Chez ma copine Françoise (Suite et fin)
Récit érotique écrit par Belinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chez ma copine Françoise (Suite et fin)
Chez ma copine Françoise (Suite et fin)
Les parents de Françoise étaient rentrés depuis quelques jours et mon séjour chez ma copine tirait vers sa fin.
Françoise m’avait parlé de son mec et m’expliqua qu’il aimait les fellations.
Seulement, l’un des ses phantasmes qu’il aimerait réaliser serait une pipe dans une voiture en plein jour avec des passants non loin d’eux.
Françoise m’avoua qu’elle n’avait pas le cran de le faire dans la journée, surtout que H. (son mec), voulait que se soit à proximité de chez elle.
« Je sens que tu vas me demander un service, chérie » lui dis-je.
- Oui et je crois que tu vas aimer. Ça te dit ?
J’imaginais déjà que ça va être une véritable partie de plaisir.
« Une fois que tu lui en parlera, fais moi signe. Tout le monde va aimer même toi. »
- Tu veux que je sois de la partie ? Tu sais très bien que si près de la maison, ce serait trop risqué pour moi...tout le monde connaît mes parents dans le quartier.
« Je pensais plus tôt à autre chose. Demande lui de venir avec une mini caméra numérique, s’il accepte. »
- Ah je comprends, j’aurai le plaisir de vous voir à l’oeuvre après.
« Tu vois juste en effet, à toi de jouer maintenant »
Le soir, alors que nous étions tous à table, elle me fit un signe discret de la tête pour me dire que tout était arrangé.
A 22 heures, toute la maison dormait. Mais jusqu’à 1 heure du matin, je ne trouvais pas encore le sommeil. Françoise elle, avait succombé à Morphée après nos jouissances.
Je sortie de la chambre en silence pour me rendre aux toilettes qui sont dans le couloir. Bien entendu, j’étais nue car je ne risquais pas de rencontrer mes tuteurs à cette heure-ci.
Pourtant en ressortant des toilettes, je croisai subitement le père de Françoise...
Il semblait surpris mais resta sur place. Je me tenais seulement à 5 pas de lui et mes mains couvraient mes seins.
Comme il restait figé, j’entrepris de rentrer me coucher. Mais il fallait le dépasser dans le couloir.
Le temps semblait suspendu. Arrivée à sa hauteur, je ralentie les pas en enlevant mes mains de mes seins puis je m’arrêta.
Il passa ses doigts dans mes cheveux et les descendit aussitôt sur mon sein droit puis sur mes fesses. Je me collai automatique à lui et il m’embrassa en malaxant mes fesses.
Je me demandais le scandale que cela ferait si sa femme sortait dans le couloir.
Il me poussa jusqu’aux toilettes et boucla la porte sur nous. Il sortit son sexe déjà raide de son pyjama et me fit m’asseoir sur la cuvette refermée de l’urinoir. Quand il voulu me mettre son pénis dans la bouche, je fis mine de résister. Il insista en me maintenant la tête de sa main gauche et pressa son gland sur mes lèvres.
J’ouvris alors très lentement la bouche et le laissa s’engloutir en moi.
Je le suçai en lui tenant la bouse. Quelques secondes plus tard, il me retourna et me pénétra.
Il me baisa avec fougue comme si faire l’amour lui avait manqué. Il se retira quelques instants après et éjacula sur mes fesses et mon dos. Il s’essuya, rangea son pénis et me demanda de n’en parler à personne.
« À une condition » murmurai-je.
- Que veux-tu ?
« Suivez moi dans le couloir » répondis-je en le tirant par la main. Une fois dans l’allée, tout près de leur chambre, je sortis son sexe et le pris dans la bouche.
Il voulu arrêté quelques secondes plus tard mais c’était sans compter la dextérité de ma langue.
Il bandait trop fort pour arrêter maintenant...
Je me couchai sur le dos en l’attirant sur moi et il me pénétra de nouveau. Il entreprit des va-et-vient sublime et m’envoya valser avec les étoiles dans le ciel. Je senti son sperme couler en moi cette fois. Il se releva et entra dans sa chambre. Je restai à terre encore une minute puis décidai qu’il était temps pour moi de dormir.
Le matin au petit déjeuner, tout semblait normal. Pourtant Françoise avait l’air tendue.
Une fois ses parents partis et la table débarrassée, je lui demandai si c’était parce que j’allais faire la pipe à son gars qu’elle faisait cette mine.
- Tu sais bien que non. Sinon je ne te l’aurai pas proposée.
« Alors, qu’est ce qui te rend comme cela ce matin ? »
- Fais pas attention, ça me passera. Répondit elle en me laissant seule au salon.
« Sait elle pour la nuit passée ? » pensais-je.
Je la rejoignis dans la cuisine et me colla à elle par derrière pendant qu’elle faisait la vaisselle.
Je lui léchai le lobe des oreilles en remontant son pyjama jusqu'à son bassin.
Elle se laissa faire puis commença à onduler ses hanches. Je fini par la mettre toute nue.
« Je reviens dans une seconde » murmurai-je.
Une fois dans la chambre, je sorti un gadget de mes affaire. C’était un sexe raide en plastique que l’on se porte au tour de la taille. Arrivée au salon, je me déshabillai et enfilai le gadget avant d’entrée dans la cuisine.
Quand Françoise me vit elle ne réussie pas à étouffer son rire.
Puis elle grimpa sur la table de cuisine et écarta les jambes. Je la pénétra comme le font les hommes et la baisa. Puis ce fut son tour de me prendre. On s’échangea les rôles plusieurs fois.
A un moment où c’était moi qui la prenait par derrière, j’attendis qu’elle commence à jouir et lui demanda :
« Pourquoi tu étais si accaparée ce matin ? »
- Je sais pour toi et mon père. Souffla t-elle.
Ma cadence ralentit.
- Non ! Continue. supplia t-elle. Seulement, ma mère ne doit jamais l’apprendre.
Je m’activa derrière elle et sentie qu’elle jouissait pour la huitième fois.
Peu de temps après, assises au salon...
« Comment l’as-tu su ? »
- Tu n’avais pas bien refermé notre porte et...je vous ai vu dans le couloir quand il se retirait de toi pour rentrer dans sa chambre. Tu es restée étendue sur le dos un instant avant de te relever.
« Je ne m’en suis même pas rendue compte...et je suis vraiment désolée pour ton père »
- Ah oui, et pourquoi ? Tu crois qu’il n’a pas pris son pied ?
Elle pouffa et nous donna un fou rire de plusieurs minutes.
Vers 11 heures, on sonna et Françoise alla ouvrir. Elle revint avec H. (son mec).
- Je te présente Bélinda. Dit elle. Bélinda, voici H.
Après les présentations d’usage, Françoise monta chercher des pilles pour la caméra numérique.
A son retour, H. avait sa main sous ma jupe.
- holà...biens pressés vous deux ! Allez, dehors.
Dehors, de l’autre côté de la rue, la voiture de H. était garée au soleil.
Une fois à l’intérieur, il sortit sa bite et activa la caméra.
Il me filmait pendant que je lui taillais une pipe. De temps à autre, on entendait des gens passer tout près sans se douter de ce qui se déroulait dans la voiture.
H. était assit derrière son volant et moi à côté de lui mais suffisamment abaissée pour le sucer.
Un moment, Françoise passa elle aussi près du véhicule et nous mata quelques secondes avant de repartir.
H. se mit à éjaculer. Son sperme coulait doucement sans gicler tandis que je passais rapidement le bout de ma langue sur son gland. Il se rhabilla et me remit la mini-caméra. Cela n’avait duré que 10 minutes au maximum.
Une fois seule, Françoise ne se lassait pas de voir et revoir l’enregistrement.
- C’est un grand souvenir que tu me laisses là Bélinda. Me dit elle la veille de mon retour chez moi.
« Fais attention à ce que ta mère ne tombe pas dessus. » Nous avons rigolé la moitié de la nuit avant de nous endormir.
Le lendemain, je pris congé de mes tuteurs et Françoise m’accompagna à la gare de train.
Pendant qu’elle m’achetait mon ticket, je fis un tour aux toilettes histoire de mettre un accoutrement qui me va mieux : body et mini jupe volante avec en dessous...rien du tout !
Les parents de Françoise étaient rentrés depuis quelques jours et mon séjour chez ma copine tirait vers sa fin.
Françoise m’avait parlé de son mec et m’expliqua qu’il aimait les fellations.
Seulement, l’un des ses phantasmes qu’il aimerait réaliser serait une pipe dans une voiture en plein jour avec des passants non loin d’eux.
Françoise m’avoua qu’elle n’avait pas le cran de le faire dans la journée, surtout que H. (son mec), voulait que se soit à proximité de chez elle.
« Je sens que tu vas me demander un service, chérie » lui dis-je.
- Oui et je crois que tu vas aimer. Ça te dit ?
J’imaginais déjà que ça va être une véritable partie de plaisir.
« Une fois que tu lui en parlera, fais moi signe. Tout le monde va aimer même toi. »
- Tu veux que je sois de la partie ? Tu sais très bien que si près de la maison, ce serait trop risqué pour moi...tout le monde connaît mes parents dans le quartier.
« Je pensais plus tôt à autre chose. Demande lui de venir avec une mini caméra numérique, s’il accepte. »
- Ah je comprends, j’aurai le plaisir de vous voir à l’oeuvre après.
« Tu vois juste en effet, à toi de jouer maintenant »
Le soir, alors que nous étions tous à table, elle me fit un signe discret de la tête pour me dire que tout était arrangé.
A 22 heures, toute la maison dormait. Mais jusqu’à 1 heure du matin, je ne trouvais pas encore le sommeil. Françoise elle, avait succombé à Morphée après nos jouissances.
Je sortie de la chambre en silence pour me rendre aux toilettes qui sont dans le couloir. Bien entendu, j’étais nue car je ne risquais pas de rencontrer mes tuteurs à cette heure-ci.
Pourtant en ressortant des toilettes, je croisai subitement le père de Françoise...
Il semblait surpris mais resta sur place. Je me tenais seulement à 5 pas de lui et mes mains couvraient mes seins.
Comme il restait figé, j’entrepris de rentrer me coucher. Mais il fallait le dépasser dans le couloir.
Le temps semblait suspendu. Arrivée à sa hauteur, je ralentie les pas en enlevant mes mains de mes seins puis je m’arrêta.
Il passa ses doigts dans mes cheveux et les descendit aussitôt sur mon sein droit puis sur mes fesses. Je me collai automatique à lui et il m’embrassa en malaxant mes fesses.
Je me demandais le scandale que cela ferait si sa femme sortait dans le couloir.
Il me poussa jusqu’aux toilettes et boucla la porte sur nous. Il sortit son sexe déjà raide de son pyjama et me fit m’asseoir sur la cuvette refermée de l’urinoir. Quand il voulu me mettre son pénis dans la bouche, je fis mine de résister. Il insista en me maintenant la tête de sa main gauche et pressa son gland sur mes lèvres.
J’ouvris alors très lentement la bouche et le laissa s’engloutir en moi.
Je le suçai en lui tenant la bouse. Quelques secondes plus tard, il me retourna et me pénétra.
Il me baisa avec fougue comme si faire l’amour lui avait manqué. Il se retira quelques instants après et éjacula sur mes fesses et mon dos. Il s’essuya, rangea son pénis et me demanda de n’en parler à personne.
« À une condition » murmurai-je.
- Que veux-tu ?
« Suivez moi dans le couloir » répondis-je en le tirant par la main. Une fois dans l’allée, tout près de leur chambre, je sortis son sexe et le pris dans la bouche.
Il voulu arrêté quelques secondes plus tard mais c’était sans compter la dextérité de ma langue.
Il bandait trop fort pour arrêter maintenant...
Je me couchai sur le dos en l’attirant sur moi et il me pénétra de nouveau. Il entreprit des va-et-vient sublime et m’envoya valser avec les étoiles dans le ciel. Je senti son sperme couler en moi cette fois. Il se releva et entra dans sa chambre. Je restai à terre encore une minute puis décidai qu’il était temps pour moi de dormir.
Le matin au petit déjeuner, tout semblait normal. Pourtant Françoise avait l’air tendue.
Une fois ses parents partis et la table débarrassée, je lui demandai si c’était parce que j’allais faire la pipe à son gars qu’elle faisait cette mine.
- Tu sais bien que non. Sinon je ne te l’aurai pas proposée.
« Alors, qu’est ce qui te rend comme cela ce matin ? »
- Fais pas attention, ça me passera. Répondit elle en me laissant seule au salon.
« Sait elle pour la nuit passée ? » pensais-je.
Je la rejoignis dans la cuisine et me colla à elle par derrière pendant qu’elle faisait la vaisselle.
Je lui léchai le lobe des oreilles en remontant son pyjama jusqu'à son bassin.
Elle se laissa faire puis commença à onduler ses hanches. Je fini par la mettre toute nue.
« Je reviens dans une seconde » murmurai-je.
Une fois dans la chambre, je sorti un gadget de mes affaire. C’était un sexe raide en plastique que l’on se porte au tour de la taille. Arrivée au salon, je me déshabillai et enfilai le gadget avant d’entrée dans la cuisine.
Quand Françoise me vit elle ne réussie pas à étouffer son rire.
Puis elle grimpa sur la table de cuisine et écarta les jambes. Je la pénétra comme le font les hommes et la baisa. Puis ce fut son tour de me prendre. On s’échangea les rôles plusieurs fois.
A un moment où c’était moi qui la prenait par derrière, j’attendis qu’elle commence à jouir et lui demanda :
« Pourquoi tu étais si accaparée ce matin ? »
- Je sais pour toi et mon père. Souffla t-elle.
Ma cadence ralentit.
- Non ! Continue. supplia t-elle. Seulement, ma mère ne doit jamais l’apprendre.
Je m’activa derrière elle et sentie qu’elle jouissait pour la huitième fois.
Peu de temps après, assises au salon...
« Comment l’as-tu su ? »
- Tu n’avais pas bien refermé notre porte et...je vous ai vu dans le couloir quand il se retirait de toi pour rentrer dans sa chambre. Tu es restée étendue sur le dos un instant avant de te relever.
« Je ne m’en suis même pas rendue compte...et je suis vraiment désolée pour ton père »
- Ah oui, et pourquoi ? Tu crois qu’il n’a pas pris son pied ?
Elle pouffa et nous donna un fou rire de plusieurs minutes.
Vers 11 heures, on sonna et Françoise alla ouvrir. Elle revint avec H. (son mec).
- Je te présente Bélinda. Dit elle. Bélinda, voici H.
Après les présentations d’usage, Françoise monta chercher des pilles pour la caméra numérique.
A son retour, H. avait sa main sous ma jupe.
- holà...biens pressés vous deux ! Allez, dehors.
Dehors, de l’autre côté de la rue, la voiture de H. était garée au soleil.
Une fois à l’intérieur, il sortit sa bite et activa la caméra.
Il me filmait pendant que je lui taillais une pipe. De temps à autre, on entendait des gens passer tout près sans se douter de ce qui se déroulait dans la voiture.
H. était assit derrière son volant et moi à côté de lui mais suffisamment abaissée pour le sucer.
Un moment, Françoise passa elle aussi près du véhicule et nous mata quelques secondes avant de repartir.
H. se mit à éjaculer. Son sperme coulait doucement sans gicler tandis que je passais rapidement le bout de ma langue sur son gland. Il se rhabilla et me remit la mini-caméra. Cela n’avait duré que 10 minutes au maximum.
Une fois seule, Françoise ne se lassait pas de voir et revoir l’enregistrement.
- C’est un grand souvenir que tu me laisses là Bélinda. Me dit elle la veille de mon retour chez moi.
« Fais attention à ce que ta mère ne tombe pas dessus. » Nous avons rigolé la moitié de la nuit avant de nous endormir.
Le lendemain, je pris congé de mes tuteurs et Françoise m’accompagna à la gare de train.
Pendant qu’elle m’achetait mon ticket, je fis un tour aux toilettes histoire de mettre un accoutrement qui me va mieux : body et mini jupe volante avec en dessous...rien du tout !
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