Chapitre 7 : La première double-pénétration de Marie

- Par l'auteur HDS Plaisirsexbi -
Auteur couple.
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Récit libertin : Chapitre 7 : La première double-pénétration de Marie Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2020 dans la catégorie Plus on est
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Chapitre 7 : La première double-pénétration de Marie
Nous sommes déjà au chapitre 7, vous vous souvenez de la fin du chapitre 6, où Marie était tentée pour son jour anniversaire de le « vivre » en compagnie de Denis et de moi-même, bien sûr.
Donc, la semaine suivante, après notre « rencontre coquine » du samedi avec Denis, Marie a pu se libérer pour le 10 et 11 juin, elle a très envie de rejoindre Denis, et cela me surprend vraiment. Ma petite chérie va avoir 32 ans, Denis lui, aura 53 ans en septembre, et cela ne gêne plus Marie.
En ce qui me concerne, c’est très compliqué pour moi de m’absenter à cette période de l’année, j’ai moins de latitude que Marie pour les absences.
Je constate que Marie est vraiment déçue, mais cela n’altère en rien son appétit sexuel, chaque soir j’ai la chance d’avoir un « festival ».
Elle me demande de voir avec ma direction, elle a bien compris que mon PDG, n’est pas insensible à sa beauté, à ses formes, à la blondeur de ses cheveux et à la couleur bleu océan de ses yeux.
- Éric, voyons, dis à François (mon PDG), que c’est mon anniversaire et que c’est moi qui organise un séjour surprise en Bretagne…- Non, Marie, nous devons être raisonnable, il ne faut pas que le sexe soit prioritaire par rapport au boulot…- C’est toi, qui me dit ça, t’es pas gêné, cela fait plus deux ans que tu souhaites avoir une relation avec un mec, j’ai accepté…Tu as voulu que je le rencontre, je l’ai rencontré, et après, tu as bien voulu que je baise avec lui, non…Maintenant tu prends du plaisir à me voir baiser avec lui, oui ou non… Alors maintenant tu te débrouilles comme tu veux, mais je vais aller en Bretagne avec Denis, avec ou sans toi.
Je suis très surpris par sa déclaration, même un peu inquiet, je suis peut être allé trop loin. Donc, finalement François a accepté pour faire plaisir à Marie, en m’ordonnant de bien lui dire. Nous avons rendez-vous avec Denis, le lundi matin, dans une de ses imprimeries, plus précisément, celle de Lisieux.
Marie a pris soin de sa petite personne, elle est passée chez l’esthéticienne pour une épilation maillot « bikini », sa petite toison est sublime. Elle porte les derniers sous-vêtements de Denis, string et soutien-gorge en dentelle de Calais et soie, c’est magnifique, le soutien-gorge pigeonnant met bien en valeur la belle poitrine de ma douce…Elle met du temps à faire sa valise, et passe une petite robe légère à volants avec de fines bretelles, très décolletée devant et derrière, la couleur rouge de sa robe mettant en valeur la blondeur de ses cheveux. Avec cette tenue, elle va faire des ravages, sachant que cette petite robe est légèrement transparente laissant apparaitre la fine dentelle de Calais de son string. J’adore mon épouse…Nous déposons notre fils chez belle-maman, qui ne peut s’empêcher de me demander si cela ne me dérange pas de montrer ma femme dans cette tenue, qu’elle ne cache rien.
- Je ne sais pas où vous allez, mais franchement c’est indécent ma fille, c’est toi Éric qui demande à Marie de s’habiller comme une…- Non, Maman, ce n’est pas Éric, c’est moi, j’adore être désirable, ça te va ?
- Ah, non, heureusement que ta sœur n’est pas comme toi, car je me poserais des questions sur mon éducation !!!
Pauvre femme, si elle savait que nous allons rejoindre « mon » amant qui est devenu celui de sa fille et que j’éprouve de la jouissance à la voir jouir dans ses bras.
Nous arrivons à l’imprimerie, nous rejoignons Denis à son bureau à l’étage en compagnie de son assistante, la petite robe rouge de Marie ne passe pas inaperçue en bas dans l’atelier, la robe est bien courte, et nous sommes à l’étage sur une sorte de mezzanine, donc la vue du bas doit être intéressante.
A voir le regard de Denis, notre quinquagénaire est ébloui et reste un moment sans rien dire.
- Ouhaaaaa !!! Marie, tu es…- Je te plais Denis ? En tournoyant sur elle-même.
- Tu es splendide, je n’ai pas d’autre mot, et je distingue ton petit string, c’est mon dernier cadeau ?
- Oui, tu veux voir ? Et Marie, déjà bien excitée, relève sa petite robe rouge pour lui faire découvrir ses jolies petites fesses bien rondes et fermes misent en valeur par la dentelle de Calais.
Malgré mes recommandations, ils ne peuvent s’empêcher de s’embrasser, Denis profitant largement de la situation pour bien caresser les fesses de ma femme, en fait il lui parcourt son corps.
- Comme tu es belle « ma chérie », qu’elle chance j’ai de vous avoir rencontré !!! Lance Denis.
Denis, se reprend un peu, et nous quittons le bureau, sous le regard d’une vingtaine d’hommes occupés sur les machines d’imprimerie, mais bien distrait au passage de Marie.
Denis ouvre un hangar, me demande de stationner ma voiture à l’intérieur, et nous découvrons un splendide cabriolet BMW 635 CSI, à l’époque cette voiture était extraordinaire. Denis est amateur de voiture, et dans ce hangar, il possède un grand nombre de beaux véhicules.
- Alors Marie, c’est toi qui pilote ?
- Pourquoi pas, j’adore conduire, tu sais Denis.
Nous partons tous les trois, Marie est installée au volant, la forme des sièges n’est pas adaptée à la petite robe courte de Marie qui laisse apparaitre le peu de dentelle blanche de son string, Denis me demande de monter à l’arrière, mais avec mes grandes jambes, c’est peu confortable, je m’installe en travers, découvrant bien les cuisses de ma douce, de temps en temps caressées par la main gauche experte de Denis qui ne se prive de rien, Marie ne dit rien, elle apprécie la conduite de cette belle voiture, le six cylindre distille une sonorité envoutante, certainement aussi envoutante que la main de Denis qui s’égare dans son string.
Je suis derrière, j’observe, je suis dans un état d’excitation maximal, ma femme Marie se laisse caresser devant moi, elle semble plutôt apprécier, je ne peux m’empêcher de penser à sa mère, Marie conduit bien, elle prend vite en main la 635, elle est habituée à notre série 3, elle va vite, très vite, mais Denis ne dit rien, il est tout à son plaisir de caresser le « bijou » de Marie qui doit déjà être bien trempé.
Denis profite vraiment, il la caresse partout, il profite de ma jeune femme offerte. Denis a prévu que nous nous arrêtions à Dinan, cela fait 2h30 qu’il caresse Marie quand nous arrivons au restaurant de Dinan.
Nous échangeons des regards complices avec Marie, qui est radieuse, encore plus coquine que d’habitude, elle me dit qu’elle va passer aux toilettes pour se refaire une beauté, en fait c’est une petite toilette intime qui est nécessaire, car Marie déjà fort excitée, mouille à souhait. Elle revient le petit string dans son sac, elle me confie l’information pendant que Denis est lui-même aux toilettes.
Repas rapide, et direction Trébeurden, Denis me confie le volant, Marie est devant, la petite robe à volants bien remontée, laissant apparaitre sa nouvelle coupe « bikini » de sa toison, le vent s’engouffre dans notre cabriolet faisant virevolter ses petits volants et découvrant ma belle totalement. Denis à l’arrière fait une petite sieste, Denis apprécie la sieste. Nous arrivons au Manoir de « Lan Kérellec », Denis avait raison, c’est un endroit sublime et en ce 10 juin, nous avons un temps magnifique en Bretagne. L’arrivée et l’accueil nous provoque à Marie et moi, un peu de gêne, car Denis a réservé une chambre de luxe avec terrasse privée, une très grande salle de bains et douche et un grand lit « King size ». Mais la personne chargée de l’accueil s’excuse.
- Je suis désolée, Monsieur, nous pouvons mettre à disposition un lit supplémentaire, nous avons dû faire une erreur lors de votre réservation.
- Non, Merci Madame… Lui répond sèchement Denis.
- Oui, mais le canapé du salon, n’est pas convertible, nous avons une suite parentale disponible, si vous le souhaitez, Monsieur. (Cette personne pensait bien faire)- Non, Madame, ce n’est pas nécessaire, nous avons besoin d’un lit pour nous trois, simplement. Lui lâche Denis agacé et un peu provocateur.
La jeune femme plutôt très classique, elle aurait pu plaire à « belle maman catho », nous à dévisagé avec un regard circulaire, et surtout Marie dans sa petite robe rouge qu’elle ne quittait plus des yeux se demandant avec une telle différence d’âge ce que nous pouvions faire ensemble. La pauvre, elle avait un gros point d’interrogation sur la tête…Nous avons suivi, notre « bigote » pour la présentation de notre suite, suivie d’un bagagiste qui portait nos valises, Marie ne portait plus son string et laissait deviner ses jolies fesses…- Bonne après-midi, Madame, Messieurs. Lâcha la « bigote » en regardant fixement Marie.
Après le départ du personnel de l’hôtel et notre installation terminée, j’ai eu une petite surprise.
- Chérie, nous avons décidé Denis et moi, que cet après-midi ce serait ta fête, et ce soir nous fêterons mon anniversaire comme vous le voudrez. Lança Marie coquine.
Denis et Marie s’étaient mis d’accord sur le scénario, au restaurant à Dinan.
Donc passage par la salle de bains pour tout le monde, et lavage intégral demandé par Marie. Puis de retour dans la chambre, Marie me bande les yeux, me demande de m’allonger sur le lit, et commence à me sucer, pendant ce temps, Denis me caresse doucement et délicatement les couilles…Puis on frappe à la porte, ce doit être le champagne commandé, Denis passe un peignoir rapidement, et reçoit la « bigote » avec le précieux « carburant » pour Marie.
Pendant ce temps, Marie continue de me sucer, Denis plaisante sur la « bigote » qui a dû, nous apercevoir bien occupés sur lit, en rentrant le petit chariot dans le salon. Denis reprend sa place, me caresse de nouveau mes « roupettes », puis Denis et Marie se taquinent pour me pomper ma délicieuse bite, ils se battent littéralement pour jouer avec ma bite dans leurs bouches.
Je me rends compte de qui me suce ! Un homme ne fait pas comme une femme, et la différence se ressent encore plus dans les caresses manuelles. Quand un mec branle, c’est plus fort, plus ferme, plus rapide.
Denis est déchainé sur ma bite, il me malaxe les couilles, effleure mon anus d’un doigt, je suis offert, abandonné, je gémis, la tête renversée en arrière.
- Je vous contemple mes Chéris, vous êtes beaux. Lance Marie.
Elle me retire mon bandeau, Marie se touche le clito en nous regardant Denis et moi, je caresse la tête de Denis qui me suce toujours.
- Moi, voire deux hommes baiser ensemble à côté de moi, ça m’excite gravement !!! Lance encore Marie.
Denis me fait relever les cuisses, Marie en profite et se faufile entre Denis et moi pour me lécher les couilles et pointer sa langue dans mon cul.
- J’adore… Lance encore Marie, vraiment très, très excitée.
Il est bien évident que je ne suis pas indifférent à ce genre de caresse, Denis me suce toujours, Marie est accroupie au-dessus de mon visage, m’offrant sa chatte et son cul que j’ai dévoré sans me priver… Je sentais couler « sa mouille » dans ma bouche. Elle s’est masturbée au-dessus de mon visage, j’adore ce spectacle. Denis a arrêté de sucer ma bite et mon cul, il a présenté sa queue à ma bouche. J’ai gobé goulûment la bite offerte…A force de voir ses deux hommes se pomper ainsi, Marie commence vraiment à ne plus en pouvoir.
- J’en veux une en moi, j’ai envie d’être prise les garçons. Pourquoi pas deux queues, d’ailleurs ? Déclare Marie.
Nous avons été très surpris Denis et moi par cette déclaration, et nous arrêtons nos « jeux » de garçons immédiatement.
- Tu es sure Marie, ce devait être ma fête, je crois, donc c’est aussi ta fête ?
- J’ai un peu d’appréhension, mais j’en ai vraiment très envie, vous savez !!! Je n’ai encore jamais connu de double pénétration, Éric, depuis le temps que tu m’embête avec cela. Me répond Marie.
En me répondant, Marie s’empale sur Denis, et moi je commence à forer son anus de mon index. Petit à petit, elle s’est ouverte. Elle est détendue, elle chevauche toujours Denis, un deuxième doigt rejoint l’autre. Marie réagit et se sent déjà doublement pénétrée. Mais, elle veut une queue, une vraie bite qui lui remplisse le cul !
Je lui tartine la rondelle de lubrifiant et je m’enfonce sans ménagement. Il faut dire que Marie est plutôt bien ouverte et habituée aux sodomies ! Nous commençons à nous activer comme si nous avions toujours fait ça, en rythme, dans un mouvement harmonieux. Marie ne crie plus, elle hurle en chantant, de plus en plus fort. Sans rien dire, simplement en étant attentifs aux mouvements et aux vibrations de nos corps, nous avons joui tous les trois. C’était une première pour nous trois, ce fut un grand moment d’entendre Marie hurler de plaisir comme cela, je pense que l’entourage a du profiter du concert, car les fenêtres étaient ouvertes.
Nous avons débouché une deuxième bouteille de champagne pour trinquer à cette première double pénétration de Marie qui deviendra finalement « sa position favorite », comme quoi, l’éducation religieuse reçue par Marie à porter ses fruits.
Nous avons tous pris une douche, nous sommes descendus pour une balade en bord de mer, en passant par l’accueil remettre la clé de la suite.
- Ça va, tout se passe bien ? Madame, Messieurs. Nous demande la « bigote » avec un petit air narquois.
Nous avons fait une randonnée en bord de mer, Marie le sourire aux lèvres et les orifices exaucés, Denis semble guilleret et en ce qui me concerne épanoui et heureux d’avoir une épouse coquine et « libertine ». Elle appréciait le sexe avant, mais c’est le début de son « hypersexualité », liée à la rencontre avec Denis, mais cela est une autre histoire.
Pour la suite de notre séjour en Bretagne, vous devez patienter et attendre le Chapitre 8.

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