Chez le gynécologue... - histoire érotique

Je vis avec mon petit ami Alexis depuis plusieurs années. Nos relations sont tout à fait normales, on fait l’amour assez souvent. C’est un bel homme, bien membré et résistant, tout ce que j’aime. Moi je suis davantage passif comme on dit mais je suis très actif pour lui tailler de bonnes pipes. De temps à autre il me sodomise, j’aime bien le sentir en moi. Il est arrivé très exceptionnellement que ce soit moi qui le pénètre, j’aime moins. Nous vivons ainsi depuis plus d’un an, nous sortons ensemble chez des amis ou allons au ciné, théâtre et partons en camping pour les vacances d’été. Je ne l’ai jamais trompé et je crois que c’est réciproque
Vendredi dernier, il arrive du boulot vers 16h et me dit « prends ta douche, mets toi une jolie culotte, je te conduis chez le gynéco pour ta visite annuelle ». Je suis un peu interloqué et lui « ou va-t-on ? » ; « allez, prépare toi vite, le cul bien propre et une culotte à dentelle pour aller à ta visite chez le gynéco ; n’oublie pas ta carte vitale et ton chéquier». Je ne savais pas trop ce qu’il en était mais je vais prendre une douche et m’habille avec un jean bien moulé et un shorty rouge à dentelles.
On quitte l’appartement, on monte en voiture. J’essaie de me renseigner mais la réponse reste vague. On arrive au pied d’un immeuble. Alexis me conduit devant la porte d’un appartement et sonne. La porte s’ouvre. Alexis dit « bonjour docteur, nous avons rendez vous à 18h », le gars nous invite à entrer. C’est pour toi, me dit-il ? « oui, Monsieur » ; il indique à Alexis de s’installer dans le salon pour patienter. J’entre dans la pièce où il me conduit ; c’est une chambre ! le lit est assez haut.
« Déculotte toi et allonge toi sur le lit ». Dans la mesure où c’est Alexis qui m’a conduit ici, je pense que je dois m’exécuter. J’ôte mon pantalon, me retrouve en shorty à dentelles. « allez, la culotte aussi, je vais t’examiner ». J’enlève donc ma petite culotte et m’allonge sur le dos sur le lit. « Le gynéco s’enfile des gants fins transparents, les bombe d’un gel et m’enfonce son majeur dans le cul. Il le remue bien dans tous les sens.
- des relations fréquentes ?
- oui docteur
- c’est bien, il est important de bien graisser ton trou, le sperme est bon pour la santé, n’est ce pas ?
Je m’aperçois que son discours et son majeur dans le cul me font bander.
- Tu as l’air d’aimer ça, ma belle. Il tâte ma queue, la masturbe un peu. Là je suis dur à fond.
- Bon puisque c’est ainsi tourne toi, il me fait pivoter en même temps et me positionne en travers du lit, mon cul en bordure. Il me replie les jambes, défait sa braguette et sort son membre bien droit.
- Non, Alexis ne veut pas, je ne l’ai jamais trompé
- C’est toi qui bandes pendant un examen médical ? Alexis ne sera pas fier de toi s’il le sait !
Pendant ce temps, il avance sa queue devant mon orifice bien lubrifié, je n’ose pas avouer que j’ai bandé comme une vulgaire trainée alors qu’Alexis m’attend dans la pièce à côté. Sa bite se présente à mon orifice et entre facilement sous sa poussée. Il me tient par l’avant des cuisses.
Je me sens possédé, je l’ai dans le cul. Je ne peux plus bouger, ni crier. Si Alexis entrait, il me quitterait surement. Mais pourquoi m’a-t-il conduit ici chez ce gars qui n’est pas plus gynéco que moi. Pendant ce temps, celui qui m’a accueilli avait l’air de prendre son pied par les coups de reins qu’il me prodiguait. J’avoue que je bandais toujours à fond. Ce ne peut pas être désagréable de se faire enculer sans préméditation. Après tout, je ne pouvais rien à la situation qui m’arrivait, je n’avais jamais trompé Alexis, c’est lui qui m’a conduit ici ; souhait-il lui-même ce qui m’arrive. Je me détendais tranquillement et profitais davantage et même pleinement de la situation. Je me faisais défoncer le cul. Au bout d’un moment, le gars en face de moi a pris mon sexe en main. La branlette qu’il m’administre nous fait nous exploser en même temps, il a juste eu le temps de sortir de mon cul pour gicler sur ma queue et sur mon ventre. Les jus se mélangent, il en ramasse avec son index et me fourre son doigt dans ma bouche. Ce mélange de jus est délicieux. Le gynéco prend un gant de toilette qu’il passe sous le robinet du lavabo de la chambre et m’essuie le cul, le sexe et le ventre. Il m’essuie avec une serviette et me dit « rhabille-toi ». Je remets ma culotte et mon futal. Pendant ce temps, il s’assoit devant un bureau et me dit « 50 euros, par chèque ou en espèces ? ». Tout émotionné par ce qui venait de m’arriver, je prends mon chéquier et établis le chèque sans ordre. Je suis raccompagné dans le salon, Alexis bouquine une revue, « alors, docteur, tout va bien ? ». Parfait, répond l’individu mais soyez plus sérieux, une visite par trimestre, n’oubliez pas.
On est rentré à la maison puis on a passé la soirée au cinéma. Je n’ai jamais osé parler de ce qui s’est passé à Alexis et m’interroge toujours. Le soir, après une bonne douche, je l’ai bien sucé car j’étais excité de ma visite chez le gynéco, quand je l’ai senti presque prêt je l’ai allongé sur le dos et me suis empalé sur lui. J’ai très peu bougé et il a explosé. Je bandais très fort et me suis masturbé pour jouir en même temps que lui.