Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 7

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 7
Chantal ne peut distinguer les visages des spectateurs assis dans des fauteuils autour de ce qui lui fait penser à la scène d’un théâtre érotique. Des sentiments multiples se bousculent toujours dans sa raison, liés à l’éveil de sa libido. Tiraillée en abandon et blocage, pute ou bourgeoise respectable.
Sa position sur ce tabouret fait naitre en elle un sentiment de frustration. Elle est excitée bien sûr, mais elle souhaite sentir des mains sur elle. Des mains qui la fouillent, qui caressent, qui pétrissent. Elle veut sentir le souffle chaud d’hommes excités comme elle. Excités par l’envie de la posséder, la dominer et la faire jouir. Pressés de la prendre, sans aucune considération, la souiller.
Au lieu de ça, elle est là en vitrine, exposée purement et simplement. Une voix grave s’élève soudain de ce qui peut être considéré comme la salle de spectacle.
- Dis donc Louis, on peut savoir qui est cette beauté ?
- C’est une bonne bourgeoise, mariée et que certains ici pourraient reconnaître. Aussi je lui ai posé ce masque vénitien pour conserver son anonymat. Son mari, à cours d’idée est à la recherche de fantasmes pour assouvir sa propre libido défaillante. Il m’a raconté qu’à l’issue d’une soirée qu’il avait souhaitée chaude, elle n’avait pas voulu satisfaire ses désirs. De plus ces situations d’exhibition « classiques » ne lui procurent plus, à lui, aucun plaisir. Il a décidé de me la confier pour que je puisse lui inventer des situations nouvelles aptes à le satisfaire. Cette femme est chaude mais bloquée par une éducation trop stricte.
Le son d’une autre voix s’élève.
- Et son mari est au courant ?
- Oui et non. Il ne sait rien de cette soirée à laquelle je ne l’ai pas convié.
Chantal est de plus en plus mal à l’aise sur son tabouret. Ces mots qu’elle entend, la déshabillent dans son âme, lui fouille son identité. C’est encore plus avilissant que de l’effeuiller, petit à petit. Elle est rassurée de savoir que son mari n’est pas là. Enfin, elle veut bien se laisser aller à le croire.
- Louis demandez donc à cette jeune femme qu’elle nous raconte dans le détail cette fameuse soirée à l’origine de la réaction de son cocu de mari.
Chantal sent le rouge et la chaleur envahir ses joues. Le sang bat ses tempes et elle a même peur de tomber du tabouret. Cette méprise à son égard qui consiste à s’adresser à elle de manière indirecte, lui parait le comble de l’indifférence à son égard. Ces hommes ne la considèrent pas plus qu’un objet sans âme. Elle balance à ce moment entre colère et indignation. En même temps elle ne peut nier que ça l’excite.
- Chantal, obéissez ! Racontez cette soirée. Quand je vous ai rencontrée la première fois, votre comportement montrait combien votre pudibonderie est importante. Vous ne cessiez de tirer sur votre mini jupe pour cacher à mon regard vos cuisses gainées de bas noirs. Comme en êtes-vous arrivée à venir ici habillée de cette manière, sans équivoque, le contraire du comportement de l’autre jour chez mon beau fils ? Et puis, racontez comment votre époux en est arrivé à vous louer pour alimenter ses fantasmes.
La jeune femme reste silencieuse quelques secondes. Louis insiste.
- Ce soir là il avait décidé de rejoindre un couple d’amis dans un club libertin. Je n’aime pas ces personnes. Le mari ne cesse de poser sur moi un regard libidineux. Sa femme également.
Elle marque une pause. Sa voix est faible, hésitante. Les mots lui viennent difficilement trahissant son trouble. Elle a bien conscience que cet état de panique doit exciter les vicieux qui sont en train de la mater dans l’attente de la baiser. Elle a la bouche sèche. Louis qui s’en rend compte lui tend un verre d’eau qu’elle boit d’un coup sec.
- De l’eau, Louis ? Vous lui faites boire de l’eau ? Allons, soyons sérieux, cette dame espère un verre d’une boisson plus amène. Offrez-lui donc un verre de votre délicieux cognac.
Chantal hoche la tête pour signifier son refus. Mais sa volonté n’est pas entendue et le beau-père s’empresse de lui tendre un verre bien rempli. Elle hésite un instant puis devant l’insistance de Louis elle porte le breuvage à ses lèvres et en avale une toute petite gorgée. A peine ingurgitée, elle sent une bouffée de chaleur lui monter à la tête. C’est bon, elle aime ce goût.
- Prenez-en une autre gorgée murmure une voix partie de l’assemblée.
Elle hésite mais elle se sent bien. Alors lentement elle porte le verre à ses lèvres et en absorbe maintenant une quantité plus importante. Cette fois encore une bouffée de chaleur lui monte à la tête, partie de son ventre. Elle a chaud, très chaud. En même temps elle sent qu’elle commence à mouiller entre ses cuisses. La panique s’empare d’elle car elle sait qu’on peut voir aisément son entre-jambe haut-perchée sur ce tabouret de bar.
Elle s’arrête de respirer. Elle a l’impression que son cœur bat tellement fort qu’on peut l’entendre à cent mètres à la ronde. Elle est tétanisée. Et toujours cette boule dans l’estomac et sa respiration qu’elle ne contrôle plus.
- Continuez Chantal lui murmure Louis en reprenant le verre.
Après un court instant elle reprend.
- Arrivés au club, nos vêtements au vestiaire, nous rejoignons les amis qui ont pris place autour d’une table près de la piste de danse. Ils ont ouvert une bouteille de champagne et tout de suite on m’en propose une coupe. Je vois bien ce qu’ils espèrent obtenir en me faisant boire. Mais je l’ai dit je ne les aime pas et l’endroit non plus.
Elle s’interrompt, baisse les yeux sur ses pieds comme une petite fille qui vient de faire une bêtise. En fait, elle est à la recherche de souvenirs de cette soirée.
- Comment étiez-vous habillée ?
- Mon mari avait souhaité que je porte une jupe portefeuille plissée. Pour le haut une chemise d’homme, trop grande, les manches retroussées et nouée au niveau de la taille.
Dans le salon les hommes devinent facilement que la chemise devait largement bailler et offrir à la ronde la vue de ses seins qu’ils imaginent libres de la jeune femme.
- Des dessous ? Demanda une autre voix.
Elle reste muette quelques secondes. La honte à donner ces détails la fait souffrir, c’est évident. Elle finit par dire, d’une voix à peine audible et tremblotante :
- Non, aucun.
- Continuez madame.
Cette formulation polie la surprend un peu. Elle ne sait pas faire la part de la sincérité ou de l’hypocrisie. Peu lui importe d’ailleurs. Elle a envie maintenant de se laisser prendre au jeu. Ça l’excite de plus en plus de se mettre nue en restant habillée.
- C’est la femme qui m’a invitée à danser. Nous étions les seules sur la piste. Elle m’enlaça sans aucune vergogne sans même s’inquiéter si cela me plaisait ou non. Elle a posé une main sur mes fesses et de l’autre elle me caressait le visage et le cou. Je me souviens que je fermais les yeux plus pour ne pas voir ce qui se passait autour de nous que de goûter ses caresses.
- Vous n’éprouviez aucun plaisir ?
Cette voix elle ne l’avait pas encore entendue, mais sa douceur et son accent du midi lui plait immédiatement. Elle n’hésite donc pas à lui répondre.
- Au début non. Mais petit à petit je me sentais envahie par une chaleur au creux du ventre. Je prenais du plaisir et quand elle a présenté ses lèvres devant les miennes, je n’ai rien fait pour échapper au baiser qu’elle m’offrait.
- Vous aviez déjà embrassé une femme ?
C’était la même voix agréable qui posait cette question.
- Non jamais. Et je n’ai jamais envisagé que cela puisse se produire. Je n’ai aucune attirance pour les femmes.
- Continuez.
Chantal en cet instant ne se fait plus prier pour confesser sa soirée.
- Nous nous sommes embrassées avec fougue pendant de longues minutes. Je m’abandonnais et elle devait s’en rendre compte. C’est alors qu’elle a voulu pousser plus loin ses caresses. Elle a relevé le bas de ma jupe derrière. J’ai pensé qu’elle voulait faire plaisir à nos maris en exhibant mes fesses nues. Mais en réalité j’ai senti aussitôt un ventre nu, velu, venir se frotter contre la peau de mes fesses. Un sexe dur et droit est venu se glisser entre mes cuisses. Je me suis retournée et j’ai constaté que c’était son mari qui tentait de me prendre au beau milieu de la piste de danse. C’en était trop pour moi et mes principes d’éducation. Je me suis dégagée pour rejoindre mon époux. Il a manifesté son mécontentement et sa colère à mon encontre. Plein de reproches pour ma pudibonderie. Je me sentais nulle et ridicule. Puis je me suis rendue compte qu’il se caressait sous la table. Cela m’a choquée.
- Vous-êtes vous sentie mouiller à un quelconque moment ce soir là ?
Cette question provenant d’une nouvelle voix la surprend et la décontenance. Il lui faut quelques instants pour se ressaisir.
- Je ne crois. Je ne sais pas.
- Votre mari ne vous a rien demandé lui ?
- Oui, il m’a demandé de faire une fellation à son ami qui était revenu à la table sans se rajuster. Cette fois encore cela a déclenché son courroux et il a décidé que nous devions rentrer.
Chantal fait une pause. Elle espère ainsi en avoir fini avec cet interrogatoire très humiliant.
En effet une forte vois se fait alors entendre qui provient de sa droite.
- Louis, cette jeune bourgeoise, dont tu nous a généreusement montré les appâts en photo est bien habillée non ?
Cette phrase glace le sang de Chantal. Elle avait presque oublié pourquoi elle était là. Elle avait la confirmation que des photos avaient circulé à son insu.
- Mes amis, je vous ai convié ici dans un but précis. Cette jeune personne assise devant vous et dont vous venez d’entendre la confession, sera louée pour un WE entier à celui qui proposera le fantasme le plus original et le plus hard, dans le respect des personnes bien entendu. Le lauréat aura tout loisir de lui demander de réaliser ce fantasme. Elle n’aura d’autre choix que de lui obéir afin de faciliter l’entreprise. Il faudra en retour que ce chanceux, nous apporte les preuves qu’il a bien de son côté rempli ses engagements.
Pas un moment il ne s’adresse à Chantal. Pas un moment il ne se tourne vers elle. Elle a l’impression de ne pas exister, de n’être qu’une icône destinée au seul plaisir de ces vicieux cachés par la violence de cet éclairage qui les masque à sa vue.
Elle se sent au bord des larmes réalisant sa position humiliante. Bien sûr elle est là pour le libertinage, bien entendu elle s’est préparée pour être prise par plusieurs hommes. Mais maintenant qu’elle sent le moment approcher, tout se bouleverse en elle.
Elle pense à ses parents, ses amis, ses collègues des associations caritatives qui la considèrent avec respect et amitié. Elle n’ose pas envisager ce qu’il adviendrait s’il venait à apprendre son comportement en cet instant. Soudain une pensée la traverse : et si un de ses collègues était dans la pièce ? Le masque suffit-il à cacher son identité. Des gouttes de sueur perlent sur son front ! Elle a envie de fuir, de sauter en bas du tabouret et de courir, courir.
Le beau-père la ramène à la réalité en lui présentant le verre de cognac. Sans hésiter elle en boit tout le contenu en une seule fois. Aussitôt cette chaleur si rassurante l’envahit du bas ventre jusqu’au cerveau. Elle n’a plus peur, elle veut jouir.
Et à nouveau elle se laisse basculer vers le stupre et la débauche.
Au fond de la pièce, dissimulé derrière une porte entrouverte, le mari assiste à la mise en location de son épouse. Il bande déjà très dur. La résignation affichée de sa femme est déjà pour lui la réalisation d’un immense fantasme. Son laisser-aller à répondre l’a subjugué, et surtout il a bien remarqué qu’elle présentait des signes évidents d’excitation. On était bien loin de cette femme à la pudeur excessive. Sa femme.
(à suivre)

Les avis des lecteurs

Belle bourgeoise qui se croyait coincée et fidèle, transformée en salope! Je connais cette transformation voulue par un mari candauliste. J'imagine une suite torride!



Texte coquin : Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 7
Histoire sexe : Une rose rouge
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