de mon boxer et d’un t-shirt, car la pluie a mouillé nos vêtements. Les cheveux ébouriffés, j’entrais dans sa chambre ou elle est nu et de dos. Quelle beauté !!!
- Le spectacle te plaît ? Demande-t-elle.
- Beaucoup ! Répondis-je
- Je prends une douche et on passe aux choses sérieuses.
Je m'allonge sur son lit et me mets à poils. Elle revient enroulée dans une épaisse sortie de bain en coton. Elle s'arrête à l'entrée de la porte et je lui dis :
- Qu'est-ce qui a ?
- Je profite du spectacle ! Réponds telle.
Elle ouvre son peignoir et ses seins son magnifique énorme. Plus je l'ai regard et plus elle rougissent, j'ai l'impression. Je déglutis difficilement elle s’assoit en face de moi et me sourit.
- Tu aimes ?
- Heu oui. Bafouillai-je.
Je sens le feu me monter aux joues. Elle éclate de rire, elle le fait exprès. Une érection commence à poindre.
- Je suis tellement excité que j'en oublie mes manières, tu es très belle.
- Merci
Elle saisit ma bite et l'enfonce goulûment dans sa bouche. C’est dingue, elle enfonce ma bite en gorge profonde directe. Certes, je n'ai pas la plus grosse, mais quand même. Elle me branle et lèche mes couilles.
En se relevant elle me regarde droit dans les yeux et dit :
- Je te veux en moi.
Elle s'allonge à son tour sur le lit et écarte les cuisses. Dans un état second, j’empoigne ma queue et frotte mon gland sur sa chatte mouillée. Elle a des lèvres vaginales adorable avec son épilation totale. Je frotte mon gland son clitoris et je finis par m’introduit en elle jusqu’à la garde. Elle a les jambes sur mes épaules pendant que je la prends de toute la longueur de ma bite. Le plaisir est immense, je suis en extase. Elle se met à 4 pattes, puis pose sa tête sur le matelas en écartant ses fesses avec ses mains.
Je prends appui sur ses hanches et m’enfonce dans son vagin. Très vite, je la martèle de violents coups de bite dans des claquements sonores et des cris de femme en train de jouir.
- Putain ca fait longtemps que je n'ai pas baisée comme ça !
Je pose un pied sur le matelas pour la prendre encore plus profondément. Je vois ma bite faire de gros aller-retour et je sens l'orgasme monte au fur et à mesure de nos cris. D'un coup, elle se met à hurler et à se caresser fortement la chatte, elle atteint enfin l’orgasme. Je ralentis progressivement ma sodomie pour lui laisser un peu de repos.
Elle tombe sur le lit limite inconsciente. Lorsqu'elle réouvre les yeux, elle doit me trouver con. Car je suis au-dessus d'elle la bite bander à attendre. Elle me dit donne moi 2 minutes après tu pourras me prendre le cul.
- J'ai eu peur, j'ai cru que j'allais devoir me finir a la main.
Elle se relève et s'allonge sur le dos et me fait signe d'approche. J'obéis et nous voilà partie pour une sodomie intense qui se comble par mon éjaculation dans la capote que je nous et jette au sol. Je suis vidé. Je m'endors juste après un câlin.
Le lendemain, je reçois le meilleur des réveils qui soit une bonne fellation. Amélie est en train de se démener sur ma bite, il ne me faut pas plus d'une minute pour jouir. Le temps que je me remette de mes émotions, elle m'apporte un plateau repas bien appétissant. Des croissants, du jus, des fruits et un bon café. Sérieux, cette fille est une perle, elle veut me faire changer d'avis sur l'amour et le mariage ou quoi ?
Depuis ce jour, nous passons pas mal de temps ensemble. Le plus souvent, nous sommes dans son petit studio étudiant et nous nous éclatons bien dans tous les sens du terme, si vous voyez ce que je veux dire. Mais depuis peu, elle me tanne, elle veut absolument savoir ou je vis. Elle sait que ma famille a de l'argent, mais elle ne sait pas encore à quel point. J'ai peur quand le découvrant, elle ne s'intéresse plus qu'a ça. Je ne suis pas amoureux d'elle ça, c'est sur, mais je l'aime bien et j'aime bien notre relation. Je n'ai pas envie de la dégrader avec des conneries sur l'argent.
Après plusieurs semaines de tannage et une grève du sexe, je finis par céder et l'invite à la maison.
Je prends soin de m'assurer que papa ne rentrera pas de sitôt. Il doit dormir chez son pote de toujours, alors je suis tranquille. Elle passe à la maison et se jette à mon cou. Je la couvre de baisers, je l’embrasse à pleine bouche et je sens son corps se coller au mien. Je retrouve ce sentiment d’urgence dans ses baisers dans sa langue qui ne cesse de chercher la mienne. Ma main droite descend le long de mon corps pendant que je lèche son cou, elle gémit de plaisir. Ensuite, je m'attaque à ses gros seins et je les malaxe. Finalement, ma main continue sa descente sous sa robe et remonte vers l’intérieur de ses cuisses. Je caresse sa culotte déjà trempée et elle tremble. J'y glisse un doigt puis deux. Je les agite délicatement et je l'entends gémir de plus belle. Puis j'enlève mes doigts et je vois la déception sur son visage. Elle est tremblante de désir.
Je l'enlace et je lui retire l'ensemble de ses vêtements. Je me baisse et écarte ses cuisses pour a agacer son V avec ma langue cette fois. Ses mains se posent sur ma tête et me forcent a lécher sa chatte plus fort. Je lève la main et commence a malaxer ses seins. Après quelques minutes, j'arrête et me relève et c'est à son tour de s'accroupir. Mais elle préfère se mettre à genoux. Je vois l'excitation perverse dans ses yeux, elle me caresse et enfonce d'un coup ma bite dans sa bouche. La sensation et génial. Elle suce vite et caresse mes bourses. Je suis tellement excité que je ne tiens pas longtemps avant de jouir dans sa bouche. Elle se relève et me regarde dans les yeux avant d'échanger un baiser entre mouille et sperme. Je suis encore en érection, je vais m’asseoir sur le canapé et l'invite à venir me chevaucher. Proposition qu'elle accepte de suite. Elle prend trop son temps pour me prendre alors je la tire vers le bas et je vois dans ses yeux le plaisir de se faire prendre. Je connais ça par cœur. C’est si bon d'être en elle que j'en tremblant. Je m’enfonce jusqu’au bout et je sens mon sexe toucher le fond du sien. Je la soulève et la laisse retomber, plusieurs fois. Autant dire que mes couilles crie garce, e grace, mais moi, j'en veux encore. Elle commence à prendre le rythme elle-même et je peux mettre mes mains derrière ma tête comme un pacha. Elle nous baise tous les deux. Je finis par convulser et éclater dans sa chatte. Je suis repu, je ferme les yeux et essai de reprendre mon souffle. Elle se blottit dans mes bras et me serre fort.
Après quelques minutes, elle se relève difficilement et je sens mon sperme couler sur mes abdos. Je lui propose une douche qu'elle accepte. En sortant de la douche, j'ai une petite faim et nous filons nus dans la cuisine. Le frigo est face à la porte de la cuisine et entre les deux il y a un grand bar en marbre avec des pieds en acier. Je m'adosse à ce dernier en direction du frigo, elle s'est pencher dans frigo pour prendre de quoi nous faire un encas. Ses fesses sont ouvertes et encore un peu baveuses de mon sperme. Moi, je suis tourné vers elle dos à la porte de la cuisine, ce qui me permet de regarder Amélie en train de se dandiner entre le frigo et la cuisinière. Elle est nue et danse en préparant a manger. Quel kiff, voir une personne aussi décomplexer, c'est juste un pur bonheur. Si je n'étais pas bi, je pourrais prétendre être amoureux d'elle. Malheureusement, je le suis. Elle se penche en avant pour prendre un truc dans le congèle et son anus s'ouvre encore un peu plus, il me donne envie et cela m'excite.
- Ce n'est pas du jeu, tu me fous tout le temps la trique.
- C'est vrai, merci du compliment.
Elle regard vers moi et se rend compte que mon mat et dresser comme un drapeau. Elle se met genoux et vient lui faire un bisou avant de commencer à me sucer. Humm
- Quentin t'est où ?!
- MERDE, c'est mon père qui vient d'arriver !
Elle quitte immédiatement mon pénis. Malheureusement, elle n'a pas le temps de se relever que je sens que mon père et dans mon dos.
- Quentin ! Euh, tu fais quoi ?
Je me retourne avec la bite bandé et dégoulinante de salive. Amélie se relève aussi toute nu, elle est rouge comme une tomate et se cache derrière moi. Je suis plutôt malaise.
- Papa, tu ne devais pas dormir chez tonton
- Nan, je ..... Euh...
Il regarde ma copine, me regarde, il parait mal. Bon ok c'est choquant qu'on soit à poil dans la cuisine, mais il va pas faire une crise cardiaque non plus. Il est vraiment très pâle.
- Je..., je vais aller dans ma chambre.
Il part dans sa chambre sans se retourner. J'apprendrais par la suite sa péripétie avec la mère d'Enzo, après m'être excusé pour ma conduite. Il en rit bien fort, il s'en fout de ma copine et moi dans la cuisine.
Depuis elle ne veut plus venir à la maison, je lui propose de dîner à la maison avec mon père pour dédramatiser les choses. Mais elle refuse à chaque fois. Par contre elle me tanne pour un dîner avec ses meilleures copines et leurs mecs. Je sens qu'elle veut m'exhiber comme un trophée a ses copines et ça me soûle.
Hier, j'ai passé la journée avec Thibaut qui m'a tout raconter de son aventure avec Salim. En contrepartie moi je lui ai parlé un peu d'Amélie et surtout de la scène avec mon père. Comme a son habitude, il a fait une blague grasse. Il veut absolument la rencontrer.
Thibaut arrive, nous nous serons dans les bras et je lui présente la fameuse et unique Amélie. Il l'arrose de questions et cela en devient trop drôle. Il évite par contre de lui dire qu'il est au courant pour son humiliation devant mon père.
La soirée se passe plutôt bien. Le lendemain dans les vestiaires de foot Thibaut n’arrête pas ses allusions et cela attire l'attention des potes. Il me chope tous et commence à me chatouiller jusqu’à ce que je crache le morceau. Ma meuf et trop folle et trop chum.
Par contre, je vois Enzo dans son coin, en train de faire la gueule. Pour une fois, que ce n'est pas lui qui a une histoire de meuf a nous raconter. Quel gamin, pfffff. L’entraînement se passe super bien, mais le coach me convoque dans son bureau. Apparemment, un recruteur d'équipe nationale va venir pour me voir. Je suis super content, le coach me brief plusieurs fois et me donne plein de consigne pour le match à venir. Je bois littéralement ses paroles et je les dégustent, je m'en abreuvent. Lorsqu'il finit, c'est avec un énorme sourit que je vais au vestiaire. Les autres sont tous en train de partir ou déjà partie. J'annonce la nouvelle et tout le monde se réjouit pour moi. Ils crient, l'applaudissement, me portent comme un roi. Chacun espère secrètement être recruté aussi. Cela arrive tout le temps qu'on viennent voir une personne, mais que finalement le recruteur craque sur une autre. On convient d'aller ce boire un verre demain soir. Je commence à me déshabiller, le temps d'aller à la douche, il n'y a plus personne dans les vestiaires. Je commence à me changer et Enzo apparaît derrière moi, je sursaute.
- Désolé, j'ai oublié un truc.
- Pas soucis- Ouais, je sais !!!
Il dit ça avec une drôle de voix, je ne comprends pas son problème.
- Ça va toi !
- Ouais, ouais, pas aussi bien que toi apparemment.
- C'est normale, tu m'as vue ?!
- Pfff idiot va !
Il sourit un peu, mais il a l'air amer.
- Et toi alors, pas de petite meuf dans le coin ?
- As-tu sais, j'ai quelqu'un dans le cœur, mais je pense que ça ne marchera pas.
- Pourquoi t'es un bogoss comme pas deux.
- C'est vrai, tu me trouves bogoss ?
- Euhh...
- Quentin tu l'a dit, tu ne peux pas le reprendre.
On rigole 5 minutes, puis il reprend son coté sérieux.
- Tu l'aimes cette fille ?
- Je ne sais pas, je ne crois pas pourquoi c'est juste comme ça.
- Comme ça, c'est tout.
Il a repris un sourire et paraît avoir bonne mine. Je recommence à me faire des films sur lui comme avant. Mais faut vraiment que je me calme, il est juste jaloux de ce qui m'arrive.
- T'es jaloux, c'est ça ?
- N'IMPORTE QUOI TOI !!!!
Il s’énerve d'un coup, je recule pris de frayeur.
- Chwi pas PD MOI- J'ai jamais dit ça, je voulais juste dire que tu étais jaloux parce que j'avais une pure meuf.
- À ok !!
Il me tourne le dos et commence à partir. Je le suis dans le couloir en me changeant, je mets mon t-shirt, puis mes baskets et l'appel.
- Attend Enzo, pourquoi tu croyais que... ?
- TA GUEULE !!!
- Calme toi viens.
J'essaie de l'attraper par le bras, mais il se dégage violemment a tel point que je tombe en arrière sur les fesses.
- Aie.
Il se retourne brutalement et s'approche de moi. Il s’accroupit et se penche vers moi. Enzo me regarde avec peur ou regret, je pense qu'il est choqué de son action en vers moi. Il est au-dessus de moi et se penche encore plus. Nos visages sont proches, très proches. Il se rapproche encore. Nos têtes sont de plus en plus proche de l'une de l'autre. Ces lèvres tremblent un peu, il est à moins de 20 cm de mon visage. Ces lèvres s'entrouvrent, il passe sa langue dessus comme pour les humidifier avant un baisé. Mon cœur bat la chamade, ce mec et juste le fantasme de ma vie. Je bats des cils et je suis super excité. Il s'approche encore plus et ses lèvres s'ouvrent....
"La vie n'est pas un jeu. Rencontrer une femme, faire des enfants, acheter une maison, trouver un travail qui nous plaît et avoir de l'argent cela parait être les buts de la vie. Mais pour moi, cela me parait illusoire, atterrant voir même inutile. Je n'arrive pas à concevoir ma vie avec autant de responsabilités ou autant d'interdits. "
POV Quentin
Voilà l'introduction de mon sujet de sociologie. Je me trouve sombre ces derniers temps et mon travail s'en ressens. Amélie ma binôme pour cette exposé parait un peu gêner par mon choix, mais elle n'ose pas trop me contredire. Alors j’en profite comme le salaud que je suis.
- Bon Quentin écoute cette intro me parait un peu sombre je préf...
- Et alors, le prof veut du vrai ?!
- Mais pas a ce point !
Elle me regarde droit dans les yeux et se fâche un peu. Je la regarde et essai de soutenir son regard. Mais je finis par exploser de rire et elle me suis dans le fou rire.
- Bon sérieux Quentin, on change l'intro,- Qu'est-ce que j'y gagne ?
- Un rendez-vous avec moi ce soir !
Voilà comment a commencer ma relation avec Amélie. C'est une copine de cours, on a tous les deux pris en unité transversale la sociologie. Nous sommes sortie ensemble ce jour-là et nous avons passé une super soirée. La nuit fut chaude aussi. Cette fille est folle, elle a voulu qu'on fasse des trucs de gamin toute la soirée comme sonner aux portes, jeter des capotes pleines d'eau du toit de son immeuble sur des passants et faire de la balançoire. Par contre lorsque nous sommes rentré chez elle, ce fut une autre histoire. Nous avons joué à des jeux de grand. Bonne pipe et baise en bonne et du forme.
Je me retrouve vêtu que de mon boxer et d’un t-shirt, car la pluie a mouillé nos vêtements. Les cheveux ébouriffés, j’entrais dans sa chambre ou elle est nu et de dos. Quelle beauté !!!
- Le spectacle te plaît ? Demande-t-elle.
- Beaucoup ! Répondis-je
- Je prends une douche et on passe aux choses sérieuses.
Je m'allonge sur son lit et me mets à poils. Elle revient enroulée dans une épaisse sortie de bain en coton. Elle s'arrête à l'entrée de la porte et je lui dis :
- Qu'est-ce qui a ?
- Je profite du spectacle ! Réponds telle.
Elle ouvre son peignoir et ses seins son magnifique énorme. Plus je l'ai regard et plus elle rougissent, j'ai l'impression. Je déglutis difficilement elle s’assoit en face de moi et me sourit.
- Tu aimes ?
- Heu oui. Bafouillai-je.
Je sens le feu me monter aux joues. Elle éclate de rire, elle le fait exprès. Une érection commence à poindre.
- Je suis tellement excité que j'en oublie mes manières, tu es très belle.
- Merci
Elle saisit ma bite et l'enfonce goulûment dans sa bouche. C’est dingue, elle enfonce ma bite en gorge profonde directe. Certes, je n'ai pas la plus grosse, mais quand même. Elle me branle et lèche mes couilles.
En se relevant elle me regarde droit dans les yeux et dit :
- Je te veux en moi.
Elle s'allonge à son tour sur le lit et écarte les cuisses. Dans un état second, j’empoigne ma queue et frotte mon gland sur sa chatte mouillée. Elle a des lèvres vaginales adorable avec son épilation totale. Je frotte mon gland son clitoris et je finis par m’introduit en elle jusqu’à la garde. Elle a les jambes sur mes épaules pendant que je la prends de toute la longueur de ma bite. Le plaisir est immense, je suis en extase. Elle se met à 4 pattes, puis pose sa tête sur le matelas en écartant ses fesses avec ses mains.
Je prends appui sur ses hanches et m’enfonce dans son vagin. Très vite, je la martèle de violents coups de bite dans des claquements sonores et des cris de femme en train de jouir.
- Putain ca fait longtemps que je n'ai pas baisée comme ça !
Je pose un pied sur le matelas pour la prendre encore plus profondément. Je vois ma bite faire de gros aller-retour et je sens l'orgasme monte au fur et à mesure de nos cris. D'un coup, elle se met à hurler et à se caresser fortement la chatte, elle atteint enfin l’orgasme. Je ralentis progressivement ma sodomie pour lui laisser un peu de repos.
Elle tombe sur le lit limite inconsciente. Lorsqu'elle réouvre les yeux, elle doit me trouver con. Car je suis au-dessus d'elle la bite bander à attendre. Elle me dit donne moi 2 minutes après tu pourras me prendre le cul.
- J'ai eu peur, j'ai cru que j'allais devoir me finir a la main.
Elle se relève et s'allonge sur le dos et me fait signe d'approche. J'obéis et nous voilà partie pour une sodomie intense qui se comble par mon éjaculation dans la capote que je nous et jette au sol. Je suis vidé. Je m'endors juste après un câlin.
Le lendemain, je reçois le meilleur des réveils qui soit une bonne fellation. Amélie est en train de se démener sur ma bite, il ne me faut pas plus d'une minute pour jouir. Le temps que je me remette de mes émotions, elle m'apporte un plateau repas bien appétissant. Des croissants, du jus, des fruits et un bon café. Sérieux, cette fille est une perle, elle veut me faire changer d'avis sur l'amour et le mariage ou quoi ?
Depuis ce jour, nous passons pas mal de temps ensemble. Le plus souvent, nous sommes dans son petit studio étudiant et nous nous éclatons bien dans tous les sens du terme, si vous voyez ce que je veux dire. Mais depuis peu, elle me tanne, elle veut absolument savoir ou je vis. Elle sait que ma famille a de l'argent, mais elle ne sait pas encore à quel point. J'ai peur quand le découvrant, elle ne s'intéresse plus qu'a ça. Je ne suis pas amoureux d'elle ça, c'est sur, mais je l'aime bien et j'aime bien notre relation. Je n'ai pas envie de la dégrader avec des conneries sur l'argent.
Après plusieurs semaines de tannage et une grève du sexe, je finis par céder et l'invite à la maison.
Je prends soin de m'assurer que papa ne rentrera pas de sitôt. Il doit dormir chez son pote de toujours, alors je suis tranquille. Elle passe à la maison et se jette à mon cou. Je la couvre de baisers, je l’embrasse à pleine bouche et je sens son corps se coller au mien. Je retrouve ce sentiment d’urgence dans ses baisers dans sa langue qui ne cesse de chercher la mienne. Ma main droite descend le long de mon corps pendant que je lèche son cou, elle gémit de plaisir. Ensuite, je m'attaque à ses gros seins et je les malaxe. Finalement, ma main continue sa descente sous sa robe et remonte vers l’intérieur de ses cuisses. Je caresse sa culotte déjà trempée et elle tremble. J'y glisse un doigt puis deux. Je les agite délicatement et je l'entends gémir de plus belle. Puis j'enlève mes doigts et je vois la déception sur son visage. Elle est tremblante de désir.
Je l'enlace et je lui retire l'ensemble de ses vêtements. Je me baisse et écarte ses cuisses pour a agacer son V avec ma langue cette fois. Ses mains se posent sur ma tête et me forcent a lécher sa chatte plus fort. Je lève la main et commence a malaxer ses seins. Après quelques minutes, j'arrête et me relève et c'est à son tour de s'accroupir. Mais elle préfère se mettre à genoux. Je vois l'excitation perverse dans ses yeux, elle me caresse et enfonce d'un coup ma bite dans sa bouche. La sensation et génial. Elle suce vite et caresse mes bourses. Je suis tellement excité que je ne tiens pas longtemps avant de jouir dans sa bouche. Elle se relève et me regarde dans les yeux avant d'échanger un baiser entre mouille et sperme. Je suis encore en érection, je vais m’asseoir sur le canapé et l'invite à venir me chevaucher. Proposition qu'elle accepte de suite. Elle prend trop son temps pour me prendre alors je la tire vers le bas et je vois dans ses yeux le plaisir de se faire prendre. Je connais ça par cœur. C’est si bon d'être en elle que j'en tremblant. Je m’enfonce jusqu’au bout et je sens mon sexe toucher le fond du sien. Je la soulève et la laisse retomber, plusieurs fois. Autant dire que mes couilles crie garce, e grace, mais moi, j'en veux encore. Elle commence à prendre le rythme elle-même et je peux mettre mes mains derrière ma tête comme un pacha. Elle nous baise tous les deux. Je finis par convulser et éclater dans sa chatte. Je suis repu, je ferme les yeux et essai de reprendre mon souffle. Elle se blottit dans mes bras et me serre fort.
Après quelques minutes, elle se relève difficilement et je sens mon sperme couler sur mes abdos. Je lui propose une douche qu'elle accepte. En sortant de la douche, j'ai une petite faim et nous filons nus dans la cuisine. Le frigo est face à la porte de la cuisine et entre les deux il y a un grand bar en marbre avec des pieds en acier. Je m'adosse à ce dernier en direction du frigo, elle s'est pencher dans frigo pour prendre de quoi nous faire un encas. Ses fesses sont ouvertes et encore un peu baveuses de mon sperme. Moi, je suis tourné vers elle dos à la porte de la cuisine, ce qui me permet de regarder Amélie en train de se dandiner entre le frigo et la cuisinière. Elle est nue et danse en préparant a manger. Quel kiff, voir une personne aussi décomplexer, c'est juste un pur bonheur. Si je n'étais pas bi, je pourrais prétendre être amoureux d'elle. Malheureusement, je le suis. Elle se penche en avant pour prendre un truc dans le congèle et son anus s'ouvre encore un peu plus, il me donne envie et cela m'excite.
- Ce n'est pas du jeu, tu me fous tout le temps la trique.
- C'est vrai, merci du compliment.
Elle regard vers moi et se rend compte que mon mat et dresser comme un drapeau. Elle se met genoux et vient lui faire un bisou avant de commencer à me sucer. Humm
- Quentin t'est où ?!
- MERDE, c'est mon père qui vient d'arriver !
Elle quitte immédiatement mon pénis. Malheureusement, elle n'a pas le temps de se relever que je sens que mon père et dans mon dos.
- Quentin ! Euh, tu fais quoi ?
Je me retourne avec la bite bandé et dégoulinante de salive. Amélie se relève aussi toute nu, elle est rouge comme une tomate et se cache derrière moi. Je suis plutôt malaise.
- Papa, tu ne devais pas dormir chez tonton
- Nan, je ..... Euh...
Il regarde ma copine, me regarde, il parait mal. Bon ok c'est choquant qu'on soit à poil dans la cuisine, mais il va pas faire une crise cardiaque non plus. Il est vraiment très pâle.
- Je..., je vais aller dans ma chambre.
Il part dans sa chambre sans se retourner. J'apprendrais par la suite sa péripétie avec la mère d'Enzo, après m'être excusé pour ma conduite. Il en rit bien fort, il s'en fout de ma copine et moi dans la cuisine.
Depuis elle ne veut plus venir à la maison, je lui propose de dîner à la maison avec mon père pour dédramatiser les choses. Mais elle refuse à chaque fois. Par contre elle me tanne pour un dîner avec ses meilleures copines et leurs mecs. Je sens qu'elle veut m'exhiber comme un trophée a ses copines et ça me soûle.
Hier, j'ai passé la journée avec Thibaut qui m'a tout raconter de son aventure avec Salim. En contrepartie moi je lui ai parlé un peu d'Amélie et surtout de la scène avec mon père. Comme a son habitude, il a fait une blague grasse. Il veut absolument la rencontrer.
Thibaut arrive, nous nous serons dans les bras et je lui présente la fameuse et unique Amélie. Il l'arrose de questions et cela en devient trop drôle. Il évite par contre de lui dire qu'il est au courant pour son humiliation devant mon père.
La soirée se passe plutôt bien. Le lendemain dans les vestiaires de foot Thibaut n’arrête pas ses allusions et cela attire l'attention des potes. Il me chope tous et commence à me chatouiller jusqu’à ce que je crache le morceau. Ma meuf et trop folle et trop chum.
Par contre, je vois Enzo dans son coin, en train de faire la gueule. Pour une fois, que ce n'est pas lui qui a une histoire de meuf a nous raconter. Quel gamin, pfffff. L’entraînement se passe super bien, mais le coach me convoque dans son bureau. Apparemment, un recruteur d'équipe nationale va venir pour me voir. Je suis super content, le coach me brief plusieurs fois et me donne plein de consigne pour le match à venir. Je bois littéralement ses paroles et je les dégustent, je m'en abreuvent. Lorsqu'il finit, c'est avec un énorme sourit que je vais au vestiaire. Les autres sont tous en train de partir ou déjà partie. J'annonce la nouvelle et tout le monde se réjouit pour moi. Ils crient, l'applaudissement, me portent comme un roi. Chacun espère secrètement être recruté aussi. Cela arrive tout le temps qu'on viennent voir une personne, mais que finalement le recruteur craque sur une autre. On convient d'aller ce boire un verre demain soir. Je commence à me déshabiller, le temps d'aller à la douche, il n'y a plus personne dans les vestiaires. Je commence à me changer et Enzo apparaît derrière moi, je sursaute.
- Désolé, j'ai oublié un truc.
- Pas soucis- Ouais, je sais !!!
Il dit ça avec une drôle de voix, je ne comprends pas son problème.
- Ça va toi !
- Ouais, ouais, pas aussi bien que toi apparemment.
- C'est normale, tu m'as vue ?!
- Pfff idiot va !
Il sourit un peu, mais il a l'air amer.
- Et toi alors, pas de petite meuf dans le coin ?
- As-tu sais, j'ai quelqu'un dans le cœur, mais je pense que ça ne marchera pas.
- Pourquoi t'es un bogoss comme pas deux.
- C'est vrai, tu me trouves bogoss ?
- Euhh...
- Quentin tu l'a dit, tu ne peux pas le reprendre.
On rigole 5 minutes, puis il reprend son coté sérieux.
- Tu l'aimes cette fille ?
- Je ne sais pas, je ne crois pas pourquoi c'est juste comme ça.
- Comme ça, c'est tout.
Il a repris un sourire et paraît avoir bonne mine. Je recommence à me faire des films sur lui comme avant. Mais faut vraiment que je me calme, il est juste jaloux de ce qui m'arrive.
- T'es jaloux, c'est ça ?
- N'IMPORTE QUOI TOI !!!!
Il s’énerve d'un coup, je recule pris de frayeur.
- Chwi pas PD MOI- J'ai jamais dit ça, je voulais juste dire que tu étais jaloux parce que j'avais une pure meuf.
- À ok !!
Il me tourne le dos et commence à partir. Je le suis dans le couloir en me changeant, je mets mon t-shirt, puis mes baskets et l'appel.
- Attend Enzo, pourquoi tu croyais que... ?
- TA GUEULE !!!
- Calme toi viens.
J'essaie de l'attraper par le bras, mais il se dégage violemment a tel point que je tombe en arrière sur les fesses.
- Aie.
Il se retourne brutalement et s'approche de moi. Il s’accroupit et se penche vers moi. Enzo me regarde avec peur ou regret, je pense qu'il est choqué de son action en vers moi. Il est au-dessus de moi et se penche encore plus. Nos visages sont proches, très proches. Il se rapproche encore. Nos têtes sont de plus en plus proche de l'une de l'autre. Ces lèvres tremblent un peu, il est à moins de 20 cm de mon visage. Ces lèvres s'entrouvrent, il passe sa langue dessus comme pour les humidifier avant un baisé. Mon cœur bat la chamade, ce mec et juste le fantasme de ma vie. Je bats des cils et je suis super excité. Il s'approche encore plus et ses lèvres s'ouvrent....
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