Quel mois de Novembre !!!
Récit érotique écrit par Belinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2010 dans la catégorie Plus on est
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Quel mois de Novembre !!!
J’ai rencontré au début du mois de Novembre dernier, une ancienne camarade de lycée.
A l’époque nous n’étions pas tout à fait des amies, mais nous avons eu le même groupe d’exposé, deux fois en classe de seconde et une fois en terminale.
Elle m’a tout de suite reconnue et est venue vers moi pour me faire l’accolade. Nous avons bavardé environs deux minutes sans que je parvienne à savoir d’où je la connaissais et c’est quand elle a cité des noms qui me rappelaient notre école que des souvenirs d’elle me sont revenus.
C’était une fille plus tôt maigre et sans intérêt pour la majorité des garçons de l’école (ce qui la boostait certainement à la boss…).
Mais là, elle a pris quelques kilos qui lui vont très bien et ses courbes sont parfaites surtout avec cette robe qui la moulait jusqu’aux genoux.
Nous avons échangé nos numéros puis on s’est revue deux ou trois fois après pour partager le goûter. Curieusement, ses causeries déviaient à chaque fois sans aucune gêne vers les garçons et la baise qu’elle disait beaucoup aimer.
Cela me ravissait au plus au point et nous avons commencé à nous appeler plus souvent.
On passait près d’une heure chaque nuit au téléphone à parler de choses coquines du genre comment on aimerait que les mecs nous fassent l’amour ou comment s’est passé notre dernière baise.
Une nuit alors que je venais de me mettre au lit après une bonne douche fraîche, mon téléphone vibra à mon chevet.
Je ne fus pas surprise de voir son numéro mais en guise de réponse à mon habituel « aloooooo », ce furent des gémissements que j’entendis…
J’ai d’abord cru qu’elle voulait me faire rire quand j’entendis par la suite des :
« Vas-y mon coeur, baise moi plus vite », « oui, oui, tu baises si bien ».
Puis ce fut autour d’une voix d’homme de dire :
« Tes rondeurs m’excitent trop chérie, je tiendrai pas longtemps »…
On lui faisait l’amour et j’entendais tout !
J’ai alors déduit que son cellulaire devait être resté sur le lit et que pendant leurs ébats ils avaient dû lancer accidentellement mon numéro.
Je ne pouvais pas raccrocher tellement cela m’excitait !
J’ai écouté sans faire de bruit jusqu’à ce j’entende :
« Je tiens plus, je vais éjaculer » et « oui, vas-y jouis en moi…rempli moi de ton sperme »
Quelques secondes plus tard, craignant qu’ils s’aperçoivent que quelqu’un aurait pu les entendre, je coupais la communication.
J’étais toute retournée par ce que je venais d’entendre et j’avais envie d’avoir un mec là entre mes jambes. Je fus tirée de mes rêveries environs une demi-heure après, par des vibrations…mon cellulaire clignotait dans le noir.
C’était encore elle… je ne savais pas trop quoi faire mais me résignai à prendre la communication.
« Allo ? » fis-je.
- Tu as aimé ? demanda t-elle d’un coup mais d’une voix suave.
Je marquais quelques secondes de silence avant de répondre
« Tu l’as fais exprès ? »
- Oui, tu as aimé ?
« C’était surprenant. »
- Tu fuis la question ?
« Non, pas du tout…c’était surprenant et très excitant, j’ai beaucoup aimé »
- Tu me feras écouter à ton tour un jour ?
« Oui et je crois que même que je pourrais plus m’en passer »
Puis, je lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis le début de notre conversation :
« Il était au courant ton mec ? »
- Non, il s’en est pas rendu compte… c’est ce qui me rendait encore plus folle !
« On va s’entendre encore plus toi et moi parce que j’adore les situations comme ça moi aussi »
- C’est parfait…passe une bonne nuit ! dit elle avant de raccrocher.
Le lendemain ce fut encore elle qui m’appela à midi pour qu’on déjeune en semble dans un restaurant pas très loin de son job.
Elle portait encore une robe moulante mais qui cette fois-ci s’arrêtait juste à 10 cm du ras de ses fesses. Avant qu’on ne s’asseye, elle me murmura :
« Aujourd’hui j’ai fais comme toi…je ne porte aucun sous corps »
Nous nous sommes installées côte à côte et avons commandé.
C’est quand la serveuse revint avec nos plats que je remarquais un type assis à la table d’en face lorgner sous notre table.
J’attirais secrètement l’attention de véronique.
« Et si on lui en donnait pour son courage ? » me dit-elle sans lever la tête.
- ça marche pour moi, et on fait comme si on ne s’aperçoit de rien. Ajoutais-je pour renchérir.
Nous avons commencé à déguster les plats et j’ai légèrement écarté les cuisses, véronique était entrain sûrement de faire la même chose.
Je portais une jupe volante sans rien en dessous et les mouvements réguliers que je donnais à mes cuisses montraient à coup sur mon triangle par intermittence.
Chaque fois que je levais furtivement les yeux vers notre voyeur, je le surprenais regardant avidement sous notre table (assez haute pour que l’observateur de fortune ne fasse pas de grands efforts).
A ses tortillements je comprenais qu’il ne tenait plus dans son pantalon surtout qu’il avait depuis longtemps vu que nous ne portions rien d’autres sous nos vêtements que notre peau.
Il prit son temps pour finir son repas et évidemment, nous finîmes avant lui.
En sortant du restau, nous sommes passées très près du mec en traînant les pas. J’ai même marqué une pose juste à sa droite l’effleurant presque de mes fesses, faisant mine de chercher quelque chose dans mon sac à main. Si près de lui, nue sous ma jupe et sachant qu’il avait vu mon entre-jambe, fit monter le plaisir dans tout mon corps.
Mais il fallait partir et je rejoignis véronique dehors avant que chacune ne retourne au boulot.
Il n’eut que quatre patients toute l’après midi et quand 17 heures sonnèrent, mon chef m’envoya faire des photocopies non loin de la maternité. Plus de trois-cent feuilles en tout.
Le jeune homme prit les feuilles et lança les copies. Mais je remarquais qu’il était trop concentré devant de son ordinateur pendant que sa photocopieuse travaillait.
« Vous regardez quelque chose d’intéressant ? » Demandais-je en m’approchant de lui.
Il n’eut pas le temps de cacher ce qu’il regardait. C’était un film adulte qui montrait une femme se faisant prendre par trois hommes.
« Intéressant en effet ! » M’exclamais-je en fixant l’écran.
J’étais très près de lui et un moment passa sans que personne ne prononça un mot, jusqu’au moment où deux des hommes à l’écran se mirent à éjaculer abondamment sur le corps de la femme :
« C’est l’une de mes parties préférées dans les films pornos » Dis-je.
Il leva la tête vers moi et répondit :
- ah bon ? Et c’est quoi les autres parties ?
« J’aime bien aussi les éjaculations buccales »
Il aventura sa main sur mes fesses et je laissai faire. Nous n’étions que deux dans sa baraque. Mais sa porte était vitrée et les passants dehors pouvaient voir à l’intérieur sans compter ceux qui pouvaient entrer subitement.
Cela m’excita encore plus et je retroussais ma blouse de travail, découvrant mes fesses nues.
Il passa ses mains entre mes cuisses et remonta jusqu’à ma vulve. Quand il senti que je mouillais déjà, il se leva et sorti un préservatif qu’il enfila.
Je me penchais en avant en tenant sa table et il passa derrière moi pour me pénétrer.
Je crois qu’il avait complètement oublié qu’on pouvait nous voir mais moi ça m’excitait.
Il me baisa avec fougue pendant un moment puis me dit qu’il allait éjaculer.
« Sur mes fesses, sur mes fesses ! » lui criais-je.
Il se retira et enleva son préservatif puis se branla quelques secondes avant de se répandre sur mon postérieur qui ondulait de plaisir.
Quand il fini, je senti son pénis gluant se présenter encore à l’entrée de mon vagin.
Je me cambrais d’avantage et reculais vers son membre…
Il s’enfonça en moi lentement et resta figé quand je senti ses poils pubiens sur mes fesses. Il reprit ses vas et vient et éjacula encore, cette fois ci en moi, m’arrachant ma deuxième jouissance.
Il se retira, essuya mes fesses avant de ranger son sexe. Je me rajustais et lui fit remarquer que la photocopieuse s’était arrêtée.
- Oui, les copies sont terminées. Répondit-il.
Je sorti après avoir payé.
De retour à la maternité, je trouvais le médecin de garde pour la nuit déjà sur place. Comme il s’entretenait avec son collègue dans la salle d’urgence, je déposais les documents et alla m’apprêter pour la fin de mon service.
Dans la salle où j’avais laissé mes vêtements, je trouvais un des stagiaires qui cherchait je ne trop quoi.
Il répondit à mon salut sans se détourner. J’enlevai ma blouse de travail pour me changer et bien évidemment, je me retrouvai toute nue. C’est à ce moment je crois, qu’il se tourna vers moi.
Il émit un sifflement approbateur et quand je levai la tête, je le vis regardant avidement mon postérieur.
- Ce n’est qu’en même pas des fesses que tu n’as jamais vu, mon chou ! Lui dis-je, alors que j’étais toujours à poil.
- En fait, c’est les tiennes que je n’ai jamais vu d’aussi près et dans… le plus simple appareil !
Je m’approchai de lui, la pointe de mes seins dressée. Il n’y avait plus que 5 centimètres entre nous et il s’inquiéta que la porte ne soit pas fermée à clé.
- C’est ce qu’il y a de plus excitant ! Lui soufflais-je.
Comme il ne broncha pas, je m’accroupi devant lui et tirai sur la fermeture éclaire de son pantalon.
Je sorti son membre qui entra dans ma bouche. Une fellation qu’il n’oubliera pas de si tôt !
Il était tellement excité qu’il ne résista pas plus d’une minute et se mit à inonder ma bouche de sperme. Il éjacula longtemps et je ne réussi pas à avaler tout son jus qui bientôt coula sur ma poitrine et mes seins.
Son sexe gardait toujours une rigidité extraordinaire. Aussi, passai-je à la phase supérieure en me couchant sur le dos. Il me suivit dans mon élan et vint se planter entre mes cuisses écartées.
Il me baisa un moment puis s’arrêta pour descendre encore son pantalon et son slip jusqu’aux genoux, avant de recommencer ses va et vient.
Comme cette salle n’était pas climatisée, nous transpirions et je glissais sur les carreaux à chaque coup de boutoir.
Il me dit qu’il allait éjaculer encore et je lui répondis en agrippant ses fesses, qu’il pouvait le faire de toutes ses forces.
Je le senti gicler en moi pendant que je jouissais à mon tour.
Une fois chez moi, il m’appela pour savoir s’il pouvait passer dans la soirée me baiser encore.
- Tu n’es jamais rassasié toi, on dirait ! M’exclamais-je.
- Je ne sais pas si je le serai avec toi tellement c’était bon tout à l’heure.
- Moi aussi j’ai aimé… passes à 20 heures si tu as le temps. Lui dis-je avant de donner mon adresse.
On sonna à mon appartement vers 19 h 50. Je me dis qu’il était en avance et me déshabillai complètement avant de m’avancer vers la porte que j’ouvris grandement…
A ma grande surprise, ce fut mon voisin qui écarquillait les yeux sur mes seins et bien plus bas.
Il vivait dans l’appartement d’en face avec sa fiancée.
J’aurais pu refermer la porte mais je me contentais de mettre mes mains sur ma poitrine et fis semblant de vraiment m’excuser :
- Toutes mes excuses, voisin. Je pensais que c’était quelqu’un d’autre.
- Il balbutia sans quitter mon bas-ventre des yeux qu’il passait demander une multiprise, si j’en avais.
- Je dois avoir ça quelque part dans un tiroir mais il faut que je cherche. Vous entrez ?
Il jeta un coup d’œil derrière lui et pénétra chez moi en refermant la porte.
Je me collais à lui aussi tôt. Il m’embrassa en me malaxant les fesses tandis que je l’entraînais vers ma table à manger sur laquelle il fini par me poser, les jambes suspendues dans le vide.
Il enleva les boutons de son jean qu’il baissa en même temps que son slip, jusqu’à ses chevilles.
Quand il se releva, je m’étais couchée sur le dos et avais les cuisses écartées. Mes talons reposaient sur le rebord de la table. C’est dans cette position qu’il me pénétra et commença à me faire l’amour.
Il est membré et je le sentais loin dans mon vagin.
Il me baisa ainsi un moment puis mon téléphone vibra sur la table, non loin de ma tête.
Je compris que c’était le stagiaire et pendant que mon voisin s’activait entre mes cuisses, je décrochai.
- Oui ? Tu es en bas ? Tu peux monter, je suis à la porte 7 ! Dis-je au téléphone en jouissant.
Mon amant de fortune ralenti sa cadence et voulu même se retirer.
- Non ! Continue, c’est notre stagiaire au boulot. Il attendra quand il frappera à ma porte.
La situation m’excitait et mon voisin reprit ses va et vient.
Il baisait bien et au bout d’une minute on frappa à ma porte.
Je demandais à mon voisin de ne pas s’arrêter et composais le numéro du stagiaire.
Il décrocha :
- Patiente un instant, je suis avec un ami… dis-je…
Il répondit qu’il attendrait et je raccrochais.
Mon voisin comprit que nous n’avions plus de temps et accéléra la cadence.
Il se retira et éjacula abondamment sur mon ventre et mon sexe. Mais quand il eu fini, il me pénétra encore et pratiqua un va et vient lent et sublime.
Je lui souris et lui dit que j’avais rendez-vous maintenant. Il répondit que sa fiancée allait bientôt rentrer et devait partir.
Il se retira et se rhabilla sans se nettoyer tandis que je descendais de la table avec le sperme qui dégoulinait sur mon corps. Je me passai une robe de chambre et l’accompagnai à la porte.
Il salua le stagiaire et s’en alla.
J’installais mon nouvel hôte et fonçais sous la douche.
Quand je sorti de la salle de bain, je trouvais notre stagiaire tout nu assis dans le divan, la queue raide.
Il se branlait lentement en me regardant. Je m’approchai de lui et laissa tomber ma serviette pour m’asseoir sur son sexe.
Il me pénétra lentement et je commençais à pomper. On gémissait tous les deux puis il me murmura :
« Vous faisiez quoi tous les deux ? »
Je cessai d’onduler sur son pénis pour répondre mais il me demanda de continuer.
« Allez, dis moi ce que vous faisiez. Il te baisait, hein ? Allez, dis-le ! »
Il parlait les yeux fermés et je compris qu’il en tirait plaisir.
J’accélérais ma cadence en demandant :
- Ça te plais d’entendre ce genre de choses ?
« Oui, j’aime ça ! Dis qu’il te baisait, dis-le ! »
- Pourtant ce n’est pas ce que nous faisions…on discutait tout simplement.
« Dommage, ça aurait été bon à entendre »
- Vraiment ? C’est excitant que tu me dises cela. On peut lui demander de se joindre à nous si tu veux…
« Arrête de me bluffer, tu ne feras jamais ça ! »
- Qui moi ? J’ai toujours voulu une partouze. Attends…je vais lui demander s’il veut bien.
C’est quand je voulu me lever qu’on sonna encore à ma porte.
On se regarda tous les deux et il me dit d’aller ouvrir.
J’espérais que ce soit mon voisin et je ne fus pas déçue.
Il se tenait devant la porte avec le même air hébété devant ma nudité et me dit qu’il avait oublié de prendre la multiprise qu’il était venu chercher plus tôt.
- je veux bien te la donner mais à une condition.
- Une condition ? Et laquelle ?
- Tu te joins à nous pour une partie de jambes en l’air ?
Il regarda derrière lui comme la première fois et répondit que sa fiancée venait de rentrer.
Mais il entra tout de même.
Je me couchais encore sur la table dans la même position que tout à l’heure et le stagiaire vint planter son pénis dans mes entrailles.
Mon voisin présenta son membre à l’entrée de ma bouche pour une pipe.
Cela dura un moment puis ils échangèrent leur place. En suite, le stagiaire alla se coucher par terre et me demanda de me mettre à califourchon sur lui. Il me pénétra ainsi et dit à mon voisin de me prendre par derrière en même temps.
Il hésita mais je lui dis qu’il le pouvait. Quand je senti son gland à l’orée de mon anus, j’explosais de plaisir.
Il prit son temps et s’enfonça peu à peu jusqu’à ce qu’il commence un véritable va et vient.
Je sentais les deux sexes glissés en moi et ne pus me retenir de jouir une fois de plus.
Sous moi, le stagiaire annonça qu’il allait éjaculer et je sentis aussi tôt son sperme inonder mon vagin. Comme s’ils se communiquaient, mon voisin à son tour se déchargea. Je les sentais glisser vraiment et cette sublime sensation me fit exploser une troisième fois.
On resta tous les trois entremêlés, tous essoufflés.
On sonna à ma porte…
Mon voisin se retira pour que je me lève et le stagiaire alla dans ma douche.
Je me passais une robe et remis la multiprise au voisin avant qu’il ne sorte. Le concierge était devant la porte et me tendit un courrier avant de s’en aller. Le stagiaire rentra chez lui après une autre partie de baise et je pris encore une autre douche avant de me coucher.
Le Samedi qui suivi, je reçu la visite de ma copine Véronique qui voulait aller se balader dans la ville. Je décidais de l’accompagner. Je lui racontais mes facéties de la semaine, l’excitant à un tel point, qu’elle voulu faire l’amour pendant que nous étions dehors.
- Et si on se faisait un ou deux mecs ? Me dit-elle.
- Tu veux parler d’une baise à plusieurs ? Tu vas devoir payer les droits d’auteurs, dans ce cas.
- Tu parles ! Tu n’as pas inventé l’orgie, donc je n’ai rien à payer du tout.
- D’accord, mais c’est moi qui vient de créer cette envie qui te sort de partout
Elle rit aux éclats et me remercia pour l’état dans lequel elle se trouva grâce à moi.
C’est un chauffeur de taxi qui en paya les frais en premier, puis le gérant d’une mais je commençais à trouver cela monotone. J’avais déjà ces expériences dans mon palmarès de fille délurée.
- Il nous faut quelque chose d’un peu plus pimenté. Finis-je par lui dire.
- Et à quoi penses-tu ?
- A plus de risque, mais aucun exemple précis ne me vient en tête.
La nuit venait de tomber et comme on passait devant l’une des rares salles de cinéma qui avaient à la faillite, la même idée nous vînt à l’esprit.
L’affiche du film qui passait dans moins d’une dizaine de minutes ne fut pas la première motivation qui nous fit prendre des tickets d’entrée.
La salle n’était pas pleine mais nous choisîmes deux places à l’arrière où un homme était déjà assis seul.
On s’assit, l’une à sa droite et l’autre à gauche. Quand Véronique s’excusa pour passer devant lui afin de s’asseoir à sa gauche, ses fesses moulées dans sa mini robe frôlèrent de très près son visage.
Assurément, cela avait dû provoquer une sensation pas très catholique.
Le film commença…
J’avais remarqué que notre voisin avait sa main gauche sur son pantalon, au niveau de son sexe.
Il fini en tirant sur sa braguette, par faire sortir son pénis aux proportions plus qu’excitantes.
De temps à autre, il tournait la tête dans ma direction puis dans celle de Véronique, comme pour attirer notre attention. Il devait certainement se dire que notre présence au tour de lui n’était pas fortuite. Pourtant, comme si ma copine et moi avions un accord, nous fîmes comme si nous ne nous apercevions de rien.
Au bout d’un moment, continuant de se branler, il posa sa main gauche sur mes cuisses.
Je tournais la tête vers lui. Il pressa son sexe de sa main droite en me la présenta. Je fixai le membre gonflé puis le regardai de nouveau.
C’est en ce moment que Véronique lui prit la tête pour l’embrasser à pleine bouche. Je plongeai ma bouche aussi tôt vers le pénis en érection pour l’engloutir.
Je lui fis une fellation qui le fit se tortiller dans tous les sens sur son siège. Il releva ma tête pour m’embrasser tandis que ma copine engloutissait à son tour la verge.
Véronique se leva en suite, retroussa sa robe jusqu’à ses hanches et vint s’asseoir sur le mec en lui tournant le dos. Elle guida le sexe de sa main gauche puis commença à monter et descendre.
Comme nous étions seuls à la dernière rangée et qu’au moins deux ou trois autres rangées nous séparaient du reste des spectateurs, personne ne se douta de notre manège.
Les mouvements de Véronique s’accélérèrent tandis que le mec avait ses doigts entre mes jambes écartées. Ma copine s’arrêta un moment et à ma grande surprise, retira complètement sa robe par le haut, avant de reprendre ses mouvements.
Ses seins nus balançaient au gré de ses montées et descentes le long du pénis.
L’homme m’abandonna pour tenir le bassin qui le baisait.
Je dois reconnaître que la situation me plaisait au plus haut point. Je décidai de participer plus activement et me mise moi aussi toute nue en retirant ma robe.
Véronique se cambra en ondulant, certainement entrain de jouir. Elle leva pour regagner sa place.
L’homme me demanda de venir à lui. Il n’avait probablement pas jouit et cela m’impressionna.
Accommodés à pénombre de la salle de projection, on pouvait voir tous les autres spectateurs captivés par le film.
Je m’assis sur le mec en lui donnant moi aussi dos et il me pénétra. Mes mouvements s’accélérèrent bientôt. C’était assez excitant et je mouillais comme une folle.
Soudain quelqu’un buta sur nous par la gauche et tomba sur mes bras qui tenaient le dossier du siège devant moi. Il venait sûrement de rentrer et cherchait à tâtons, une place pour s’asseoir. Quand on rentre dans une salle de cinéma après le début du film, on a une très mauvaise visibilité, c’est connu. Mon baiseur me plaqua jusqu’à la garde de son sexe en me maintenant les hanches.
Quoiqu’il en soit, la personne (un homme) qui venait de tomber sans attirer l’attention des autres, se rendit compte de ce que nous faisions. En se relevant il me toucha les seins en chuchotant des excuses et rebroussa chemin pour ne s’asseoir qu’à deux sièges de nous.
J’avais jouis pendant ce laps de temps et la vague de plaisir me parcourrait encore le corps.
Je recommençai mes mouvements en regardant le dernier arrivant.
Mon baiseur me dit d’accélérer la cadence et je compris qu’il allait éjaculer enfin.
Je m’exécutai et sentis bientôt le liquide chaud gicler en moi à plusieurs reprises, me tirant une seconde jouissance.
Véronique le comprit et me proposa une petite serviette sortie de son sac à main. Je me relevai en m’essuyant. Le mec s’essuya à son tour tandis que ma copine et moi remettions nos robes.
On lui laissa la mini-serviette et s’en prendre congé, on se retrouva dehors.
Le premier taxi aperçut nous ramena chez moi. Pendant que Véronique prenait un bain, je sorti frapper à la porte du voisin.
C’est sa fiancée qui ouvrit :
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Oui, j’ai prêté ma multiprise à votre fiancé et j’espérais la récupérer s’il vous plait.
- Ah oui, il est passé chez vous il y a une heure mais il n’y avait personne. On viendra vous l’apporter quand il sortira de la douche. C’est à nous de nous déplacer, vous avez été aimable.
Je regagnais mon appartement. Véronique sortie de la douche quelques minutes après et je pris sa place.
Etant sous la douche, j’entendis qu’on sonna à la porte et criais à ma copine d’aller ouvrir.
Quand je sortis, je la trouvai entrain de se faire prendre en levrette par le voisin.
- Vous êtes venu sans votre fiancée ? Demandais-je.
Il me répondit sans s’arrêter de baiser ma copine qu’il l’avait convaincu de rester.
Je les regardais jusqu’à ce qu’il se retire pour se répandre sur les fesses de Véronique.
Il se rajusta rapidement et s’en alla.
Véronique et moi avons passé la nuit en semble, à se donner du plaisir en se remémorant notre virée au cinéma.
A mon réveil le lendemain Dimanche, Véronique était déjà partie en laissant un mot disant qu’elle rentrait.
Je passais la matinée à visionner des films puis juste après 12 heures, mon beau père m’appela pour me dire qu’il était dans mon quartier.
- Tu es à la maison ? Je ne te dérange pas si je passe ?
- Bien sûr que non, je n’ai aucun programme ce Dimanche.
- A tout à l’heure alors, le temps que je termine une course.
Une demi-heure plus tard il sonnait à ma porte.
En s’asseyant il m’apprit que ma mère et lui célébreraient leur mariage dans un mois.
Ils vivaient en couple depuis un moment déjà ils avaient jugé enfin de régulariser leur union.
Je m’assise devant lui, très contente pour eux :
- Je suis heureuse pour vous. Comment ça se passera ?
- On compte inviter quelques amis à la famille mais si tu as des propositions…
- Ce que vous déciderez me conviendra. C’est votre fête et ce qui vous fera plaisir me ravira.
Il me dit que ma mère me connaissait très bien et qu’elle avait prédit cette réponse.
Il se leva et vint poser un baiser sur mon front. Quand il se releva, sa braguette se retrouva juste devant mon visage et une bosse commença à déformer son pantalon…
Mon beau père resta planté là et je levais la tête vers lui :
- Tu vas épouser ma mère maintenant, on ne devrait plus faire ça.
- C’est vraiment des considérations qui t’arrêtent, Lynn ?
Il savait que je résistais jamais à une queue en érection, surtout si près de moi…
Il tira sur sa braguette et sortit son sexe qui caressa mes joues et mes lèvres.
J’ouvris la bouche mais pour lui dire :
- Pas ici ! Ce n’est pas assez excitant…
- Ce que tu veux chérie !
Je réfléchis rapidement le balcon me vint à l’esprit mais une fois sur place, je me rendis compte que personne ne risquait de nous voir et je changeais d’avis.
- Allons dehors. Dis-je.
Il voulu ranger son pénis mais je le saisis en faisant non de la tête. Je l’avais encore dans la main droite quand on passa la porte et pendant que je fermais à clé de la main gauche, on entendit une voix féminine :
- Excusez moi mes enfants, vous pourriez me renseigner ?
Je tournais la tête et vis une bonne sœur blanche qui se tenait juste à ma gauche. A en voir sa mine, je compris qu’elle ne se doutait pas que l’homme qui trouvait à ma droite avait sa bite en pleine érection dans ma main. Situation inespérée !
Je commençais à masturber lentement ……. en répondant :
- Comment pouvons-nous vous aider ma sœur ?
- Je cherche l’appartement 9, je viens prier avec une famille qui y habite.
Je voulu gagner un peu de temps avec elle car la présence d’une personne si près de moi dans une telle situation m’excite toujours quand elle ne se doute de rien mais sur tout quand elle pourrait tout découvrir subitement.
- Je connais l’appartement, mais nous aurions besoin de prier nous aussi avec vous. Vous pensez que c’est possible même si on n’a pas rendez-vous ?
Je malaxais toujours le sexe de mon beau père sur ma droite. Sa bite était devenue très dure et battait dans ma paume droite.
- Ce n’est pas un problème, ma fille. Dites-moi juste où vous retrouver quand j’aurai fini.
- Nous seront ici, porte 7 et l’appartement 9 se trouve au bout de l’allée à votre droite.
Elle me remercia et nous promis qu’elle serait là dans une demi-heure au plus tard. J’attendis qu’elle entre dans l’appartement où elle allait avant de m’accroupir et prendre le pénis tendu dans ma bouche.
Après une pipe, je me relevais pour me retourner en tenant le cadre de ma porte. Mon beau père retroussa ma robe jusqu'à mes hanches et me pénétra.
Il me baisa là tandis qu’on regardait de chaque côté et que l’adrénaline montait à son maximum. Ce fut extra et à certains moments je me surprenais à espérer que la bonne sœur nous surprenne ainsi.
Je sentis des giclées dans mes entrailles et j’explosais à mon tour.
Je restais seule à la maison quand mon beau père parti.
Après une douche, je me passai une robe de chambre bleue franchement transparente et m’étendis dans le divan.
La sœur ne passa pas ce jour là.
Je m’endormis jusqu’aux environs de 20 heures. Avant de dîner, j’appelai ma mère pour la féliciter et lui dire qu’elle pouvait compter sur moi si elle voulait que je participe aux préparatifs.
Je passais le reste de la soirée chez moi et me rendis au travail le lendemain matin.
La journée se passa normalement. Enfin, une journée normale pour une délurée et ma garde se termina un peu avant 18 heures. Il fit sombre assez tôt et bien avant 18 heures 30, il faisait déjà nuit.
Je voulu prendre un bus pour rentrer.
Celui que je choisis était bondé de monde rentrant après une journée de labeurs.
On était entassé et un mec se trouvait derrière moi. Je sentis son sexe gonfler contre ma fesse gauche et comme je l’espérais, il se débrouilla pour que sa bosse tombe juste dans la raie de mes fesses.
A chaque mouvement du véhicule, je sentais qu’il se frottait vraiment contre moi.
Je baissais le bras droit et farfouilla entre lui et moi. Je crois qu’il prit peur d’avoir été repéré et il se décolla un peu de moi. Ma main resta sur mon derrière avec la paume tournée vers lui.
Le bus freina à un arrêt et il revint se coller à moi. Son pénis bandé toucha cette fois ma paume et avant qu’il ne se ressaisisse, je malaxai le membre rapidement à travers le pantalon de tissus.
Il resta plaqué sur mon dos. Je continuai donc mais plus lentement pour qu’il comprenne bien mon message. Je sentais son souffle dans mon cou et j’entrepris de baisser sa braguette. Il le fit lui-même et ma main pénétra dans son pantalon. Il ne portait pas de slip. Je malaxai le gland un moment et je sentis son sperme chaud couler entre mes doigts. Je continuai quelques secondes avant de retirer ma main. Un arrêt plus loin, je descendais du bus mais avant d’avoir fais 5 pas, quelqu’un derrière moi dit :
« Tu vas qu’en même pas me laisser comme ça ».
Je ne le reconnaissais pas mais je compris que c’était le mec du bus. Il était descendu au même arrêt que moi.
- Mais tu as déjà éjaculé, ce n’était pas suffisant ?
« J’en veux encore ! » Répondit-il.
Je me dirigeais vers un jardin public et il me suivi. Il me baisa sur un banc de béton dans la pénombre et éjacula cette fois sur mes fesses tournées vers lui, non loin d’un jeune couple qui s’embrassait. Il sortit un mouchoir pour m’essuyer avant de me demander comment me revoir. Je pris son numéro, promettant l’appeler dès que j’aurai un moment et remarquai que le couple nous observait.
Je rentrais tout de suite après.
Le lendemain, en partant pour ma garde du soir, je passai dans le même jardin public, histoire de revoir l’endroit…
Le week-end qui suivi, Véronique m’appela pour que je la rejoigne dans une ville non loin de la capitale. Pour ne pas que j’effectue seule le voyage, elle m’envoya quelqu’un qui devait me servir de guide une fois sur place.
Comme il n’était pas véhiculé et qu’il était hors de question d’y aller en taxi, le seul moyen de transport restait les minicars qui faisaient la liaison.
Georges n’eut le temps qu’aux environs de 18 heures et le temps de se rendre à la gare de minicars et attendre qu’il soit chargé, il était 19 heures passées.
On avait eu le temps de sympathiser et de savoir ce qu’on ferait le temps du trajet qui devait durer une heure trente.
Le convoyeur voulu prendre un passager en surcharge et cela m’arrangeait beaucoup.
Je cédais ma place pour m’asseoir sur les pieds de Georges.
Evidement, sa braguette était ouverte et son pénis en érection sorti.
Une fois hors de la ville et les lumières internes éteintes, j’écartai juste les cuisses pour que son sexe soit à l’entrée de ma vulve puisque mon plaqué mini montait tout seul.
Quelques mouvements finirent par faire pénétrer le pénis tellement je mouillais.
Le plus dure était de pomper sans attirer l’attention. Mais je crois que tous nos voisins sur la même ligne que nous avaient déjà compris ce qui se passait.
Quand j’en fus convaincu et devant leur attitude de n’en être pas dérangé, j’ai ondulé à l’aise sur le sexe de Georges.
Son sexe me remplissait pleinement, mais il glissait bien tellement je mouillais comme une folle.
Il me chuchota à l’oreille si cela me gênerait qu’il éjacule. Je répondis que oui car il faudrait s’essuyer et cela risquait de se remarquer par les autres passagers.
On resta ainsi jusqu’à ce que le passager en surcharge descende à environ 5 km de notre destination. Je descendis du sexe sur lequel j’étais empalé à la déception de nos trois voisins. Ils nous le firent savoir à voix basse.
Georges leur répondit que toutes les bonnes choses ont une fin et une fois arrivés, il appela Véronique pour savoir sa position.
On la retrouva dans une boîte de nuit de la place après avoir fait un tour à nos chambres réservées d’avance.
Georges m’y baisa la porte seulement rabattue et je pris mon pied quand on nous surprit en nous apportant les serviettes propres que nous avions demandées.
On retrouva Véronique à la boite indiquée vers 22 heures. Sa robe était retroussée jusqu’à sa taille et elle était assise à califourchon sur un mec. Il n’y avait que très peu de lumière mais on distinguait les personnes.
On s’installa et je vis que le mec aussi avait son pantalon baissé. Une serveuse vint prendre notre commande sans s’occuper de nos voisins. D’ailleurs je vis bientôt que d’autres couples faisaient eux aussi l’amour.
Je fis un tour sur la piste de danse avant de visiter la boite qui est composée de 4 compartiments.
Dans chacun d’eux, des couples se faisaient l’amour sans s’occuper des autres. Toute fois, le dernier compartiment avait pour particularité plus d’obscurité. On voyait les formes et ce qu’elles faisaient sans pouvoir distinguer les visages et quand je m’approchai de trop près d’un couple, celui-ci arrêtait ses ébats pour me demander de continuer mon chemin.
Ce compartiment m’intrigua et je revins demander à l’une des serveuses pourquoi il était différent des autres.
Elle répondit que c’était celui de personnalités et que c’était seulement sur invitation qu’on y est admis.
Je lui demandais comment cela se passait et elle comprit mon intérêt.
- Attendez-moi là si vous voulez un partenaire. Je vais voir ce que je peux faire, mais on partage vos gains.
- Mes gains ? Vous pourrez tout garder si c’est d’argent qu’il s’agit. Seule la baise m’intéresse.
Elle me sourit avant de se lancer dans le noir puis elle revint me faire signe qu’une cabine était libre pour moi.
En y m’engouffrant, j’aperçu la silhouette d’un homme nu sirotant un verre.
Plus près de lui, je vis qu’il se branlait lentement de l’autre main.
- Déshabille toi complètement ! Murmura t-il.
Je n’eus qu’à ôter ma robe, je ne portais rien d’autre.
Je m’accroupis et pris le pénis en érection dans ma main puis dans ma bouche.
Son sexe augmenta de volume et se durcit encore plus.
- Tu suces bien ma petite, viens là !
Il me prit la tête et me releva. Puis il m’embrassa pendant que ses doigts farfouillaient ma vulve.
Quand il en eut assez, il me coucha sur le dos, releva mes jambes et me pénétra.
Il baisait bien et m’embrassait en même temps. Comme je m’étais accoutumé à la pénombre, je distinguais mieux son visage et il me sembla familier. Mais je ne connaissais personne dans cette ville et c’était plus excitant pour moi de baiser avec un inconnu. Je n’y fis pas plus attention.
Il se retira pour me retourner et releva ma croupe avant de me prendre en levrette. Plus tard il se retira encore et me coucha sur le coté pour me pénétrer. En suite il me fit m’asseoir sur lui et on baisa dans cette position plus longtemps.
Je trouvais extra qu’il n’est pas encore éjaculer depuis et il dit de lui faire encore une pipe.
J’avais commencé moins de deux minutes quand il bloqua ma tête et fit lui-même les va et vient.
Il allait de plus en plus vite et de plus en plus profondément puis il s’arrêta, son sexe toujours dans ma bouche.
Il commença à enfoncer sa bite, lentement au fond de ma gorge jusqu’à ses poils et garda la pose quelques secondes. Il se retira à moitié pour me laisser respirer puis recommença et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il s’enfonça brusquement dans ma gorge.
Il se déchargea et son sperme me ressorti par les narines et la bouche, puis il se retira totalement.
Je repris mon souffle et il me demanda maintenant si je voulais boire quelque chose.
Je pris un verre de liqueur. Avant de revenir malaxer sa bite pendant qu’il me caressait les cheveux.
On resta à bavarder quelques minutes puis il tourna un bouton non loin de sa main.
La cabine s’éclaira un peu plus et il prit son pantalon d’où il sortit des billets de grosses coupures.
- Habituellement c’est 30.000 que je donne mais pour toi, ce sera 50.000. Tiens, ils sont à toi !
Il resta figé quand je levais la tête vers lui.
Il semblait me dévisager, puis il demanda :
- On s’est déjà rencontré ?
- Votre visage aussi m’est familier mais je ne sais plus d’où.
On ne se rappela pas et on fini par dire que cela nous reviendrait un jour.
Une fois hors de la cabine, je remis l’argent à la serveuse qui n’en croyait toujours pas ses yeux pour la somme.
On rentra à l’hôtel vers trois heures pour un somme bien mérité.
Le lendemain de retour à la capitale, je regagnai mon appartement et me collais l’idée que je devais voir le voisin.
Sa fiancée devait certainement être là mais cela ne me découragea pas pour autant.
Vers 17 heures je m’apprêtais à sonner à leur porte quand il ouvrit.
- Tiens, voisine !
- Salut, vous allez bien ?
- Oui, et vous ?
- Ça va. Vous êtes seule ?
Il répondit que sa fiancée était absente pour l’après midi et qu’il commençait à s’ennuyer.
- Venez donc prendre un rafraîchissement chez moi… proposais je.
Il me suivi après avoir fermé sa porte et une fois dans mon appartement, commença à me tripoter sans même que je n’eus le temps de fermer.
Il était tout excité et on fut emporté dans notre élan jusque dans ma cuisine.
Il me déshabilla complètement, baissa son pantalon et me pénétra après m’avoir retourné face à petite table.
Il me baisa ainsi pendant un moment avant de me retourner face à lui pour me faire asseoir sur la table. J’écartai les cuisses et il me pénétra encore.
C’est dans cette position que sa fiancée nous surprit.
On fut prit de court car on avait complètement oublié que ma porte était restée ouverte. Elle avait les yeux écarquillés sans pouvoir prononcer un mot puis s’en alla en courant.
Le voisin voulu se retirer mais c’est en ce moment que ma jouissance éclata.
Je l’ai maintenu le temps de l’extase mais quand je l’ai libérer il continua ses va et vient jusqu’à éjaculer en moi.
Il s’essuya et fonça chez lui. Je refermai ma porte.
Sa fiancée le quitta le même soir.
Le lendemain, garde commençait très tôt le matin. Je décidais de me rendre à boulot par un véhicule de transport en commun.
Je choisi six heures, l’heure de pointe et me retrouvais coincée dans un bus bondé de monde.
Comme je l’espérais, un mec s’était plaqué dans mon dos, par la force des choses et je le senti bientôt.
Son pénis bandé se frottait à mes fesses et je fis celle qui ne s’aperçoit de rien jusqu’au moment où je baissai un bras pour le caresser.
Par chance, l’homme portait un pantalon tissu à fermeture éclair (très pratique, quand on veut aller vite).
Une fois sa braguette baissée, ma main s’engouffra derrière le sexe que je pris du plaisir à branler doucement.
Au bout d’un instant, le mec me murmura d’arrêter sinon il éjaculerait dans son pantalon.
Il insista et je dus m’arrêter là, malgré moi.
Quelques minutes plus tard, je me débattais pour ne pas rater mon arrêt afin d’être à l’heure à mon service avec maintenant une envie folle de baiser pour de bon.
A l’époque nous n’étions pas tout à fait des amies, mais nous avons eu le même groupe d’exposé, deux fois en classe de seconde et une fois en terminale.
Elle m’a tout de suite reconnue et est venue vers moi pour me faire l’accolade. Nous avons bavardé environs deux minutes sans que je parvienne à savoir d’où je la connaissais et c’est quand elle a cité des noms qui me rappelaient notre école que des souvenirs d’elle me sont revenus.
C’était une fille plus tôt maigre et sans intérêt pour la majorité des garçons de l’école (ce qui la boostait certainement à la boss…).
Mais là, elle a pris quelques kilos qui lui vont très bien et ses courbes sont parfaites surtout avec cette robe qui la moulait jusqu’aux genoux.
Nous avons échangé nos numéros puis on s’est revue deux ou trois fois après pour partager le goûter. Curieusement, ses causeries déviaient à chaque fois sans aucune gêne vers les garçons et la baise qu’elle disait beaucoup aimer.
Cela me ravissait au plus au point et nous avons commencé à nous appeler plus souvent.
On passait près d’une heure chaque nuit au téléphone à parler de choses coquines du genre comment on aimerait que les mecs nous fassent l’amour ou comment s’est passé notre dernière baise.
Une nuit alors que je venais de me mettre au lit après une bonne douche fraîche, mon téléphone vibra à mon chevet.
Je ne fus pas surprise de voir son numéro mais en guise de réponse à mon habituel « aloooooo », ce furent des gémissements que j’entendis…
J’ai d’abord cru qu’elle voulait me faire rire quand j’entendis par la suite des :
« Vas-y mon coeur, baise moi plus vite », « oui, oui, tu baises si bien ».
Puis ce fut autour d’une voix d’homme de dire :
« Tes rondeurs m’excitent trop chérie, je tiendrai pas longtemps »…
On lui faisait l’amour et j’entendais tout !
J’ai alors déduit que son cellulaire devait être resté sur le lit et que pendant leurs ébats ils avaient dû lancer accidentellement mon numéro.
Je ne pouvais pas raccrocher tellement cela m’excitait !
J’ai écouté sans faire de bruit jusqu’à ce j’entende :
« Je tiens plus, je vais éjaculer » et « oui, vas-y jouis en moi…rempli moi de ton sperme »
Quelques secondes plus tard, craignant qu’ils s’aperçoivent que quelqu’un aurait pu les entendre, je coupais la communication.
J’étais toute retournée par ce que je venais d’entendre et j’avais envie d’avoir un mec là entre mes jambes. Je fus tirée de mes rêveries environs une demi-heure après, par des vibrations…mon cellulaire clignotait dans le noir.
C’était encore elle… je ne savais pas trop quoi faire mais me résignai à prendre la communication.
« Allo ? » fis-je.
- Tu as aimé ? demanda t-elle d’un coup mais d’une voix suave.
Je marquais quelques secondes de silence avant de répondre
« Tu l’as fais exprès ? »
- Oui, tu as aimé ?
« C’était surprenant. »
- Tu fuis la question ?
« Non, pas du tout…c’était surprenant et très excitant, j’ai beaucoup aimé »
- Tu me feras écouter à ton tour un jour ?
« Oui et je crois que même que je pourrais plus m’en passer »
Puis, je lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis le début de notre conversation :
« Il était au courant ton mec ? »
- Non, il s’en est pas rendu compte… c’est ce qui me rendait encore plus folle !
« On va s’entendre encore plus toi et moi parce que j’adore les situations comme ça moi aussi »
- C’est parfait…passe une bonne nuit ! dit elle avant de raccrocher.
Le lendemain ce fut encore elle qui m’appela à midi pour qu’on déjeune en semble dans un restaurant pas très loin de son job.
Elle portait encore une robe moulante mais qui cette fois-ci s’arrêtait juste à 10 cm du ras de ses fesses. Avant qu’on ne s’asseye, elle me murmura :
« Aujourd’hui j’ai fais comme toi…je ne porte aucun sous corps »
Nous nous sommes installées côte à côte et avons commandé.
C’est quand la serveuse revint avec nos plats que je remarquais un type assis à la table d’en face lorgner sous notre table.
J’attirais secrètement l’attention de véronique.
« Et si on lui en donnait pour son courage ? » me dit-elle sans lever la tête.
- ça marche pour moi, et on fait comme si on ne s’aperçoit de rien. Ajoutais-je pour renchérir.
Nous avons commencé à déguster les plats et j’ai légèrement écarté les cuisses, véronique était entrain sûrement de faire la même chose.
Je portais une jupe volante sans rien en dessous et les mouvements réguliers que je donnais à mes cuisses montraient à coup sur mon triangle par intermittence.
Chaque fois que je levais furtivement les yeux vers notre voyeur, je le surprenais regardant avidement sous notre table (assez haute pour que l’observateur de fortune ne fasse pas de grands efforts).
A ses tortillements je comprenais qu’il ne tenait plus dans son pantalon surtout qu’il avait depuis longtemps vu que nous ne portions rien d’autres sous nos vêtements que notre peau.
Il prit son temps pour finir son repas et évidemment, nous finîmes avant lui.
En sortant du restau, nous sommes passées très près du mec en traînant les pas. J’ai même marqué une pose juste à sa droite l’effleurant presque de mes fesses, faisant mine de chercher quelque chose dans mon sac à main. Si près de lui, nue sous ma jupe et sachant qu’il avait vu mon entre-jambe, fit monter le plaisir dans tout mon corps.
Mais il fallait partir et je rejoignis véronique dehors avant que chacune ne retourne au boulot.
Il n’eut que quatre patients toute l’après midi et quand 17 heures sonnèrent, mon chef m’envoya faire des photocopies non loin de la maternité. Plus de trois-cent feuilles en tout.
Le jeune homme prit les feuilles et lança les copies. Mais je remarquais qu’il était trop concentré devant de son ordinateur pendant que sa photocopieuse travaillait.
« Vous regardez quelque chose d’intéressant ? » Demandais-je en m’approchant de lui.
Il n’eut pas le temps de cacher ce qu’il regardait. C’était un film adulte qui montrait une femme se faisant prendre par trois hommes.
« Intéressant en effet ! » M’exclamais-je en fixant l’écran.
J’étais très près de lui et un moment passa sans que personne ne prononça un mot, jusqu’au moment où deux des hommes à l’écran se mirent à éjaculer abondamment sur le corps de la femme :
« C’est l’une de mes parties préférées dans les films pornos » Dis-je.
Il leva la tête vers moi et répondit :
- ah bon ? Et c’est quoi les autres parties ?
« J’aime bien aussi les éjaculations buccales »
Il aventura sa main sur mes fesses et je laissai faire. Nous n’étions que deux dans sa baraque. Mais sa porte était vitrée et les passants dehors pouvaient voir à l’intérieur sans compter ceux qui pouvaient entrer subitement.
Cela m’excita encore plus et je retroussais ma blouse de travail, découvrant mes fesses nues.
Il passa ses mains entre mes cuisses et remonta jusqu’à ma vulve. Quand il senti que je mouillais déjà, il se leva et sorti un préservatif qu’il enfila.
Je me penchais en avant en tenant sa table et il passa derrière moi pour me pénétrer.
Je crois qu’il avait complètement oublié qu’on pouvait nous voir mais moi ça m’excitait.
Il me baisa avec fougue pendant un moment puis me dit qu’il allait éjaculer.
« Sur mes fesses, sur mes fesses ! » lui criais-je.
Il se retira et enleva son préservatif puis se branla quelques secondes avant de se répandre sur mon postérieur qui ondulait de plaisir.
Quand il fini, je senti son pénis gluant se présenter encore à l’entrée de mon vagin.
Je me cambrais d’avantage et reculais vers son membre…
Il s’enfonça en moi lentement et resta figé quand je senti ses poils pubiens sur mes fesses. Il reprit ses vas et vient et éjacula encore, cette fois ci en moi, m’arrachant ma deuxième jouissance.
Il se retira, essuya mes fesses avant de ranger son sexe. Je me rajustais et lui fit remarquer que la photocopieuse s’était arrêtée.
- Oui, les copies sont terminées. Répondit-il.
Je sorti après avoir payé.
De retour à la maternité, je trouvais le médecin de garde pour la nuit déjà sur place. Comme il s’entretenait avec son collègue dans la salle d’urgence, je déposais les documents et alla m’apprêter pour la fin de mon service.
Dans la salle où j’avais laissé mes vêtements, je trouvais un des stagiaires qui cherchait je ne trop quoi.
Il répondit à mon salut sans se détourner. J’enlevai ma blouse de travail pour me changer et bien évidemment, je me retrouvai toute nue. C’est à ce moment je crois, qu’il se tourna vers moi.
Il émit un sifflement approbateur et quand je levai la tête, je le vis regardant avidement mon postérieur.
- Ce n’est qu’en même pas des fesses que tu n’as jamais vu, mon chou ! Lui dis-je, alors que j’étais toujours à poil.
- En fait, c’est les tiennes que je n’ai jamais vu d’aussi près et dans… le plus simple appareil !
Je m’approchai de lui, la pointe de mes seins dressée. Il n’y avait plus que 5 centimètres entre nous et il s’inquiéta que la porte ne soit pas fermée à clé.
- C’est ce qu’il y a de plus excitant ! Lui soufflais-je.
Comme il ne broncha pas, je m’accroupi devant lui et tirai sur la fermeture éclaire de son pantalon.
Je sorti son membre qui entra dans ma bouche. Une fellation qu’il n’oubliera pas de si tôt !
Il était tellement excité qu’il ne résista pas plus d’une minute et se mit à inonder ma bouche de sperme. Il éjacula longtemps et je ne réussi pas à avaler tout son jus qui bientôt coula sur ma poitrine et mes seins.
Son sexe gardait toujours une rigidité extraordinaire. Aussi, passai-je à la phase supérieure en me couchant sur le dos. Il me suivit dans mon élan et vint se planter entre mes cuisses écartées.
Il me baisa un moment puis s’arrêta pour descendre encore son pantalon et son slip jusqu’aux genoux, avant de recommencer ses va et vient.
Comme cette salle n’était pas climatisée, nous transpirions et je glissais sur les carreaux à chaque coup de boutoir.
Il me dit qu’il allait éjaculer encore et je lui répondis en agrippant ses fesses, qu’il pouvait le faire de toutes ses forces.
Je le senti gicler en moi pendant que je jouissais à mon tour.
Une fois chez moi, il m’appela pour savoir s’il pouvait passer dans la soirée me baiser encore.
- Tu n’es jamais rassasié toi, on dirait ! M’exclamais-je.
- Je ne sais pas si je le serai avec toi tellement c’était bon tout à l’heure.
- Moi aussi j’ai aimé… passes à 20 heures si tu as le temps. Lui dis-je avant de donner mon adresse.
On sonna à mon appartement vers 19 h 50. Je me dis qu’il était en avance et me déshabillai complètement avant de m’avancer vers la porte que j’ouvris grandement…
A ma grande surprise, ce fut mon voisin qui écarquillait les yeux sur mes seins et bien plus bas.
Il vivait dans l’appartement d’en face avec sa fiancée.
J’aurais pu refermer la porte mais je me contentais de mettre mes mains sur ma poitrine et fis semblant de vraiment m’excuser :
- Toutes mes excuses, voisin. Je pensais que c’était quelqu’un d’autre.
- Il balbutia sans quitter mon bas-ventre des yeux qu’il passait demander une multiprise, si j’en avais.
- Je dois avoir ça quelque part dans un tiroir mais il faut que je cherche. Vous entrez ?
Il jeta un coup d’œil derrière lui et pénétra chez moi en refermant la porte.
Je me collais à lui aussi tôt. Il m’embrassa en me malaxant les fesses tandis que je l’entraînais vers ma table à manger sur laquelle il fini par me poser, les jambes suspendues dans le vide.
Il enleva les boutons de son jean qu’il baissa en même temps que son slip, jusqu’à ses chevilles.
Quand il se releva, je m’étais couchée sur le dos et avais les cuisses écartées. Mes talons reposaient sur le rebord de la table. C’est dans cette position qu’il me pénétra et commença à me faire l’amour.
Il est membré et je le sentais loin dans mon vagin.
Il me baisa ainsi un moment puis mon téléphone vibra sur la table, non loin de ma tête.
Je compris que c’était le stagiaire et pendant que mon voisin s’activait entre mes cuisses, je décrochai.
- Oui ? Tu es en bas ? Tu peux monter, je suis à la porte 7 ! Dis-je au téléphone en jouissant.
Mon amant de fortune ralenti sa cadence et voulu même se retirer.
- Non ! Continue, c’est notre stagiaire au boulot. Il attendra quand il frappera à ma porte.
La situation m’excitait et mon voisin reprit ses va et vient.
Il baisait bien et au bout d’une minute on frappa à ma porte.
Je demandais à mon voisin de ne pas s’arrêter et composais le numéro du stagiaire.
Il décrocha :
- Patiente un instant, je suis avec un ami… dis-je…
Il répondit qu’il attendrait et je raccrochais.
Mon voisin comprit que nous n’avions plus de temps et accéléra la cadence.
Il se retira et éjacula abondamment sur mon ventre et mon sexe. Mais quand il eu fini, il me pénétra encore et pratiqua un va et vient lent et sublime.
Je lui souris et lui dit que j’avais rendez-vous maintenant. Il répondit que sa fiancée allait bientôt rentrer et devait partir.
Il se retira et se rhabilla sans se nettoyer tandis que je descendais de la table avec le sperme qui dégoulinait sur mon corps. Je me passai une robe de chambre et l’accompagnai à la porte.
Il salua le stagiaire et s’en alla.
J’installais mon nouvel hôte et fonçais sous la douche.
Quand je sorti de la salle de bain, je trouvais notre stagiaire tout nu assis dans le divan, la queue raide.
Il se branlait lentement en me regardant. Je m’approchai de lui et laissa tomber ma serviette pour m’asseoir sur son sexe.
Il me pénétra lentement et je commençais à pomper. On gémissait tous les deux puis il me murmura :
« Vous faisiez quoi tous les deux ? »
Je cessai d’onduler sur son pénis pour répondre mais il me demanda de continuer.
« Allez, dis moi ce que vous faisiez. Il te baisait, hein ? Allez, dis-le ! »
Il parlait les yeux fermés et je compris qu’il en tirait plaisir.
J’accélérais ma cadence en demandant :
- Ça te plais d’entendre ce genre de choses ?
« Oui, j’aime ça ! Dis qu’il te baisait, dis-le ! »
- Pourtant ce n’est pas ce que nous faisions…on discutait tout simplement.
« Dommage, ça aurait été bon à entendre »
- Vraiment ? C’est excitant que tu me dises cela. On peut lui demander de se joindre à nous si tu veux…
« Arrête de me bluffer, tu ne feras jamais ça ! »
- Qui moi ? J’ai toujours voulu une partouze. Attends…je vais lui demander s’il veut bien.
C’est quand je voulu me lever qu’on sonna encore à ma porte.
On se regarda tous les deux et il me dit d’aller ouvrir.
J’espérais que ce soit mon voisin et je ne fus pas déçue.
Il se tenait devant la porte avec le même air hébété devant ma nudité et me dit qu’il avait oublié de prendre la multiprise qu’il était venu chercher plus tôt.
- je veux bien te la donner mais à une condition.
- Une condition ? Et laquelle ?
- Tu te joins à nous pour une partie de jambes en l’air ?
Il regarda derrière lui comme la première fois et répondit que sa fiancée venait de rentrer.
Mais il entra tout de même.
Je me couchais encore sur la table dans la même position que tout à l’heure et le stagiaire vint planter son pénis dans mes entrailles.
Mon voisin présenta son membre à l’entrée de ma bouche pour une pipe.
Cela dura un moment puis ils échangèrent leur place. En suite, le stagiaire alla se coucher par terre et me demanda de me mettre à califourchon sur lui. Il me pénétra ainsi et dit à mon voisin de me prendre par derrière en même temps.
Il hésita mais je lui dis qu’il le pouvait. Quand je senti son gland à l’orée de mon anus, j’explosais de plaisir.
Il prit son temps et s’enfonça peu à peu jusqu’à ce qu’il commence un véritable va et vient.
Je sentais les deux sexes glissés en moi et ne pus me retenir de jouir une fois de plus.
Sous moi, le stagiaire annonça qu’il allait éjaculer et je sentis aussi tôt son sperme inonder mon vagin. Comme s’ils se communiquaient, mon voisin à son tour se déchargea. Je les sentais glisser vraiment et cette sublime sensation me fit exploser une troisième fois.
On resta tous les trois entremêlés, tous essoufflés.
On sonna à ma porte…
Mon voisin se retira pour que je me lève et le stagiaire alla dans ma douche.
Je me passais une robe et remis la multiprise au voisin avant qu’il ne sorte. Le concierge était devant la porte et me tendit un courrier avant de s’en aller. Le stagiaire rentra chez lui après une autre partie de baise et je pris encore une autre douche avant de me coucher.
Le Samedi qui suivi, je reçu la visite de ma copine Véronique qui voulait aller se balader dans la ville. Je décidais de l’accompagner. Je lui racontais mes facéties de la semaine, l’excitant à un tel point, qu’elle voulu faire l’amour pendant que nous étions dehors.
- Et si on se faisait un ou deux mecs ? Me dit-elle.
- Tu veux parler d’une baise à plusieurs ? Tu vas devoir payer les droits d’auteurs, dans ce cas.
- Tu parles ! Tu n’as pas inventé l’orgie, donc je n’ai rien à payer du tout.
- D’accord, mais c’est moi qui vient de créer cette envie qui te sort de partout
Elle rit aux éclats et me remercia pour l’état dans lequel elle se trouva grâce à moi.
C’est un chauffeur de taxi qui en paya les frais en premier, puis le gérant d’une mais je commençais à trouver cela monotone. J’avais déjà ces expériences dans mon palmarès de fille délurée.
- Il nous faut quelque chose d’un peu plus pimenté. Finis-je par lui dire.
- Et à quoi penses-tu ?
- A plus de risque, mais aucun exemple précis ne me vient en tête.
La nuit venait de tomber et comme on passait devant l’une des rares salles de cinéma qui avaient à la faillite, la même idée nous vînt à l’esprit.
L’affiche du film qui passait dans moins d’une dizaine de minutes ne fut pas la première motivation qui nous fit prendre des tickets d’entrée.
La salle n’était pas pleine mais nous choisîmes deux places à l’arrière où un homme était déjà assis seul.
On s’assit, l’une à sa droite et l’autre à gauche. Quand Véronique s’excusa pour passer devant lui afin de s’asseoir à sa gauche, ses fesses moulées dans sa mini robe frôlèrent de très près son visage.
Assurément, cela avait dû provoquer une sensation pas très catholique.
Le film commença…
J’avais remarqué que notre voisin avait sa main gauche sur son pantalon, au niveau de son sexe.
Il fini en tirant sur sa braguette, par faire sortir son pénis aux proportions plus qu’excitantes.
De temps à autre, il tournait la tête dans ma direction puis dans celle de Véronique, comme pour attirer notre attention. Il devait certainement se dire que notre présence au tour de lui n’était pas fortuite. Pourtant, comme si ma copine et moi avions un accord, nous fîmes comme si nous ne nous apercevions de rien.
Au bout d’un moment, continuant de se branler, il posa sa main gauche sur mes cuisses.
Je tournais la tête vers lui. Il pressa son sexe de sa main droite en me la présenta. Je fixai le membre gonflé puis le regardai de nouveau.
C’est en ce moment que Véronique lui prit la tête pour l’embrasser à pleine bouche. Je plongeai ma bouche aussi tôt vers le pénis en érection pour l’engloutir.
Je lui fis une fellation qui le fit se tortiller dans tous les sens sur son siège. Il releva ma tête pour m’embrasser tandis que ma copine engloutissait à son tour la verge.
Véronique se leva en suite, retroussa sa robe jusqu’à ses hanches et vint s’asseoir sur le mec en lui tournant le dos. Elle guida le sexe de sa main gauche puis commença à monter et descendre.
Comme nous étions seuls à la dernière rangée et qu’au moins deux ou trois autres rangées nous séparaient du reste des spectateurs, personne ne se douta de notre manège.
Les mouvements de Véronique s’accélérèrent tandis que le mec avait ses doigts entre mes jambes écartées. Ma copine s’arrêta un moment et à ma grande surprise, retira complètement sa robe par le haut, avant de reprendre ses mouvements.
Ses seins nus balançaient au gré de ses montées et descentes le long du pénis.
L’homme m’abandonna pour tenir le bassin qui le baisait.
Je dois reconnaître que la situation me plaisait au plus haut point. Je décidai de participer plus activement et me mise moi aussi toute nue en retirant ma robe.
Véronique se cambra en ondulant, certainement entrain de jouir. Elle leva pour regagner sa place.
L’homme me demanda de venir à lui. Il n’avait probablement pas jouit et cela m’impressionna.
Accommodés à pénombre de la salle de projection, on pouvait voir tous les autres spectateurs captivés par le film.
Je m’assis sur le mec en lui donnant moi aussi dos et il me pénétra. Mes mouvements s’accélérèrent bientôt. C’était assez excitant et je mouillais comme une folle.
Soudain quelqu’un buta sur nous par la gauche et tomba sur mes bras qui tenaient le dossier du siège devant moi. Il venait sûrement de rentrer et cherchait à tâtons, une place pour s’asseoir. Quand on rentre dans une salle de cinéma après le début du film, on a une très mauvaise visibilité, c’est connu. Mon baiseur me plaqua jusqu’à la garde de son sexe en me maintenant les hanches.
Quoiqu’il en soit, la personne (un homme) qui venait de tomber sans attirer l’attention des autres, se rendit compte de ce que nous faisions. En se relevant il me toucha les seins en chuchotant des excuses et rebroussa chemin pour ne s’asseoir qu’à deux sièges de nous.
J’avais jouis pendant ce laps de temps et la vague de plaisir me parcourrait encore le corps.
Je recommençai mes mouvements en regardant le dernier arrivant.
Mon baiseur me dit d’accélérer la cadence et je compris qu’il allait éjaculer enfin.
Je m’exécutai et sentis bientôt le liquide chaud gicler en moi à plusieurs reprises, me tirant une seconde jouissance.
Véronique le comprit et me proposa une petite serviette sortie de son sac à main. Je me relevai en m’essuyant. Le mec s’essuya à son tour tandis que ma copine et moi remettions nos robes.
On lui laissa la mini-serviette et s’en prendre congé, on se retrouva dehors.
Le premier taxi aperçut nous ramena chez moi. Pendant que Véronique prenait un bain, je sorti frapper à la porte du voisin.
C’est sa fiancée qui ouvrit :
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Oui, j’ai prêté ma multiprise à votre fiancé et j’espérais la récupérer s’il vous plait.
- Ah oui, il est passé chez vous il y a une heure mais il n’y avait personne. On viendra vous l’apporter quand il sortira de la douche. C’est à nous de nous déplacer, vous avez été aimable.
Je regagnais mon appartement. Véronique sortie de la douche quelques minutes après et je pris sa place.
Etant sous la douche, j’entendis qu’on sonna à la porte et criais à ma copine d’aller ouvrir.
Quand je sortis, je la trouvai entrain de se faire prendre en levrette par le voisin.
- Vous êtes venu sans votre fiancée ? Demandais-je.
Il me répondit sans s’arrêter de baiser ma copine qu’il l’avait convaincu de rester.
Je les regardais jusqu’à ce qu’il se retire pour se répandre sur les fesses de Véronique.
Il se rajusta rapidement et s’en alla.
Véronique et moi avons passé la nuit en semble, à se donner du plaisir en se remémorant notre virée au cinéma.
A mon réveil le lendemain Dimanche, Véronique était déjà partie en laissant un mot disant qu’elle rentrait.
Je passais la matinée à visionner des films puis juste après 12 heures, mon beau père m’appela pour me dire qu’il était dans mon quartier.
- Tu es à la maison ? Je ne te dérange pas si je passe ?
- Bien sûr que non, je n’ai aucun programme ce Dimanche.
- A tout à l’heure alors, le temps que je termine une course.
Une demi-heure plus tard il sonnait à ma porte.
En s’asseyant il m’apprit que ma mère et lui célébreraient leur mariage dans un mois.
Ils vivaient en couple depuis un moment déjà ils avaient jugé enfin de régulariser leur union.
Je m’assise devant lui, très contente pour eux :
- Je suis heureuse pour vous. Comment ça se passera ?
- On compte inviter quelques amis à la famille mais si tu as des propositions…
- Ce que vous déciderez me conviendra. C’est votre fête et ce qui vous fera plaisir me ravira.
Il me dit que ma mère me connaissait très bien et qu’elle avait prédit cette réponse.
Il se leva et vint poser un baiser sur mon front. Quand il se releva, sa braguette se retrouva juste devant mon visage et une bosse commença à déformer son pantalon…
Mon beau père resta planté là et je levais la tête vers lui :
- Tu vas épouser ma mère maintenant, on ne devrait plus faire ça.
- C’est vraiment des considérations qui t’arrêtent, Lynn ?
Il savait que je résistais jamais à une queue en érection, surtout si près de moi…
Il tira sur sa braguette et sortit son sexe qui caressa mes joues et mes lèvres.
J’ouvris la bouche mais pour lui dire :
- Pas ici ! Ce n’est pas assez excitant…
- Ce que tu veux chérie !
Je réfléchis rapidement le balcon me vint à l’esprit mais une fois sur place, je me rendis compte que personne ne risquait de nous voir et je changeais d’avis.
- Allons dehors. Dis-je.
Il voulu ranger son pénis mais je le saisis en faisant non de la tête. Je l’avais encore dans la main droite quand on passa la porte et pendant que je fermais à clé de la main gauche, on entendit une voix féminine :
- Excusez moi mes enfants, vous pourriez me renseigner ?
Je tournais la tête et vis une bonne sœur blanche qui se tenait juste à ma gauche. A en voir sa mine, je compris qu’elle ne se doutait pas que l’homme qui trouvait à ma droite avait sa bite en pleine érection dans ma main. Situation inespérée !
Je commençais à masturber lentement ……. en répondant :
- Comment pouvons-nous vous aider ma sœur ?
- Je cherche l’appartement 9, je viens prier avec une famille qui y habite.
Je voulu gagner un peu de temps avec elle car la présence d’une personne si près de moi dans une telle situation m’excite toujours quand elle ne se doute de rien mais sur tout quand elle pourrait tout découvrir subitement.
- Je connais l’appartement, mais nous aurions besoin de prier nous aussi avec vous. Vous pensez que c’est possible même si on n’a pas rendez-vous ?
Je malaxais toujours le sexe de mon beau père sur ma droite. Sa bite était devenue très dure et battait dans ma paume droite.
- Ce n’est pas un problème, ma fille. Dites-moi juste où vous retrouver quand j’aurai fini.
- Nous seront ici, porte 7 et l’appartement 9 se trouve au bout de l’allée à votre droite.
Elle me remercia et nous promis qu’elle serait là dans une demi-heure au plus tard. J’attendis qu’elle entre dans l’appartement où elle allait avant de m’accroupir et prendre le pénis tendu dans ma bouche.
Après une pipe, je me relevais pour me retourner en tenant le cadre de ma porte. Mon beau père retroussa ma robe jusqu'à mes hanches et me pénétra.
Il me baisa là tandis qu’on regardait de chaque côté et que l’adrénaline montait à son maximum. Ce fut extra et à certains moments je me surprenais à espérer que la bonne sœur nous surprenne ainsi.
Je sentis des giclées dans mes entrailles et j’explosais à mon tour.
Je restais seule à la maison quand mon beau père parti.
Après une douche, je me passai une robe de chambre bleue franchement transparente et m’étendis dans le divan.
La sœur ne passa pas ce jour là.
Je m’endormis jusqu’aux environs de 20 heures. Avant de dîner, j’appelai ma mère pour la féliciter et lui dire qu’elle pouvait compter sur moi si elle voulait que je participe aux préparatifs.
Je passais le reste de la soirée chez moi et me rendis au travail le lendemain matin.
La journée se passa normalement. Enfin, une journée normale pour une délurée et ma garde se termina un peu avant 18 heures. Il fit sombre assez tôt et bien avant 18 heures 30, il faisait déjà nuit.
Je voulu prendre un bus pour rentrer.
Celui que je choisis était bondé de monde rentrant après une journée de labeurs.
On était entassé et un mec se trouvait derrière moi. Je sentis son sexe gonfler contre ma fesse gauche et comme je l’espérais, il se débrouilla pour que sa bosse tombe juste dans la raie de mes fesses.
A chaque mouvement du véhicule, je sentais qu’il se frottait vraiment contre moi.
Je baissais le bras droit et farfouilla entre lui et moi. Je crois qu’il prit peur d’avoir été repéré et il se décolla un peu de moi. Ma main resta sur mon derrière avec la paume tournée vers lui.
Le bus freina à un arrêt et il revint se coller à moi. Son pénis bandé toucha cette fois ma paume et avant qu’il ne se ressaisisse, je malaxai le membre rapidement à travers le pantalon de tissus.
Il resta plaqué sur mon dos. Je continuai donc mais plus lentement pour qu’il comprenne bien mon message. Je sentais son souffle dans mon cou et j’entrepris de baisser sa braguette. Il le fit lui-même et ma main pénétra dans son pantalon. Il ne portait pas de slip. Je malaxai le gland un moment et je sentis son sperme chaud couler entre mes doigts. Je continuai quelques secondes avant de retirer ma main. Un arrêt plus loin, je descendais du bus mais avant d’avoir fais 5 pas, quelqu’un derrière moi dit :
« Tu vas qu’en même pas me laisser comme ça ».
Je ne le reconnaissais pas mais je compris que c’était le mec du bus. Il était descendu au même arrêt que moi.
- Mais tu as déjà éjaculé, ce n’était pas suffisant ?
« J’en veux encore ! » Répondit-il.
Je me dirigeais vers un jardin public et il me suivi. Il me baisa sur un banc de béton dans la pénombre et éjacula cette fois sur mes fesses tournées vers lui, non loin d’un jeune couple qui s’embrassait. Il sortit un mouchoir pour m’essuyer avant de me demander comment me revoir. Je pris son numéro, promettant l’appeler dès que j’aurai un moment et remarquai que le couple nous observait.
Je rentrais tout de suite après.
Le lendemain, en partant pour ma garde du soir, je passai dans le même jardin public, histoire de revoir l’endroit…
Le week-end qui suivi, Véronique m’appela pour que je la rejoigne dans une ville non loin de la capitale. Pour ne pas que j’effectue seule le voyage, elle m’envoya quelqu’un qui devait me servir de guide une fois sur place.
Comme il n’était pas véhiculé et qu’il était hors de question d’y aller en taxi, le seul moyen de transport restait les minicars qui faisaient la liaison.
Georges n’eut le temps qu’aux environs de 18 heures et le temps de se rendre à la gare de minicars et attendre qu’il soit chargé, il était 19 heures passées.
On avait eu le temps de sympathiser et de savoir ce qu’on ferait le temps du trajet qui devait durer une heure trente.
Le convoyeur voulu prendre un passager en surcharge et cela m’arrangeait beaucoup.
Je cédais ma place pour m’asseoir sur les pieds de Georges.
Evidement, sa braguette était ouverte et son pénis en érection sorti.
Une fois hors de la ville et les lumières internes éteintes, j’écartai juste les cuisses pour que son sexe soit à l’entrée de ma vulve puisque mon plaqué mini montait tout seul.
Quelques mouvements finirent par faire pénétrer le pénis tellement je mouillais.
Le plus dure était de pomper sans attirer l’attention. Mais je crois que tous nos voisins sur la même ligne que nous avaient déjà compris ce qui se passait.
Quand j’en fus convaincu et devant leur attitude de n’en être pas dérangé, j’ai ondulé à l’aise sur le sexe de Georges.
Son sexe me remplissait pleinement, mais il glissait bien tellement je mouillais comme une folle.
Il me chuchota à l’oreille si cela me gênerait qu’il éjacule. Je répondis que oui car il faudrait s’essuyer et cela risquait de se remarquer par les autres passagers.
On resta ainsi jusqu’à ce que le passager en surcharge descende à environ 5 km de notre destination. Je descendis du sexe sur lequel j’étais empalé à la déception de nos trois voisins. Ils nous le firent savoir à voix basse.
Georges leur répondit que toutes les bonnes choses ont une fin et une fois arrivés, il appela Véronique pour savoir sa position.
On la retrouva dans une boîte de nuit de la place après avoir fait un tour à nos chambres réservées d’avance.
Georges m’y baisa la porte seulement rabattue et je pris mon pied quand on nous surprit en nous apportant les serviettes propres que nous avions demandées.
On retrouva Véronique à la boite indiquée vers 22 heures. Sa robe était retroussée jusqu’à sa taille et elle était assise à califourchon sur un mec. Il n’y avait que très peu de lumière mais on distinguait les personnes.
On s’installa et je vis que le mec aussi avait son pantalon baissé. Une serveuse vint prendre notre commande sans s’occuper de nos voisins. D’ailleurs je vis bientôt que d’autres couples faisaient eux aussi l’amour.
Je fis un tour sur la piste de danse avant de visiter la boite qui est composée de 4 compartiments.
Dans chacun d’eux, des couples se faisaient l’amour sans s’occuper des autres. Toute fois, le dernier compartiment avait pour particularité plus d’obscurité. On voyait les formes et ce qu’elles faisaient sans pouvoir distinguer les visages et quand je m’approchai de trop près d’un couple, celui-ci arrêtait ses ébats pour me demander de continuer mon chemin.
Ce compartiment m’intrigua et je revins demander à l’une des serveuses pourquoi il était différent des autres.
Elle répondit que c’était celui de personnalités et que c’était seulement sur invitation qu’on y est admis.
Je lui demandais comment cela se passait et elle comprit mon intérêt.
- Attendez-moi là si vous voulez un partenaire. Je vais voir ce que je peux faire, mais on partage vos gains.
- Mes gains ? Vous pourrez tout garder si c’est d’argent qu’il s’agit. Seule la baise m’intéresse.
Elle me sourit avant de se lancer dans le noir puis elle revint me faire signe qu’une cabine était libre pour moi.
En y m’engouffrant, j’aperçu la silhouette d’un homme nu sirotant un verre.
Plus près de lui, je vis qu’il se branlait lentement de l’autre main.
- Déshabille toi complètement ! Murmura t-il.
Je n’eus qu’à ôter ma robe, je ne portais rien d’autre.
Je m’accroupis et pris le pénis en érection dans ma main puis dans ma bouche.
Son sexe augmenta de volume et se durcit encore plus.
- Tu suces bien ma petite, viens là !
Il me prit la tête et me releva. Puis il m’embrassa pendant que ses doigts farfouillaient ma vulve.
Quand il en eut assez, il me coucha sur le dos, releva mes jambes et me pénétra.
Il baisait bien et m’embrassait en même temps. Comme je m’étais accoutumé à la pénombre, je distinguais mieux son visage et il me sembla familier. Mais je ne connaissais personne dans cette ville et c’était plus excitant pour moi de baiser avec un inconnu. Je n’y fis pas plus attention.
Il se retira pour me retourner et releva ma croupe avant de me prendre en levrette. Plus tard il se retira encore et me coucha sur le coté pour me pénétrer. En suite il me fit m’asseoir sur lui et on baisa dans cette position plus longtemps.
Je trouvais extra qu’il n’est pas encore éjaculer depuis et il dit de lui faire encore une pipe.
J’avais commencé moins de deux minutes quand il bloqua ma tête et fit lui-même les va et vient.
Il allait de plus en plus vite et de plus en plus profondément puis il s’arrêta, son sexe toujours dans ma bouche.
Il commença à enfoncer sa bite, lentement au fond de ma gorge jusqu’à ses poils et garda la pose quelques secondes. Il se retira à moitié pour me laisser respirer puis recommença et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il s’enfonça brusquement dans ma gorge.
Il se déchargea et son sperme me ressorti par les narines et la bouche, puis il se retira totalement.
Je repris mon souffle et il me demanda maintenant si je voulais boire quelque chose.
Je pris un verre de liqueur. Avant de revenir malaxer sa bite pendant qu’il me caressait les cheveux.
On resta à bavarder quelques minutes puis il tourna un bouton non loin de sa main.
La cabine s’éclaira un peu plus et il prit son pantalon d’où il sortit des billets de grosses coupures.
- Habituellement c’est 30.000 que je donne mais pour toi, ce sera 50.000. Tiens, ils sont à toi !
Il resta figé quand je levais la tête vers lui.
Il semblait me dévisager, puis il demanda :
- On s’est déjà rencontré ?
- Votre visage aussi m’est familier mais je ne sais plus d’où.
On ne se rappela pas et on fini par dire que cela nous reviendrait un jour.
Une fois hors de la cabine, je remis l’argent à la serveuse qui n’en croyait toujours pas ses yeux pour la somme.
On rentra à l’hôtel vers trois heures pour un somme bien mérité.
Le lendemain de retour à la capitale, je regagnai mon appartement et me collais l’idée que je devais voir le voisin.
Sa fiancée devait certainement être là mais cela ne me découragea pas pour autant.
Vers 17 heures je m’apprêtais à sonner à leur porte quand il ouvrit.
- Tiens, voisine !
- Salut, vous allez bien ?
- Oui, et vous ?
- Ça va. Vous êtes seule ?
Il répondit que sa fiancée était absente pour l’après midi et qu’il commençait à s’ennuyer.
- Venez donc prendre un rafraîchissement chez moi… proposais je.
Il me suivi après avoir fermé sa porte et une fois dans mon appartement, commença à me tripoter sans même que je n’eus le temps de fermer.
Il était tout excité et on fut emporté dans notre élan jusque dans ma cuisine.
Il me déshabilla complètement, baissa son pantalon et me pénétra après m’avoir retourné face à petite table.
Il me baisa ainsi pendant un moment avant de me retourner face à lui pour me faire asseoir sur la table. J’écartai les cuisses et il me pénétra encore.
C’est dans cette position que sa fiancée nous surprit.
On fut prit de court car on avait complètement oublié que ma porte était restée ouverte. Elle avait les yeux écarquillés sans pouvoir prononcer un mot puis s’en alla en courant.
Le voisin voulu se retirer mais c’est en ce moment que ma jouissance éclata.
Je l’ai maintenu le temps de l’extase mais quand je l’ai libérer il continua ses va et vient jusqu’à éjaculer en moi.
Il s’essuya et fonça chez lui. Je refermai ma porte.
Sa fiancée le quitta le même soir.
Le lendemain, garde commençait très tôt le matin. Je décidais de me rendre à boulot par un véhicule de transport en commun.
Je choisi six heures, l’heure de pointe et me retrouvais coincée dans un bus bondé de monde.
Comme je l’espérais, un mec s’était plaqué dans mon dos, par la force des choses et je le senti bientôt.
Son pénis bandé se frottait à mes fesses et je fis celle qui ne s’aperçoit de rien jusqu’au moment où je baissai un bras pour le caresser.
Par chance, l’homme portait un pantalon tissu à fermeture éclair (très pratique, quand on veut aller vite).
Une fois sa braguette baissée, ma main s’engouffra derrière le sexe que je pris du plaisir à branler doucement.
Au bout d’un instant, le mec me murmura d’arrêter sinon il éjaculerait dans son pantalon.
Il insista et je dus m’arrêter là, malgré moi.
Quelques minutes plus tard, je me débattais pour ne pas rater mon arrêt afin d’être à l’heure à mon service avec maintenant une envie folle de baiser pour de bon.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel dommage que tu n'écrives plus !
Tes histoires sont parfaites ! Ah, si la réalité pouvait être aussi belle que celle que
tu décris !
Tes histoires sont parfaites ! Ah, si la réalité pouvait être aussi belle que celle que
tu décris !
G lu plusieurs histoires de l auteur. Magique
tres belle histoire et tres excitante, j'aimerai bien rencontrer quelqu'un comme toi
dans un bus!!!!!
dans un bus!!!!!
c'est vraiment un sacré mois de novembre.bonne narration,texte bandant du début à la fin.stp décris-moi un peu ta morphologie,juste pour le plaisir.cela me ferait plaisir de faire ta connaissance
Très heureux de te relire. Toujours aussi délurée et en pleine santé.
Dommage pour le fiancée de ton voisin, elle aurait pu participer.
Au moins tu pourras l'avoir autant que tu veux.
J'ai perdu ton adresse, j'aimerais t'écrire.
PITOU064@AOL.COM
Dommage pour le fiancée de ton voisin, elle aurait pu participer.
Au moins tu pourras l'avoir autant que tu veux.
J'ai perdu ton adresse, j'aimerais t'écrire.
PITOU064@AOL.COM