Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (3)
Récit érotique écrit par Elina [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (3)
- Attends, apporte-la moi, cette nympho !
Un homme à forte poigne m’attrapa par les cheveux, me fit me redresser un peu pour que je puisse me déplacer telle une guenon plus que marcher et que je ressente bien que j’étais le plus vil des objets sexuels.
Je titubais un peu, désorientée, « la poigne » me fis me remettre aussitôt à genou devant le Maître et appuya sur ma tête pour que je la baisse en signe, sans doute, de respect.
Les rires et les lazzis cessèrent, sans doute avait-il fait un signe ? Il était donc bien le Chef.
- Alors petite pute, tu t’amuses avec tes copains de jeux en ligne ?
Je ne répondis pas, j’avais trop peur de prendre un coup, une gifle ou de prendre une décharge électrique.
- Tu peux répondre… Nous sommes entre amis… (rires de l’assemblée)…Tu passes un bon moment avec nous ?
- Euh… Oui, oui…- Dis-le ma belle !
- Et bien, je passe un bon moment avec vous mes amis, dis-je un peu hésitante…- Qu’est-ce qui te plait dans cette soirée ma jolie ?
- J’apprécie d’avoir les yeux bandés, ça décuple les sensations et j’aime les belles queues…- Alors qu’est-ce que tu es ?
- Et bien j’imagine que je suis une nymphomane…- Hahaha !!! Vous entendez ça les frères ???? Une nymphomane !!! Comment elle croit qu’elle peut encore parler d’elle avec des grands mots de son quartier de femmes du beau monde !!! (gros rires)Dis-moi ce que tu es, dit-il sur un ton qui n’avait plus rien de drôle, sur un ton mauvais où il n’y avait plus trace de plaisanterie.
Dis ce que tu es vraiment, dis ce que je veux entendre, dis la vérité. D’ailleurs on va t’aider…Bascule ta tête en arrière… Oui comme ça et ouvre grand le trou à bites que tu as au milieu de ta face…
Un bruit de bouchon et je sentis couler dans ma bouche un flot de scotch bon marché. Je n’avais pas pour habitude de boire de l’alcool et encore moins des alcools forts.
Je gardais la tête bien en arrière pour ne pas recracher, je n’aimais pas ce goût de mauvais whisky qui me brulait la bouche, la langue et l’œsophage. J’avais l’impression que le liquide coulait depuis longtemps sous les éclats de rire des comparses.
- Stop ! Stop ! Laisse-nous-en ! Passe la bouteille !
Je pense avoir bu pas loin de la moitié de la bouteille et déjà la tête me tourne et mes jambes peinent à me soutenir.
- Alors femme des quartiers chics, que penses-tu de ce que tu es vraiment quand tu nous rencontres comme tu en avais toi-même eu l’envie en discutant dans ce jeu ?
Je sens que les mots sont en peu en bouillie dans ma bouche et que je n’ai plus vraiment la maitrise de ce que je veux dire. Je ne cherche plus mes mots, ils se présentent tout seuls mais j’ai un peu de mal à les émettre et ça fait rire tout le monde.
Des mains me pincent assez durement les joues pour me rappeler que tous attendent, sans doute pour bien se moquer de cette femme possédée et offerte puis rabaissée et maintenant désinhibée par l’alcool.
- Et ben, j’ai vachement envie de queues quoi… J’adore les grosses queues… J’adore les queues dans mes trous quand les couilles viennent me taper le ventre ou le cul ou le nez à chaque coup de boutoir… Et… Et pis j’adore le foutre, j’adore quand je le sens gicler, j’adore quand il gicle dans ma gueule et pis quand je nettoie les bites… J’adore quand on m’en récupère avec les doigts et que je lèche… Et j’aime bien quand on m’en met partout…- (rires)- Et tu es quoi toi ?
- Ben j’suis un putain trou à bites…- Et pis quoi ? Plus tu dis, plus tu auras de plaisir encore… Tu montres avec tes mains en même temps…
Enfin libre de mes mains, j’étale le sperme encore frais sur mon corps, je tire sur les pinces à seins aux mâchoires très serrées qu’on ne peut enlever d’une seule main, véritable instrument BDSM. Lourdes, elles attirent de manière sans doute disgracieuse mes seins vers mon nombril et me font un mal de chien mais à chaque fois qu’un participant tire dessus, un éclair de douleur jouissif me traverse le corps, véritable éclair de douleur et de plaisir qui m’irradie jusqu’au clitoris.
- Ben… si j’aime qu’on me tire les bouts de seins comme ça c’est que je suis une sacrée tordue, hein ?
Je me mets accroupie et dégage, en prenant soin que tous puissent voir le bourgeon que j’ai entre les grandes lèvres que je tire et écrase après avoir mouillé mes doigts avec ma salive et je grogne comme un animal tant ce plaisir m’a été refusé tout au long de la soirée et ouvre de manière impudique l’intérieur de mon antre mielleux, je le montre à tous en effectuant une rotation, je glisse mes doigts dedans et les porte à ma bouche.
J’entends les mots qui sortent de ma bouche et j’imagine les images de cette femme qui dévoile son intimité et je me dis que je ne la connais pas. Moi je suis Chloé, gentille maman. Elle s’est Elina, une drôle de femme qui discute avec de jeunes mecs sur un jeu en ligne mais je ne connais pas la folie qui lui titille le sexe.
Je sens un homme allongé sur le sol je me fiche sur lui et dans l’état de folie et d’ivresse dans laquelle m’a mise l’alcool je me cambre au maximum pour offrir à la vue et à l’invite mon anneau culier.
C’était le souhait du Maître, je le savais, l’attente me procure un engourdissement fait de chaleur brûlante que les coups de boutoirs ne me soulagent pas. Une bite s’enfonce enfin dans ma rondelle, je me sens pleine, j’existe, à chaque va et vient de l’homme qui a pris possession de mon conduit annale, nos corps se heurtent en un bruit fort et mon plaisir s’en trouve exacerbé dans le brouhaha de la pièce.
Après quelques minutes, le silence revient, signe que cela va arriver. Mon divin enculeur ralentit sans toutefois s’arrêter complètement.
J’essaie de reprendre mes esprits. J’ai une bite dans ma chatte béante, j’ai une bite dans l’anus et une dans la bouche et je visualise ma vie de tous les jours, ma famille, mon travail et je me dis que je devrais partir. Non, je ne suis pas cette poufiasse d’Elina, je suis Chloé, j’ai toujours été une personne respectable et respectée dans ma communauté.
Mon corps dit pourtant autre chose. Il ne bronche pas quand un quatrième homme passe devant mon enculeur et pose sa bite sur mon anneau froncé.
Mon corps ne résiste pas. Il frémit de plaisir, ma rondelle essaie de s’ouvrir. Je sens des doigts qui prépare le passage sous les encouragements des observateurs qui lancent des paris soit à absorber cet engin supplémentaire soit, pour les plus cruels, sur la possibilité, que j’aurai le cul déchiré à la fin de la soirée.
Je prends peur. Il faut que je parte, que je me sauve. J’entends à sa voix que le Maître s’est déplacé : il a dû sentir ma peur et il vient près de moi pour me montrer la voie. Un coup d’électricité sur le ventre et un sur le clito qui me traversent à la fois provoquant douleur et bonheur d’un rare intensité ; il tire sur les pinces qui m’écrasent douloureusement le bout des seins que j’avais presque oubliées tellement j’y suis habituée. Il me griffe et tire fort mais pas assez pour ne pas les enlever et me susurre à l’oreille :
- Tu veux partir ? Tu veux t’arrêter maintenant ? Dis-moi que ce n’est pas ça que tu es ? Dis-moi que ce n’est ça que tu voulais être ? Je te connais mieux que toi tu te connais… Pars si tu veux… Tu es libre…
Mais au lieu de ça, je laisse les doigts entrer dans mon fion et l’écarter progressivement pour qu’une seconde queue de jeune arabe ou de black, je ne sais pas, mais en tout cas la queue d’un homme jeune et bien monté puisse la prendre sans ménagement.
Je monte et descend lentement sur l’homme allongé sur lequel ma chatte est empalée, je me suis mise au rythme maintenant plus lent de mon enculeur, je suis redressée sous l’effet d’une gorge profonde d’une queue bien large. Mon corps ondule car quatre doigts supplémentaires sont entrés sans trop de mal grâce au foutre qui lubrifie et grâce à mon excitation animale.
Je sens que le coup de grâce n’est pas loin. En effet, le gland se pose sur les fronces déjà bien éclatées de ma rondelle. J’aide en m’écartant le plus possible telle une femelle, une chienne en rut, comme si ma vie en dépendait.
Les autres queues se sont temporairement arrêtées sauf celle du type qui me tient la tête fermement avec ses deux mains et qui, lui accélère la cadence, me baisant la bouche de plus en plus violemment. Le spectacle qu’il a sous les yeux de ce corps qui ondule et de cul qui s’ouvre pour accueillir une seconde bite en plus de la bite qui est déjà dans la chatte a dû le rendre fou d’autant que je pompe comme une damnée parce que je ne peux crier ma démence.
La seconde bite entre et c’est un concert de douleurs et de excitation qui irradie mes intestins, de mon ventre à ma gorge, je voudrais crier mon délire mais je ne peux pas à cause de gorge profonde ; je n’entends même plus les cris de la pièce tant celui qui me baise la bouche m’écrase violemment la tête. Il est résistant car, comme les autres, il a dû user et abuser de moi plusieurs fois déjà.
La queue est maintenant entrée, les trois hommes cherchent et trouvent la bonne synchronisation. Je parie qu’ils n’ont jamais trouvé une femme aussi salope que moi qui ait accepté et que c’est pour eux aussi leur première fois.
Je perds la tête, je suis dans un volcan de sensations au bord de la jouissance, en bavant, j’aspire, comme une damnée, la queue qui est dans ma gorge et l’enroule avec ma langue si fort qu’enfin, dans un cri animal et m’écrasant la tête, l’homme violent explose si profond que son foutre passe directement dans mon œsophage manquant m’étouffer. Il hurle, il tremble, il secoue ma tête, son orgasme a été long et d’une extrême intensité.
Je reprends mon souffle, je peux enfin pencher ma tête en avant, creuser mes reins, profiter de chaque mouvement, de chaque frottement, je peux enfin exprimer en cris rauques, bestiaux, effrayants ce que je sens, ce que je suis définitivement : une bête, une femelle en chaleur, une salope, un sexe.
Certains comparses se sont approchés et je sens des mains qui me touchent, qui me griffent, qui tirent les pinces de mes seins, certains ont la bonté de glisser leurs doigts entre mes grandes lèvres et tirent sur mon clitoris gorgé de sang.
A cause de l’alcool, je manque jouir plusieurs fois sans y parvenir et me hurle ma frustration. Je sais cependant que lorsque ça viendra, ça n’en sera que plus fort. Je ne suis pas femme à jouir dix fois dans la nuit.
Notre rythme est endiablé et après avoir frôlé plusieurs fois l’extase, je hurle, je beugle tel un animal, une bête la jouissance qui a explosé et atomisé chaque cellule de mon corps.
Je jouis durant quelques minutes. Mon corps tremble. Ma chatte et mon cul pris de spasmes violents provoquent, par leurs vibrations autour des bites, les orgasmes quasi simultanés de mes trois étalons.
Je m’affale comme une poupée de chiffon. Je ne suis plus rien. Je suis morte.
Plus tard, je ne sais pas combien de temps après, je les ai entendus partir, tous, faisant des commentaires salaces sur tout ce qui s’est passé ce soir et comme j’étais épuisée et que je n’éprouvais plus de désir, j’ai eu l’impression qu’ils parlaient d’une autre.
J’étais redevenue Chloé. Chloé la classique.
Pour cette soirée, j’ai parlé à ma famille et à mon travail d’un déplacement de 24 heures. Je n’ai donc pas besoin de rentrer. Je veux dormir.
Ce que ne savais pas encore c’est que ce n’est pas fini.
Conformément aux ordres de celui qui avait donné tous les ordres, je n’avais pas enlevé mon bandeau de dessus mes yeux avant de m’endormir. Je ne savais pas combien de temps avait duré la soirée d’orgie donc je ne savais pas quelle heure il était, je ne savais pas à quoi ressemblait la pièce dans laquelle je me trouvais.
Il m’avait dit que je pouvais dormir tout le temps nécessaire à ce que je récupère.
J’étais épuisée et bouleversée. Je me suis endormie d’un sommeil profond.
(à suivre)
Un homme à forte poigne m’attrapa par les cheveux, me fit me redresser un peu pour que je puisse me déplacer telle une guenon plus que marcher et que je ressente bien que j’étais le plus vil des objets sexuels.
Je titubais un peu, désorientée, « la poigne » me fis me remettre aussitôt à genou devant le Maître et appuya sur ma tête pour que je la baisse en signe, sans doute, de respect.
Les rires et les lazzis cessèrent, sans doute avait-il fait un signe ? Il était donc bien le Chef.
- Alors petite pute, tu t’amuses avec tes copains de jeux en ligne ?
Je ne répondis pas, j’avais trop peur de prendre un coup, une gifle ou de prendre une décharge électrique.
- Tu peux répondre… Nous sommes entre amis… (rires de l’assemblée)…Tu passes un bon moment avec nous ?
- Euh… Oui, oui…- Dis-le ma belle !
- Et bien, je passe un bon moment avec vous mes amis, dis-je un peu hésitante…- Qu’est-ce qui te plait dans cette soirée ma jolie ?
- J’apprécie d’avoir les yeux bandés, ça décuple les sensations et j’aime les belles queues…- Alors qu’est-ce que tu es ?
- Et bien j’imagine que je suis une nymphomane…- Hahaha !!! Vous entendez ça les frères ???? Une nymphomane !!! Comment elle croit qu’elle peut encore parler d’elle avec des grands mots de son quartier de femmes du beau monde !!! (gros rires)Dis-moi ce que tu es, dit-il sur un ton qui n’avait plus rien de drôle, sur un ton mauvais où il n’y avait plus trace de plaisanterie.
Dis ce que tu es vraiment, dis ce que je veux entendre, dis la vérité. D’ailleurs on va t’aider…Bascule ta tête en arrière… Oui comme ça et ouvre grand le trou à bites que tu as au milieu de ta face…
Un bruit de bouchon et je sentis couler dans ma bouche un flot de scotch bon marché. Je n’avais pas pour habitude de boire de l’alcool et encore moins des alcools forts.
Je gardais la tête bien en arrière pour ne pas recracher, je n’aimais pas ce goût de mauvais whisky qui me brulait la bouche, la langue et l’œsophage. J’avais l’impression que le liquide coulait depuis longtemps sous les éclats de rire des comparses.
- Stop ! Stop ! Laisse-nous-en ! Passe la bouteille !
Je pense avoir bu pas loin de la moitié de la bouteille et déjà la tête me tourne et mes jambes peinent à me soutenir.
- Alors femme des quartiers chics, que penses-tu de ce que tu es vraiment quand tu nous rencontres comme tu en avais toi-même eu l’envie en discutant dans ce jeu ?
Je sens que les mots sont en peu en bouillie dans ma bouche et que je n’ai plus vraiment la maitrise de ce que je veux dire. Je ne cherche plus mes mots, ils se présentent tout seuls mais j’ai un peu de mal à les émettre et ça fait rire tout le monde.
Des mains me pincent assez durement les joues pour me rappeler que tous attendent, sans doute pour bien se moquer de cette femme possédée et offerte puis rabaissée et maintenant désinhibée par l’alcool.
- Et ben, j’ai vachement envie de queues quoi… J’adore les grosses queues… J’adore les queues dans mes trous quand les couilles viennent me taper le ventre ou le cul ou le nez à chaque coup de boutoir… Et… Et pis j’adore le foutre, j’adore quand je le sens gicler, j’adore quand il gicle dans ma gueule et pis quand je nettoie les bites… J’adore quand on m’en récupère avec les doigts et que je lèche… Et j’aime bien quand on m’en met partout…- (rires)- Et tu es quoi toi ?
- Ben j’suis un putain trou à bites…- Et pis quoi ? Plus tu dis, plus tu auras de plaisir encore… Tu montres avec tes mains en même temps…
Enfin libre de mes mains, j’étale le sperme encore frais sur mon corps, je tire sur les pinces à seins aux mâchoires très serrées qu’on ne peut enlever d’une seule main, véritable instrument BDSM. Lourdes, elles attirent de manière sans doute disgracieuse mes seins vers mon nombril et me font un mal de chien mais à chaque fois qu’un participant tire dessus, un éclair de douleur jouissif me traverse le corps, véritable éclair de douleur et de plaisir qui m’irradie jusqu’au clitoris.
- Ben… si j’aime qu’on me tire les bouts de seins comme ça c’est que je suis une sacrée tordue, hein ?
Je me mets accroupie et dégage, en prenant soin que tous puissent voir le bourgeon que j’ai entre les grandes lèvres que je tire et écrase après avoir mouillé mes doigts avec ma salive et je grogne comme un animal tant ce plaisir m’a été refusé tout au long de la soirée et ouvre de manière impudique l’intérieur de mon antre mielleux, je le montre à tous en effectuant une rotation, je glisse mes doigts dedans et les porte à ma bouche.
J’entends les mots qui sortent de ma bouche et j’imagine les images de cette femme qui dévoile son intimité et je me dis que je ne la connais pas. Moi je suis Chloé, gentille maman. Elle s’est Elina, une drôle de femme qui discute avec de jeunes mecs sur un jeu en ligne mais je ne connais pas la folie qui lui titille le sexe.
Je sens un homme allongé sur le sol je me fiche sur lui et dans l’état de folie et d’ivresse dans laquelle m’a mise l’alcool je me cambre au maximum pour offrir à la vue et à l’invite mon anneau culier.
C’était le souhait du Maître, je le savais, l’attente me procure un engourdissement fait de chaleur brûlante que les coups de boutoirs ne me soulagent pas. Une bite s’enfonce enfin dans ma rondelle, je me sens pleine, j’existe, à chaque va et vient de l’homme qui a pris possession de mon conduit annale, nos corps se heurtent en un bruit fort et mon plaisir s’en trouve exacerbé dans le brouhaha de la pièce.
Après quelques minutes, le silence revient, signe que cela va arriver. Mon divin enculeur ralentit sans toutefois s’arrêter complètement.
J’essaie de reprendre mes esprits. J’ai une bite dans ma chatte béante, j’ai une bite dans l’anus et une dans la bouche et je visualise ma vie de tous les jours, ma famille, mon travail et je me dis que je devrais partir. Non, je ne suis pas cette poufiasse d’Elina, je suis Chloé, j’ai toujours été une personne respectable et respectée dans ma communauté.
Mon corps dit pourtant autre chose. Il ne bronche pas quand un quatrième homme passe devant mon enculeur et pose sa bite sur mon anneau froncé.
Mon corps ne résiste pas. Il frémit de plaisir, ma rondelle essaie de s’ouvrir. Je sens des doigts qui prépare le passage sous les encouragements des observateurs qui lancent des paris soit à absorber cet engin supplémentaire soit, pour les plus cruels, sur la possibilité, que j’aurai le cul déchiré à la fin de la soirée.
Je prends peur. Il faut que je parte, que je me sauve. J’entends à sa voix que le Maître s’est déplacé : il a dû sentir ma peur et il vient près de moi pour me montrer la voie. Un coup d’électricité sur le ventre et un sur le clito qui me traversent à la fois provoquant douleur et bonheur d’un rare intensité ; il tire sur les pinces qui m’écrasent douloureusement le bout des seins que j’avais presque oubliées tellement j’y suis habituée. Il me griffe et tire fort mais pas assez pour ne pas les enlever et me susurre à l’oreille :
- Tu veux partir ? Tu veux t’arrêter maintenant ? Dis-moi que ce n’est pas ça que tu es ? Dis-moi que ce n’est ça que tu voulais être ? Je te connais mieux que toi tu te connais… Pars si tu veux… Tu es libre…
Mais au lieu de ça, je laisse les doigts entrer dans mon fion et l’écarter progressivement pour qu’une seconde queue de jeune arabe ou de black, je ne sais pas, mais en tout cas la queue d’un homme jeune et bien monté puisse la prendre sans ménagement.
Je monte et descend lentement sur l’homme allongé sur lequel ma chatte est empalée, je me suis mise au rythme maintenant plus lent de mon enculeur, je suis redressée sous l’effet d’une gorge profonde d’une queue bien large. Mon corps ondule car quatre doigts supplémentaires sont entrés sans trop de mal grâce au foutre qui lubrifie et grâce à mon excitation animale.
Je sens que le coup de grâce n’est pas loin. En effet, le gland se pose sur les fronces déjà bien éclatées de ma rondelle. J’aide en m’écartant le plus possible telle une femelle, une chienne en rut, comme si ma vie en dépendait.
Les autres queues se sont temporairement arrêtées sauf celle du type qui me tient la tête fermement avec ses deux mains et qui, lui accélère la cadence, me baisant la bouche de plus en plus violemment. Le spectacle qu’il a sous les yeux de ce corps qui ondule et de cul qui s’ouvre pour accueillir une seconde bite en plus de la bite qui est déjà dans la chatte a dû le rendre fou d’autant que je pompe comme une damnée parce que je ne peux crier ma démence.
La seconde bite entre et c’est un concert de douleurs et de excitation qui irradie mes intestins, de mon ventre à ma gorge, je voudrais crier mon délire mais je ne peux pas à cause de gorge profonde ; je n’entends même plus les cris de la pièce tant celui qui me baise la bouche m’écrase violemment la tête. Il est résistant car, comme les autres, il a dû user et abuser de moi plusieurs fois déjà.
La queue est maintenant entrée, les trois hommes cherchent et trouvent la bonne synchronisation. Je parie qu’ils n’ont jamais trouvé une femme aussi salope que moi qui ait accepté et que c’est pour eux aussi leur première fois.
Je perds la tête, je suis dans un volcan de sensations au bord de la jouissance, en bavant, j’aspire, comme une damnée, la queue qui est dans ma gorge et l’enroule avec ma langue si fort qu’enfin, dans un cri animal et m’écrasant la tête, l’homme violent explose si profond que son foutre passe directement dans mon œsophage manquant m’étouffer. Il hurle, il tremble, il secoue ma tête, son orgasme a été long et d’une extrême intensité.
Je reprends mon souffle, je peux enfin pencher ma tête en avant, creuser mes reins, profiter de chaque mouvement, de chaque frottement, je peux enfin exprimer en cris rauques, bestiaux, effrayants ce que je sens, ce que je suis définitivement : une bête, une femelle en chaleur, une salope, un sexe.
Certains comparses se sont approchés et je sens des mains qui me touchent, qui me griffent, qui tirent les pinces de mes seins, certains ont la bonté de glisser leurs doigts entre mes grandes lèvres et tirent sur mon clitoris gorgé de sang.
A cause de l’alcool, je manque jouir plusieurs fois sans y parvenir et me hurle ma frustration. Je sais cependant que lorsque ça viendra, ça n’en sera que plus fort. Je ne suis pas femme à jouir dix fois dans la nuit.
Notre rythme est endiablé et après avoir frôlé plusieurs fois l’extase, je hurle, je beugle tel un animal, une bête la jouissance qui a explosé et atomisé chaque cellule de mon corps.
Je jouis durant quelques minutes. Mon corps tremble. Ma chatte et mon cul pris de spasmes violents provoquent, par leurs vibrations autour des bites, les orgasmes quasi simultanés de mes trois étalons.
Je m’affale comme une poupée de chiffon. Je ne suis plus rien. Je suis morte.
Plus tard, je ne sais pas combien de temps après, je les ai entendus partir, tous, faisant des commentaires salaces sur tout ce qui s’est passé ce soir et comme j’étais épuisée et que je n’éprouvais plus de désir, j’ai eu l’impression qu’ils parlaient d’une autre.
J’étais redevenue Chloé. Chloé la classique.
Pour cette soirée, j’ai parlé à ma famille et à mon travail d’un déplacement de 24 heures. Je n’ai donc pas besoin de rentrer. Je veux dormir.
Ce que ne savais pas encore c’est que ce n’est pas fini.
Conformément aux ordres de celui qui avait donné tous les ordres, je n’avais pas enlevé mon bandeau de dessus mes yeux avant de m’endormir. Je ne savais pas combien de temps avait duré la soirée d’orgie donc je ne savais pas quelle heure il était, je ne savais pas à quoi ressemblait la pièce dans laquelle je me trouvais.
Il m’avait dit que je pouvais dormir tout le temps nécessaire à ce que je récupère.
J’étais épuisée et bouleversée. Je me suis endormie d’un sommeil profond.
(à suivre)
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