Soumis et corrigé
Récit érotique écrit par Coquin de sort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soumis et corrigé
Depuis longtemps je fantasmais d’une rencontre dans laquelle je serai soumis. Je réponds donc à une annonce d’un site que je consulte de temps à autre. Je me demande toujours qui est l’interlocuteur virtuel, quel est son véritable objectif, je préfère donc toujours quelques échanges par mail, photos et quelques suggestions un peu excitantes. Je prends contact avec un homme de 56 ans qui propose une éducation sévère mais dans le respect de nos accords. Je lui indique mes limites, être soumis et humilié avec des corrections uniquement en fessées et sans aucune autre forme de violences. On se met d’accord sur le samedi après midi où je dois me présenter chez lui.
Le samedi arrive, je me déplace et sonne à la porte de sa maison de village. Il ouvre, m’invite à avancer dans le salon. Je le regarde, il ressemble bien aux photos qu’il m’a envoyés. « baisse les yeux » m’ordonne-t-il. « Fous toi à poils et dépose tes vêtements dans le seau qui est à côté de toi » poursuit-il. Je me déshabille en prenant soin de déposer minutieusement ma chemise par-dessus le seau. « J’ai dit mets tes vêtements DANS le seau, mets ta chemise en boule, elle va rentrer », mince, ma chemise va se froisser mais je ne dis rien et m’exécute. Je me retrouve en boxer et même si je sais ce qui m’attend, je suis venu pour ça, je m’arrête là. « j’ai dit à poils, ta culotte dans le seau aussi » insiste cette voix ferme. J’ôte mon boxer et le dépose donc dans le seau.
L’homme fait le tour de moi, il a une baguette à la main. Il s’en sert pour faire bouger mes couilles quand il est devant moi puis m’ouvre la bouche comme pour regarder mes dents (c’est ce qui se faisait sur le marché des esclaves), ensuite, il se sert de la baguette pour m’écarter les cuisses et me titiller l’entrée de mon cul.
« Vas choisir un instrument de dressage sur la table de la salle à manger ». J’avance donc à poils devant lui et regarde sur cette table. Là sont déposés l’un à côté de l’autre un paddle, un martinet, une cravache, un fouet et une ceinture à boucle. Je choisis donc la cravache et lui apporte. Il continue à me contempler la cravache à la main. Mon sexe prend du volume et il s’en aperçoit. « Salope, tu bandes, t’es une vraie lope, prends toi ça » et là il me donne trois coups de cravache secs sur les fesses. Je savais que ça allait arriver mais j’ai quand même été surpris. « Je sens que tu languis ta correction, trainée que tu es, mets toi à 4 pattes ». Je me mets donc à quatre pattes, il me caresse les fesses et la raie du cul avec la cravache, puis me dit tu vas compter à haute voix à chaque fois que tu prendras un coup de cravache, compris ». Là il m’inflige un premier coup, « 1 », puis deux « 2 » et ainsi de suite. Ça commence à cuire sur mon cul et je gémis de la douleur. A 12 coups, je l’implore d’arrêter. Là, il passe devant moi , baisse la fermeture de son pantalon, sort sa bite déjà bien droite et me dit, « détends toi un peu, suce moi ». Il est évident que dans ma situation, je n’avais pas le choix, d’ailleurs je bande très dur. Je m’applique à lui tailler une bonne pipe. Quand il arrive à son plaisir, il me bloque la tête et me force à avaler son jus bien épais et copieux. Sa queue dégonfle lentement dans ma bouche maintenue par ses mains.
Il m’impose encore un nettoyage de son gland pour pouvoir l’introduire dans son slip. J’avoue que j’apprécie moins le goût du sperme froid.
Il s’assoit dans un fauteuil alors que moi je dois rester droit et à poils devant lui. On bavarde un peu et dans la conversation, je dis que je fantasme quelquefois de me faire humilier devant un témoin. Cette phrase anodine était glissée au milieu d’une conversation sur nos fantasmes ou nos expériences mais lui l’a bien retenue. Il me propose donc d’appeler un pote à lui pour qu’il puisse apprécier que je suis sa chose bien soumise et que je puisse montrer ma fierté à être une merde ou un sous homme. Il m’explique que maintenant quand j’irai chercher mon instrument de correction, je devrais l’apporter dans ma gueule, m’assoir devant mon maître et attendre qu’il le récupère.
Il appelle son pote qui arrive dans le quart d’heure. J’ai été préparé avec un collier et couché dans un grand panier pour chien à son arrivée. Les deux hommes s’installent dans le fauteuil, boivent un café, bavardent comme si je n’existais pas. Je n’ai pas le droit de lever les yeux. Puis mon maître siffle, je me présente devant lui et m’assois. « C’est ton nouveau chien » lui dit son ami. Non c’est une petite chienne, et il illustre son geste en écartant mes fesses avec sa baguette, regarde elle a un trou dit-il, pourtant à ce moment là je bande. Elle est en cours de dressage, vas chercher ton martinet. Je pars donc récupérer le martinet avec ma gueule et le rapporte à mon maître. Il me fait patienter un long moment puis récupère le martinet. Là il se met à m’administrer une bonne correction sur mes fesses encore marquées par les coups de cravache que j’avais pris deux heures auparavant. « Salope, ça te fait bander, prends toi ça ; tu n’es qu’une sous merde ; tu es une lope, profite donc de m’avoir connu et tiens ». Je croyais ma rouste terminée quand il se place devant moi et m’ordonne d’écarter les fesses. Là il me donne des coups de martinet bien séparés l’un de l’autre en visant la raie de mon cul mais les lanières dépassent la raie et mes bourses sont flagellées, ce qui est très douloureux. J’implore mon maître de s’arrêter, son pote est mort de rire en nous regardant. « Bon , je fais finir de te montrer ce que je fais de ma chose ». Là mon maître baisse son pantalon, se met à genoux derrière moi, m’enfonce son doigt enduit de gel quelques minutes toujours sous le regard de cet étranger. Il ne tarde pas à m’enfoncer son gourdin dans le cul en me traitant « t’es un bon vide couilles, je pense qu’elle va nous faire une belle portée de petits chiens » et puis quelques coups plus secs et son gémissement me font comprendre qu’il atteint son plaisir. Il se lève, va à la salle de bains. Moi je suis au milieu du séjour à quatre pattes, avec du jus qui coule de mon cul ; j’ai vraiment l’air con devant son copain. Je voulais être humilié devant public, c’est fait, j’en ai eu pour mon après midi. Mon maitre me demande si ça ne me gêne pas de soulager son ami par une branlette car cela n’était pas prévu. J’accepte, le gars baisse son froc, sa bite est déjà bien raide. Je le masturbe jusqu’à ce qu’une belle giclée apparaisse. Je suis invité à me rhabiller sans être passé à la salle d’eau, je sens encore mon cul souillé mais c’est ainsi que je suis reconduit à la porte. Je remercie mon hôte pour ce moment passé ensemble.
Vous me direz si vous souhaitez que je vous raconte mes nouvelles rencontres.
Le samedi arrive, je me déplace et sonne à la porte de sa maison de village. Il ouvre, m’invite à avancer dans le salon. Je le regarde, il ressemble bien aux photos qu’il m’a envoyés. « baisse les yeux » m’ordonne-t-il. « Fous toi à poils et dépose tes vêtements dans le seau qui est à côté de toi » poursuit-il. Je me déshabille en prenant soin de déposer minutieusement ma chemise par-dessus le seau. « J’ai dit mets tes vêtements DANS le seau, mets ta chemise en boule, elle va rentrer », mince, ma chemise va se froisser mais je ne dis rien et m’exécute. Je me retrouve en boxer et même si je sais ce qui m’attend, je suis venu pour ça, je m’arrête là. « j’ai dit à poils, ta culotte dans le seau aussi » insiste cette voix ferme. J’ôte mon boxer et le dépose donc dans le seau.
L’homme fait le tour de moi, il a une baguette à la main. Il s’en sert pour faire bouger mes couilles quand il est devant moi puis m’ouvre la bouche comme pour regarder mes dents (c’est ce qui se faisait sur le marché des esclaves), ensuite, il se sert de la baguette pour m’écarter les cuisses et me titiller l’entrée de mon cul.
« Vas choisir un instrument de dressage sur la table de la salle à manger ». J’avance donc à poils devant lui et regarde sur cette table. Là sont déposés l’un à côté de l’autre un paddle, un martinet, une cravache, un fouet et une ceinture à boucle. Je choisis donc la cravache et lui apporte. Il continue à me contempler la cravache à la main. Mon sexe prend du volume et il s’en aperçoit. « Salope, tu bandes, t’es une vraie lope, prends toi ça » et là il me donne trois coups de cravache secs sur les fesses. Je savais que ça allait arriver mais j’ai quand même été surpris. « Je sens que tu languis ta correction, trainée que tu es, mets toi à 4 pattes ». Je me mets donc à quatre pattes, il me caresse les fesses et la raie du cul avec la cravache, puis me dit tu vas compter à haute voix à chaque fois que tu prendras un coup de cravache, compris ». Là il m’inflige un premier coup, « 1 », puis deux « 2 » et ainsi de suite. Ça commence à cuire sur mon cul et je gémis de la douleur. A 12 coups, je l’implore d’arrêter. Là, il passe devant moi , baisse la fermeture de son pantalon, sort sa bite déjà bien droite et me dit, « détends toi un peu, suce moi ». Il est évident que dans ma situation, je n’avais pas le choix, d’ailleurs je bande très dur. Je m’applique à lui tailler une bonne pipe. Quand il arrive à son plaisir, il me bloque la tête et me force à avaler son jus bien épais et copieux. Sa queue dégonfle lentement dans ma bouche maintenue par ses mains.
Il m’impose encore un nettoyage de son gland pour pouvoir l’introduire dans son slip. J’avoue que j’apprécie moins le goût du sperme froid.
Il s’assoit dans un fauteuil alors que moi je dois rester droit et à poils devant lui. On bavarde un peu et dans la conversation, je dis que je fantasme quelquefois de me faire humilier devant un témoin. Cette phrase anodine était glissée au milieu d’une conversation sur nos fantasmes ou nos expériences mais lui l’a bien retenue. Il me propose donc d’appeler un pote à lui pour qu’il puisse apprécier que je suis sa chose bien soumise et que je puisse montrer ma fierté à être une merde ou un sous homme. Il m’explique que maintenant quand j’irai chercher mon instrument de correction, je devrais l’apporter dans ma gueule, m’assoir devant mon maître et attendre qu’il le récupère.
Il appelle son pote qui arrive dans le quart d’heure. J’ai été préparé avec un collier et couché dans un grand panier pour chien à son arrivée. Les deux hommes s’installent dans le fauteuil, boivent un café, bavardent comme si je n’existais pas. Je n’ai pas le droit de lever les yeux. Puis mon maître siffle, je me présente devant lui et m’assois. « C’est ton nouveau chien » lui dit son ami. Non c’est une petite chienne, et il illustre son geste en écartant mes fesses avec sa baguette, regarde elle a un trou dit-il, pourtant à ce moment là je bande. Elle est en cours de dressage, vas chercher ton martinet. Je pars donc récupérer le martinet avec ma gueule et le rapporte à mon maître. Il me fait patienter un long moment puis récupère le martinet. Là il se met à m’administrer une bonne correction sur mes fesses encore marquées par les coups de cravache que j’avais pris deux heures auparavant. « Salope, ça te fait bander, prends toi ça ; tu n’es qu’une sous merde ; tu es une lope, profite donc de m’avoir connu et tiens ». Je croyais ma rouste terminée quand il se place devant moi et m’ordonne d’écarter les fesses. Là il me donne des coups de martinet bien séparés l’un de l’autre en visant la raie de mon cul mais les lanières dépassent la raie et mes bourses sont flagellées, ce qui est très douloureux. J’implore mon maître de s’arrêter, son pote est mort de rire en nous regardant. « Bon , je fais finir de te montrer ce que je fais de ma chose ». Là mon maître baisse son pantalon, se met à genoux derrière moi, m’enfonce son doigt enduit de gel quelques minutes toujours sous le regard de cet étranger. Il ne tarde pas à m’enfoncer son gourdin dans le cul en me traitant « t’es un bon vide couilles, je pense qu’elle va nous faire une belle portée de petits chiens » et puis quelques coups plus secs et son gémissement me font comprendre qu’il atteint son plaisir. Il se lève, va à la salle de bains. Moi je suis au milieu du séjour à quatre pattes, avec du jus qui coule de mon cul ; j’ai vraiment l’air con devant son copain. Je voulais être humilié devant public, c’est fait, j’en ai eu pour mon après midi. Mon maitre me demande si ça ne me gêne pas de soulager son ami par une branlette car cela n’était pas prévu. J’accepte, le gars baisse son froc, sa bite est déjà bien raide. Je le masturbe jusqu’à ce qu’une belle giclée apparaisse. Je suis invité à me rhabiller sans être passé à la salle d’eau, je sens encore mon cul souillé mais c’est ainsi que je suis reconduit à la porte. Je remercie mon hôte pour ce moment passé ensemble.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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salut tres belle histoire de soumision j ai kiff