Le risque paye souvent (part 3) - histoire érotique

A ma descente du boulot, je fis un tour chez mon copain V.R. mais il était absent et sa belle mère me dit qu’il allait certainement passer chez moi vers 20 heures comme il avait laissé entendre avant de sortir.
Je fis chez moi en moins de deux car j’avais une idée qui me trottait dans la tête de puis l’après midi.
Une fois chez moi, je passais sous la douche et fis rapidement à manger. Il était 19 heures 20 quand on sonna. Je fus contente de constater que c’était L.A. le président des locataires, mon plan allait pouvoir se mettre en place. Il entra et se mit à m’embrasser en me pelotant puis je lui murmurais qu’il prenait un grand risque puisque mon copain allait être là d’un moment à l’autre.
-- Alors c’est qu’on doit se dépêcher, dit-il en ôtant totalement son pantalon.
Je ne portais qu’un peignoir qu’il fit tomber, découvrant toute ma nudité.
« Et si mon mec s’amenait maintenant ? » Questionnais-je.
Il répondit qu’il ne savait pas ce qu’il ferait et cela augmenta mon envie de jouer ainsi avec le danger d’être surprise. Mais me faire surprendre par mon jules ne faisait pas vraiment partie du plan.
En fait, il y a une penderie dans le coin du salon et elle peut contenir quelqu’un de sa corpulence et je le lui expliquais.
« Tu n’auras qu’à entrer là si mon mec se pointe…tu pourras nous observer si cela te dit car la porte de la penderie est une vitre sans tain ».
Il murmura qu’il avait toujours rêvé d’une situation pareille et son sexe gonfla dans ma main.
Je m’accroupi pour prendre le sexe bander et succulent dans ma bouche…un vrai délice !
Il me releva puis me retourna pour me mette à quatre pattes avant de me prendre en levrette. On était si près de la porte qu’on entendait les personnes passer et bavarder. Cette position dura près de 20 minutes et quand il me libéra enfin pour me dire de le suivre vers la table à manger, on sonna à la porte.
C’était sûrement V.R. et il était 20 heures. Pile à l’heure ce gentleman !
L’autre ramassa son pantalon et fila dans la penderie sans s’habiller. Je vérifiais que tout paraissait normal, puis j’ouvris la porte après m’être passée mon peignoir. Comme prévu, c’était bien mon jules et il entra en m’embrassant en laissant la porte entrebâillée.
« Tu veux dîner maintenant ? » Balbutiais-je.
Il répondit qu’il mangerait juste après ce qu’il allait faire…
Il fit tomber mon peignoir et me porta dans ses bras jusqu’à la table sur laquelle je n’avais pas encore mis de couverts. Il m’y coucha sur le dos puis se déshabilla complètement et s’approcha entre mes jambes écartées avec son sexe tendu.
« Tu as oublié quelque chose, mon chou ! » Lui dis-je en indiquant la porte restée entre-ouverte dans son dos.
Il regarda en arrière puis alla fermer avant de revenir entre mes jambes.
Il colla son pénis à l’entrée de mon vagin et fit un mouvement du haut vers le bas avec son sexe qu’il tenait ferment. Quelques secondes plus tard il s’enfonçait lentement en moi en me fixant.
Il prit son temps et son pénis raide glissa dans ma chair lentement, très lentement. Sublime amant !
Quand il fut complètement en moi, il commença un va et vient qui me tira ma première jouissance tellement ce fut extra.
Au bout de quelques minutes, il se retira, me bascula sur mon côté gauche et plia mes genoux joints vers ma poitrine. Ma croupe lui était offerte sur le côté et comme j’étais au bord de la table, il me pénétra dans cette position et s’activa. On baisa encore 10 minutes puis je lui dis que j’avais envie de quelque chose.
-- Tout ce que tu veux mon trésor. Répondit-il.
« Prends-moi sur le tapis devant la penderie, chérie »
-- Rien que ça ? Allez, viens !
En un clin d’œil on se retrouva devant la penderie et couchée sur le dos, j’avais le sexe de V.R. fiché dans mon vagin. Il était à genoux et tenait mes jambes en l’air pendant qu’il me baisait sans retenue.
A un moment, je fus surprise par la phrase qu’il fit sortir :
-- Tu es vraiment bonne comme Alicia !
Comme ma mine changea certainement, il poursuivi en disant qu’il aime bien faire savoir à ses copines qu’elles baisent bien comme les autres. Et il ajouta qu’il venait de se faire Alicia…
Cela ne me refroidi que quelques secondes, puis je l’encourageais à en parler tout en ondulant sous ses coups de reins.
Il continua à parler des différentes positions dans lesquelles il venait de baiser cette Alicia et cela semblait vraiment l’exciter car il ne se rendit pas compte que j’entre ouvris la penderie avec mon pied droit.
Le battant s’ouvrait dans le dos de V.R. et je voyais nettement l’autre mec complètement ahuri.
Mais je commençais à gémir et cela captiva V.R. qui accentua ses coups de reins pendant que je fixais L.A. dans la penderie. Ce dernier se ressaisit assez vite et bientôt je le vis se branler en nous matant.
Cela dura moins de trois minutes tellement cela était bon. Je me tordis de jouissance sous V.R. alors qu’il se coucha entièrement sur moi pour m’inonder se son sperme, tandis que L.A. éjaculait dans sa main.
On resta couchés quelques secondes, tous fatigués puis avant que mon jules ne se relève, je fermais la porte de la penderie avec mon pied droit.
-- C’était magnifique, n’est-ce pas Lynda ? Tu n’es pas fâchée j’espère…
« Moi ? Du tout. Au contraire, ça été sublime, super excitant !!! »